Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 121 J'aime
  • 0 Commentaire

Un jeu très dangereux

Chapitre 6

Inceste
Personnages :Éric, 19 ans, fils d’Isabelle.Isabelle, 43 ans, femme d’Antonio et mère d’Éric.Antonio, 46 ans, mari d’Isabelle, père d’Éric.Laurent, 19 ans, copain d’Éric.

Il est 1h00 du matin et Éric ne dort toujours pas !
Il repense à ce moment privilégié avec sa mère, sa tenue devant lui. Son membre lui fait mal, tellement il bande. L’envie lui vient de retourner dans la chambre de sa mère et de recommencer cette fellation volée ! Il ne peut plus tenir, alors, il se lève et va en direction de leur chambre.
Il a la boule au ventre, car il sait que ce n’est pas bien et que diraient ses parents s’ils se réveillent. Mais, l’envie est bien trop forte. Il pense à tout ça, alors qu’il est déjà au coté de sa mère.
Son père ronfle, comme d’habitude. La respiration d’Éric et très forte, il en a même le vertige. D’un geste, il tire son slip sur le côté, laissant place à une barre d’un calibre peu commun. Ce qu’il ne sait pas, c’est que sa mère s’est réveillée lorsqu’elle a entendu ouvrir sa porte. Elle avait encore oublié ses somnifères et son sommeil était beaucoup plus léger. Elle le voit, lui, et surtout cette verge qui ne demande qu’à éclater de plaisir.
— « Il..., il va recommencer comme la dernière fois ? », se dit Isabelle.
Son rôle de mère ordonne qu’elle agisse et le chasse de sa chambre, mais il n’en est rien. Isabelle reste là, sans bouger, continuant à faire semblant de dormir.
Son fils est à quelques centimètres d’elle, en train de se masturber, tout en la regardant. Doucement, il retire le drap pour lui découvrir cette énorme poitrine qui n’a presque plus de secrets pour lui. Éric descend la bretelle de sa nuisette blanche qui cache, par transparence, ses seins volumineux. Il se met à genoux et embouche le téton du sein gauche de sa génitrice.
Isabelle le regarde maintenant. Trop occupé à téter, son fils ne fait pas attention à son visage, étant sûr qu’elle dort.
— « Mmmm..., mmmm... ! »
Il aspire fort, lèche avec sa langue ce téton, maintenant gros comme une noisette, sous l’excitation de sa succion. Il descend sa main gauche et la plonge dans le string noir, porté toute la journée. « Ça, c’est nouveau ! », se dit Isabelle, s’apercevant que son fils est décidé d’aller encore plus loin dans ses caresses.Ses doigts caressent ses poils pubiens, puis, ensuite, ses grandes lèvres de femme mature.
— « Oh, maman..., tu dors, mais tu aimes quand-même mes caresses..., tu mouilles comme une vraie salope... ! Mmmm ! »
Après sa déclaration, il replonge sa bouche sur les seins de sa maman. Isabelle s’en mord les lèvres, il est dur pour elle, de ne pas chanter la jouissance par ces doigts tant curieux. Éric se lève et place un pied entre son père et sa maire. Il rapproche son sexe et le place entre les deux mamelles jumelles de sa tendre maman. Il prend les deux gros seins pour y serrer son pieu et commence à onduler son bassin, le faisant aller et venir.
Ce n’est pas croyable pour Isabelle, son fils s’offre le luxe d’une "branlette espagnole", avec son corps, alors que même son père, ne l’avait jamais tenté. Son gland vient lui frapper le menton à chaque poussée du bassin, tant la longueur de son sexe est impressionnante. Il se stoppe et place son corps, juste au-dessus du visage de sa mère. Il prend son pieu entre ses mains et décide de caresser le joli visage de sa mère avec son vit.
Isabelle en a l’odeur de l’homme plein le nez. Son intimité crie à l’aide, pourtant Isabelle ne peut pas bouger. Le gland contre ses lèvres, elle sait très bien où veut en venir son fils. Et comme par complicité, elle ouvre tout grand sa bouche pour accueillir ce gland gros et dur. La moitié de sa verge est rentrée, Éric ne peut contenir une exclamation de victoire.
— « Ooooh, maman..., mmm ! »
Tout en continuant ses va et vient pour faire glisser cette matraque entre les lèvres de sa mère, la croyant endormie. Elle ne retient plus, malgré l’immoralité, ce sexe la force à ouvrir tout grand son orifice. Quel membre, c’est du jamais vu !!Mais d’un coup, comme prise dans une frénésie, un léger « mmm » de contentement sort de sa bouche. Éric se stoppa :
— « Maman..., même si tu dors, tu apprécies mon intrusion..., oh, comme tu peux être salope, mmmm ! »
Éric recommence de plus belle, allant même, de plus en plus vite. Isabelle continue à jouer la comédie et des « mmmm » continuent de sortir de sa bouche.
— « Oooh oui..., maman, oui, fais-moi jouir..., fais jouir ton fils avec ta bouche..., papa est juste à côté, s’il savait... ! »
Le fait de savoir que son mari est à côté pendant qu’elle prend du plaisir à laisser son fils pistonner sa bouche, ne fait qu’accroître son orgasme.
— « Mm, mmmm, mmmmm, mm !!! »
Isabelle reprend ses petit cris, de plus en plus vite !
— « Aaaaaaaaaaaaahhh ouiiiii, je jouis, putainnnn, mmm !
Deux jets puissants partent s’écraser contre le palais de sa mère. Sentant jouir son fils, Isabelle lâche un long et tendre « mmmm » qui traduit son attente. Éric sort son sexe et se masturbe pour en faire sortir le reste, aspergeant le visage d’isabelle.
Celle-ci, a l’air toujours endormie, reçoit, jet après jet, son foutre de jeune adulte. Il reprend son souffle et peut se rendre compte du résultat.
— « Oh mon dieu, maman, qu’ai-je fait ? »
Il essuie tout avec son tee short et met tout en ordre, avant de partir en vitesse, laissant Isabelle regarder le plafond dans le noir.
— « Oh Éric..., mais qu’a-tu encore fait ? »
Le lendemain matin, Antonio doit partir tôt. Isabelle prépare le petit déjeuner pour son fils avant de filer sous la douche. Ils se croisent dans les escaliers.
— « Bonjour mon chéri, alors, comment vas-tu, bien dormi ? »— « Oui maman, et toi ? »
Ils se font la bise comme si rien ne s’était passé hier soir ! L’un croyant qu’elle dormait..., l’autre jouant à celle qui faisait comme si elle ne savait rien. Pendant la douche, elle repense à tout ce qui s’était passé et sans attendre, elle passe sa main entre les jambes.
C’est parti pour de jolies caresses matinales comme elle a l’habitude de le faire, désormais. Sauf que depuis quelques temps, c’est son fils qui lui procure l’orgasme. Le mélange de honte, d’interdit et d’envie, l’excite de plus belle. Mais le bruit de la porte lui fait sortir de son rêve érotique. Dans l’entrebâillement de la porte de la douche, elle voit Éric entrer à pas de loup. Son cœur se met à battre à toute vitesse. Elle essaie de continuer de se laver, sans essayer de faire attention à son voyeur.
Éric est là, essayant de voir un peu sa mère nue, mais la porte de la douche empêche toute vision. Il se tourne pour s’en aller, mais tombe sur une culotte noire, transparente, posée sur le meuble, sans doute, celle qu’elle allait porter aujourd’hui.
Rien que de penser ça, fait bander, à nouveau, le jeune homme. Il regarde une dernière fois sa mère, prend la culotte et sort son membre par la fermeture éclair. Isabelle continue de se nettoyer, sentant une certaine gêne d’avoir son fils à côté d’elle. Elle se retourne, discrètement, pour voir ce qu’il fait. Ses yeux s’ouvrent tout grand lorsqu’elle aperçoit le spectacle que lui donne son fils.
Éric se branle comme un diable, les yeux fermés, la main sur le meuble, la bouche grande ouverte, tellement le plaisir est intense ! Elle peut voir sa future culotte pour la journée entourer sa grosse et longue colonne pour lui en donner une satisfaction de plaisir.Comme aimantée, sa main revient vers son bas-ventre pour recommencer, là, où elle en était, tout à l’heure. Une main contre ses seins, l’autre contre sa foufoune, brûlante de désir, elle se donne en spectacle pour son propre pervers de fils.
Éric s’arrête lorsqu’il voit les mouvements de sa mère. Isabelle sait qu’il la voit et là, elle ne peut retenir ses paroles.
— « Mmmmmm..., oooh, Éric..., mmm !! »
Éric est scotché, sa mère, sa propre mère, se caresse en pensant à lui. Les yeux exorbités et la bouche grande ouverte, il recommence à se masturber, en regardant cette scène peu croyable ! Le fait de le voir faire sa branlette, par le biais de la glace de la salle de bain, l’excite de plus belle. Elle décide de gravir un échelon supérieur vers l’inceste et l’immoralité.
— « Ooooooh, mon poussin..., mmmm..., tu excites tant ta mère, si tu savais..., mmmm ! »
Éric ne met pas longtemps pour jouir, tellement jouir qu’il ne pense même plus à la culotte et c’est dedans qu’il décharge. il met sa main devant la bouche, pour surtout, ne pas se faire prendre en flagrant délit par sa mère.
Elle stoppe ses caresses lorsqu’elle s’en aperçoit, sans pour autant enlever ses mains de sa chatte.
Éric regarde le désastre, comment sa mère va-t-elle réagir en voyant sa petite culotte plein de foutre ? Trop tard, c’est fait, de toute manière ! Il pose le tissu sur le meuble et part au salon. Pendant ce temps-là, Isabelle sort de la douche. Le constat est simple, sa culotte est pleine de sperme et elle en a plus une de propre.
Elle rejoint sa chambre, culotte en main. Elle ne peut quand-même pas rester sans culotte au boulot. Elle enfile une paire de bas dim up, couleur chair et prend sa culotte noire transparente, maculée du foutre de son propre fils sur le devant et se la passe. Elle se surprend, elle-même de son geste. Elle sent, tout de suite, une tiédeur lorsque ses lèvres se mettent en contact du liquide humain.
Isabelle se regarde dans la glace de l’armoire. À travers le tissu transparent, on distingue le sperme blanc s’écrasant contre ses lèvres et se mélangeant à sa toison pubienne. Pourtant, Isabelle ressent une certaine excitation de sentir le sperme de son fils conte elle. Malgré la honte, elle se dit : « il faudrait que je lui dise d’arrêter, mais, pourrai-je le lui demander, tant mon corps apprécie se contact ! ».
Elle met un pull à col roulé noir, il ne fait pas froid aujourd’hui, puis une jupe rouge qui lui arrive à mi-cuisse.Après s’être chaussée de ses bottes à talons en cuir noir, elle part à la salle de bain pour se maquiller et puis part en compagnie de son fils, dans la voiture. Durant la route, Isabelle engage la conversation :
— « Dis-moi, mon chéri, la grève de bus en a encore pour longtemps ? »— « Euh, oui..., je crois, oui ! »— « Bon, ben je languis vraiment que tu aies ce permis ! »
Pendant la discussion, Éric guette les cuisses de sa mère. La jupe s’est relevée pour dévoiler ses jambes habillées de ses bas, couleur chair, dont les lisières se voient totalement. Isabelle le sait, mais il faut dire que ceci n’est, maintenant, plus qu’une bagatelle, comparé à ce s’est passé à la maison. Elle le laisse regarder, sans rien faire pour se remettre convenablement.
Arrivés à l’école, Éric lui fait un bisou avant de sortir de la voiture. Il la regarde une dernière fois, à travers la vitre. Son visage, ses énormes seins dont la ceinture passée entre les deux globes et ses bas, la dévoilent à n’importe quel poids-lourd qui la croiserait sur la route.
Puis, parti en direction de l’école, l’esprit, sans doute, encore dans la salle de bain.
Isabelle reprend la route pour aller travailler, mais aujourd’hui, il est dit qu’elle côtoierait ses collègues de bureau avec le foutre de son fils, plein la culotte !
Bientot la suite....
Diffuse en direct !
Regarder son live