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Le Jeu !

Chapitre 4

Niveau 3

Hétéro
Le lundi qui suit, Manuel arrive glorieusement au lycée. Il n’a pas vu Angelo du week-end, car il était chez son père, dans une autre ville. Ils se sont néanmoins parlé par message et Angelo s’est à plusieurs reprises branlé sur la vidéo de son pote baisant Julie dans les toilettes d’une boîte de nuit.

— Alors mon pote, le niveau 2 est réussi, et haut la main.
— Oui, j’ai vu ça. C’était une belle baise.
— Oh oui. Dommage que tu n’as pas tout vu. Elle a joui, mais comme une salope ! Je n’ai jamais vu une chatte se contracter comme ça, comme si elle voulait garder ma bite pour ne pas arrêter de jouir. Après, elle m’a fait jouir avec ces énormes loches. C’était divin, je lui ai craché mon foutre sur ses seins et elle a même avalé une giclée qui est partie trop haut.
— Oui, j’ai vu sur la vidéo que ses seins sont vraiment incroyables.

Alors qu’ils se dirigent vers leur salle de classe, Julie passe à côté d’eux. Elle les salue en leur faisant la bise, alors que généralement, elle dit juste ‘bonjour’. Un petit regard coquin entre elle et Manuel et elle continue son chemin.

— Eh bien, tu vas pouvoir te la retaper quand tu veux.
— Non, on s’est mis d’accord pour ne pas avoir d’autres plans cul. On a trop à faire avec de nouvelles choses. Mais on ne va pas oublier notre belle baise.
— Du coup, tu as pensé au niveau 3 ?
— Oui. Joanna, la meilleure amie de ma chère mère. Elle vient me chercher mercredi au lycée, car elle a besoin d’aide pour sa maison. Du rangement, réaménagement et autres bricoles. Coup de bol, ma daronne ne sera pas là.
— Tu sais déjà comment procéder pour arriver à tes fins ?
— Ouais. Tout est prévu. Elle me pose toujours la question ‘comment vont les amours’ et je ne rentre jamais dans les détails pour ne pas lui dire que je saute sur tout ce qui bouge. Mais cette fois-ci, je vais lui répondre différemment.

Le mercredi arrive bien vite et à midi, à la sortie des cours, il se rend au parking et rentre dans la voiture de la meilleure amie de sa mère.

— Salut, mon grand, tu vas bien ?
— Super et toi Joanna ?
— En forme. Bon attache ta ceinture, on y va.

Joanna, dans la quarantaine, est bien conservée, beau visage et joli corps. Avec de merveilleux yeux bleus, une longue chevelure brune ondulée et une belle paire de seins, gros et fermes, sûrement un beau 90D, elle a beaucoup de succès auprès de la gent masculine.
Aujourd’hui elle est habillée d’un jean bleu et d’un chemisier blanc dont les premiers boutons ne sont pas fermés, laissant une jolie vue sur sa poitrine. Alors qu’elle conduit, elle fait la conversation à Manuel, qui attend la question pour lancer son stratagème.

— Alors, ça se passe comment avec les filles ?
— Oh, c’est… Un peu compliqué en ce moment.
— Ah oui, pourquoi ?
— Eh bien… En fait… tu me promets que ça reste entre nous ?
— Oui, je ne dirais rien à ta maman. Allez, dis-moi tout.
— Eh bien les filles du lycée, elles sont toutes douces.
— Euh, oui. C’est quoi le problème ? rigole-t-elle.
— En fait, elles ont du mal, avec certaines choses.
— Tu veux dire avec le sexe ?
— Oui…mais… plus particulièrement avec le mien.
— Pourquoi, il est trop petit ?
— Non, en fait, c’est l’inverse.
— Ah oui ?
— Oui, elles le trouvent trop gros.

Il voit bien que sa mine a changé. Elle est un peu gênée. Elle se tortille un peu sur son siège et Manuel peut voir que les bouts de ses seins viennent buter contre son soutien-gorge.

— Que veux-tu dire… par trop gros ?
— Eh bien, il doit être beaucoup plus que la moyenne… en fait, je ne sais pas bien comment l’expliquer.
— Tu sais, ce sont de jeunes filles. Elles n’ont pas encore l’habitude de ces choses-là. Et sûrement peu de comparatif. Ne t’inquiète pas pour ça. Ça changera.
— Je n’en suis pas sûr, car elles n’arrivent pas à prendre mon sexe dans leurs bouches.
— Houlà ! Aussi gros que ça ? s’étonne-t-elle.
— Oui…
— C’est… étonnant.
— Et quand je veux mettre Mon sexe dans leurs vagins, elles disent que ça fait trop mal, alors que je mets juste mon gland et que je ne suis pas violent dans mes mouvements. J’aimerais pouvoir, faire l’amour normalement.
— Oui, je comprends.
— Je pense qu’il me faudrait une femme. Une vraie. Une qui sait faire l’amour.

Joanna bloque un peu. Elle commence à se demander s’il lui propose de coucher avec elle. Ce dont elle a follement envie après ce qu’il vient de lui avouer et elle a toujours été attirée par ce beau jeune homme. Mais elle s’est toujours refusé de faire cela, par respect pour sa mère.

— Je ne sais pas quoi te dire, Manuel, mais tu sais, il ne faut pas que tu tires un trait sur les filles de ton âge. Elles sont encore jeunes et inexpérimentées. Laisse leurs un peu plus de temps. Et tu verras qu’elles comprendront que ce qu’elles disaient sur ton pénis était exagéré. Plus tard, elles auront plus de facilités.

Manuel enrage intérieurement, Joanna essaie de résister et tente brillamment de terminer cette conversation. Mais Manuel ne va pas échouer avec elle, il faut qu’il relance la conversation pour la faire craquer et réussir le niveau 3.

— Je ne trouve pas qu’elles exagèrent. Je trouve aussi mon pénis très gros. Je dirais même qu’il est peut -être, plus gros que ton levier de vitesse et plus long.
— De mon… oh non, là tu exagères. Dit-elle en regardant le levier.
— Je peux te montrer, si tu veux ?
— Me… Non Manuel ! Ce n’est pas bien.
— Pourquoi, je veux juste te montrer pour que tu me dises si elles ont raison ou non ?

Long silence… puis elle craque et elle souffle doucement

— Ok… Si tu veux…

Manuel ne se fait pas prier davantage et ouvre sa braguette, défait le bouton de son pantalon, et sort le monstre. Joanna tente dans un premier temps de ne pas tourner la tête, mais elle ne peut résister que deux secondes. Une fois que ses yeux se portent sur ses joyaux, elle expire un bon coup.

— Aaah… Ah oui. Tu as un sacré levier de vitesse, en effet…
— Donc, je ferais mal aux filles tout le temps ?
— Non… Il faut juste que… tu leur laisses le temps d’apprendre à le gérer… Mais tu as vraiment été gâté par la nature.
— Toi aussi. Dis Manuel, sautant sur l’occasion.
— Heu, moi ? dit-elle surprise.
— Oui, tu as de très gros seins.
— Heu… Oui, c’est vrai. Mais, tu ne devrais pas me mater, ce n’est pas bien.
— Je ne te mate pas intentionnellement. Ils sont juste trop gros pour ne pas être vus.
— Peut-être, mais ce n’est pas gentlemen de le faire remarquer.
— Oui, tu as raison. J’aurais simplement dû dire que tu es très belle.
— Non. Ça aussi tu ne dois pas le dire. Je suis la meilleure amie de ta maman.
— Mais j’ai quand même ma bite, sortie, dans ta voiture.

Joanna ne fait que de lancer des regards à Manuel qui branle son gros sexe. Elle ne peut plus résister. Elle tourne à gauche au lieu de continuer tout droit comme Manuel le sait. Elle finit par se garer, à côté d’un petit bois, à l’abri des regards. Tous les deux détachent leurs ceintures.

— Bon. Ça reste entre nous, on est bien d’accord.
— Oui, entre nous. Réponds Manuel.

Joanna se penche et embouche son gros gland pour le suçoter avec gourmandise. Elle branle sa bite tout en pompant le bout avec avidité, faisant du bruit et bavant sur la queue plus que de raison. Manuel est aux anges. Il prend son téléphone et envoie un message à Angelo.

[SMS,Angelo]> Je vais t’appeler. Tu décroches, mais tu ne dis rien. Et t’écoutes.
Il appelle son ami qui suit ses indications. Il peut alors entendre au bout du fil leurs ébats. Et les bruits de Joanna (slurp, glork, blorp) sont assez clairs.

— Comment arrives-tu a faire ça Joanna ? Demande Manuel, en restant dans son rôle.
— Tu en as une bien grosse, mais j’en ai vu d’autre mon chou.

Elle recommence à le pomper, le prenant même en entier dans sa petite bouche.
Elle se redresse et retire son chemisier et son soutif. Il voit que ses seins sont très proches de ceux de Francesca. Sauf qu’ils ne sont pas mats, mais bien blancs. Il les suce avec passion et elle en gémit de plaisir. Avant d’offrir à son jeune adulte préféré une superbe branlette espagnole. Elle suçote le gland pendant que ses seins branlent sa queue avec passion.

C’est à l’arrière de la voiture que la suite a lieu. Manuel est assis au milieu de la banquette arrière et Joanna s’est empalée sur son gros sexe sans difficulté notable, car son vagin est très humide et il a dû voir passer de belles queues. Dos à lui elle saute sur sa grosse queue et son pote et lui peuvent écouter ses halètements et cris de plaisir.

— Han ! Ah ! Han ! Aaaahh, Aaaaahhh ! Oui ! Ooohhhh ouiiiiii !

Tout en matant son déhanché et son joli cul qu’il caresse pendant qu’elle danse sur son sexe. Sa longue chevelure brune ondulée valse sur son dos nu. Elle a une main sur sa chatte et un doigt sur son clitoris pour le masser délicatement et son autre main sur un de ses gros nichons bien ferme pour se triturer durement le téton.

— Hann ! Hannn ! Hannn ! Putain ! Ton sexe est vraiment gros ! Ça, c’est de la queue comme j’aime ! C’est trop bon ! AAAaahhh ! OUiiiiiii !
— Oh oui Joanna, et tu es tellement douée pour la baise. Ton vagin est brûlant !
— Oh merci mon chou. Profite à fond de ma petite chatte. Tu lui fais un effet de dingue. Hann !
— J’ai envie d’essayer un truc avec toi.
— Ooohh! Oui, vas-y mon chou ! AAAaahh !

Joanna ralentit le rythme de ses hanches et Manuel la fait s’allonger sur lui, dos à son torse. Il passe ses bras entre les jambes de Joanna pour les tirer vers lui et venir poser ses mains sur le côté de son visage. Son sexe n’a pas quitté sa grotte trempée et Joanna reconnaît avec surprise ce qu’il se prépare à faire.

— Mais, comment tu connais cette posi… OOOOOOOH !

C’est une rafale de coups de bites surpuissants dans sa petite chatte dégoulinante de jus qui l’empêche de terminer sa phrase. Elle en hurle de plaisir alors que Manuel est un vrai marteau piqueur. C’est dans la position du full Nelson qui lui défonce la chatte avec talent et l’obligeant ainsi à regarder sa petite chatte se faire maltraiter de la sorte.

-  HAAAAA ! HANNNN ! Salaud ! AAAAAAHHHHH ! OUIIIIIIIIII !

Joanna a un orgasme fulgurant. Le teint rouge et extatique. Il retire sa queue, la prend dans sa main pour la garder droite et il éjecte quatre jets de sperme épais sur les seins et le visage de Joanna, sans changer de position.
Tous les deux se remettent alors doucement de leurs jouissances communes.

— Waouh… Manuel, c’était… incroyable. Surtout pour la fin. Dis Joanna.
— C’est la première fois que je fais ça. Ment-il.
— Et bien mon grand, ce fut une réussite. Mais tu ne pourras pas faire ça avec toutes les filles. C’est un peu trop violent pour beaucoup.
— J’ai aimé te faire l’amour. Ta chatte est si chaude et tu mouilles beaucoup.
— Ah, oui, à qui la faute. Moi aussi j’ai pris du plaisir sur ta belle queue. Mais on ne recommencera plus. Bon, on se rhabille et on y va. On a du boulot chez moi.

En récupérant son téléphone, il met fin à l’appel et envoie un message à Angelo.

— Niveau 3, réussi !
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