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Le jeudi, c'est sodomie

Chapitre 2

Hétéro
La semaine suivante, comme je l’avais prévu, je restais chez moi pour travailler. À peine avais-je branché msn et remarqué le statut déconnecté de celle dont j’avais pris la virginité anale, une semaine auparavant.
Laurie ne l’entendait pas de cette oreille !C’est donc avec surprise que je me suis dirigé à la porte vers 21H lorsque quelqu’un frappa pour signaler sa présence.
J’ouvre donc la porte et tombe sur Laurie à qui je demandais innocemment :
— Tiens, Laurie, qu’est-ce que tu fais là ?
C’est avec un sourire teinté d’ironie qu’elle me répondit :— Jérémy, c’est jeudi, et le jeudi c’est…
— … sodomie, répondis-je doucement pendant que ma belle amante pénétrait sans ménagement dans mon antre, plus que chambre, riant du désordre organisé qui régnait dans mes papiers et de mes habits propres et sales mélangés. Ma chambre d’étudiant n’étant pas bien plus grand que la sienne, elle trouva toute seule le chemin du frigo et sortit une bière chacun.
Elle reprit la parole et me dit sans le moindre tabou :
— Tu sais que j’ai bien aimé ce qu’on a fait la semaine passée... je pourrais rapidement devenir accro !
— Ravi que cela t’ait plu, mais je doute que tu sois venue juste pour parler de cela.
Elle s’était approchée de moi et se lovait maintenant contre ma poitrine
— Non, c’est vrai. Je suis venue chercher ce que tu aurais pu m’apporter ce soir.
— …
— Je me suis toute préparée pour toi, me dit-elle, féline
Après tout, au diable le travail. Je n’allais pas sacrifier des instants de pur plaisir avec une jeune déesse pour quelques heures de travail que je pourrai tout aussi bien réaliser durant la nuit après un shot concentré de caféine !
Ce faisant elle prit ma main et l’invita sur ses fesses que je caressai doucement. Glissant ma main sous son pantalon, je tombai directement en contact avec sa peau douce et chaude. Le bouton et la fermeture éclair tombèrent rapidement, me laissant accès à son entre-jambe.
Je ne sais pas vous mais j’ai comme une attirance pour la peau en haut des cuisses des jeunes femmes. Un plaisir à caresser et un plaisir à embrasser. En quelques secondes, je me retrouvai à genou devant elle, à me délecter de ce plaisir d’esthète. La petite gémissait sous mes caresses buccales à tel point que je du passer mes mains sous ses fesses et la maintenir fermement à 2 reprises pour l’empêcher de s’effondrer.
Mais nous avions gardé tous les 2 en tête la raison de sa visite et Laurie a bien vite repris le contrôle des évènements pour se retrouver en quelques secondes complètement nue devant moi. Il faut dire que sans petite culotte et sans soutien-gorge, l’opération est particulièrement rapide, et agréable à l’œil quand on connait son corps de jeune femme.
Laurie s’allongea donc sur le lit dans la même position qu’une semaine auparavant et notre petit jeu recommença avec quelques précautions moins suivies à la lettre. Il ne me fallu donc que quelques instants pour l’emmancher totalement et commencer des aller-retours marqués sans être violents. Une main en appui, l’autre parcourant tout son corps gracile, nous profitions tous 2 de notre complicité nouvelle. Je surpris même la petite à relever sa fesse de sa main pour faciliter la progression de mon membre.
Durant les quelques dernières minutes de notre rapport, je décidai de modifier légèrement notre position. Il faut dire que l’acte avait suffisamment duré pour rendre accueillant l’étroit conduit de son arrière-train.
Je la fis donc basculer sur le ventre et entamai des pénétrations profondes jusqu’à son orgasme et au mien. Comme la semaine précédente, nous sommes restés quelques instants dans cette position avant que je me retire.
Remis et rhabillés de nos ébats Laurie m’embrassa tendrement et pris quelques nouvelles des travaux que j’avais en cours. Je lui expliquai tout cela de la façon la plus simple possible et elle décida rentrer chez elle pour me laisser travailler. La regardant s’éloigner à travers la vitre, il me sembla bien que sa démarche avait quelque peu changé. Je souris in peto et repris mon activité totalement laissée en plan.
Pendant les semaines qui suivirent, je ne laissais plus aucun travail urgent pour le jeudi soir. Tantôt chez elle, tantôt chez moi, nous avons toujours donné libre cours à nos envies sodomites, jusqu’au jour où elle me donna rendez-vous en ville en milieu d’après-midi.Arrivé à l’adresse, je repérai immédiatement le bâtiment devant lequel elle m’attendait patiemment. Il s’agissait du CIDAG de la préfecture. Laurie m’avait donné rendez-vous devant le centre d’information et de dépistage anonyme et gratuit du SIDA et autres IST... La petite paraissait bien décidée à passer à l’étape suivante de nos rencontres en retirant le petit morceau de plastique qui l’empêchait de profiter pleinement des dernières instants de nos rapports. Elle ne fut pas longue à me convaincre (avais-je vraiment besoin d’être convaincu ?) qu’elle et moi pourrions continuer à avoir des rapports protégés et réserver les rapports sans protection à nos rencontres du jeudi.En tous cas le test fut fait, nous avons poursuivi nos rencontres et, une fois les résultats parvenus un mardi, nous n’avons plus jamais utilisé de préservatif dès le jeudi suivant.
Il faut dire que nous avons trouvé tous les 2 notre compte à cette décision. Laurie adore tout simplement sentir ma semence s’écouler en direction de ses reins. Quant à moi, j’avoue que l’idée même de forcer sa rosette puis de jouir en elle, me met particulièrement en joie.Des fois et particulièrement en ce qui concerne la sexualité, il ne faut pas chercher à comprendre le cerveau humain et savoir profiter de la vie.
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