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Un jeu anal

Chapitre 1

Hétéro
UN JEU ANAL
Voici quelque temps que nous vivons ensemble avec Chantal. La petite quarantaine, elle est très joueuse. Depuis trois ans que nous nous connaissons, notre vie érotique est très satisfaisante.
C’est une toute petite femme d’un mètre cinquante, très mince, un joli minois, avec des yeux verts un peu mystérieux -le gauche est taché de marron- qui lui donnent un air toujours un peu détaché, limite moqueur... ou perdu. Cette légère étrangeté, cette fragilité et cette inadaptation au monde m’ont immédiatement séduit. Elle a de courtes jambes, un ventre plat et musclé – bien qu’elle ne pratique absolument aucun sport – et son corps porte joliment les premières marques de la maturité. Avec l’âge, ses avant-bras ont pris du volume, ses jolis seins en poire descendent un peu, mais pointent toujours vers le haut, avec une belle courbure. Son petit cul ferme s’est élargi, sa nouvelle lourdeur ravit mon regard. Enfin, sa peau est constellée de grains de beauté, de tâches rousses et brunes, de mini-cicatrices -stigmates d’un ancien accident de voiture- et de petites excroissances, le tout dessine une carte complexe, belle et émouvante.
Aujourd’hui, elle ne travaille pas, et je sais que le facteur va lui porter un colis qu’elle n’attend pas. Pour ma part, je me rends au travail pour une longue journée qui se terminera tard, mais il me sera difficile de me concentrer : mes pensées seront sans cesse ramenées sur ce qui devrait se passer à la maison en mon absence.
Dans le colis se trouve un plug anal transparent de taille assez conséquente. Pas un monstre non plus, elle n’est pas adepte de la dilatation (contrairement à moi, mais c’est une autre histoire que je vous raconterai plus tard). Et surtout une lettre manuscrite dans laquelle je lui donne mes instructions : « Chantal, ce soir, quand je vais rentrer, je vais te faire l’amour, mais je ne prendrai que ton cul. Aussi à toi de te préparer et de m’attendre. Je te laisse imaginer comment tu me recevras, ce sera ma surprise. A ce soir, Chérie...
La journée s’avère effectivement longue. Je ne pense qu’à ce qui va se passer ce soir. Je n’arrête pas d’avoir des érections, facilitées par le cockring que j’ai décidé de porter toute la journée, histoire de me mettre bien la pression ; tu parles, la pression est effectivement à la limite du supportable, mon gland passant d’ultra-sensible à insensible. Mes couilles sont gonflées et douloureuses ; je pourrais m’épargner de supplice, mais c’est ma part non dite du jeu. Elle me demande souvent de porter un cokring toute la journée, pour voir dans quel état je rentre à la maison le soir, couilles gonflées gland violacé... Le cockring me donne des érections bien plus épaisses et ce soir, je veux qu’elle me sente bien passer !
Lorsque j’arrive à la maison, tout est sombre et silencieux. Je monte à l’étage, une faible lumière filtre sous la porte de notre chambre, et me parviennent des bribes de notes de jazz en sourdine. J’esquisse un sourire. Ça commence pas mal.
Je pousse la porte. Lumière tamisée. Bill Evans en trio. Bougies çà et là, et même quelques pétales de roses rouges éparpillées sur le lit au centre duquel ma chérie m’offre la vision de son cul tendu vers moi, en position de levrette super cambrée. Elle ne porte qu’une paire de bas opaque à motif floral très coloré, une chaîne de taille en or... et le plug fiché dans son anus, qui lui écarte les fesses.
Elle se caresse lentement de la main droite, ça doit faire un moment, car elle ruisselle de mouille, nous ne disons mot. Pour me signifier qu’elle s’est rendu compte de ma présence, sa main gauche rejoint la droite et elle s’écarte largement la chatte, me laissant admirer combien elle est dilatée. Ses cuisses luisent de sueur et de mouille, tel que je la connais, elle a dû se faire jouir un paquet de fois en m’attendant !
Le spectacle me ravit au plus haut point, elle joue le jeu de mon scénario à merveille, et cela fait bondir mon coeur d’excitation, de bonheur, et d’amour pur.
Je me déshabille en profitant du spectacle. Nous n’avons toujours pas prononcé un mot. Elle entreprend cependant de se caresser à nouveau, et vu l’intensité qu’elle y met, c’est sûr qu’elle est à fond. Elle roule ses doigts sur son clito, puis en glisse deux dans sa chatte, revient sur son clito dans un joli mouvement ininterrompu. Une vraie chorégraphie manuelle. Cette fille-là a le sens de la théâtralité ! Puis d’un même élan, elle plonge quatre doigts profondément, pousse sur son poignet tandis qu’elle donne des coups de cul pour se pénétrer le plus profondément possible. On ne parle toujours pas, mais elle gémit de plus en plus fortement dans l’oreiller, jusqu’à pousser un cri en retirant brusquement sa main. Son sexe est béant. Elle se calme un peu, puis écarte ses fesses des deux mains, me montrant ainsi qu’elle est prête. Le plug bouge légèrement d’avant en arrière au rythme des contractions de son sphincter.
Voilà un moment que je me branle, la bite enduite d’une forte quantité de gel, je m’approche finalement vers elle, et enfouis mon visage entre ses cuisses. Elle a bien mérité un cunni en bonne et due forme, même si la position ne s’y prête pas beaucoup. Mais les règles du jeu étant ce qu’elles sont, pour le moment, tu restes à quatre pattes, ma cocotte.
Quoi qu’il en soit, elle mouille abondamment sur mon visage, j’adore ça, alors que ma langue travaille avec insistance son clito bien gonflé. J’aime beaucoup ce clito, au fait, de taille respectable, que je peux aspirer et sucer entre les lèvres comme une petite bitte.

Mon nez est enfoui dans sa chatte, je m’en sers carrément pour la branler, entrouvrant la bouche pour trouver l’air qui me manque, je sens qu’elle est prête à jouir, je suis au bord de l’asphyxie, mais je ne veux pas la laisser en plan. Je lui empoigne les hanches pour la maintenir fermement contre mon visage, ma langue me fait mal, à force de gahamucher, elle jouit bruyamment, les mains toujours de part et d’autre de son fessier largement écarté.
Pffff, je me laisse rouler sur le matelas, j’ai failli éjaculer sans me toucher tellement c’était excitant, je jouis du spectacle qu’elle m’offre désormais en contre-plongée. Ses hanches qui ondulent son sexe ravagé par le plaisir, son cul largement écarté, avec le plug qui menace désormais d’être expulsé, tant son anus palpite. Elle gronde, la voix étouffée dans l’oreiller - encule-moi maintenant, encule-moi.
Je me redresse, saisis le plug, fais mine de le retirer, je joue avec la résistance de son sphincter, puis je l’extrais doucement d’un lent mouvement régulier. Son anus se contracte aussitôt, puis s’ouvre largement, et me fait deux trois clins d’oeil. C’est drôle et hyper-excitant. Je remets le plug en place sans prévenir, elle a un mouvement de recul, puis lance aussitôt son cul en arrière à nouveau. Je retire le plug, le fourre dans ma bouche, et le range direct... dans mes fesses. Je souris à l’idée de sa réaction quand elle l’y trouvera plus tard.
Je lui bouffe le cul, mes deux pouces de part et d’autre de son anus en testent la souplesse, je les glisse à l’intérieur, écarte doucement, elle s’ouvre docilement, largement. J’asperge ses fesses de gel liquide, lubrifie abondamment l’entrée avec deux doigts. Elle ondule, écarte son cul. Elle me veut.
Je présente mon gland à l’entrée, fais quelques va-et-vient en appuyant un peu, histoire de vaincre l’éventuelle résistance d’un sphincter qui n’en est plus là depuis longtemps, puis je pousse plus fort, sa rondelle avale mon gland. Je ne bouge plus durant quelques secondes, elle se serre sur la queue, nous restons ainsi, jouissant de ce moment si particulier de la pénétration anale, avant de commencer à bouger.
Elle pousse de petits gémissements aigus en commençant à bouger presque imperceptiblement, pas de quoi m’engloutir, juste mieux me sentir, alors que je reste immobile. Puis d’un seul mouvement lent, mais décidé, je plonge dans ses entrailles jusqu’à la garde. Elle râle. Je reste fiché profondément, donne de petites poussées, puis je repars en marche arrière et commence à la baiser.
Le plug est toujours fiché entre mes fesses, plus je bande, plus mon cul se serre dessus. C’est délicieusement désagréable... J’adore, et surtout je savoure par avance le moment où elle s’en rendra compte.
Je vais l’enculer longuement, je suis aussi très déterminé à la prendre jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Le cockring désensibilise mon gland, me permettant d’être plus endurant, et lorsque l’excitation est trop forte, je ralentis la cadence, et coup classique, je pense à mon patron !
J’alterne les mouvements : saccadés, plus lents, puissants, légers. Je joue sur les angles, pour la maintenir sur la crête du plaisir. Je m’immobilise parfois, et savoure la sensation de son anus qui palpite sur ma hampe.
Puis je me retire, pour profiter du spectacle de son anus dilaté, avant d’y replonger d’un coup.
Elle jouit plusieurs fois. Je la retourne sur le dos. Nos regards se croisent pour la première fois depuis que je suis arrivé. Peut-être vingt minutes seulement qui paraissent avoir duré bien plus longtemps.
C’est un peu comme de retrouver la vue après avoir été ébloui par une forte lumière.
On se sourit, on rit, on s’embrasse à pleine bouche, elle attrape ma queue, essaie de m’attirer sur elle pour me sucer, mais lui rappelle la règle du jeu : je ne prendrai que son cul ce soir, alors même que je crève d’envie de plonger dans sa bouche.
Elle se renfrogne, me laisse glisser entre ses jambes, je frotte ma queue contre sa chatte, elle tente de m’absorber par de savants mouvements de hanches, mais je réponds à ses avances par mes propres stratégies d’évitement.
Ses mains sur mes fesses m’attirent vers elle, elle s’aventure dans le sillon, je sais qu’elle veut me mettre un ou deux doigts, et là, elle rencontre le plug. Elle éclate de rire : - T’es vraiment fou toi, tu l’as depuis combien de temps ? - depuis que tu ne l’as plus ! Et c’est trop bon ...
Je me penche en arrière, lui relève les jambes, glisse un coussin sous ses fesses, son anus est offert à ma queue, c’est ma position préférée pour la pénétration anale (en tant qu’actif comme de passif) je joue un peu à l’entrée, puis la pénètre d’un coup.
Elle s’écarte la chatte d’une main, se caresse le clito de l’autre, le buste en arrière, les hanches en avant, je la besogne en jouissant du spectacle, puis, j’écarte ses mains. La saisis par les poignets au-dessus de sa tête.
Je la couvre de ton mon corps. M’enfonce au plus profond. Mon cockring lui branle la chatte, nous transpirons abondamment, sueur et mouille mêlée font un excellent lubrifiant entre nos deux corps.
Je libère ses poignets pour prendre appui sur mes mains, et la besogner encore plus fort. Elle agrippe mes fesses, m’attire à elle, je tombe sur elle, mes bras passent sous son dos, mes mains s’accrochent à ses épaules. On ne fait plus qu’un. Etroitement enlacés, nos bouches trouvent, je la baise à grands coups, sans chercher les fioritures, la tête enfouie dans son cou, je respire à peine, commence à faiblir. Je décide alors qu’il est temps d’en finir, car je perds mes forces.
Je me retire, me relève, l’attrape par les chevilles et la tire vers le bord du lit. Debout face à elle, je lui écarte largement les jambes. Le spectacle de sa chatte béante, et de son anus dilaté et boursouflé m’électrise et me redonne l’énergie dont j’ai besoin. Je pousse trois doigts dans son cul et le travaille vers le haut, les faisant poindre sous les parois de sa chatte, que je lèche brièvement et goulûment. Elle ondule des hanches. Je ne lui laisse pas le temps de profiter, et enfonce d’un coup ma queue à nouveau vaillante bien à fond dans son cul. Je la baise méthodiquement à grands coups, sortant presque entièrement pour lui faire bien sentir mon gland (le fameux champignon !), elle jouit à nouveau très vite, j’accélère alors les mouvements, plus en profondeur, elle crie à voie basse (oui oui c’est possible), les mots fusent, lexique habituel à base de « tu m’encules bien », et de « je t’aime ». Je la baise désormais aussi fort que possible.
Je jette mes dernières forces dans le bouquet final, elle-même donne de grands coups de bassin en route vers l’orgasme ultime, qu’elle veut atteindre en même temps que moi. Je lui demande si je peux jouir – un rituel entre nous-, elle répond oui dans un souffle (heureusement, car je n’en peux plus), je donne encore quelques coups rapides, puis un dernier, je m’immobilise planté en elle au plus profond et décharge abondamment en râlant bruyamment. Ses cris se joignent aux miens, puis le silence se fait alors que je m’affale sur elle. Je pèse une tonne, le plug me fait mal, le cockring aussi. Je les retirerai plus tard, passé ce moment où haletant l’une sous l’autre, nous ne sommes pas pressés de reprendre nos esprits.
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