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La jeune fille au pair

Chapitre 1

Trash
Irène n’avait que 17 ans lorsque cette histoire à commencé. Elle cherchait à quitter la France depuis plusieurs années, et, émancipée par ses parents, elle s’était enfin décidée à rejoindre l’Angleterre, où elle rêvait de vivre. Elle avait trouvé un travail en tant que fille au pair chez un couple d’une cinquantaine d’années, les Adamson, chez qui elle ferait le ménage et la cuisine.    Fraichement débarquée à Londres, seulement munie de sa petite valise, Irène se mit en quête de la villa où habitait le couple en question. Après un rapide coup d’œil à sa carte, elle se mit en route. Au bout d’une petite demie heure de marche, elle arrivait au portail de l’immense maison d’architecte, construite en bordure de la Tamise.     Elle resta quelque secondes figée devant l’immense portail, intimidée, puis pressa le bouton de l’interphone. Une voix d’homme répondit, presque aussitôt, qu’il l’attendait et le portail s’ouvrit pour la laisser passer. Elle remonta l’allée de gravier et arrivée devant la porte, celle-ci s’ouvrit.    L’homme qui se tenait dans l’encadrement de la porte était vêtu d’un pantalon de costume et d’une chemise blanche, d’élégantes chaussures de ville aux pieds. Ses cheveux grisonnants et son embonpoint trahissaient son âge que son visage et son sourire ne laissaient pas soupçonner. Il avait le front plissé ce qui lui donnait un air sévère, mais il lui sembla malgré tout sympatique, peut être parce qu’il souriait de toutes ses dents.. Il lui tendit la main, qu’elle serra. — Bienvenue Irène, je vais te faire visiter, entre, dit-il sans perdre son sourire jovial.    Irène entra dans la demeure et il referma la porte derrière elle.     Il lui fit visiter longuement chaque pièce, accompagnant les explications de consignes précises qu’elle s’efforça de retenir. Enfin, il la conduit dans l’aile de la maison qu’elle allait occuper. Il l’invita a pousser la porte rouge qui était devant eux. La chambre qui s’offrit alors à ses yeux la stupéfia : meublée dans le style XVIIe, un immense lit à baldaquins y trônait, entouré d’un mobilier visiblement en bois massif, sculpté de magnifiques fleurs. La tapisserie au mur représentait des oiseaux sur des branches de cerisier. Une salle de bain spacieuse munie d’une baignoire immense était accessible de la chambre et une sorte de boudoir avec de jolis fauteuils et une bibliothèque se cachaient derrière une autre porte.    La sortant de son ébahissement, M. Adamson lui expliqua que sa femme, passionnée de décoration intérieure, avait entièrement meublé et agencé cette aile de la maison. Irène bredouilla quelque chose d’incompréhensible, encore sous le choc.    Robert Adamson prit la parole.— Il reste un dernier point que je voudrais aborder, commença-t-il. Elle acquiesça pour l’encourager à continuer.— Ma femme et moi aimerions que tu portes un uniforme. C’est très important pour nous. Particulièrement lorsque nous recevons... Tu n’y vois pas d’inconvénient ?— Oh pas du tout ! répondit Irène, rassurée, qui s’attendait à une requête farfelue. Je le porterai.— C’est parfait alors, reprit Adamson, soulagé. Tu trouveras tout dans l’armoire de ta chambre. Si tu n’as pas d’autres questions, je vais retourner travailler et te laisser t’atteler à ta tâche...— Très bien, merci encore, je vous suis très reconnaissante de m’avoir accueilli et engagé.— C’est un plaisir de recevoir une petite française ici, répondit-il dans un sourire.    Ils échangèrent encore quelques amabilités et il s’en alla. Irène regagna sa chambre où elle ouvrit l’armoire, découvrant l’uniforme dont il avait parlé. C’était une petite robe noire de domestique à l’ancienne, avec une boutonnière et un col Claudine, munie d’un petit tablier blanc.Des chaussures noires à talons plats étaient également posées là.     Une note accompagnait les affaire : "J’aimerais que tu ne portes aucun vêtement ou sous-vêtements autres que ceux fournis ici durant ton service. Merci d’avance." Or aucun sous-vêtements n’accompagnaient l’uniforme... Elle décida alors de garder les siens, après tout, c’était tout de même osé comme requête ! Elle enfila le tout, mit les chaussures et, après avoir vidé rapidement sa valise, descendit se mettre au travail.
    Toute la journée, elle s’affaira dans la maison avec application et rapidité.
    Les Adamsons rentèrent juste quelques minutes après qu’elle eut fini de préparer le repas. Ils se mirent donc à table. Mme. Adamson se présenta à Irène et elles discutèrent brièvement, avec une distance respectueuse de la part de la jeune fille. Grace Adamson était une femme qui ne faisait pas son âge. Elle avait la peau bronzée et un carré brun qui seyait très bien à son visage fin et strict. Elle était grande et très mince, de touts petits seins pointaient sous son chemisier de soie.     Une fois mangé, tandis qu’Irène débarrassait, Grace prit congé de son mari d’un baiser, lui expliquant qu’elle se rendait à un gala de charité ce soir. Il acquiesça et attendit qu’elle soit partie pour dire à Irène de regagner ses appartements. Celle-ci, malgré le fait qu’elle n’eut pas parfaitement fini sa tâche, n’osa pas protester et monta dans sa chambre.    Tandis qu’elle se déshabillait pour aller prendre un bon bain bien mérité, la porte s’ouvrit derrière elle. Elle croisa ses mains sur sa poitrine pour cacher son soutien gorge qui lui même ne cachait pas grand chose. C’était Adamson. Il la fixait avec un mélange de fascination et d’irritation. Il agrippa son bras de manière à dévoiler son soutien gorge et demanda avec un sourire :— Mais.. qu’est-ce que c’est que ça ?— Monsieur Adamson... commença Irène.— Silence ! cria-t-il. Je laisse des consignes qui ne sont pas respectées ! Tu n’as pas respectée les consignes !— Je, je.. bafouilla-t-elle.— La ferme, répondit-il froidement. Assied-toi.    Elle obtempéra, pétrifiée. Elle rougit devant le regard de cet homme sur son corps à demi nu. Elle remarqua, honteuse, qu’elle mouillait abondement devant cet homme. Elle croisa les jambes pour le cacher, mais il avait déjà vu son entre-jambe trempée. Il sourit soudainement.— Qu’est-ce que je vois ? Je te fais donc mouiller, petite trainer ?Elle baissa les yeux, ne sachant où se mettre.— T’aime qu’on te crie dessus ? Tiens... Il ricana tout en attrapant ses cheveux brutalement.— Et ça, t’aime ? Hein ?! T’aime ça ?Il la retourna, la plaquant sur le lit brusquement. Pressa ses doigts contre sa bouche, les faisant entrer de force. Il lui ordonna de les sucer, à grands renforts d’insultes.     Mouillant, plus que jamais, Irène, honteuse et complètement perdue, obtempéra. Elle se mit à sucer les gros doigts de cet homme, excitant ainsi terriblement le vieux pervers. La maintenant toujours par les cheveux, il caressa sa chatte à travers sa culotte de coton avec ses doigts pleins de bave. La culotte était déjà trempée ce qui encouragea Adamson. — Tu aimes, hein ? Tu aimes ça ?— .. Mh... monsieur, arrê...— La ferme ! Dis que tu aimes ça ! cria-t-il en raffermissant sa prise sur ses cheveux.Après un bref temps de retenue, Irène, secouée de spasmes de plaisir, se mit à geindre :— J’aime ça, oui, vous me faites du bien !Adamson, tira sur le tissus fin, dévoilant sa vulve, y enfourna quatre doigts. Irène gémit de plus belle, s’agrippant au lit. Sa mouille dégoulinait le long de ses cuisses. Elle n’avait jamais connu pareille excitation. Adamson frotta son pouce plein de mouille contre son petit trou tout serré.    Irène cria, paniquée. Elle ne s’était jamais aventurée du coté de la sodomie, même en se masturbant, elle n’avait jamais touché à son anus. Elle le supplia d’arrêter, il ricana à nouveau.— Oh non, petite chienne ! Tu la fermes ! Ton cul mérite pas moins que ta chatte trempée.Il appuya son pouce jusqu’à le faire pénétrer entièrement, arrachant un gémissement à Irène. Il continuait son va-et-vient mais avec tous ses doigts, la faisant jouir de plus belle. Elle était en sueur, elle hurlait maintenant, le suppliant de ne pas s’arrêter.    Il retira alors tous ses doigts, et il l’insulta encore, lui cracha dessus et quitta la pièce.     Irène, resta là, haletante, humiliée mais tellement excitée qu’elle se toucha encore pendant une bonne partie de la nuit avant de s’endormir, priant pour que ses nuits soient toutes si délicieuses.
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