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Le jeudi, c'est sodomie

Chapitre 3

Hétéro
Ce jeudi là, Laurie chevauchait allègrement mon pénis dressé. J’étais allongé sur son lit et elle me faisait face, mon sexe profondément enfoncé elle. Laurie contrôlait la pénétration au rythme de ses sensations. J’avais tout loisir de caresser ses jambes fines et musclées, un pouce jouant avec son clitoris. De temps en temps, lorsque Laurie se penchait en arrière, ma main se portait sur sa fente offerte et dégoulinante. J’introduisais ensuite un doigt en elle lorsque ses fesses remontaient. J’essayais un deuxième doigt mais son vagin étroit se refermait sur cette tentative de double pénétration lorsque Laurie s’empalait et verrouillait son anus à la base de mon pénis. Depuis plusieurs mois maintenant que nous pratiquions activement la sodomie, son rectum était totalement adapté aux dimensions de mon sexe.
Cette chevauchée sauvage durait depuis à peine 10minutes que nous fûmes interrompus par une personne frappant à la porte de la chambre d’étudiante de Laurie. Nous n’en avons d’abord pas fait grand cas mais l’appel se renouvela, accompagné d’une voie douce et féminine mais qui m’était inconnue.— Laurie, je sais que tu es là. Ton lit fait un bruit de dingue. Tu as la chance que presque tout l’étage est parti à la soirée étudiante !— M*r*e, c’est Christine ! me chuchota ma belle enculée.— Allez, laisse moi rentrer !
À ma grande surprise, Laurie se leva et, nue comme un ver, se dirigea vers la porte qu’elle ouvrit sans plus de cérémonie. Je me retrouvais donc dans la lumière du couloir s’engouffrant dans la chambre et frappant le lit sur lequel j’étais allongé. Pendant quelques instants, j’apparus nu aux regards inquisiteurs de la nouvelle venue.Rapidement, je me levai et couvrait mon intimité turgescente d’un linge jeté au sol, le t-shirt de Laurie, je crois.
— Christine, je te présente mon... ami, Jérémy— Jérémy, je te présente Christine, une... amie. Cette phrase fut bizarrement dite avec la même intonation et hésitation dans la voie.
Pendant ces présentations, Christine n’avait pas retiré son regard de mon entre-jambe. Finalement elle s’approcha de moi.
— Enchantée Jérémy. Laurie m’a beaucoup parlé de son "ami du jeudi". Christine savait très bien faire entendre les guillemets.
Je me retrouvais ainsi, totalement nu et en érection, à faire la bise à une jeune femme rencontré 2 minutes auparavant.Je me rhabillais rapidement d’un jean et d’un t-shirt. Laurie se couvrit d’une chemise de nuit mi-longue, mettant en valeur ses jolis petits seins et s’arrêtant en haut des cuisses, ne cachant pour ainsi rien de son sexe à notre visiteuse.
Nous avons commencé à discuter, à boire un peu. Christine a sorti de quoi rouler une cigarette aux effets récréatifs et qui se mit rapidement à tourner entre nous.Christine était une jolie blonde plutôt grande, sa poitrine était lourde. Elle savait rire et ne s’en privait pas. Sa présence devait être recherchée car elle savait certainement égayée les soirées les plus moroses.Elle était directe dans ses discussions et j’appris rapidement que malgré ses 21ans, elle n’avait connu que des filles depuis qu’elle avait commencé à s’intéresser à la sexualité.
Voulant changer de sujet, je posais ce qui me paraissait une question anodine :— Vous vous connaissez depuis longtemps ?Je vis Laurie devenir rouge écarlate. Christine quant à elle soutenait mon regard lorsqu’elle me dit tout naturellement :— Je suis son "amie du mercredi".Je me tournais vers Laurie qui m’avoua, légèrement mal à l’aise :— Le mercredi, un bon cunni.
Je partis à rire. Christine m’accompagna immédiatement et Laurie nous rejoignit au bout de quelques secondes.Christine reporta son regard sur mon entrejambe :— Dis donc Jérémy, qu’est ce qui te fait un effet pareil ?Laurie et moi baissâmes (avec 2 "s") le regard sur la bosse qui s’était reformée toute seule dans mon pantalon.Christine descendit de sa chaise et s’agenouilla devant moi. Elle entreprit de caresser mon sexe à travers la toile distendue, tout en regardant Laurie :— J’ai envie de te voir faire.Laurie rougit à nouveau mais la situation semblait l’exciter au moins autant qu’elle la perturbait. Elle retira son léger vêtement et se mit à 4 pattes sur le lit. M’invitant ainsi, le cul bien relevé et les reins creusés, je me dévêtis moi aussi.En quelques secondes mon sexe avait retrouvé son emplacement initial dans le long glissement de ses reins. Elle était tellement chaude ! Je pris mon amante aux hanches, je trouvai mon équilibre et entamait à limer Laurie, ouvrant une vue aux limites de l’obscène à notre belle voyeuse.
Tournant la tête, je vis Christine les jambes écartées, la main dans son pantalon, nous observant avec gourmandise.
La situation étant plus qu’excitante, je fis basculer Laurie vers l’avant. Allongée sur le lit, je continuais de la pilonner, m’enfonçant encore plus profondément en elle. Au bout de quelques instants je déchargeais mon sperme dans un râle primitive. Laurie tremblait de plaisir et avait les jambes repliées, tentant à son tour de m’entraîner un peu plus loin en elle.Christine se caressait comme une possédée. Je la vit tendue sur la chaise, la tête rejetée en arrière.
La tension redescendue, nous avons fini la soirée avant de nous séparer.Christine embrassa goulûment Laurie sur la bouche. Elle me gratifia d’un léger baiser volé, déposé au coin de la lèvre et me fit un clin d’œil.
Ce soir là, en rentrant chez moi, j’avais envie de danser.
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