J’ai le torse recouvert de sperme chaud, le mien et celui d’Hervé. Guy est toujours en moi je sens son sexe ramollir. Il m’a fait jouir comme jamais je n’ai joui auparavant mais sa présence dans mon cul au moment d’éjaculer fut un mélange étrange de douleur et de plaisir. Guy se retire doucement et je dois bien admettre que ce n’est pas très agréable. Mon anus se contracte autour de sa queue au fur et à mesure qu’il se retire. Je ne bande plus. Quand Guy ressort complètement, j’ai l’impression que mon anus se ferme totalement, c’est une sensation étrange entre douleur et plaisir. Je suis partagé entre satisfaction et honte. Mon excitation est retombée d’un coup et je me sens sale. Je sors de la chambre et file sous la douche. Je nettoie soigneusement chaque partie de mon corps puis je ressors pour m’essuyer. La chaleur de cet été fait que je sèche très vite et je reviens, nu, dans le salon. Hervé et Guy se sont rhabillés et ils boivent un café. Je m’en sers un et les rejoins. Hervé me complimente sur mon joli petit cul et mes nouvelles compétences. Il me dit que je ne suis plus une pucelle. Je suis gêné mais au final, j’en rigole. A ce moment là, si je dois faire un bilan de ma journée, je dirais que le jeune hétérosexuel de 19 ans que je suis vient de franchir une frontière avec les encouragements de sa copine. Je me suis fait enculer par mon pote pendant que je suçais son mec. C’est une chose à laquelle je n’avais pas vraiment été préparé mais je dois bien admettre que j’y ai pris du plaisir. Il est 17h00 quand Hervé nous quitte et la journée se termine tranquillement à bouquiner chacun dans son coin. Guy lit le journal et moi, je n’ai d’autres choix que de continuer ma lecture des romans photos pornos. Ces images me ramènent à mes souvenirs tous frais de mon dépucelage anal et, bien sûr, je bande. J’y vois un homme se branler. Il finit par jouir sur lui puis il ramasse son jus avec ses doigts pour ensuite les porter à sa bouche. Il avale tout. Je me dis que j’aurais aimé faire ça cet après-midi quand j’étais recouvert de sperme mais mon excitation étant retombée, l’envie n’y était plus. Dans toutes nouvelles expériences, il y a souvent une part de frustration en se disant : ha si j’avais fait comme ça. Mais je me console en me disant que mon initiation n’est pas achevée. Nous mangeons vers 20h sans trop parler. Nous regardons un film sans intérêt et nous allons dormir. Guy me dit qu’il laissera mon petit cul tranquille mais qu’il aimerait bien une petite pipe avant de dormir. J’accepte volontiers et commence à le branler. Ma langue vient très vite rejoindre ma main et je gobe la bite mole de Guy. Je sens son gland durcir dans ma bouche. Je peux avaler sa bite en entière car il ne bande pas encore franchement donc j’en profite. Il apprécie, je l’entends et surtout, je le sens grâce à son sexe qui grossit. Je suis fier de le faire bander. Je lèche son sexe sur toute sa longueur. Ça lui donne des frissons et à moi aussi. Je lèche ses couilles en le branlant et il adore ça. Ma langue remonte jusqu’à son gland et je la fais tourner autour. J’avale sa bite au maximum et je fais des mouvements de va et vient avec ma tête pendant quelques secondes puis je la ressors et continue de lécher. La bite de Guy est totalement trempée de ma salive. Je suis excité de lui faire autant d’effet, je me branle en le suçant. Il me dit que je suis une bonne suceuse, une petite salope, je prend ça comme un compliment, ça m’excite encore plus. J’alterne entre succions et léchages tout en le masturbant. Il me regarde faire et j’aime qu’il me voit ainsi. Je me branle en même temps mais je suis obligé de freiner un peu mon plaisir car j’ai peur de jouir trop vite et ne plus avoir envie de quoi que ce soit ensuite.
Je me dit que je dois dépasser ce stade pour ne plus jamais ressentir cette frustration que j’ai eu cet après-midi en lavant tout ce sperme au lieu de le lécher. Ma main s’active sur ma bite alors que celle de Guy est dans ma bouche. Je sens mon plaisir monter et le sien aussi. Je lui masse les couilles, les lèche. Ma langue se fait curieuse sur l’ensemble de son membre devenu très dur. Je pompe sur son gland avec ma bouche. Je le titille du bout de ma langue. Mes mains sont occupées à nous branler tous les deux. J’ai très envie de jouir mais j’ai peur de vivre ça comme une finalité et ne plus avoir envie de sa bite après. Il faut que j’ôte ce doute de ma tête donc je ne réfléchis plus. Je continue à me branler plus rapidement tout en le suçant. Une envie de jouir sur sa bite me prend et ne me quitte plus. Je me redresse et vient poser ma bite sur la sienne. Je branle nos deux bites en les serrant l’une contre l’autre. Je suis terriblement excité et visiblement, Guy aussi. Je joue à ce petit jeu en fixant Guy d’un regard défiant. C’est certainement ma jeunesse qui fait que je lâche prise en premier et certainement cette envie folle de jouir sur son sexe. Je décolle ma bite de la sienne et j’éjacule copieusement sur Guy. Sur le moment, j’ai l’impression d’évacuer le restant de sperme qui n’avait pas réussi à sortir l’après-midi à cause de la bite de Guy dans mon cul. Cette jouissance sonne comme une libération mais je dois agir vite si je ne veux pas que mon excitation retombe. Je ne dois pas réfléchir et agir très vite. Les couilles et la bite de Guy sont maculés de mon sperme. Je lèche ses couilles sans plus attendre. Je les nettoie, j’adore ça et suis bien obligé d’admettre que j’apprécie de plus en plus le goût du sperme. J’ai lécher et nettoyer les couilles de Guy sous son regard attentif. Mes yeux sont rivés dans les siens quand j’attrape sa bite poisseuse et l’enfonce dans ma bouche. Je la suce longuement et goulûment. Elle a un bon goût de sperme, je m’en régale. Je suis soulagé de constater que mon excitation, au lieu de diminuer, s’est accentuée. Je n’ai maintenant plus qu’une seule envie, c’est de faire jouir Guy. Je m’applique du mieux que je peux. Je lui fais ce que j’aime qu’on me fasse en pareille circonstances. C’est à ce moment que je réalise qu’il n’y a pas mieux qu’un homme pour donner du plaisir à un autre homme. La connaissance du corps et le ressenti y sont pour beaucoup. Je suce Guy et il aime ça donc je dois sûrement mériter ses flatteries obscènes auxquelles je ne prête plus vraiment d’attention. Sa bite n’a plus goût de sperme et ce goût me manque, j’en veux encore. Nos regards sont figés l’un dans l’autre. J’ai le gland de Guy en bouche et je le branle avec ardeur. Guy ne tient plus, je le voit. Son bassin ondule de plaisir, moi, je n’ai qu’une envie, c’est qu’il inonde ma bouche. Je continue à le fixer d’un regard gourmand et mes efforts sont enfin récompensés. Guy éjacule dans ma bouche. C’est chaud, j’adore ça. Je suis fier d’aimer ça. Je garde son jus comme un trophée et ouvre ma bouche pour lui montrer comme il m’a bien rempli. Je joue avec son sperme sur ma langue comme le fait parfois ma copine, je trouve ce jeu très excitant à regarder et je me plais à exciter Guy en lui offrant ce petit spectacle. J’aime le goût du sperme de Guy, il n’a pas tout à fait le même goût que le mien. Je le fais tourner sur ma langue quelques secondes puis l’avale. Je m’applique ensuite à sucer sa bite pour la nettoyer et avaler le reste de sa semence. Une fois mon travail terminé, la bite de Guy s’est ramolli. Il me gratifie de quelques mots crus dont il a le secret puis d’un bonne nuit et me tourne le dos pour s’endormir très vite. Je trouve ça macho mais n’en attendais pas plus. Je m’imagine mal m’endormir dans ses bras. J’aime le sexe avec les hommes mais n’éprouve aucune attirance affective donc le côté bisous/câlins ne m’attire pas du tout. C’est pour cela que l’attitude de Guy après que je l’ai sucé m’arrange et me permet de m’endormir également très vite.