Ma vie de jeune hétérosexuel a chaviré. En couple depuis plus d’un an avec ma copine et vivant pleinement notre amour, nous avons décidé d’explorer autre chose dans notre vie sexuelle. Malgré qu’elle soit loin de moi pour cette saison estivale, notre envie commune s’est révélée... comme une évidence. J’ai franchi le pas de l’homosexualité. J’ai sucé deux hommes et goûter leurs semences, je me suis même fait sodomiser. C’est une chose à laquelle j’avais déjà pensé mais sans chercher à la provoquer. J’ai franchi ce pas, j’en suis ravi et j’ai hâte d’en parler avec ma copine. D’ailleurs, ma copine, elle doit avoir bien des choses à me raconter, elle aussi. Si les choses se sont déroulées comme elle l’espère avec son collègue homo, ils ont dû s’amuser un peu aussi. Autant je redoutais qu’il y ait quelque chose entre eux avant que, maintenant, j’espère qu’il se soit passé des choses. Toujours est-il que je ne me sens pas coupable des événements. Je n’ai aucune sensation de trahison envers ma copine. Je n’ai pas le sentiment de l’avoir trompée et s’il s’est passé des trucs entre elle et Pierre, je ne lui en voudrais pas. Toutes ces pensées me sortent de mon sommeil en ce jeudi matin. Je me réveille, je bande à moitié. Guy est sous la douche donc je reste au lit en attendant que la place soit libre. J’ai encore un vague goût de sperme dans la bouche et j’aime assez ça. Guy ressort nu de la salle de bain. Il me regarde en s’habillant. Je prend le relais et file dans la salle de bain. Mes premiers pas me rappellent à l’ordre. J’ai mal au cul. Mon anus a un peu souffert ces derniers temps. Le jet de la douche soulage un peu ma douleur. Une fois lavé, je me sèche et reste nu, comme convenu. J’arrive dans la cuisine, Guy boit son café et m’en a servi un. Nous buvons en silence puis discutons de mon ressenti sur les événements de ces derniers jours. Je sens que Guy a besoin d’être rassuré à mon égard concernant le rythme auquel vont les choses nouvelles dans ma vie sexuelle. Je lui confie avoir quelques douleurs anales et il me conseille une pommade apaisante qu’il va chercher dans son armoire à pharmacie. Nous parlons sexe entre hommes alors que je suis nu devant lui et je ne suis absolument pas gêné. Il m’avoue être heureux de la tournure des choses et de l’entente qui s’est installée entre Hervé et moi. Il est pratiquement 11h et Guy doit partir faire des courses pour la discothèque où nous travaillons. Je dois l’accompagner donc, je vais devoir m’habiller. Avant toute chose, Guy me propose de m’appliquer sa pommade miracle, j’accepte. Il me plaque doucement sur la table, les fesses offertes. Il s’assoie derrière moi et me masse l’anus avec ses doigts enduits de pommade. C’est un peu douloureux mais pas forcément désagréable, surtout quand il rentre un doigt dans mon petit trou. Les courses nous prennent une bonne heure et demie puis nous filons à la discothèque. Guy range tout son stock en réserve et fait le plein de ses frigos. Moi j’écoute les nombreux disques reçus à titres promotionnels comme il y en à chaque semaine. C’est notre routine du jeudi. A un moment, je sens une présence derrière moi. C’est Guy. Il est entré dans ma cabine sono et a sorti son sexe. Il me dit qu’il aimerait beaucoup que je le suce ici. Nous ne sommes que tous les deux à la discothèque donc, pourquoi pas. Je m’agenouille devant lui et enfouis sa bite dans ma bouche. Elle durcit en moi. J’adore son goût. Je la lèche avec gourmandise. Je pompe cette bite avec passion. Je suis de plus en plus habile pour lui donner du plaisir. Son excitation est visible et j’en joue. Il y a du bruit dans l’entrée de la discothèque, nous stoppons nos ébats. Guy remet son pantalon en place et moi je retourne à mon tri de disques. Le patron entre dans la salle. Il n’a rien vu. Guy ne parle pas de son homosexualité à la discothèque et je me demande même si le patron est au courant. Quant à moi, toute l’équipe sait que je suis hétéro. Nous échangeons quelques banalités ainsi que quelques idées sur des animations futures puis l’heure tourne, bientôt 18h30, nous partons. Dans la voiture, nous éclatons de rire tout en étant soulagés de ne pas avoir été vus. Je masse le short de Guy, sa bite me fait envie. J’ouvre son short alors qu’il conduit et je le branle. Guy ralentit et tourne dans un bois. Il arrête la voiture et recule son siège. Je vais pouvoir reprendre là où je m’étais arrêté. Je détache ma ceinture de sécurité et m’agenouille sur mon siège. Je me penche vers Guy et le suce. Il appuie sur ma tête pour me donner le rythme et je le laisse faire. Il me baise la bouche et je n’ai plus trop de difficulté à enfouir sa bite au fond de ma gorge, j’apprends vite. Je suis terriblement excité qu’il me traite comme ça, je m’aperçois que j’aime être soumis. Il me pilonne la bouche de plus en plus rapidement. Il comprime ma tête entre ses mains. J’ai mon nez dans ses poils mouillés par ma salive et son gland tape dans ma gorge. Il commence à grogner de plaisir en me traitant de petite salope, j’adore ça. D’un coup, il explose en moi et je sens son liquide chaud couler directement vers mon estomac. Il reste figé en moi de longues secondes, j’étouffe à moitié. Il relâche son emprise et je nettoie sa bite avec ma langue gourmande. Il me félicite sur mes talents grandissants et nous reprenons la route. Nous arrivons chez Guy et nous trouvons un mot sous la porte. C’est Hervé qui nous invite à manger chez lui ce soir. Nous l’appelons pour confirmer et nous repartons pratiquement aussitôt car il y a un peu de route.