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Le jeune étalon et les bourgeoises.

Chapitre 3

Sabine

Trash
Mélinda, la vendeuse de lingerie à domicile dont la clientèle se composait exclusivement de femmes libertines et fortunées m’avait prêté à Sabine, une de ses clientes particulièrement perverses, adepte entre autre de zoophilie et de domination.
Sabine, la belle quadragénaire brune et autoritaire m’avait donc conduit dans son coupé BMW jusqu’à sa luxueuse demeure située dans la proche banlieue ouest de Paris.
Après avoir garé sa voiture dans le jardin de la propriété, elle m’avait emmené en me tenant en laisse jusqu’à la porte de sa magnifique demeure, où une jeune africaine aux formes opulentes et rebondies vint nous ouvrir. La servante était vêtue d’une livrée de soubrette, de bas blancs brillants, d’un porte-jarretelles assorti et de sandales noires à talons très hauts et large bride autour de la cheville.
Sabine s’adressa avec autorité a à son employée:— Fatou, je te présente David, la dernière trouvaille de Mélinda. Ce jeune étalon est mieux monté et beaucoup plus endurant que Sullivan déclara-t-elle. Je te le confie pour que tu le prépares à nos jeux érotiques. Il est à nous pour toute la nuit.
Fatou passa sa langue sur ses lèvres, prit la laisse tendue par sa patronne et me conduisit à l’étage dans une grande chambre au mobilier digne d’une salle de torture. Elle m’aida à me dévêtir et poussa un cri admiratif en découvrant mon cep aux veines saillantes. — Ta queue est vraiment magnifique me dit-elle en attrapant mon manche pour me me mener dans l’immense salle de bain. Je vais te laver, huiler ton corps et graisser ton cul pour ce soir. Madame voudra sûrement te sodomiser avec son gode ceinture.
Fatou défit mes bracelets et je me retrouvai entièrement nu. Elle retira ensuite sa livrée se retrouvant en bas, porte-jarretelle et hauts talons.
En découvrant son corps aux formes opulentes et son minou soigneusement épilé, je me mis à bander.— Mon dieu! s’écria t’elle en voyant ma poutre déployée. Quel monstre! — Ta bouche est très large ma belle. Tu vas pouvoir la remplir de ma queue.Fatou s’agenouilla entre mes jambes et m’emboucha aussitôt.C’était une suceuse extraordinaire et il ne lui fallut que quelques minutes pour me faire éjaculer. Elle avala tout mon jus avec avidité mais ne put s’empêcher de pousser un cri de surprise après avoir recraché mon dard en constatant qu’il était toujours aussi raide et volumineux.— C’est incroyable. C’est la première fois que je vois une queue aussi dure après que je l’ai sucée. — C’est pour ça que je vais te prendre en levrette maintenant ravissante salope, répondis-je en l’aidant à se mettre à quatre pattes avant de m’enfoncer dans sa chatte large comme un bras en agrippant ses grosses fesses rondes.— Que c’est bon! gueula t’elle. Ça faisait longtemps que je n’avais pas été aussi si bien remplie.-Je suppose que tu dois te faire saillir par les chevaux de ta maîtresse lui dis-je alors qu’elle commençait à gémir sous mes coups de boutoir.
Fatou ne répondit pas mais me révéla néanmoins que sa patronne la baisait régulièrement avec ses énormes godes ceintures.

— Je comprends maintenant pourquoi ta chatte est si large et profonde pour que j’aie pu y enfiler l’intégralité de ma poutre sans réelle difficulté. — J’ai toujours été très large, avoua l’employée de maison entre deux soupirs, et ton calibre si épais me procure des sensations rares.
Couché sur Fatou, j’accélérai alors le rythme et elle se mit à gémir bruyamment jusqu’à ce qu’elle hurle en jouissant intensément.
Nous reprenions à peine nos esprits lorsque la porte de la salle de bain s’ouvrit brusquement. Je levai la tête et découvris Sabine qui nous fixait, immobile sur le seuil. La maîtresse de maison, outre des bas nylon noirs à couture et des escarpins vernis à talons aiguilles était vêtue d’une jupe évasée et d’un chemisier noir et transparent dévoilant ses volumineux seins siliconés.
Je remarquai la cravache qu’elle tenait à la main lorsqu’elle s’avança vers moi avec un rictus de carnassier.
Perturbé par ce comportement quelque peu inquiétant, je pris appui sur mes paumes et me redressai d’un coup extirpant ma queue toute raide du large vagin de Fatou. Puis je sautai hors du lit me retrouvant debout face à mon hôtesse. Sabine s’avanca vers moi et promena le bout de sa cravache sur mon gland turgescent.Ses yeux brillaient d’excitation tandis qu’elle levait le bras et alors qu’elle s’apprêtait à me frapper, j’attrapai le bout de la cravache en cuir et tirai d’un coup sec ce qui déséquilibra Sabine et lui fit lâcher sa trique.
J’accompagnai aussitôt la chute de la femme et arrachai d’un geste sa jupe dévoilant son minou aux grosses lèvres rosées. Elle voulut crier mais je la giflai et alors qu’elle me regardait stupéfaite, j’attrapai ses fesses nues et plantai d’un coup dans sa chatte ma queue qui avait raidi d’un coup. Cette garce était tellement excitée que mon dard glissa avec facilité jusqu’à sa matrice.
— Alors salope, je vois que tu n’es pas encore tout à fait aussi large que Fatou. C’est ton jour de chance. Je vais tellement t’aléser que ton poney ne touchera plus les bords quand il te baisera.Elle me jeta un regard noir:— Tu crois m’impressionner salopard! Hurla t’elle avant de libérer son bras droit pour me gifler avec force. Furieux, je ne lâchai pas un mot, mais j’attrapai aussitôt ses poignets que je serrai fortement. Lorsque des larmes d’impuissance apparurent au coin de ses yeux, je me mis à la limer comme un mort de faim. Sabine avait cessé de se débattre et serrait les dents alors que je lui écartelais peu à peu la chatte avec mon pieu qui n’avait jamais atteint de telles proportions.
Tétanisée, Fatou me regardait démonter consciencieusement la moule de sa patronne. Peu à peu, les chairs intimes s’ouvraient laissant mon pieu progresser plus facilement. Sabine avait desserré les dents et la tête renversée en arrière, elle gémissait sous mes coups de boutoir. J’avais maté la bourgeoise et je l’amenais peu à peu vers l’orgasme. Elle respirait de plus en fort et finit par se tendre comme un arc en jouissant avec une force incroyable. Les contractions de son vagin provoquèrent instantanément mon éjaculation et mon dard se mit à tressauter un long moment en déchargeant le contenu de mes couilles dans son ventre.
Inquiète de la tournure prise par les évènements, Fatou avait récupéré sa robe de soubrette et avait quitté la pièce sans demander son reste. Sabine me fixait désormais avec un œil noir tandis que je lui maintenais fermement les bras. Je contrôlais mon érection pour que mon tenon continue à la clouer sur le sol.— Tu ne débandes donc jamais! s’écria t-elle d’une voix pleine de rage.— Je débanderai si tu me promets de ne pas me sauter au visage comme une tigresse lorsque je te lâcherai.
Elle éclata de rire. — Ok tu as remporté le premier round. Je me retiendrai.
Lorsque nous fûmes debout je la pris par le cou et j’attirai violemment sa bouche contre la mienne. Puis j’attendis qu’elle veuille bien glisser sa langue entre mes lèvres. Ce qu’elle finit par faire. Nous echangeâmes alors un baiser torride et je la repoussai doucement avant qu’elle décide de me bouffer l’intérieur de la bouche.
Alors que Sabine me regardait telle une lionne avant son festin, je m’adressai à elle sur un ton circonspect:— Fatou m’a dit que tu voudrais sans doute m’enculer avec un gode ceinture.— En effet, Édouard mon époux adore me regarder sodomiser de jeunes mâles ou femelles soumis. Et j’ai bien ce projet en tête pour toi répondit elle franchement. — Ça ne m’inspire pas beaucoup avouai-je, mais pourquoi pas si tu acceptes de te faire enculer par un de tes chevaux devant moi. Un léger trouble parcourut le visage de la bourgeoise.— Et je ne te parle pas de ton poney ajoutai-je. Je veux voir la bite d’un pur sang arabe fouiller ton cul jusqu’à ce que tu t’évanouisses.
Pendant que la femme me fixait avec intérêt, je continuai à la questionner :— tu as vraiment des pratiques sexuelles très spéciales. Ça t’a vraiment fait mouiller de faire en sorte qu’on me livre ton amie Lucie pour l’engrosser n’est ce pas ? — En effet, comme j’ai aimé que tu me prennes de force avec ta bite de cheval. Seul Sullivan, mon poney chéri, m’avait fait jouir aussi fort que toi.
Je regardai mon hôtesse d’un air satisfait avant de répondre:Je te baiserai donc devant Édouard et je lui proposerai de faire de toi ma pute soumise.
De nouveau, elle fut troublée et elle quitta la pièce. — Demande à Fatou de me rejoindre! m’exclamai-je avant qu’elle disparaisse.
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