Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 224 J'aime
  • 13 Commentaires

La jeune femme sur la balançoire

Chapitre 1

Hétéro
La jeune femme sur la balançoireLa saison pour mon travail d’été a commencé depuis avril. L’affluence des touristes n’est pas encore là, mais il y a suffisamment de clients pour ouvrir l’hôtel et le restaurant. Depuis plusieurs années, je viens travailler dans ce petit village provençal du Var. Il y a beaucoup de passage en pleine saison à cause des gorges du Verdon toutes proches et du lac de Sainte-Croix. Comme chaque année, je retrouve les mêmes personnes et amis dans le village avec qui j’ai partagé des soirées, des moments de rigolades, des repas.Après chaque service du soir, je fais un tour dans le village à la fraîcheur de la nuit pour prendre l’air et laisser retomber la pression du service. Je me rends compte que même en vacances, les touristes sont pressés et veulent tous avoir tout et tout de suite. J’ai envie de leur dire :
— Détendez-vous... vous êtes en vacances.
Je croise quelques touristes qui profitent eux aussi de la soirée. Ce soir-là, je fais un détour et passe à proximité du parc. Il y a des jeux pour les enfants, toboggan, sable, jouets montés sur ressorts et une balançoire. J’entends grincer, couiner. Je m’approche, mais dès que je suis à une vingtaine de mètres, le bruit ralentit puis s’arrête. Quand j’arrive près de la balançoire, le siège se balance un peu, je regarde autour de moi, personne. Je réalise que plusieurs fois auparavant, j’ai déjà entendu ce son. Je rentre et me couche.
Le lendemain, je fais mon service de midi, je vais voir les patrons du restaurant au bout de la place pour leur rendre plusieurs livres. Je suis un grand lecteur. Je passe mes jours de repos à lire, allongé au bord du lac. Il n’y a pas beaucoup d’attraction ni d’animation dans le village, alors je m’occupe comme je peux. Leur fille, Carole, s’avance vers moi tout sourire. Elle a bien changé. Je l’ai connue il y a 5 ans, elle n’était encore qu’une adolescente. Elle est maintenant une jeune femme épanouie et ravissante. Ses parents veulent qu’elle reprenne l’affaire, mais elle a terminé ses études et travaille sur la côte méditerranéenne, dans un magasin de vente de vêtements.
— Ah la jeunesse... dit Serge... on leur offre une chose, mais elle s’en va travailler ailleurs... je ne comprends pas.— Oui c’est comme ça ! dis-je en lui tendant la pile de livres.— Tu as déjà tout lu ? me demande Estelle.
Je réponds oui de la tête et m’en vais.
— Si tu en veux d’autres... ajoute Laurent... passe quand tu veux, il y a toujours quelqu’un à la maison, dit-il.— OK.
Carole me fait un petit signe de la main avant de disparaître dans la salle de restaurant. Les jours passent, les touristes arrivent puis repartent, les services se succèdent. Je suis parfois trop épuisé pour prendre la voiture et aller au bord du lac pendant mon jour de repos. Alors je vais m’installer dans le parc, à l’ombre des arbres. De l’endroit où je suis, je peux voir Laurent et Isabelle qui travaillent et Carole qui les aide. C’est vrai qu’elle a changé. Elle est resplendissante, mignonne. Son corps aussi a changé pour se développer, pour prendre du volume sans pour autant être rond, mais avec des hanches et cuisses pleines, une forte poitrine tout en gardant un visage fin encadré par des cheveux bruns jusqu’aux épaules.
La semaine suivante, dans l’après-midi, je passe chez Laurent pour prendre des livres. Je frappe. Carole m’ouvre la porte. Je suis surpris de la voir simplement vêtue d’un soutien-gorge couvrant une grosse poitrine et d’un shorty. La pièce ainsi que toute la maison sont dans l’obscurité, volets fermés pour éviter de faire entrer la chaleur. Elle me sourit puis se jette à mon cou pour me faire la bise. Je sens sa poitrine s’écraser contre mon torse comme deux ballons en plastique gonflés.
— Contente de te voir, dit-elle tout en restant accrochée à mon cou.— Qui c’est ? crie Laurent dans la pièce voisine.
— C’est Seb... répond-elle en posant un doigt sur sa bouche en guise de silence... Il fait la sieste.
Elle me prend par le bras et m’entraîne jusque devant la bibliothèque.
— Fais ton choix... dit-elle en croisant ses bras et soulevant sa poitrine... si tu as besoin d’aide, je suis assise derrière toi.
Je me retourne pour voir le dos du canapé. Elle me laisse parcourir les étagères des yeux, puis du doigt pour lire les titres. Des collections impressionnantes de livres policiers, d’aventures, d’histoires, des magazines sur la transhumance des bétails dans les montagnes, sur des chiens de bergers. Lorsque mon choix est fait, je m’avance vers Carole qui semble absorbée par son livre. Je regarde par-dessus son épaule, je m’arrête soudain comme figé. Assise en tailleur sur le canapé, elle tient un livre dans une main et l’autre glissée entre ses cuisses dans son short. Sa respiration est rapide à voir sa poitrine se gonfler puis redescendre rapidement. Sa main remonte sur son buste pour caresser la base de son sein dont la pointe est visible sous le tissu. Je m’approche encore et dépose les livres sur le carrelage en essayant de faire le moins de bruit possible. Je m’arrête lorsque je suis contre le dossier du canapé.
Elle a un petit mouvement de sursaut quand j’effleure du bout des doigts ses épaules. Elle penche la tête en arrière pour me regarder. Elle pose son livre, j’en profite pour voir qu’il s’agit d’une histoire érotique, puis elle décroise les jambes, avance ses fesses sur le bord du canapé et pose les pieds écartés sur la table basse. Sans gêne, elle glisse à nouveau sa main sous son short tandis que l’autre dégage sa poitrine hors du soutien-gorge dévoilant ses gros seins en pastèques. Sa main s’agite dans le short, elle pince ses gros tétons, tire dessus. Elle m’attrape une main et la pose sur son sein qu’elle guide avec la sienne pour que je la caresse, lui empoigne cette masse de chair tendre aux larges aréoles. Sa respiration s’accélère quand elle tire son short sur le côté et s’enfonce deux doigts dans sa chatte rasée puis ressortent couverts de mouille. Je joins mon autre main sur ses seins. Je les gifle, excite les tétons pour les faire durcir.
Carole accélère le mouvement de sa main entre les cuisses. Elle se mord le poignet pour ne pas crier et étouffer ses gémissements. Elle cambre les reins, puis soulève son bassin en laissant ses jambes s’ouvrir et se fermer rapidement, la table râpe sur le carrelage en couinant. Elle bascule sur le côté, écrase sa main entre ses cuisses et enfouit sa tête dans un coussin pour étouffer ses cris lorsqu’elle jouit. Je reste debout à la regarder reprendre une respiration normale. Je ramasse les livres et sors sans bruit.
Dimanche soir. Il fait lourd. Il a plu ce matin et ce soir un violent orage frappe de l’autre côté du lac. Même avec cette chaleur étouffante, je fais mon tour dans le village. Alors que je suis encore dans la rue, loin du parc, j’entends le couinement de la balançoire. Pour savoir qui l’utilise, j’emprunte un autre chemin pour ne pas me faire voir. J’avance dans l’herbe mouillée, dans les flaques jusqu’à apercevoir la balançoire. Je distingue une femme qui ne ménage pas ses efforts et monte presque à l’horizontale au point le plus haut et redescend pour être à nouveau le corps parallèle au sol en hauteur de l’autre côté. La lumière de l’éclairage public l’illumine par intermittence et ce que je vois me surprend et me laisse bouche bée. La jeune femme sur la balançoire est... nue, la totale. Elle se penche en arrière, tire sur les cordes pour se donner de l’élan, puis en avant et expose ses gros seins.
Je fais quelques pas vers cette inconnue et je dois me retenir puis m’asseoir sur le poney en bois monté sur ressort qui grince pour ne pas tomber. Là... devant moi... je vois Carole, entièrement nue sur la balançoire. Elle tourne la tête vers moi. Je m’accroche à l’encolure du poney en bois pour me rétablir. Elle ralentit son balancement jusqu’à l’arrêt presque complet. Elle reste assise sur la balançoire, tourne sur elle-même.
— Tu vas te décider à venir... ou c’est moi qui viens, dit-elle en bombant le torse pour faire ressortir sa poitrine.
Le poney grince encore quand je me précipite vers elle. Je ne cherche pas à être câlin ni à y aller doucement. Si elle est là, dans cette tenue à une heure aussi tardive, ce n’est pas pour compter et admirer les étoiles filantes. Je me plaque assez durement contre elle, elle répond à mon geste en m’entourant la taille avec ses jambes. J’empoigne un sein puis lui tire la tête en arrière par les cheveux. Elle m’enlace avec un bras alors que l’autre main libre se pose direct sur ma bite encore dans mon pantalon. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle la sorte et la prenne en main.
— J’adore, me dit-elle.
Je l’embrasse, fouille sa bouche avec ma langue. J’écrase son sein dans ma main puis pince le téton.
— Hhummmm...! gémit-elle.
Ma main glisse entre ses cuisses. Je constate qu’elle est déjà mouillée. Son sexe s’ouvre sous mes doigts qui la pénètrent, le pouce titille le bouton.
— Continue... ajoute-t-elle en me repoussant.
Elle crache dans sa main et la pose sur ma bite pour couvrir le gland. Toujours assise sur la balançoire, elle caresse, frotte sa chatte lubrifiée contre mon sexe. Elle pointe ensuite le gland et m’attire contre elle. Ma bite s’enfonce dans ce conduit serré et chaud. Elle tire plus fort avec ses jambes autour de ma taille. Puis elle s’écarte, attrape les chaînes du siège, se penche en arrière et se balance sur ma bite. Je la vois se couvrir de mouille, s’enfoncer puis ressortir avec les grosses lèvres qui restent collées comme des ventouses. Je tends le bras pour caresser son sein, tire sur le téton, le fais rouler avant de pincer son clito. Elle accélère ses balancements sur ma bite. Elle commence à crier, à haleter. Je me penche sur elle pour l’embrasser et essayer d’étouffer ses cris. Ma bite coulisse en elle, mes couilles frappent se fesses, nos pubis claquent. Je sens les muscles de son sexe se contracter sur ma bite maintenant couverte de jus.
Elle se colle à nouveau à moi et se pend à mon cou pour s’empaler. Je l’empoigne par dessous les fesses et l’a fait glisser sur moi. Elle se laisse tomber en arrière, cambre les reins pour que je la pénètre plus profondément. Je manque de tomber et me rattrape aux chaînes de la balançoire. Carole pose un pied à terre et m’entraîne vers le poney monté sur ressort. Elle s’assoit dessus, relève ses jambes en le tenant par les genoux et guide ma bite entre ses cuisses. Je frotte le gland sur sa fente et m’enfonce d’un coup sec et brutal.
— Comme c’est bbooonnn, gémit-elle.
J’embrasse ses seins, les lèche, les mords, gode les tétons comme un affamé. La jeune femme se caresse pendant que je la baise puis elle m’attire et m’embrasse. Je pèse sur elle, ma bite au fond de sa fente baveuse, chaude.
— AAïïïïïïïeeee, crie-t-elle avant de se redresse.
Le pommeau de la selle lui rentre dans les reins. Je me retire. Elle me regarde puis baisse les yeux sur ma bite luisante de mouille. Elle me fait un large sourire avant d’n lécher le bout, de sucer, téter le gland. Sa langue tourne autour puis elle l’embouche jusqu’à la moitié avant de la recracher. Elle la branle quelques secondes puis m’invite à m’asseoir sur la selle. La position n’est pas très confortable. Je suis en équilibre sur l’arrière-train du jeu en bois pendant que Carole s’empale et joue avec ma bite. Elle fait des cercles sur moi, se frotte, se branle sur ma bite. Elle m’utilise pour baiser et prendre du plaisir. Alors qu’elle se laisse retomber plus fort, je la vois se contracter, ouvrir la bouche en apnée et resserrer les cuisses sur moi. Elle ouvre les yeux en grand et souffle fort.
— OOoohhhh..... mmeerrddeeeeee ! crie-t-elle avant de remuer à nouveau sur moi.
Elle bouge plus vite et plus fort. Je l’aide en passant mes mains sous ses fesses. Et c’est à ce moment que je comprends pourquoi elle a eu cet instant de plaisir intense et violent. Alors qu’elle se laisse retomber sur moi comme dans un rodéo, mes doigts touchent le pommeau de la selle qui disparaît entre ses fesses. Une petite double pénétration involontaire qui lui procure un orgasme violent. Elle se déchaîne sur moi. J’empoigne ses fesses et la soulève puis la laisse retomber avec force. Elle tremble, elle râle. Le ressort grince encore plus. Elle se cambre. Elle laisse échapper un rire nerveux puis se tend comme un arc, elle se crispe.
— OOOuuiiiiii... gémit-elle avant que je ne l’embrasse.
Elle se serre plus fort contre moi pendant que je sens ma bite écrasée par ses muscles vaginaux. Je me retiens avant de sortir de sa fente gonflée et d’éjaculer. Elle se pend à mon cou. Je la soulève et la porte jusqu’à un banc. Elle se blottit contre moi et me demande de ne rien dire à ses parents sur son activité nocturne sur la balançoire.
Diffuse en direct !
Regarder son live