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un jeu tres dangereux

Chapitre 9

Inceste
Arrivée sur le lieu de son travail, Isabelle hésite encore à se rendre dans son bureau.Elle sait très bien que son agresseur sera tout près d’elle, durant toute la journée.Va-t-il intervenir ? Que va-t-il lui demander cette fois-ci ?C’est avec la boule au ventre qu’elle traverse le couloir des bureaux, regardant tout autour d’elle.Son cœur se met à battre plus fort, à chaque fois qu’elle croise une personne, "ça pourrait être lui..., ou même lui ?", se dit-elle, à chaque bonjour des salariés. Elle arrive vers le directeur qui prend de ses nouvelles :
« Ah..., Isabelle, alors comment vas-tu, aujourd’hui ?‒ Oh, Max..., oui ça va mieux, je te remercie ! »
Max Laguillé est le grand patron de l’entreprise, mais c’est aussi un grand ami d’Antonio.Isabelle a rapidement gravi les échelons de la boîte, grâce aux liens qui les unissent, elle et Max.Bien-sûr, cette montée en flèche a attisé la colère de certaines personnes qui étaient là avant elle et qui doivent trimer pour pouvoir se faire une place au soleil dans l’entreprise.
« Écoute, demain, nous recevons des dossiers importants, il serait bien qu’on puisse tout classer le jour même... ! Crois-tu pouvoir le faire ?‒ Oui, ne t’inquiète pas, je demanderai à Hubert de m’aider, nous resterons plus tard, demain !‒ Très bien... ! »
Isabelle s’installe, enfin, dans son bureau, soulagée de ne plus croiser aucune personne qui pourrait être ce terrible pervers.La journée se passe dans une ambiance spéciale. Isabelle se pose toujours la question : « et si l’homme-mystère intervenait ? ». À chaque fois que l’on frappe à sa porte, elle se fait un tas de films : « il faut que je me calme, j’en deviens parano », se dit-elle.
À midi, elle ne mange rien, il lui est impossible de travailler convenablement, donc elle redonne tout son travail à son toutou d’Hubert. Arrive alors le soir et Isabelle se rend dans le bureau d’Hubert avant de partir.
« Hubert ??‒ Oui, Madame ?‒ Demain, nous resterons plus tard, tous les deux, nous devrons finir les dossiers qui arriveront demain matin, compris ?
‒ Très bien, Madame entendu ! »
Sans dire "au revoir", elle quitte les lieux, laissant derrière elle son agresseur qui n’est pas encore démasqué. Celui-ci a un sourire lorsqu’elle part, « hahahaha, oui, demain, nous resterons juste tous les deux..., je pense que l’on va bien rigoler, tout les deux... ! »
Au chemin du retour, Isabelle est soulagée, là, personne ne s’est pas manifesté ! Elle rentre à la maison où Éric est en train de regarder la télé.
« Bonsoir, mon poussin !‒ Bonsoir, maman ! »
Tout de suite, une certaine gêne s’est installée entre eux, mais comment cela pourrait être autrement ?Il ne faut pas oublier qu’Isabelle a fait jouir son propre fils, ce matin-même, avec sa main, avant qu’il ne parte en cours.
Éric y a pensé toute la journée, oui, il a pris son pied, oui, il est attiré par sa mère, mais comment réagir après une telle scène. Alors, le mieux à faire, pour eux deux, c’est de faire comme s’il ne s’était rien passé !Isabelle part en cuisine, préparer le repas, pendant que son fils finit de regarder sa série préférée. Vient le moment de dîner et le silence devient presque pesant, aucun des deux n’ose parler et chacun à leur tour, ils se regardent sans se faire voir !
« Euh..., les cours se sont bien passés ?‒ Oui, oui... ! »
Éric finit de manger, débarrasse son couvert et part dans sa chambre, en souhaitant bonne nuit à sa mère. Isabelle le regarde s’en aller.
Elle s’en veut terriblement, « comment une mère peut-elle oser faire ça ! » se dit-elle.Plus tard, dans la soirée, lorsqu’elle se retrouve sous la douche, en se caressant le corps avec du savon, elle repense à ce matin.Sa main avait caressé cet énorme membre de chair, ça faisait si longtemps que ça ne lui était pas arrivé. Sa tête est remplie de ses images et sa chair, elle, exige des caresses pressantes.
« Ooh, mon chéri..., j’ai tellement honte..., pardonne-moi ! »
Se laissant totalement aller, elle pose un pied sur le rebord de la douche. De sa main droite, elle se caresse les lèvres vaginales, mouillées à flot, pendant que la gauche soupèse ses énormes seins dont les tétons pointent sans retenue.Tout à coup, quelqu’un frappe a la porte, ce qui fait sursauter Isabelle :
« Euh..., oui... ?‒ C’est moi, maman..., papa est au téléphone..., il veut, à tout prix, te parler ! »
Isabelle, encore tout excitée, sait que si Éric entre, il la verra toute nue, mais rien que d’avoir cette idée, lui fait un électrochoc dans tout son corps et sa réponse va la surprendre autant que son fils.
« Ben, entre mon chéri, je suis sous la douche ! »
Éric n’en croit pas ses oreilles, sa mère l’invite à la regarder à poil ! Il n’hésite pas un seul instant, il entre, en tremblant de la tête au pied.Il s’approche de la douche et là, la gorge nouée, il regarde le spectacle que lui gratifie sa génitrice.Éric lui tend le téléphone, sans même regarder son visage, sa vue est posée sur l’incroyable volume des seins de sa mère.
« Tiens..., tiens, voilà..., le, le..., le téléphone !‒ Merci, mon chéri ! »
Isabelle se rend bien compte que son fils mate, sans vergogne, sa poitrine qui explose en défiant toutes mesures.En effet, Isabelle, encore toute nue, s’est tournée sur sa droite, comme pour lui cacher son corps pudiquement, en faisant semblant de lui tourner le dos.Elle avant passé son bras gauche devant sa poitrine pour caché désespérément ses énormes obus.Mais tout ceci est bien ridicule, la poitrine se voit au 3/4 et même les aréoles sont dans la ligne de mire des yeux d’Éric.Éric baisse les yeux afin de pouvoir ausculter entièrement le corps de cette femme mûre.Ses larges fesses pleines n’ont aucune ride, ainsi que ses jambes..., pas même un gramme de cellulite.Éric ne s’aperçoit même pas que, déjà, son pantalon forme une énorme bosse sur le devant.Isabelle, quant à elle, ne met pas longtemps à sans apercevoir, ce qui ne fait qu’accroître son excitation.Elle n’écoute pas ce que son mari lui dit et souvent, même, elle doit lui faire répéter.Éric reste là, tout bête, attendant que sa mère lui rende son portable.Malgré une certaine gêne, Isabelle emportée dans cette vague de chaleur, allait apprécier encore plus, ce moment insolite !
Elle passe son bras gauche sous ses seins, comme si de rien n’était, ce qui les fait remonter donnant jour à des tétons pointant, à cause de son excitation.Le sexe d’Éric ne fait qu’un tour dans son slip !Isabelle est, maintenant, face à son fils, les seins soulevés par son bras, dardant vers lui, la toison brune, arrosée d’eau et de gel douche.Elle ne le regarde pas, faisant semblant de discuter avec Antonio, alors qu’elle mouille intensément devant son fils.Éric en a la gorge sèche, fixant ses seins qui bondissent sur son bras, à chacun de ses gestes.Antonio raccroche, il avait appelé car il est invité, ainsi que sa femme et son fils, à un repas de gala, ce week-end même.Éric reprend le téléphone et file dans sa chambre, sans demander son reste, bandant encore dans son pantalon.Isabelle sort de la douche et lorsqu’elle prend sa serviette, elle remarque que son fils a oublié l’étui de son portable sur le rebord du meuble.Elle s’essuie et enfile une culotte en soie noire, qui arrive à peine à la moitié de ses fesses, qui ne recouvre qu’a moitié son triangle de poils et un débardeur bleu, très court, lui arrivant au dessus du nombril.Elle choisit de ne pas s’habiller plus que ça, voulant prolonger le regard voyeur de son fils. Pour ceci, elle décide de l’encourager dans se sens.Récupérant, en même temps, son panier à linge sale pour mettre le contenu à la lessive, elle se dirige, d’abord vers la chambre de son fils, afin de lui remettre l’étui de son portable.Perdue dans ses pensées, elle ne prend même pas le soin de frapper et ouvre la porte, d’un coup.
« Chéri..., tu a oublié l’étui de..., ton..., oh mon dieu !!! »
Isabelle reste bouche bée et Éric n’ose plus bouger.N’ayant pas entendu sa mère arriver, Éric est pris la main dans le sac, en train de se branler sur son lit.
« Oooh, maman..., je..., je... »
Éric ne bouge pas, restant comme ça, sans rien dire.Isabelle fixe, sans retenue, cette énorme verge qui se tient droite comme un I.Après un léger flottement, Éric essaye, tant bien que mal, à se remettre convenablement, tout en s’excusant.Isabelle sent son désarroi et pose la caisse de linge sale au sol et s’assied sur le rebord du lit, à côté de son fils.
« Éric..., mon chéri, tu n’a pas à t’excuser, c’est de ma faute, tu sais, je n’aurais pas dû rentrer sans frapper !‒ Mais non, ne t’inquiète pas, je ne devrais pas faire ça, maintenant !‒ Mais..., je pensais qu’après ce qu’il s’est passé ce matin, ton envie t’aurait quitté ! »
Éric est surpris des mots de sa mère, finalement, c’est elle qui brise le silence sur ce qui s’est passé ce matin.
« Euuh..., ben le problème, c’est que le soir, je le fais très souvent !‒ Ah..., et tu es mal quand tu es comment ça...?‒ Euuh, m’oui..., enfin je veux dire que j’éprouve le besoin de me soulager !‒ Oooh, mon pauvre chou et moi, comme une gourde, j’arrive à ce moment-la ! »
Isabelle se penche sur le torse de son fils pour lui faire un bisou, sa poitrine comprimée dans le débardeur s’écrase contre lui, faisant ressortir les seins vers le haut.Éric croit tomber dans les vapes.En voulant se redresser, Isabelle, par mégarde, touche le sexe de son jeune homme, camouflé parmi les draps.
« Ooh..., pardon, je t’ai fait mal ?‒ Non, non..., t’inquiète... !! »
Elle se tourne, face à son membre, retirant les draps posés dessus, sans même demander l’autorisation à son fils.Elle fixe, en silence, cette verge qui demande une masturbation d’urgence, tellement le gland semble gonflé.Le cœur d’Éric bat à cent à l’heure, ne sachant pas quoi faire.Les vidéos, c’est facile, mais là, comme ça..., que faire quand on a aucune expérience ? »
« Mon pauvre chéri..., tu ne peux pas rester comme ça, tu dois être trop mal ! »
Éric se lance, finalement :
« Pour..., pourrais-tu m’aider, comme ce matin, s’il te plaît ? »
Isabelle le regarda d’un air surpris.
« Tu veux..., que je te masturbe, comme ce matin..., c’est ça ?‒ Oui..., oui, oui..., enfin si tu veux !‒ Tu sais que ce n’est pas bien..., je suis ta mère, Éric et une mère ne fait pas ce genre de chose à son fils... !‒ Oui..., c’est vrai, je suis désolé, excuse-moi ! »
Isabelle regarde son fils qui semble être déçu, mais qui n’insiste pas.Alors, elle est prise de compassion pour lui !
« Ecoute, c’est d’accord, mais c’est la dernière fois ! »
Ni une, ni deux..., sa main droite attrape la colonne de chair et commence, sans plus tarder, une branlette incestueuse.Elle ne peut pas se voiler la face, Isabelle en a autant envie que lui, mais comment avouer de telles pulsions sexuelles.Éric est aux anges, de là où il est, il voit cette main experte, monter et descendre sur sa verge prête à exploser.
« Oooh, maman..., c’est tellement bien... !‒ Ça te plaît, mon cœur, tu sens que ça va déjà venir ?‒ Ooooh non, je veux que ça dure plus longtemps... !‒ Tu en as autant envie que ça ?‒ Oui, mais des fois, j’ai du mal à venir"‒ Mais chéri, tu sais que pour t’aider, tu peux prendre une de mes culottes, avant, tu t’en servais !‒ Mais..., maman..., je n’ose pas !‒ Il ne faut pas, chéri..., regarde ! »
Isabelle cesse, d’un coup, ses occupations et se penche vers le sol.Éric, surpris, se demande ce qu’elle fait.Isabelle revient vers son sexe avec, en main, sa culotte violette transparente, portée aujourd’hui.
« Tu veux que maman te fasse ça, avec sa culotte ? »
Éric répond oui avec la tête, perdu devant tant d’audace.Isabelle entoure la queue d’Éric de sa culotte et recommence à le branler.La douceur du tissu, plus le geste de va et vient des mains de sa mère ne laisse pas longtemps à Éric de jouir dans un râle de plaisir.Les coups de reins de son fils font comprendre à Isabelle que le moment propice ne va pas tarder.Étant à bout de force, Isabelle ne peut plus rester silencieuse.
« Oui..., oui, mon cœur, oui..., jouis..., dans la culotte de maman..., donne tout, vas-y ! »
Elle accélère le geste, de plus en plus vite.L’un et l’autre sont emportés dans un fleuve érotique, plus rien d’autre ne compte à présent.Éric se tient, maintenant, la tète.
« Ooooh..., maman..., ohh, tu es tellement belle... !‒ Oh mon chéri, étais-tu excité, tout à l’heure, dans la salle de bain..., étais-tu excité de voir mes gros seins...? Dis à maman !‒ Oooooooh oui, tes énormes seins..., maman, ils sont tellement gros..., j’aime voir sous tes jupes aussiiiiiiiiiiiii !!!!‒ Oh, que vois-tu sous mes jupe, mon poussin, dis à maman..., qu’aimes-tu voir sous mes jupes ????‒ J’aime voir tes culottes et tes bas, tes porte-jarretelles..., oooh tu me fais rêver !!!‒ Oui, mon poussin..., tu aimes regarder sous la jupe de ta maman et tu veux que maman te laisse voir plus souvent ? C’est ça...?‒ Oui..., je..., je le veux..., putain, je le veux..., que j’aime te regardeeeer ! »
Sous ses mots, Éric sent, d’un coup, que tout va venir !
« Oooooooh, aaaah, je jouis..., ooh merde, je jouis, je jouis, je jouiiiiiiisss ! »
Éric lâche plusieurs longs jets de sperme dans la lingerie féminine de sa mère.Isabelle regarde le corps d’Éric bondir sans, pourtant, arrêter sa manœuvre.Elle en prend autant de plaisir, vu que sa culotte en soie déborde de mouille.Lorsqu’il est vidé, Isabelle prend le soin de bien retirer la culotte, sans laisser aucune trace de sperme, sur son passage.
« Ohhh ouais..., merci maman..., j’espère que l’on fera ça, encore !‒ Écoute, Éric..., je..., il faut stopper ça, je t’ai dit que c’était la dernière fois !‒ Quoi, mais..., tu as, toi-même, mis ton string sur moi et tout ce que l’on vient de se dire !‒ Stop !!! Je ne veux plus entendre parler de ça..., je suis ta mère..., on doit arrêter ça ! »
Isabelle quitte la chambre, emportant avec elle, le bac à linge, ainsi que son string.Éric reste, bêtement là, sur son lit, ne comprenant pas la soudaine réaction de sa mère.La lessive tourne, Isabelle a besoin de boire quelque chose de frais.Elle s’assied à la table de la cuisine et réfléchit :
« Que vais-je faire ? Je deviens folle, je n’aurais jamais dû faire ça, c’est mon fils..., mon fils ! »
Isabelle sort de ses pensées, lorsque l’on frappe à la porte.
« L’individu, ça ne peut être que lui !! »
Elle file ouvrir la porte, pour retrouver ce fameux morceau de papier sur le palier.Isabelle referme et regarde avec peur les mots que contient ce papier.
« Bonjour, ma chère Isabelle, comment se sont passées tes retrouvailles avec ton fils ?-- J’ai pris un malin plaisir à jouer les voyeurs à ton égard, aujourd’hui, tu étais, tout simplement, magnifique ! Demain, je veux que ce soit pareil !-- Je veux te voir en porte-jarretelles, je veux que tu sois aguichante..., je veux que tu fasses bander tout le bureau qui s’aperçoive, au moindre faux-pas, dans tes mouvements, un bout de tissu de tes bas ou de ton porte-jarretelles et même, ta culotte... !-- Je veux que ton fils le sache..., qu’il sache que sa mère est une salope..., aguiche-le, oui, aguiche-le..., je veux qu’il bande... !!! »
Isabelle n’a pas bien le choix, obligée d’obéir, elle monte se coucher avec cette boule au ventre et cette question qui revient sans fin : « quand est-ce que tout cela va se finir ? ». Le lendemain matin, le réveil est dur, Isabelle n’a pas oublié la tâche du jour.Elle ouvre son armoire et en sort un porte-jarretelles en dentelle noire.À l’époque, elle s’était réjouie de cet achat, elle aurait fait n’importe quoi pour plaire a son mari, mais aujourd’hui, les choses sont différentes.Après être passée à la salle de bains, pour la toilette et maquillage, Isabelle revient dans sa chambre, se faire un chignon.Elle enfile le porte-jarretelles noir, ainsi que des bas de la même couleur.Elle opte pour une culotte et un soutif noir, transparents, qui accompagnent la couleur de sa lingerie déjà mise.Les balconnets du soutien-gorge laissent clairement apparaître, au travers, les aréoles rondes et larges ainsi que les tétons qui pointent l’étoffe. Le tissu semble trop petit, les seins sont sortis à moitié.Une chemise en soie, bleu marine et une jupe-tailleur blanche, lui arrivant juste au dessus des genoux finissent de l’habiller.Elle descend les escaliers et prend, au passage, dans la commode des chaussures, des escarpins italiens noirs.Les talon-aiguilles claquent sur le carrelage, Isabelle se regarde dans la grande glace du hall.
Il faut reconnaître qu’elle se plaît comme ça, le style BCBG lui est, toujours, très bien allé.Elle ouvre la porte pour étendre le linge qui a tourné la nuit dernière et c’est après être revenue, qu’elle se rend compte de la présence d’un bout papier, posé devant la porte.Ce bout de papier, ça ne fait pas longtemps qu’il est là !Son agresseur doit être tout près d’ici, à quelque pas, en train de l’épier.Isabelle paierait cher pour voir son visage, savoir qui il est.Mais, personne, pas un chat dans la rue à cette heure-ci du matin.Elle entre et prend le soin de lire le papier.

« Hahahahaha..., oui voila qui est mieux !-- J’e suis sûr que ça te plaît d’être habillée de cette manière !-- Tu aimes ce jeu, on dirait..., alors jouons encore un peu... !-- Tout ceci ne serait pas marrant, si ton garçon chéri ne s’aperçoit pas ce que tu portes !-- Alors, on va le gâter, ce petit vicieux... !-- Je veux que tu enlèves cette jupe, oui tu as bien compris mes mots !-- Laisse-lui voir les trésors que tu portes ce matin !-- Obéis..., sinon !!! »
« Non, mais, il est malade, jamais je ne pourrai faire ça..., ça va beaucoup trop loin... !! »
Isabelle ne fait rien et commence à préparera le petit-déjeuner.Au loin, Hubert perd patience, prend son stylo et il marque :
« Tu ne veux pas obéir, regarde, espèce de salope..., crois-tu, vraiment, avoir le choix ? »
Très rapidement, il se faufile, sans être vu, près de la porte d’entrée et frappe deux coups, après avoir posé le nouveau bout de papier.Isabelle sursaute, elle sait très bien que c’est lui ! « Il ne doit pas être content ! », craint-elle, comme si, maintenant, cet homme était son maître et qu’il avait tous les droits sur elle.Elle récupère le bout de papier et là, c’est le choc !Les mots ne sont pas les plus terribles, deux photos l’accompagnent..., là, c’est autre chose !La première montre clairement Isabelle, à genoux, en train de masturber son fils qui a l’air de prendre son pied, vu le visage qu’il fait. Accroupie, les jambes bien écartées, on peut donc voir ses bas, ainsi que le porte-jarretelles et même le string coincé entre les lèvres de son intimité.La deuxième, nue devant son fils dans la douche, lui montrant impudiquement ses énormes seins qui tombent légèrement, malgré leur pesanteur et Eric, en face d’elle, le regard émerveillé sur les joyaux maternels !
Il ne faut pas se voiler la face, ces photos sont de véritables grenades qui peuvent faire sauter sa vie, ainsi que sa famille, en mille morceaux !
Les média parleraient de cette affaire au boulot, ça ferait l’effet d’une bombe !Le divorce serait inévitable, elle ne verrait plus jamais Éric et risquerait même, la prison.La main devant la bouche, le papier au sol, son cœur bat très fort !Isabelle n’a pas le choix, c’est ça ou... !Alors, contre son gré, elle ouvre la fermeture-éclair de sa jupe et fait descendre le vêtement, glissant sur ses bas noirs pour atterrir au sol.La chemise est courte, il est impossible qu’Éric soit incommodé par un quelconque masquage s’il décide de se rincer l’œil de bon matin.Elle pose sa jupe sur le canapé du salon et c’est dans cette tenue qu’elle décide de préparer un petit-déjeuner qu’Éric n’est pas prêt d’oublier.Oui, Éric l’a vue, nue dans la douche, mais il y avait encore le prétexte qu’elle se douchait et qu’Antonio voulait, à tout prix, lui parler.Mais là, habillée comme ça..., les seuls mots qui peuvent en ressortir... :
« C’est de l’allumage, pur et dur ! »
Des pas dans l’escalier se font entendre, c’est Éric qui descend prendre son petit-déjeuner..., et déjà, Isabelle, malgré la honte, sent son organisme lui jouer des tours... !
Bientôt la suite !
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