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La jeune fille au pair et le confinement

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Depuis la rentrée universitaire de l’an passé, nous hébergions une jeune Allemande qui était venue en France pour achever ses études.
En échange du gîte et du couvert, le soir et le matin, elle s’occupait principalement de Johnny, notre fils âgé de 18 mois, avant de le confier à la nounou. Elle le faisait manger, le baignait et le couchait dans sa chambre... encombrée comme  beaucoup de chambres d’enfants, d’une multitude de jouets divers.

Ingrid occupait la chambre voisine où elle était installée confortablement, disposant d’un coin bureau et d’un cabinet de toilettes attenant. Les deux chambres donnaient sur la cour intérieure de l’immeuble, car ainsi, le bruit de la rue ne perturbait pas le sommeil de bébé...
Catherine et moi, nous occupions la suite parentale donnant sur la rue, mais avant d’entrer dans l’appartement après l’achat, nous avions fait poser des fenêtres à triple vitrage (une nouveauté qui nous avait été vantée à l’époque). Cétait l’arrivée future de Johnny qui nous avait incités à devenir propriétaires dans le VIIe arrondissement... et aussi la proximité du travail de mon épouse.

A l’époque, nous ne nous doutions pas que nous allions devoir cohabiter de longues semaines lors du confinement imposé par le COVID 19.

Catherine dirigeait deuis un an le secrétariat d’un important cabinet d’avocats... à 42 ans, c’était une jolie femme épanouie, aux formes un peu prononcées de fille du sud : des hanches un peu larges et une poitrine généreuse (mais j’aimais beaucoup... et je n’étais pas le seul). Les cheveux coupés assez courts encadraient un visage à l’ovale parfait avec une bouche pulpeuse et des grands yeux marron.
Je ne prénomme Hervé... J’ai le même âge que Catherine. Je travaille dans une importante société d’import-export dont les bureaux sont dans le quartier de la Défense. Assez grand, depuis toujours, je me maintiens en forme en pratiquant deux matins par semaine un footing dans le bois de Boulogne avant de rejoindre mon bureau. Deux autres fois pendant la pause du déjeuner, je profite de la salle de sports aménagée au rez-de-chaussée de la tour pour m’échauffer et dépenser mon énergie sur les appareils...

Le confinement venait d’être prolongé... Jusqu’à présent, nous nous en étions accommodés en installant nos ordinateurs dans le salon pour pouvoir télétravailler tout en faisant quelques escapades à nos bureaux respectifs pour récupérer certains dossiers volumineux.
Mais ce qui commençait à sérieusement nous manquer, c’étaient nos rencontres coquines avec deux couples de nos amis qui habitaient en province...
Nous nous étions rencontrés il y a quelques années à Ibiza et rapidement, nous nous étions rendu compte que nous partagions ce même goût pour l’échangisme... et depuis le Nouvel An, nous n’avions plus eu de rencontres... Plus de deux mois... c’était long, même si Catherine déployait des trésors de coquinerie...

Ingrid ne nous gênait pas... Nous prenions le brunch ensemble puis Catherine s’occupait de la toilette de Johnny avant de le remettre à la garde d’Ingrid qui désormais partageait plus de temps avec nous... La nounou avait déclaré forfait : Elle craignait d’être contaminée si elle sortait de chez elle !

Voici comment Catherine faisait preuve de coquinerie envers moi... Certains après-midis, alors que j’allais me remettre à travailler après quelques échanges avec le bureau, elle se glissait sous la table où je m’étais installé avec mon ordinateur, ouvrait mon pantalon et allait chercher mon membre qui ne tardait pas à gonfler et à raidir sous ses doigts... puis elle le lutinait, gobant le gland, titillant le méat de la pointe de sa langue avant d’avaler et de sucer ma bite...
Je me laissais faire... Je connaissais le talent de suceuse de Catherine que j’avais pu voir à l’œuvre avec nos amis qu’elle pompait avec ardeur lors de nos soirées pour les préparer à saillir l’une ou l’autre des femmes y compris elle-même pendant que je faisais plaisir à l’une ou l’autre...

Lors de la finition, je donnais le rythme en posant ma main droite sur la tête de Catherine jusqu’au moment où je crachais mon foutre dans sa bouche ! Elle se relevait, passait rapidement à la salle de bains et revenait près de moi avec un sourire radieux et en m’embrassant dans le cou, me disait à l’oreille combien j’avais été généreux !
Mais avant le dîner pendant qu’Ingrid baignait Johnny, je rendais la monnaie de sa pièce à Catherine en lui faisant un cunnilingus jusqu’à ce qu’elle jouisse avec deux ou trois de mes doigts plantés dans sa chatte...

Je ne sais pas si ce soir-là, j’avais été un peu long à émouvoir Catherine ou si Ingrid avait quelque chose à nous demander, toujours est-il qu’elle nous a surpris en pleine action : ma femme allongée entre les ordinateurs sur la table de salle à manger avec sa jupe remontée sur ses hanches, le string poussé sur le côté et moi, la tête entre les cuisses de Catherine en train de chercher sa jouissance !
Sur le pas de la porte, elle bredouillait des mots sans suite, mélangeant la langue de Goethe au français, mais au final, je compris qu’elle appréciait le spectacle que nous lui donnions.

— Si tu veux en profiter, viens nous rejoindre quand Johnny sera endormi !
— Oh... je n’oserais jamais...
— Pourquoi ? Cela ne changera rien à ton statut de fille au pair... Cela t’apportera une distraction supplémentaire, car je sais que ce confinement n’est marrant pour personne.
— Oh oui... je ne peux plus aller retrouver mon boy-friend... il a peur que je le contamine !
— Avec nous, tu n’aurais rien à craindre. Nous sommes sains tous les deux !

La soirée de ce vendredi se déroula normalement ensuite. Catherine et moi, nous étions dans la douche où nous nous lutinions en repensant à la scène surprise par Ingrid en début de soirée.

— Dis-moi mon coquin... elle ne te plairait pas cette jeune allemande... Elle te changerait des quadras de notre groupe coquin ?
— Certes... Elle est bien jolie et fraîche... Je serais curieux de voir ses tétons... elle les cache bien sous ses vêtements amples.

Mais quelle n’a pas été notre surprise quand nous avons vu apparaître dans l’entrebâillement de la porte de la salle de bains, la frimousse blonde d’Ingrid... Catherine lui a dit d’entrer en lui tendant la main...
Ingrid était vêtue d’une nuisette courte, un peu opaque, mais sous le tissu, on distinguait bien les deux seins menus et le téton visible en transparence et qui pointaient... en bas, elle portait un shorty assorti du plus bel effet ! Ses longs cheveux dénoués flottaient sur ses épaules.

— Regarde ce joli fruit encore un peu vert !

En même temps, Catherine faisait passer par-dessus la tête d’Ingrid la nuisette sous laquelle elle était nue... Pudique, Ingrid masqua aussitôt sa poitrine en remontant son bras droit, mais la main gauche était dans la fourche de ses cuisses plaquée sur le tissu du shorty...
Le spectacle était charmant... et je ne pus dire qu’une chose :

— Nous sommes nus... Mets-toi nue aussi ! Tu verras comme on est bien !
— Oh NON... je n’oserais pas !!!
— A qui le dis-tu ??? Si tu n’avais pas envie de quelque chose, tu ne serais pas venue... J’ai raison ??

Catherine est passée derrière Ingrid et a baissé le shorty d’une main, pendant que l’autre dégageait le bras qui tentait de masquer la poitrine...

— Oh... Tu es bien jolie ainsi !
— Oh Monsieur... je suis gênée !!!
— Trêve de balivernes, si  nous passions dans la chambre... nous serions mieux pour ce qui va suivre !!!

Catherine a pris Ingrid par la taille et l’a guidée jusqu’à notre chambre et je les suivais, un regard très intéressé sur les fesses rebondies de Catherine et celles beaucoup plus minces (mais aussi désirables) d’Ingrid... La soirée était bien partie, car je savais que Catherine arriverait à ses fins, faisant de sa partenaire une proie dont je pourrais profiter ensuite...
Et ça n’a pas manqué...
Catherine a couché Ingrid en travers de notre lit et lui a ouvert les jambes, montrant ainsi le sexe de sa partenaire – un sexe aux lèvres étroites, mais bien dessinées avec un tout petit toupet blond taillé en rectangle sur le pubis – que ma femme a caressé doucement avec le dos de sa main.

— Regarde comme c’est beau ! Il y a longtemps que tu n’as plus vu de poils à cet endroit... Nos amies m’ont imitée...
— Oui, certes quand il y a une pilosité aussi réduite, c’est agréable, mais ton ‘’tablier de sapeur’’ ça faisait quand même beaucoup !
— ‘’Tablier de sapeur’’ c’est quoi ???

Je renseignai Ingrid en lui expliquant le sens de cette expression... en observant sa chatte qui suintait... la situation devait l’exciter ! Catherine n’était pas sans s’en être rendu compte, car elle se pencha sur le sexe d’Ingrid qu’elle embrassa avant d’entreprendre une série de caresses plus approfondies...

— Oh Madame... Vous me faites du bien ! Continuez... je retrouve ma copine d’internat !
— Ah... comme ça tu aimes aussi les filles ?
— Oh oui... j’aime les deux... Comment dites-vous en français ?
— Tu es ‘’bisexuelle’’... Je sens que nous allons bien nous entendre ! Viens, nous allons exciter Hervé en faisant un 69... Viens sur moi et mange-moi la chatte...
— Si vous voulez... mais j’ai toujours été passive, mes copines savaient quoi faire pour m’envoyer en l’air !
— Bon... il est temps de se tutoyer au point où on est... et tu verras, être active, ce n’est pas mal non plus...
— Comme vous... comme tu veux...
— C’est mieux... alors en position... montre-moi ce que tu sais faire !

Pendant ce temps-là, je caressais mon sexe qui avait pris de l’ampleur... puis je me suis approché pour voir comment Ingrid se débrouillait... Pour une ‘’passive’’, ce n’était pas si mal : la bouche collée aux lèvres intimes de Catherine, je me doutai tout de suite qu’elle faisait aller et venir sa langue et suçait le bonbon qui s’offrait à elle... Puis elle introduisit le majeur et l’auriculaire de sa main droite dans le conduit humide de ma femme qui se cabra sous cette intromission.
C’était trop torride : voir une jeunette de vingt ans gouiner une quadra que je n’ai pas su résister à l’appel des jeunes fesses entre lesquelles je voyais les deux orifices palpiter... Je ne voulais effaroucher Ingrid en la sodomisant sans préparation, aussi j’introduisis mon membre dans la chatte qui s’offrait ainsi dans une impudeur totale.
Après quelques mouvements, je sentis les mains de Catherine caresser mes bourses et elle me dit :
— Bourre-la bien... Elle va me faire partir... Essayons de jouir tous les trois ensemble !

Quand mon sexe entrait dans celui d’Ingrid, je sentais la langue de Catherine sur mes bourses qui roulaient l’une contre l’autre...
À ce jeu-là, je savais que je n’allais pas tenir longtemps... mais en fait, ce sont les deux femmes qui ont joui en premier... Comme je ne m’étais pas couvert, je suis sorti de la chatte d’Ingrid et je me suis masturbé vivement pour cracher mon foutre sur ses reins !

— Alors Hervé mon coquin... ça te fait quel effet de baiser une jeunette ???
— C’est bon, mais l’ambiance coquine était là... et c’était bon... on va bien trouver autre chose pour cette nuit !
— Ingrid... Tu es d’accord pour continuer ?
— Oh oui... la bite de ton homme... je la veux encore... ça n’a rien à voir avec celles de mes copains !
— Alors, profites-en bien...
— Si tu le permets, je vais me baisser ‘’à la cavalière’’ comme cela, je sentirai la queue de ton homme au plus profond de ma chatte et je ferai monter ma jouissance à ma guise...
— Pas besoin de me faire un dessin... j’aime bien baiser ainsi moi aussi ! D’ailleurs, mes amants sont choisis un peu au vu de la taille de leur bite... Avec Hervé, je suis toujours à la fête...
— Je l’ai sentie, mais quel dommage qu’il se soit répandu sur mon dos...
— Allez Ingrid, regarde-la... elle t’attend !

J’étais allongé sur le dos, les bras un peu ouverts, et j’attendais qu’Ingrid vienne chevaucher ma bite qui était dressée comme un pieu sur mon pubis... J’étais raide et la perspective de faire jouir (et de jouir moi-même) cette jeunette m’enchantait !!

Elle m’a enjambé en me faisant face et j’ai vu comment elle introduisait mon membre dans sa chatte... Elle prenait son temps un peu comme si elle savourait cette ‘’entrée en matière’’, mais bientôt, nos pubis étaient en contact... et Ingrid est restée immobile plusieurs minutes avant d’entreprendre la chevauchée, tantôt au galop, tantôt au trot puis au pas avant de reprendre un rythme plus soutenu... C’était une bonne cavalière ! Et malgré son jeune âge, elle savait doser les choses et les faire durer. Je me laissais faire... j’avais mis mes mains sur ses hanches pour maintenir l’équilibre de ma partenaire qui pouvait ainsi se consacrer entièrement à la recherche de sa jouissance... De mon côté, je retenais la mienne, car cette fois,  je voulais jouir dans le sexe d’Ingrid...

Toute chose a une fin... lorsque j’ai ressenti chez Ingrid les prémices de son plaisir, je me suis lâché et les contractions des muscles intimes de ma partenaire ont achevé de vider de ce que j’avais retenu de longues minutes... Dans le même temps, Ingrid se couchait sur moi et me remerciait de l’avoir laissée prendre son plaisir.

— Mais le plaisir est aussi pour moi... Dis-moi, quand le confinement prendra fin, voudrais-tu participer à certaines de nos soirées coquines ???
— Tu veux dire avoir d’autres partenaires que toi et Catherine ?
— Oui... bien sûr ! Tu verras, nos amis sont charmants...
— Qu’en dis-tu Catherine ?
— Je pense que tu mérites bien d’entrer dans notre cercle coquin... Une jeunette comme toi... cela manquait un peu... Visiblement, tu suces bien, tu acceptes des membres un peu imposants dans ta bouche et dans ta chatte... mais par-derrière qu’en est-il ?
— Oh... Tu veux dire me faire sodomiser ?
— Oui... c’est ça... Un de nos amis est un fervent de cette pratique... Nous y sommes toutes passées !
— C’est à voir... Mon copain a voulu mettre un doigt dans mon anneau plissé pour me préparer, mais il s’y est mal pris et j’ai refusé qu’il continue !
— Si tu es partante, on va remédier à cela... ça se fera en douceur...

J’avais compris ce qui se tramait dans le cerveau un peu pervers de Catherine... Elle allait user de ses jouets pour ouvrir le sphincter de notre jeune amie... Ma femme a ordonné à Ingrid de se mettre à quatre pattes au milieu du lit pour que ses fesses soient bien accessibles et elle a fouillé dans son ‘’tiroir aux secrets’’. Elle en a tiré trois Plugs de tailles diverses et un gode ceinture que je ne connaissais pas encore...
Elle a enduit l’extrémité du plus petit des jouets avec un onguent translucide puis elle l’a fait entrer progressivement dans l’anneau froncé de notre jeune Allemande qui s’est raidie...

— Tu vas sentir... ça va être bon... je vais aller doucement en faisant aller et venir ce premier jouet... Quand tu seras un peu habituée, je passerai au suivant puis au troisième... Il n’a rien à voir avec le sexe d’Hervé, mais il est quand même de bonne taille... Tu es toujours d’accord pour continuer ?
— Oh oui... Tu me fais du bien... Continue s’il te plaît !

Catherine a continué jusqu’à ce qu’elle retire le plus gros Plug des fesses d’Ingrid laissant béant le sphincter... Je n’ai pas su résister et je suis monté sur le lit et j’ai gratifié Ingrid d’une ‘’ feuille de rose ’’ très appuyée en entrant ma langue le plus profondément possible dans cette grotte béante... Mais ce que je n’avais pas vu, c’est que Catherine s’était équipée du gode ceinture et dès que je lui ai cédé la place, elle a introduit le membre factice dans le cul de notre Allemande...

— Oh... déjà !
— Oui... il faut que tu t’habitues... Le gode n’est pas très gros, mais tu le sentiras bien...
— Oui... je le sens qui remonte dans mes boyaux...

Voir ma femme sodomiser Ingrid qui semblait apprécier la chose au fil du temps a fait naître dans mon esprit une idée que je n’avais pas eue depuis longtemps... Je me suis couvert et écartant les sangles qui maintenaient le gode ceinture sur le pubis de Catherine, je me suis introduit entre ses fesses... Deux mots ont fusé :
— Oh oui !

Mais cela ne l’a pas empêchée de continuer à sodomiser notre jeune amie... jusqu’à ce qu’elle jouisse de cette intromission puis de la mienne !
Nous sommes restés emboîtés les uns dans les autres pendant quelque temps puis nous nous sommes désunis... Catherine a ôté son gode ceinture et nous nous sommes endormis... J’étais comme un pacha entre ces deux femmes à qui il ne fallait pas en promettre...

Si la journée du samedi s’est déroulée normalement, dès que notre fils a été couché et endormi, Catherine et Ingrid se sont retrouvées dans notre chambre où une nouvelle nuit très coquine a débuté.
Lorsque les ‘’hostilités’’ ont cessé, il était déjà tard dans la nuit et ces deux coquines m’avaient littéralement vidé les couilles...

Je sais qu’il y aura de nouvelles soirées coquines en attendant la libération...
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