Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 98 J'aime
  • 2 Commentaires

Le jeune étalon et les bourgeoises.

Chapitre 4

Sylvie 1/2

Trash
Je venais de me lever. Il était un peu plus de 10:00. Après ma douche, je pris le temps de me connecter sur les quelques sites de rencontres sur lesquels j’avais créé des comptes.
Le premier message qui retint mon attention avait été envoyé par Sylvie, brune de 40 ans au joli visage, à la taille fine, et dotée de gros seins et de hanches généreuses. La femme mariée souhaitait rencontrer avec l’accord de son mari un étalon endurant à la queue longue et surtout très large car le couple fantasmait beaucoup sur les scènes de dilatation extrême.
Comme Sylvie était en ligne, j’entamai un tchat avec elle. Après m’être présenté, je lui demandai ce qu’elle recherchait exactement.Sylvie m’expliqua que son mari aimait qu’elle s’exhibe et qu’il désirait l’offrir à d’autres hommes car il pensait que sa queue n’était pas assez épaisse pour la faire jouir intensément. Ils en avaient parlé ensemble et ils avaient décidé qu’elle devrait désormais être prise en main et soumise par un mâle vigoureux avec un énorme calibre. Les mensurations demandées étaient compatibles avec celles de mon braquemart.
Le couple voulait, dans un premier temps, que le candidat retenu vienne baiser Sylvie devant son mari et si celui-ci était satisfait de la prestation, sa femme se soumettrait ensuite à l’étalon.
Ma conversation virtuelle avec la bourgeoise fut agréable et très excitante et à sa demande, je lui envoyai plusieurs photos de ma queue dressée. La belle blonde s’avéra très impressionnée et me demanda de me connecter le soir vers 17 heures après le retour du travail de son mari.
Je vaquai donc à mes occupations de la journée et à 5 heures de l’après midi, je me rendis à nouveau sur le site libertin.
Dès que je fus connecté, je reçus un message de bienvenue de la part de la quadragénaire.— Bonsoir David, commença t’elle. Je suis à côté d’André, mon mari. Nous trouvons ta candidature intéressante et je me suis même caressée cet après-midi en pensant à notre échange de ce matin. Je passe le clavier à André; à partir de maintenant, c’est avec lui que tu vas dialoguer.
— Salut David! écrivit le mari. Sylvie est toute excitée depuis qu’elle a échangé avec toi et reçu tes photos. Tu as un sacré morceau entre les jambes dis-moi. Est-ce que tu as déjà soumis une femme mariée ?— Non, avouai-je. Mais l’idée me trotte dans la tête depuis quelque temps et jusqu’à présent aucune bourgeoise bandante comme la tienne n’ont regretté de m’avoir rencontré. Sans me vanter, elles auraient plutôt tendance à devenir accro à ma grosse bite. Sylvie est une belle pouliche et je pense qu’elle sera un bon sujet d’étude pour un jeune maître étalon.— Ouais... confirma le type. Nous avons tous les deux envie que ma femme devienne une bonne salope accro aux grosses queues.
J’expliquai alors mon plan au mari. — C’est pourquoi, dans un premier temps et comme tu le souhaites je vais venir chez vous pour baiser et enculer Sylvie devant toi. Tu pourras ainsi juger de visu si le service fourni est à la hauteur de vos attentes.
— Ça me plaît bien, déclara le gars, et tu fais sacrément mouiller ma salope blonde avec ton scénario.— Ça ne m’étonne pas, dis je, tu as décroché le gros lot avec elle. Et je serai ravi de la soumettre.— Comment vois-tu la suite des opérations? demanda André.
Je pris le temps de réfléchir avant de répondre.— c’est un peu tôt pour parler du dressage de Sylvie. Je pense que lorsque nous aurons fait connaissance, si il y a un bon feeling entre nous trois, il pourrait être utile que tu me confies ta femme pour un weekend d’initiation. — Continue... insista André. — je n’ai pas oublié que vous fantasmez tous les deux sur la dilatation extrême. Mon but final, c’est que lorsque j’aurai fait ma part du boulot, Sylvie sera tellement large et élastique qu’ elle pourra s’enfiler simultanément trois énormes bites dans le con et le cul et surtout qu’elle en redemandera.
J’attendis une réponse qui ne vint pas. -C’est bien ce que vous souhaitez tous les deux n’est-ce pas? conclus-je.— En effet admit André, et si tu voyais Sylvie, tu comprendrais qu’elle en rêve; elle coule littéralement tellement sa chatte est trempée.— Ça se présente plutôt bien alors. Vous réfléchissez à ma proposition et si vous êtes prêts à sauter le pas, vous m’envoyez une invitation. — Ok on va en discuter. Sylvie tchatera avec toi demain matin.
Je n’avais pas débandé pendant tout l’échange et poutant je m’interrogeais:"Ai-je vraiment envie de me lancer dans cette aventure?Sylvie souhaite t-elle réellement être soumise ou bien s’est elle simplement résolue à cette expérience pour satisfaire son époux.Et puis aurai-je la force et la volonté de remplir ma mission jusqu’au bout ?".En effet, jusqu’alors, je m’étais contenté de me plier au bon vouloir de bourgeoises joueuses trop heureuses de disposer d’un sextoy sur pattes. Mes initiatives lors de ces relations débridées étaient réduites à la portion congrue. Tout juste me permettais-je de remettre un coup de gaz si je sentais que l’étreinte faiblissait.
Je ruminais ces pensées tout en traînant sur Internet jusqu’à ce que j’aterrisse par hasard sur un Forum anodin où je pus m’épancher avec des inconnus jusqu’au bout de la nuit.Au cours de cette soirée, je passai pas mal de temps à converser avec Obi-LovU, un séducteur septuagénaire aux multiples conquêtes, et avec la Marquise, une jeune redresseuse de torts virtuels, accessoirement adepte du fist fucking.
Même si ces lieux d’échanges sont d’un conformisme déprimant avec leurs victimes expiatoires, leurs donneurs de leçons, leurs snipers, leurs opportunistes, leurs bouffons ordinaires et leurs inévitables pervers narcissiques, on peut parfois en extraire quelques réflexions bienvenues. Et même si ces dernières furent insuffisantes pour m’éclairer sur le comportement à tenir avec Sylvie et son mari André, elles me permirent de trouver un sommeil réconfortant avant mon aventure du lendemain qui allait inévitablement apporter un certain désordre au confort que j’avais construit en jouant les étalons de service pour bourgeoises libertines.
Le lendemain, je débutai ma journée vers 9:30 par un copieux petit déjeuner. Puis je me connectai sur le site pour entamer une nouvelle discussion avec Sylvie, la femme en recherche d’un maître étalon.
Quelques minutes plus tard, je reçus un message instantané.— Bonjour David, bien dormi ? avait demandé Sylvie.— Bonjour belle soumise répondis-je.Pas trop mal, même si j’ai beaucoup réfléchi à notre entrevue d’hier. Qu’en a pensé André ? Quand veut-il que je te baise devant lui?La réponse ne tarda pas:— Il est très chaud et souhaite que ce soit le plus tôt possible. Il m’a dit qu’il peut se libérer cet après midi si tu es disponible.— Parfait!
J’avais déjà réfléchi à ce que je demanderais à Sylvie si le couple souhaitait tenter le coup avec moi.
J’exposai donc mes exigences. — Voilà ce que tu vas devoir faire ce matin pour me prouver que tu es une bonne salope obéissante. Elle ne s’offusqua pas de mon ton se contentant de me faire part de sa totale disponibilité. — Je t’écoute. — Tu vas mettre ta tenue la plus provocante et tu iras au supermarché du coin acheter un concombre, des courgettes et des aubergines. Tu les choisiras bien sûr de taille respectable. D’autre part, tu demanderas aussi à ton homme de venir me récupérer à 13:30 à la gare. — Très bien David. Quels vêtements veux tu que je porte pour faire les courses? — Je suppose que tu as des bas et des porte jarretelles ainsi que des talons aiguilles.— Oui! André m’en a offert à plusieurs occasions.— Est ce que tu as des jupes courtes et fendues? — Oui j’en ai une grise d’aspect satiné fendue sur les côtés.— Très bien et as-tu des vestes sexys? — Je ne sais pas. J’ai une veste en imitation fourrure sans manche. — C’est impeccable. Tu vas donc mettre des bas à couture et un porte-jarretelles noir, ta jupe fendue tes talons aiguilles et la veste.— C’est tout demanda t’elle?— Oui rien sous la veste et pas de culotte. Je te laisse te préparer. Tu m’envoies une photo dès que tu es en tenue afin que je puisse juger si tu fais assez salope pour sortir.— Ok David, répondit elle conciliante.
Un quart d’heure plus tard je recevais une photo très prometteuse. Je confirmai à Sylvie qu’elle était bandante à souhait et lui demandai de garder la veste bien ouverte pour qu’on puisse mater ses nichons sans trop de difficultés lorsqu’elle serait dehors. Je lui recommandai aussi de se maquiller et de vernir ses ongles avant de sortir.
#########
J’étais assis sur le banc de l’abri-bus et j’attendais le mari de Sylvie. Pour l’occasion, j’avais enfilé ma tenue de macho décontracté:Je portais des bottes de vacher en cuir marron, un pantalon slim et une veste en jean délavé. Rien d’autre. Ma queue épaisse pendait le long de ma jambe gauche bien visible dans mon jean moulant. Mon gros gland formait une bosse obscène au milieu de ma cuisse.
Une bourgeoise pas trop mal conservée se dirigeait vers l’arrêt de bus. Elle aperçut mon engin et devint rouge comme une pivoine avant de stopper sa marche . Je décidai de m’amuser un peu:— Je vous en prie madame lui dis je. Venez vous asseoir sur le banc. Il reste de la place.— Ça ira merci, me dit elle d’une voix blanche.
J’avisai alors la voiture d’André qui entrait sur le parking de la gare. Je lui fis un signe et il stoppa pour me permettre de le rejoindre. Il m’ouvrit la porte et je m’assis à la place passager en écartant les cuisses.
André m’examina quelques secondes voulant sans doute s’assurer qu’il ne s’était pas trompé en faisant appel à moi. Puis, il finit par mater mon entrejambe. Son regard s’arrêta sur l’énorme cylindre qui déformait mon pantalon. — La vache! quel braquemart! lâcha t’il tout rouge. Il est encore plus impressionnant en vrai qu’en photo. — Ma queue devrait plaire à Sylvie tu crois pas répondis je.— Oui sûrement... balbutia t’il.— Et à toi aussi on dirait... dis je d’un air sérieux. Tu veux la voir ?
Il démarra sans répondre. Lorsque nous eûmes parcouru quelques kilomètres sur la route, je renouvelai ma question.— T’as envie de voir ma grosse queue pas vrai? Peut-être même de la sucer?
Le gars était en sueur et je pus constater qu’il s’était mis à bander.Estimant mon chauffer dans de bonnes dispositions, je défis les boutons de mon jean pour sortir ma matraque. J’avais moi aussi un début d’érection et mon manche s’était épaissi. Je commençai à me branler lentement. Le gars n’en pouvait plus de mater ma tige.
— Tu connais sûrement un coin tranquille pas loin, je lui dis.— Oui admit t’il.— Alors Tu vas y aller. Il ne tarda pas à prendre une petite route et à se garer derrière un vieux bâtiment abandonné. Après avoir retiré sa ceinture de sécurité, il approcha sa main de mon paquet mais je l’arrêtai:— On n’est pas à égalité toi et moi. Tu vas d’abord sortir ton asticot de ton futal. Il s’exécuta fébrilement. Je jetai un coup d’œil à sa bite et je lui dis.— Tu peux prendre ma matraque en main maintenant. Ça va te changer de tes habitudes.
Il saisit alors ma tige à la base et constata qu’il ne pouvait en faire le tour avec ses doigts. Il hésitait avant de m’emboucher et je posai ma main gauche derrière son cou pour le forcer à se pencher. Ma poutre était déjà bien déployée. Il manifesta une légère réticence mais finit par engloutir, avec quelque difficulté, mon énorme gland entre ses lèvres. Puis il se mit à me sucer maladroitement éprouvant un haut de cœur à chaque fois que mon pieu cognait contre le fond de sa gorge. Mais le mari de Sylvie était trop content pour s’en inquiéter. Il était visiblement ravi de me branler tout en me suçant.
Excité par la situation j’attrapai la tignasse de l’homme et me mis à baiser sa bouche. Il me fallut deux minutes de plus pour juter au fond de sa gorge. André essaya d’avaler ce qu’il pouvait mais ne put empêcher une bonne partie de mon jus de couler sur son menton.Je constatai alors qu’il venait lui aussi de lâcher la purée et de tout envoyer sur son pantalon.
Diffuse en direct !
Regarder son live