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un jeu tres dangereux

Chapitre 7

Inceste
Arrivée au travail, Isabelle pose son regard sur tout les gens qu’elle croise. comme si c’était marqué sur son front, qu’elle portait, ce jour-là, une culotte maculée du sperme de son fils ! Elle entre dans son bureau, s’assied à sa chaise et essaye de se calmer : « Isabelle, calme toi..., personne ne le sait... ! ». On frappe en même temps à la porte.
— « Oui, entrez ! »
C’est Hubert l’un de ses secrétaires qui est a son service, pas pour la plus grande joie de celui-ci. Il faut dire qu’Isabelle est une mère très douce qui se transforme en une chef très stricte qui n’accepte aucun écart au travail.
Ayant de grosses responsabilités, le directeur, un grand ami d’Antonio, ne compte que sur elle pour l’aider à diriger cette usine. Hubert est un homme un peu naïf qui se fait rapidement marcher sur les pieds. Célibataire, sans enfant, de taille moyenne, maigre, pas beau, un peu coincé, le genre de personnage idéal pour le surcharger de boulot et ainsi, vous laisser du temps de libre.
Voilà quatre ans qu’Hubert doit faire le lèche-botte de sa patronne et qu’il s’écrase. Il travaille durement et nereçoit aucun remerciement de la part de celle ci. Au fil du temps, il commence à éprouver une certaine haine qui monte, d’années en années, envers sa supérieure.
— « Que voulez vous, Hubert ? »— « Euh..., bonjour madame, je suis venu vous rappeler que ce matin, il y a une réunion dans la salle polyvalente ! »— « Oui, très bien, mais je le savais..., et c’est tout ? »— « Euh, oui Madame... ! »— « Alors, sortez, j’ai besoin qu’on me laisse seule ! »— « Bien..., Madame ! »
Hubert quitte le bureau en s’écrasant de nouveau, en perdant ses moyens, ne sachant pas quoi dire, même s’il s’est juré qu’un jour, il lui balancerait tout ce qu’il pense d’elle, dans la gueule, même si le prix à payer, c’est d’être viré.
Isabelle range ses dossiers sur le bureau, essayant d’oublier ce qui se passe sous sa jupe, il est l’heure d’aller à la réunion. Elle sort de son bureau et se dirige vers celui de son toutou d’Hubert, comme certains salariés l’ont surnommé dans l’usine.
— « Hubert ? »— « Euh..., oui..., oui Madame ! »— « Je vais à la séance, avez-vous fini mon dossier ? »— « Oui Madame, voilà ! »

Isabelle s’assied sur une chaise, en face du bureau, en croisant les jambes. Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’Hubert la contemple de bas en haut et son regard s’attarde sur les cuisses de sa supérieure, dont la jupe, un peu relevée, lui laisse découvrir que madame porte des bas de couleur chair aujourd’hui. Il remonte ses yeux, les posant sur sa poitrine abondante qui tire sur son pull noir à col roulé. Tout en regardant ce spectacle, Hubert commence à se frotter la main contre son entrejambe, sous son bureau !
— « Bon..., ah oui, j’oubliais, vous devrez appeler toute les entreprises qui j’ai mis dans ce dossier. Faites-leur savoir que je ne lâcherai pas le prix et que c’est à prendre ou à laisser. Appelez la centrale de vente et dites-leur que pour le 14, les colis seront prêts ! »— « Mais Madame, nous n’aurons peut-être pas le temps de finir !!! »— « Hubert, c’est un ordre, dites aux ouvriers qu’ils fassent des heures supplémentaires, ils pourront les récupérer par la suite ! »
Une fois de plus, Isabelle laisse son toutou dans l’embarras, sachant que c’est à lui que les ouvrier allaient s’en prendre lorsqu’il leur apprendra la bonne nouvelle de faire des heures.
Pourtant, il ne peut s’empêcher de regarder le cul serré de cette femme stricte dans sa jupe rouge. Eh oui, malgré la haine, Hubert fantasme sur sa patronne. Ses formes généreuses, ses tenues le font chavirer. Dans ses rêves les plus érotiques, combien de fois s’est-il branlé, chez lui, en pensant qu’il la prenait sur son bureau !
Mais les années ont passé et la haine a rajouté une pincée de sadisme. Maintenant, il rêve de violer cette salope de secrétaire, la prenant, jupe relevée, avec ses bas et talons, l’enculant de force, avec sa culotte dans la bouche, pour étouffer ses cris de douleur, l’insultant de tous les noms : « alors grosse pute, tu aimes que je t’enfile ? », « tiens, c’est pour ces 4 années que tu m’en fait bavé, espèce de grosse chienne ! » ect...
Mais comment un homme comme lui peut-il se prétendre d’essayer de passer à l’acte, il sait très bien que son fantasme ne restera que fantasme !il est jaloux de son mari, il pense que c’est pour sa richesse qu’elle s’est mariée avec lui, rien d’autre.
En tout et pour tout, pour lui, sa supérieure est une très belle femme qui est intouchable, car elle fait partie du monde des gens riches et snobs qui vivent dans une autre monde que le sien.La réunion commence et Isabelle, comme toujours, prend la parole pour donner les ordres du jour. Pendant ce temps-là, Hubert se démène pour pouvoir finir son boulot. « putain de patronne de merde, c’est toujours la même histoire..., non de dieu, mais quand aurai-je les couilles pour lui en mettre plein la gueule.. », se disait Hubert.
Il quitte son bureau pour aller aux toilettes, pour une envie pressante. Lorsqu’il termine, il n’a pas le temps de tirer la chasse d’eau, qu’une personne, en claquant ses talons au sol, entre dans les toilettes. C’est Isabelle qui se dirige contre le lavabo, se regardant face au miroir. N’entendant aucun bruit, elle se croit, alors, seule dans ces lieux.
— « Oh mon dieu..., que suis-je en train de faire ? »
Hubert reconnaît la voix de sa patronne et n’ose pas sortir du WC, se demandant ce que sa supérieure se reproche. Celle-ci rentre dans le WC d’à coté, ignorant totalement la présence de son esclave des bureaux. Elle remonte sa jupe et s’assied sur la cuvette, sans même retirer sa culotte.
— « Oooooh, Éric..., tout ce foutre, comment as-tu osé ? »
Et là, Hubert, ne bougeant plus, hallucinant complètement des paroles de cette femme bourgeoise. « Éric ?, mais c’est son fils, mais qu’est ce que... ? » Hubert écoute, sans rien dire. Isabelle contemple sa culotte salie :
— « Le problème, c’est que ça m’excite, que dois-je faire... ? Et si quelqu’un rentrait ? »
Les paroles de celle-ci font bander Hubert qui ne peut se retenir et sort son sexe de son boxer pour commencer une magnifique masturbation.
— « Oooh..., puis tant pis, je n’en peux plus..., je me fous de ce qu’il peut arriver, je ne peux plus tenir, mmmm ! »
Alors, Isabelle, main dans la culotte, commence à se caresser la chatte humidifiée pour sa mouille et le sperme de son jeune garçon. Ses ongles, vernis en rouge, étalent le liquide blanc sur ses lèvres et ses poils pubiens. Hubert n’y croit pas, sa patronne se caresse à moins d’un mètre de lui.
— « Ooooh, mmmm..., Éric, mmm..., oooh, le sperme de mon fils, mmmm... ! »
Hubert est comme fou, comment cette femme, sa supérieure, si stricte, si droite, si élégante, si bourgeoise et si bien placée dans cette usine, peut-elle avoir une telle perversité et surtout avec son fils ? Hubert s’en veut presque d’être passé toutes ces années à travailler avec cette femme, à laquelle, il a fantasmé de tous ses désirs, sans même avoir un soupçon de sa vraie nature. Alors, n’y tenant plus, il pose un pied sur la cuvette du WC pour pouvoir se surélever et pouvoir voir cette femme au-dessus du mur qui les sépare tous les deux. Lorsqu’il arrive à la bonne hauteur, sa bouche reste grand ouverte. Hubert est, dorénavant, récompensé de tout ces années de dur labeur.
Isabelle est presque couchée sur le dos, les jambes bien écartées, une au sol, l’autre, calée contre le mur, à sa droite, les yeux fermés. Une main, dans la culotte, qui se voyait à travers la transparence du tissu. L’autre devant sa bouche, pour sucer ses doigts, les uns après les autres. Hubert la regarde tout en se branlant, il croit rêver :
— « Oh, quelle salope..., quelle salope !!! », se disait il.— « Oooh, Éric..., mm, ta grosse queue, oooh mon fils, comment oses-tu ? Tu va me faire jouiiiir ! »
Le ton d’Isabelle s’accélère et Hubert fait de même dans sa branlette. Mais d’un seul coup, le pied de celui-ci glisse et Hubert tombe se rattrapant à la poignée de sa porte, faisant un bruit terrible. Isabelle s’arrêta net, regardant en direction du bruit.
— « Il..., il y a quelqu’un...? »
Hubert se rhabille vite et sort en courant pour ne pas se faire démasquer par sa patronne. Isabelle n’a pas le temps de voir qui c’était, n’ayant pas eu le temps de se rajuster. Lorsqu’elle sort de son WC, il n’y a plus personne dans les toilettes, alors, mille questions viennent dans la tête d’Isabelle : « Qui était-ce ? Et qu’a-t-il entendu ? Et surtout, va-t-il le raconter à toute l’usine ?
Isabelle sort des toilettes pour revenir à la réunion dont la pause se termine. Elle regarde tout le monde, afin de voir si quelqu’un aurait un comportement suspect, mais rien, tout le monde semble normal et concentré. La séance recommence et c’est au tour d’Isabelle de reprendre la parole. Elle se lève, ses jambes tremblent :
— « Bon..., donc, comme on le disait tout a l’heure..., je..., je... »
Lorsqu’elle aperçoit les regards que l’on porte sur elle, elle ne sait plus quoi dire. Les gens se regardent, pas habitués à que cette femme, si sûre d’elle et si douée pour ce genre de travail, soit aussi mal a l’aise ! Le directeur s’enquiert de son émoi :
— « Euh..., Isabelle, ça ne va pas..., vous êtes toute pâle, d’un seul coup ? »— « Je..., je ne sais pas..., je ne sais pas se que j’ai..., excusez moi... ! »
Isabelle sort de la salle polyvalente, surprenant tout les membres de la réunion. Elle entre dans son bureau et ferme la porte et s’assied à son bureau, sans même enclencher la lumière. La tête dans les mains, Isabelle ne sait plus quoi penser.
— « Oh mon dieu..., mais qui était-ce ? Pourquoi ai-je fait ça ? »
La porte s’ouvre, c’est le directeur qui vient prendre de ses nouvelles.
— « Isabelle ? Qu’est-ce qu’il se passe ?"— « Je ne sais pas..., je, je me sens pas bien, d’un seul coup !!! »— « Écoute, tu es toute pâle, rentre chez toi, je reprendrai ton dossier pour la suite de la réunion ! »
Isabelle accepte et rentre chez elle, regardant de partout autour d’elle, comme une parano. Elle respire lorsqu’elle entre dans la voiture.
— « Oh non, comment ça va se finir ? »
Mais Isabelle sort de ses pensées, lorsque quelqu’un frappa à la vitre, ce qui la fait sursauter, c’est Hubert !
— « Mais qu’est-ce qu’il me veut- celui-là ? »
Isabelle baisse sa vitre. Tout de suite, il pose son regard sur ses cuisses dont la jupe relevée, dévoile la lisière de ses bas.
— « Oui Hubert, que voulez vous ? »— « Madame, vous avez oublié votre manteau ! »— « Hubert..., écoutez, je ne crois pas que ça soit le moment de venir me parler, vous ne voyez pas que je ne suis pas bien ? »— « Oh..., je suis désolé, Madame, je me retire, au revoir ! »
C’est bien la première fois qu’Hubert lui parle avec tant de calme. Isabelle ne s’en aperçoit même pas, loin de penser que c’est lui l’homme en question. Elle prend le chemin de la maison. Hubert la regarde partir, la scrutant avec un sourire endiablé !
— « Héhéhé..., au revoir Madame, je vous souhaite une excellente journée... ! »
Rendue à la maison, Isabelle se pose sur le canapé. Dans un total désarroi, elle pense et repense à cette scène et s’en veut d’avoir fait une telle chose au travail. Elle passe la journée à se morfondre. En fin d’après-midi, Éric l’appelle pour lui dire qu’il rentrerait avec un copain de classe. Lorsqu’elle raccroche, elle ne peut s’empêcher de faire le lien entre son fils et la scène des toilettes, « il faut que ça cesse ! », se dit-elle.
— « Ce soir, je lui parlerai, il faut arrêter tout de suite ce manège, avant que ça empire ! »
Mais d’un coup, le sonnette de la porte retentit dans la maison. Ça ne peut pas être Éric, il doit être, juste parti du lycée. Elle va ouvrir, mais à sa grande surprise, il n’y a personne dehors, mais quelque chose, au sol, retient son attention, c’est un bout de papier. Il est plié en deux, lorsqu’isabelle l’ouvre, elle croit que son cœur va lâcher !
« Bonjour Isabelle, alors comme ça, on se fait plaisir dans les toilettes du boulot ? Petite coquine, et ton fils te manque souvent comme ça ? Que dirais-tu si je montrais la vidéo à ton mari et à toute l’usine ? »
Isabelle tremble de tout son corps, son voyeur l’avait même filmée. Elle regarde autour d’elle, court derrière la maison pour ne trouver personne. Elle se sent complètement perdue, désespérée et le pire, c’est qu’elle ne peut en parler à personne. Elle rentre dans la maison et fait les cent pas dans le salon. Comment sortir de ce pétrin ? La sonnette sonne à nouveau, elle fixe la porte, son cœur bat encore plus fort. Elle accourt pour l’ouvrir, mais, comme à l’instant, il n’y a personne dehors. Au sol, se trouve un nouveau papier plié dont elle se hâte de lire.
« Nous allons jouer tout les deux..., et le maître du jeu, ce sera moi ! Comme je te l’ai dit, je dispose d’une vidéo très compromettante pour l’avenir de ta famille et de ta vie professionnelle. Si tu veux que je garde le silence sur tes envies perverses et incestueuses envers ton fils, tu as franchement intérêt de faire ce que je te demande.D’abord, je ne veux plus te voir habillée le soir chez toi, oui, tu vois oÙ je veux en venir, je veux que tu te balades devant ton fils avec seulement une petite culotte. Je te laisse le droit de choisir pour le débardeur ! Je ne veux pas te voir avec un long tee-shirt qui cacherait ta jolie lingerie.Ah oui, j’oubliais, je veux une culotte transparente pour couronner le tout, tu dois avoir sa dans ta garde robe, non ?Généralement, les petites salopes bourgeoises comme toi, aiment porter ce genre de lingerie pour être excitée et mouillée au milieu de tout le monde.Ce soir, bien-sûr, te ne fermeras tes volets qu’avant d’aller te coucher. Je te guetterai pour voir si tu m’obéis ou pas.Rappelle- toi, je possède l’avenir de ta famille entre les mains..., un seul écart et tu peux dire adieu à ta famille et ton avenir professionnel.Si tu es en accord avec mes ordres, alors lève la main droite, bien haut ! »
« Que faire ? », se dit isabelle. Qu’elle le veuille ou non, ce salopard la tient entre ses mains. Elle regarde dans la rue, mais aucun signe de son agresseur.
Ce qu’il demande n’est pas dans l’extrême..., mais que va-t-il lui demander, après ? Et c’est ce qui inquiète Isabelle. Prise dans un étau d’une perversité sans pareille, elle n’a pas d’autres choix que de suivre les instructions de cet inconnu. C’est pourquoi, elle lève le bras, bien haut. Son corps tremble de plus belle.
Elle rentre ensuite dans le salon, s’assied sur le canapé et regarde encore les mots, elle essaie de reconnaitre à qui appartient cette écriture. Car c’est certainement quelqu’un du boulot qui l’a surprise dans les toilettes !
Hubert, en homme roué et malin, était positionné à quelque mètres de sa maison. Le sourire aux lèvres, il s’était arrangé pour écrire d’une certaine manière que sa supérieure ne pourrait reconnaître son écriture. Bien-sûr, il n’a pas de video, mais pour être certain de voir son plan marcher, il est obligé de mentir et vu le désarroi de la femme, il est certain qu’elle mord à l’hameçon.
— « Ouiiii Madame, 4 ans..., 4 longues années que j’attends ce moment et ne crois pas que je vais te lâcher ! »
Une demi-heure plus tard, Éric arrive chez lui. En rentrant, il sent l’odeur du dîner qui vient de la cuisine.
— « Salut maman, ça v... !!!!! »
Lorsqu’Éric pénètre dans la cuisine, il reste scotché par la tenue de sa mère. En effet, étant obligée de suivre les ordres de son agresseur, Isabelle se trouve à faire la cuisine en culotte noire, transparente et un débardeur jaune qui ne descend pas plus bas qu’au-dessus des hanches. Étant dos à Éric, elle dévoile son superbe cul dont on voit sa raie fessière, à travers. Éric se demande pourquoi sa mère s’est habillée comme ça.
— « Bon..., bonjour, mon chéri..., je..., euh, ça va ? »
Elle n’ose pas se retourner, tellement elle a honte de s’afficher comme ça, devant lui. Certes, il y a eu les fois, en nuisette transparente, mais là, le prétexte avant d’aller se coucher, de garder une certaine pudeur de l’origine de sa tenue. Mais là, s’afficher comme ça, en faisant la cuisine, il n’y a rien qui explique son geste, mis à part de la provocation ! Éric monte dans sa chambre, bandant comme un cheval, à quoi peuvent servir ses vidéos si sa mère lui dévoile tout sur un plateau en argent !
— « Chéri, c’est prêt, tu viens ? »— « Euuuh oui..., oui, j’arrive ! »
Il descend et se met à table, sa mère est toujours de dos et il ne peut détacher son regard du cul de sa génitrice. Puis, vient le moment de servir à dîner et bien-sûr, Isabelle se retourne face à lui. La vision est paradisiaque. Ses lèvres et son triangle de poils fournis, écrasés contre le tissu transparent de la culotte, donnent une bouffé de chaleur à son fils ! Les poils pubiens ressortent sur les cotés, mais la séance ne se termine pas à çà. Le débardeur jaune est déformé par sa poitrine peu commune. La forme des tétons indique que sa mère n’a pas ms de soutien gorge ce soir ! La lourdeur et le volume de sa paire de seins se fait automatiquement ressentir. Éric en a mal, tellement il bande !
Il ne comprend pas l’accoutrement de sa mère, loin de savoir que derrière tout ça, se cache le plan scandaleux d’un pervers qui se venge de 4 années de soumission. Isabelle, rougissant, ne le regarde pas. Lorsqu’une voiture passe devant la maison, les phares se reflètent dans le salon. Éric se lève en se dirigeant devant la fenêtre :
— « Maman, tu n’a pas fermé les volets, ce soir, c’est rare de ta part ! »— « Non, Éric !!! »— « ???!!! »— « Écoute, il fait chaud, donc c’est pour ça, ne t’inquiète pas, je les fermerai ! »
Éric est surpris, jamais, même en pleine chaleur, sa mère n’avait fait ça avant. Il se rassied, regardant sa mère le servir. Elle sait très bien où il regarde, il faut dire que sa tenue est un appel au viol. Et malgré la honte, les regards de son fils commencent à l’exciter sévèrement. Le repas se termine dans un silence total.
— « Bon, je vais faire mes devoirs et je vais me coucher, bonne nuit, maman ! »— « Bonne nuit, mon chéri ! »
Il se lève, dévoile son jeans déformé par son érection, Isabelle ne tarde pas à s’en apercevoir.Elle se lève aussi, pour recevoir le bisou de son fils. Il part, rapidement, ne sachant plus où se mettre à cause de son état. Isabelle débarrasse la table et ferme les volets. Son voyeur a dû en avoir pour son compte mais, la seule chose qu’elle espère, c’est qu’il n’en demande pas plus. Elle monte dans sa chambre, mais dans les escaliers, elle entend que l’on frappe à la porte d’entrée.
Isabelle a peur et si ce pervers rentrait et s’il était armé ? Elle descend, attend quelques minutes et regarde par la fenêtre, mais ne voit personne devant la maison. Elle prend le risque d’ouvrir et tombe sur un nouveau bout de papier. Elle rentre et regarde, en haut des escaliers, pour voir si son fils n’a rien entendu. Assise dans le canapé, elle regarde avec crainte ce que peut lui demander, à nouveau, cet individu peu banal !
« Waouh, hahahaha, mais ton fils semblait très excité. As-tu vu comme il bandait lorsqu’il te regardait? Oui, j’en suis sûr que tu l’as vu, tu as bien dû regarder et te régaler.C’est très bien, je vois que tu as bien compris la situation dans laquelle tu te trouves.Je te souhaite une bonne nuit, ma jolie !Ah oui, j’oubliais, demain, je veux te voir porter un porte-jarretelle, oui un porte jarretelle, comme toute bourgeoise qui se respecte, tu dois en avoir ! »
Le jeu n’était pas fini et cela ne faisait que commencer. Comment sortir de se pétrin, à qui en parler ? Elle monte se coucher, peut-être que la nuit lui portera conseil ! Mais sa journée érotique n’est pas encore finie, les bruits, provenant de la chambre de son fils, la surprennent dans ses pensées. Curieuse, elle s’approche de la porte.
La porte est mal fermée et doucement, elle l’ouvre et là, l’horreur ! Le PC marche à plein régime, sur l’écran où se profilent les photos de ses cuisses dénudées, postées sur le site.Isabelle cherche son fils qu’elle trouve couché sur le lit, regardant vers l’écran. Éric se branle dans une de ses culottes en dentelle rose qu’elle reconnaît, malgré l’obscurité de la pièce !
En mère intéressée, plus excitée que scandalisée, elle regarde son fils se donner du plaisir !
— « Oooh, maman, putain..., oooh, ce que tu es belle ! »
Les yeux grands ouverts, Isabelle regarde toute la scène. Elle ne peut s’empêcher de porter une main sur ses grandes lèvres, à travers la culotte.
— « Ohhh, comme tu m’as fait bander, je suis sûr que tu l’as vue, ma grosse queue ! »
Elle se caresse tout en regardant son fils se masturber, quelle mère peut faire une chose aussi interdite ? Elle le sait bien, mais la perversité avait battu la moralité depuis bien longtemps et ce que devait arriver, arriva ! Éric jouit comme un gamin qui se masturbe pour la première fois. Isabelle jouit, elle aussi, mais en silence, avec une main devant la bouche.
bientot la suite
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