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Le jeune étalon et les bourgeoises.

Chapitre 5

Sylvie 2/2

Trash
Je me trouvais dans la voiture d’André qui me conduisait à son domicile où j’étais attendu pour baiser Sylvie, son épouse, et vérifier par la même occasion, si j’avais les compétences pour faire d’elle ma soumise.
Sur la route, nous nous étions autorisés une petite halte afin qu’André, qui s’était mis à bander en découvrant ma queue puisse me sucer pour évacuer sa tension sexuelle.
Notre petite pause plaisir venait de prendre fin, et André, qui avait déballé son engin avant de m’emboucher, était tellement excité qu’il avait fini par éjaculer sur son pantalon sans même se tripoter. Je lâchai sur un ton désolé :— Tu t’es tout giclé sur le futal espèce de dégueulasse. Tu mériterais que je t’encule. mais il faut bien que je garde mes forces pour ta gonzesse.
Le type fit une mine piteuse. Et je haussai les épaules avant de l’apostropher.— Tiens! donne moi donc le numéro de Sylvie. Je vais l’appeler.
André fit ce que je demandais sans discuter.— Salut ma chérie! c’est David, dis je à l’épouse en mal de soumission. Je suis avec ton mec et je viens aux nouvelles. Tu as bien fait les courses que je t’avais demandées. — Oui, affirma t’elle, mais j’ai eu une sacrée trouille en sortant du supermarché. Un type louche a essayé de me suivre à ce moment-là. Heureusement qu’il y avait une famille à côté de ma voiture. Le mec n’a pas osé s’approcher et j’ai pu repartir sans encombre.
Je rigolai avant de la réconforter.— Tu sais, un peu de stress c’est bon pour la libido. Quand je te serai passé dessus et que tu seras devenue une belle femme infidèle soumise à son amant, tu écarteras bien gentiment les cuisses pour que ce genre de mecs puisse te baiser s’il en a envie.
Tout en constatant qu’André avait rougi d’un coup, fort troublé par ce que je venais d’énoncer, je laissai quelques secondes à ma correspondante pour s’exprimer. Mais Sylvie resta silencieuse.
— Bon, on ne va pas tarder à arriver. Prépare nous un apéro! Lave les légumes que tu as acheté ce matin et mets les en évidence dans un plat sur la table du salon. Et défais tous les boutons de ta veste. Il faut que tu me montres que tu es réellement disponible.
Sylvie nous attendait assise sur le canapé et elle se leva quand nous entrâmes dans la salle de séjour.Après m’avoir examiné un petit moment, elle me fit un grand sourire et elle vint vers moi afin de m’offrir ses lèvres. J’en profitai pour glisser la main sous sa jupe et caresser ses jolies fesses charnues et dépourvues de culotte.Ensuite, j’écartai les pans de sa veste pour découvrir ses beaux nichons que je massai avec un plaisir non feint provoquant le gonflement de ses gros tétons.

Ravi de l’effet produit par ma caresse sur Sylvie qui me fixait avec un regard plein de promesses, je me tournai vers son mari. — Ton épouse est superbe, André. Tu as bien de la chance d’avoir pour compagne une femme aussi séduisante.
Je glissai alors deux, puis trois doigts dans la chatte bien mouillée de Sylvie en soutenant son regard plein de promesses. Puis je pinçai délicatement son bouton intime ce qui la fit gémir brièvement. Enfin j’approchai mes doigts humides de mes narines. — Quelle bonne odeur de chienne en chaleur dis-je. Je sens que je vais bien m’éclater avec toi.
Sylvie rosit et se tourna vers son mari avant que j’expose le début du programme au couple. — Ton homme va te préparer pour que je puisse te baiser indiquai-je à la brune. Enlève ta jupe et ta veste et allonge toi sur le canapé. Puis je m’adressai au cocu consentant:— Quand à toi André, tu te fous à poil et tu iras lécher le minou de ta salope.
Ils obéirent tous les deux sans protester. Et André se déshabilla face à Sylvie dont les yeux trahissaient une profonde excitation. Des gouttes de cyprine perlaient à l’entrée de sa vulve.Le mari docile alla s’agenouiller entre les jambes de sa femme et après avoir posé ses mains sur les cuisses ouvertes, il plongea son mufle dans la fente luisante et il s’appliqua à faire jouir Sylvie avec sa langue.Pendant qu’André s’affairait, je retirai mes vêtements tout en regardant le couple à la recherche d’émotions fortes s’ébattre et les soupirs non feints de la belle épouse eurent un effet immédiat sur le déploiement de ma queue.
Lorsque Sylvie, qui profitait de la caresse de son conjoint les yeux mi-clos, aperçut mes attributs, une puissante bouffée de chaleur embrasa son corps pulpeux et elle prit son pied presque aussitôt.
Je laissai le temps à la belle brune de reprendre son souffle puis je m’approchai de son mari.— Bravo André! tu es un brave cocu qui s’occupe bien de sa chérie. Et visiblement, ça te plaît autant qu’à elle de lui donner du plaisir si j’en juge par ta gaule. À moins que tu bandes parce que tu sais que ta belle salope va se faire défoncer par mon énorme bite.
La queue du cocu tressauta lorsque je prononçai cette dernière phrase.
— À moi de jouer maintenant, déclarai-je au type avant d’ajouter. — Mais d’abord, tu vas te débrouiller pour enfoncer ma queue dans la chatte de cette belle pouliche qui semble impatiente de se faire remplir par la grosse matraque d’un jeune étalon.
Avec fébrilité, André attrapa mon membre et positionna mon gland sur le minou de sa femme. Puis il tira fermement sur ma tige pour la faire glisser dans la grotte trempée. La belle brune poussa un cri rauque lorsque mon pieu commença à distendre ses chairs.Je fis coulisser lentement mon calibre noueux dans le fourreau écartelé, prenant le temps nécessaire pour que le lubrifiant et l’élasticité naturels de son conduit intime lui permettent d’apprécier à sa juste valeur ma pénétration.Lorsque j’estimai que son délicieux fourreau avait pris la mesure de mon calibre, j’accélérai progressivement le rythme bien décidé à secouer Sylvie avec la puissance d’un marteau piqueur. L’épouse criait de plus en plus fort ne cessant ses gémissements que lorsque je lui procurai un orgasme d’une intensité qu’elle n’avait jamais connue jusqu’alors.Quelques coups de reins supplémentaires dans le con dévasté de la belle me permirent de vider juste après mon jus au fond de sa chatte.
J’extirpai ensuite ma queue du vagin malmené de ma nouvelle maîtresse afin de m’asseoir. Elle se redressa à son tour pour m’embrasser à pleine bouche, reconnaissante pour le plaisir que je lui avais donné. Puis, je m’adressai à son mari:— J’ai l’impression que tu as apprécié le spectacle qu’on t’a offert, n’est-ce pas cocu ?
André resta silencieux.
Maintenant, c’est à toi de faire un effort. Tu vas venir nettoyer le minou de Sylvie ainsi que ma queue. Quand tu auras fini, tu iras nous servir un verre.
André vint laper en s’agenouillant le jus mêlé de foutre et de cyprine qui s’écoulait du vagin de Sylvie.Puis, en proie à une gêne visible, il regarda un bref instant son épouse, avant de se pencher vers ma queue qu’il nettoya méticuleusement en la léchant goulument. — Tu as vu comme il bande ton mec quand il suce une énorme bite, dis je en m’adressant à Sylvie.
La belle brune émit un rire discret.
— Pour le remercier, tu vas aller dans la cuisine avec un des légumes posés sur la table et tu l’enduiras d’huile avant de me le rapporter.
Sylvie se leva aussitôt et choisit un long et gros concombre qui se trouvait dans le plat posé sur la table du salon. Puis elle fit l’aller retour dans la cuisine. En revenant, elle me tendit le cucurbitacé suintant.
Je demandai alors à André de se mettre à quatre pattes. Le mari n’avait pas débandé et, malgré sa gêne, il nous présenta docilement son cul.Je pus introduire lentement le légume dans le fondement d’André et saisis la main de Sylvie qui comprit ce que j’attendais en enfonçant plus profondément le concombre dans le trou du cul de son conjoint.Les yeux de la belle brillaient d’excitation.Ensuite je demandai à André de se tourner vers nous et je m’assis à côté de sa femme sur le canapé, ma queue tendue vers le ciel.J’entourai alors la taille de Sylvie avant de lui intimer l’ordre de saisir ses fesses à pleines mains et de les écarter pour libérer l’accès à sa rosette.Puis je soulevai ma conquête, positionnant son anus au dessus de la tête violacée de mon braquemart, avant de la lâcher sans précaution. La chaude épousa s’empala d’un coup sur mon pieu tout raide en étouffant un cri de douleur avant que je commence à lui ramoner le fondement sans délicatesse.
Sylvie couina sans interruption jusqu’au moment où je vidai mes couilles dans son fion écartelé. La malheureuse pleurait à chaudes larmes lorsque j’extirpai mon pieu de son fondement. -Tu es beaucoup trop gros David sanglotait t-elle. Tu aurais pu me blesser. Je la pris dans mes bras et lui dis.— Tu veux devenir une femelle soumise n’est ce pas.— Oui dit-elle en écrasant une larme.— Alors, dis toi que cette étreinte bestiale fait partie de ton dressage.
André était rouge d’excitation. Je m’adressai à lui.
— Maintenant, il est temps pour moi de remplir ma mission. Sylvie va m’emmener dans votre chambre. Je vais la baiser longuement et la faire jouir comme une bonne salope qui ne demande qu’à devenir la chienne dévouée de son maître.
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