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Jeudi 9 février

Chapitre 1

L accident

Erotique
Je me souviens parfaitement de ce jour, c’était un jeudi. Jeudi 9 février 2006, pour être exact. Je suis chez moi et je viens de passer une excellente nuit avec la ravissante Noémie. Pour ma part, je suis plutôt quelconque, du moins c’est ce que je pense, je me prénomme Arthur, 25 ans, 1m80 pour 75 kg, je fais un peu de musculation donc pas trop de graisse, et à priori mes conquêtes sont satisfaites de mes performances. 
Donc nous sommes le Jeudi 9 février 2006, je me réveille, il est 6 heures du matin, Noémie est là à côté de moi, elle dort. Elle est nue, je ne me lasse pas de regarder les courbes de son corps, qu’elle est belle. Je décide de m’extirper tout doucement du lit, j’ai envie de lui faire plaisir et de lui offrir le petit déjeuner. Je prends donc ma douche rapidement, pour aller à la boulangerie chercher des viennoiseries. Je ne sais pas ce qu’elle préfère, je décide donc de prendre des croissants et des pains au chocolat. Je suis dans la rue sur le chemin du retour, il fait froid, il fait encore nuit lorsque tout d’un coup, j’entends un bruit énorme venant de la rue d’à côté, de la rue où se trouve mon appartement. Je me précipite pour voir ce qui se passe.
En arrivant au croisement de la rue, j’aperçois une Peugeot 208 encastrée dans les voitures garées sur le bas côté, ou plutôt dans ma voiture une Alfa Brera que je viens d’acheter. De la fumée s’échappe du moteur de la Peugeot, sans réfléchir, je cours et j’ouvre le capot moteur pour débrancher la batterie. La conductrice est sans connaissance, un filet de sang coule de son front. J’appelle les secours, leur explique où nous nous trouvons. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, en centre ville et en pleine ligne droite, comment a-t-elle pu perdre le contrôle de sa voiture ?
Après une attente interminable les secours arrivent enfin, suivis de la police. La conductrice est toujours inconsciente, les pompiers la sortent avec difficulté de sa voiture, ils la transportent dans l’ambulance pour lui prodiguer les premiers soins. J’entends un policier : 
   - « Maintenant on va devoir trouver le malheureux propriétaire de l’autre voiture. »
Trop préoccupé par l’accident, j’en avais oublié de regarder ma voiture, c’est seulement maintenant que je me rends compte que mon coupé tout neuf est en partie détruit. Je me retourne alors vers l’agent et l’interpelle :
   - “Bonjour monsieur, c’est ma voiture, …   - Ah, parfait ! Témoin et victime ! Que s’est-il donc passé Monsieur ?     Je lui raconte alors toute l’histoire, du moins ce que je sais, c’est à dire pas grand chose.  - Vous allez venir au commissariat, pour votre témoignage, mais aussi pour rédiger le constat pour      l’accident, me dit il.     - Pardon ? Mais comment voulez-vous que je vienne au commissariat ? lui répondis-je, en lui       coupant la parole. Je n’ai plus de voiture et un simple constat avec la conductrice n’est-il pas plus        adapté ?    - En effet, dans d’autre circonstance, sauf que là, pour l’instant, elle est dans le coma. C’est       pourquoi je vous demande de bien vouloir venir aujourd’hui à 11 heures, dans le bureau de       l’inspecteur Jambon.    - Je n’ai pas trop le choix, je pense. Bon c’est d’accord, je serai là, mais maintenant je peux rentrer       chez moi ou pas ?
    - Oui, c’est bon, nous avons vos coordonnées, vous pouvez y aller.”
Je les laisse donc en plan et me dirige vers l’entrée de mon immeuble sans un regard vers ma voiture. J’ai toujours le paquet de viennoiseries dans la main, lorsqu’en sortant de l’ascenseur je vois Noémie quitter de mon appartement. :
        - “ J’ai cru que tu ne reviendrais jamais, où étais-tu ?    - Je suis allé chercher des viennoiseries. Je voulais juste t’offrir un petit déjeuner au lit.    - Non mais tu te fous de moi ou quoi ? Plus d’une heure à t’attendre alors que la boulangerie est à          moins de 5 minutes à pieds ?   - Laisse-moi t’expliquer, mon cœur, tenté-je de lui expliquer, avant qu’elle me coupe la parole…   - Mon cœur ? J’y crois pas ! Tu m’as abandonnée au bout de la première nuit !”      Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et je l’attrape par la main, je la fait entrer dans      l’ascenseur :   - Mais non, suis-moi et tu vas comprendre, lui ordonné-je.”
Elle ne me parle pas pendant la descente, ni dans le hall d’entrée. Ce n’est qu’une fois dehors, en voyant ma voiture, qu’elle me regarde incrédule. Je lui raconte alors toute l’histoire en remontant dans mon appartement.
    - “Excuse-moi, je me suis emportée pour rien.” 
Elle se jette à mon cou et m’embrasse avec passion. Ses lèvres sur les miennes, sa langue avec la mienne ; on reste comme ça quelques minutes dans l’entrée.
    - “Et les viennoiseries ? lui dis je.    - On s’en fout ! Viens avec moi ! Fais-moi l’amour comme cette nuit.    - Demandé comme ça, je ne peux pas refuser pareille invitation ! ”
Je la regarde dans les yeux, qu’est ce qu’elle est belle. Noémie est une jeune femme de 22 ans, 1m75 pour un peu moins de 60 kg. Elle a une belle poitrine (90C), un ventre plat, des fesses bien galbées. Bref, Noémie est une très belle jeune femme aux cheveux châtain, qui fait rêver plus d’un homme, et c’est avec moi qu’elle vient de passer la nuit. Pendant que je repense à la nuit que je viens de vivre avec elle, Noémie me prend par la main. Je la suis jusqu’à la chambre, elle commence à me déshabiller en enlevant ma chemise et nous tombons sur le lit. Mes mains caressent sa poitrine par dessus son débardeur. Je sens ses seins durcir et sa respiration s’accélérer, je sens des frissons parcourir son corps. Je fais passer mes mains à même sa peau et lui relève son débardeur pour le faire passer par dessus sa tête et détache son soutien-gorge. Je commence alors à embrasser sa magnifique poitrine. Noémie ne reste pas innocente et dégrafe le bouton de mon jean’s. Je suis maintenant en sous vêtement et sa main caresse ma verge au travers de mon boxer. Je remonte ma tête pour l’embrasser. Ma langue joue avec la sienne, une main lui caressant les cheveux, l’autre alternant d’un sein à l’autre. Sa main glisse dans mon boxer pour atteindre mon sexe et commence un lent va-et-vient. Ma bouche descend vers son ventre, je détache le bouton de son pantalon pour le faire glisser vers ses chevilles, il disparaît sur le tas de vêtements qui jonche le sol. Ma main droite parcourt l’intérieur de ses cuisses, sa peau y est si douce. Je laisse ma main s’aventurer vers sa culotte. Je sens la moiteur de son entrejambe. Son string suit le même chemin que son pantalon. Nous sommes maintenant tous les deux nus sur le lit. Elle tient mon sexe à pleine main, il est dur comme de la pierre, alors que moi je tourne autour des ses lèvres avec mon index. Je peux voir des perles de cyprine sur son petit abricot. J’adore ce moment, je décide de diriger ma bouche vers son fruit défendu.
Quelques petits coups de langue sur son clitoris, ses lèvres sont trempées de désir. Nous entamons un 69, Noémie est déchaînée, elle me suce avec avidité. Sa bouche prend mon membre dans toute sa longueur. Elle est allongée sur moi et je me régale de son doux nectar. J’aime son odeur, sa cyprine à un petit goût sucré, je la lape avec gourmandise. Je lui mets un premier doigt, sa fente est si humide, qu’un deuxième, et même un troisième doigt suivent le premier, je la pistonne avec mes doigts. Elle arrête sa fellation pour crier une première fois sa jouissance. Je me redresse et vient l’embrasser une nouvelle fois. Nous sommes tous les deux allongés côte à côte, nous nous embrassons, nos mains caressent nos corps. Elle se met sur le dos et m’attire à elle. Je me positionne au dessus d’elle pendant que ses mains me tirent toujours vers elle. Mon sexe est contre son écrin de plaisir. Son abricot s’ouvre tout doucement et sous la poussée de mon gland, je la pénètre lentement. Mon sexe progresse centimètre par centimètre, mon pubis et contre le sien, je ne quitte pas ses lèvres. Je commence un lent va-et- vient, je l’entends gémir de plaisir, ses yeux brillent comme des étoiles, sa respiration s’accélère.Je décide d’augmenter la cadence et je la prends maintenant sauvagement, mes bourses viennent frapper son anus à chaque poussée. Je prends ses jambes et vient mettre ses pieds sur mes épaules. Nous continuons comme ça pendant quelques minutes. Elle crie son plaisir, des gouttes de sueur perlent sur nos corps.Au bout d’un moment, la position n’étant pas très confortable, je me relève. Noémie se retourne et se positionne à quatre pattes. Je la prends en levrette. Je l’entends hurler de plaisir la tête enfouie dans l’oreiller. Je la pistonne toujours, on est en transe. Mais je ne veux pas finir dans cette position, alors je me retire et m’allonge sur le lit pour qu’elle puisse se baiser elle même. Je l’attire vers moi, elle m’enjambe et vient s’empaler sur mon sexe dressé. Elle est dos à moi et fait aller son bassin d’avant en arrière. Elle hurle une dernière fois son plaisir et je sens son vagin se contracter sur ma verge, cette sensation a raison de moi et je ne peux m’empêcher de jouir à mon tour, je me vide en elle.Nous sommes tous les deux en extase et sans voix. Après quelques minutes :
    - “Ouah, quel pied, c’était trop bon, on recommence quand tu veux.    - Je suis tout à toi ma belle, attends juste un moment que je me remette d’aplomb.      Je regarde machinalement mon radio réveil.    - Merde, déjà 10h30, je dois être au commissariat dans 30 minutes !      Je me lève en vitesse pour prendre ma douche, enfile des vêtements propres.       - Noémie, tu peux rester à l’appart si tu veux, je te laisse un double, il faut que je file au        commissariat pour l’accident de ce matin.   - Pas de soucis, si tu me promets d’être aussi bon que ce matin, je t’attends.   - Mais bien sûr, bisous à tout à l’heure.
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