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Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise

Chapitre 7

Hétéro
Une semaine plus tard, après avoir passé le nouvel an, Jean-Luc et Sharon accompagnés d’Oscar à l’arrière, faisaient le trajet du retour depuis Toulouse jusqu’à la maison située dans un quartier bourgeois de la banlieue parisienne. Contrairement à l’aller, ils ne pouvaient se permettre une pause coquine dans une aire de repos à cause d’Oscar à l’arrière. Toutefois, une fois rentrés, Jean-Luc savait qu’ils allaient pouvoir reprendre leurs galipettes.
Après diner, Jean-Luc jouait avec son fils avant de le coucher. Après qu’elle eut fini ses taches, Sharon voulu prendre une douche. Ça lui arrivait souvent avant de se coucher pour l’aider à dormir. Après avoir bordé son fils, Jean-Luc, entra alors dans la salle de bain et retira ses vêtements en faisant le moins de bruit possible. C’est là qu’il entra dans la cabine de douche alors que Sharon ne s’y attendait pas. Elle eut à peine le temps de se retourner qu’il la plaqua face contre la céramique de la douche, lui écarta les jambes et lui étala un peu de gel sur la rondelle.
— Mais, tu fais quoi ? Demanda-t-elle en tentant de se retourner.— Laisse toi faire. Lui répondit-il en la remettant en place.— Ne me dit pas que …. Ah ! …Mais ce n’est pas le gel spécial ? demanda t’elle en sentant le mandrin de Jean-Luc commencer une sodomie qui lui paraissait un peu douloureuse.— Non. C’est du lubrifiant normal. Comme ton petit trou s’est habitué à être rempli et que les sensations semblaient devenir moins fortes à cause du gel, je me suis dit que tu prendrais plus de plaisir comme ça.— Ah ! … ça fait …. Un peu mal …. Au début …. Mais c’est bon …. Après. Continua-t-elle à dire entre deux coups de reins violents alors que Jean-Luc lui pilonnait l’anus de son rostre.— Je savais que ça te plairait.
Sharon était en train de violement se faire sodomiser par Jean-Luc sous la douche. Jean-Luc lui avait dit qu’il souhaitait n’utiliser que du gel lubrifiant normal pour qu’elle prenne son pied elle aussi mais en réalité c’était parce qu’il ne disposait plus de ce gel spécial et que, compte tenu de la surconsommation de la crème de jour « spéciale gros seins », il fallait que Jean-Luc fasse des économies. A cause de leur différence de taille, Sharon se tenait difficilement sur la pointe des pieds. Jean-Luc continua jusqu’à jouir dans le rectum de la demoiselle. Puis, une fois les couilles vidées, il s’approcha de sa partenaire pour lui rouler une bonne galoche. Même si elle faisait la grimace au début, Sharon arborait un large sourire sur la fin quand Jean-Luc l’embrassa. Ils terminèrent alors de se doucher en se savonnant l’un l’autre.
— Eh bien, C’est nouveau que tu me savonnes autant la queue et les bourses ?— Ça te dérange ?— Non au contraire. C’est bien tu prends soin de ce qui te donne du plaisir.— Comme toi avec mes seins apparemment. — Ah mais ce n’est pas pareil. Est-ce ma faute si tu as deux œuvres d’art sur la poitrine ?— Bah si quand même. Si je n’avais pas connu cette crème que tu me donnes, ils seraient restés comme à l’origine.— C’est vrai. Ah ! tu fais la grimace quand je passe sur les tétons. Reste là je vais te soulager un peu. Ça tombe bien j’avais un peu soif après ces efforts.
Jean-Luc se mit alors à genou pour avoir son visage à la bonne hauteur et il empoigna ainsi les mamelles pour les porter à ses lèvres. Sharon prenait du plaisir à se faire téter. Après une petite douleur au début, cette sensation de soulagement lui faisait toujours autant d’éffet pendant qu’elle caressait le crâne de son amant. Elle avait presque l’impression d’allaiter un gros bébé. Il ne lui avait pas échappé que, compte tenu de leur libido et le fait qu’ils faisaient l’amour sans protection, qu’elle pourrait très bien tomber enceinte d’ici peu. C’était quelque chose qui lui trottait dans la tête depuis un moment.
Les semaines qui suivirent furent une cure de sexe intensif pour Sharon durant laquelle Jean-Luc l’initia à de nombreuses pratiques et positions. Durant leurs séances, il se montrait tantôt doux et affectueux, tantôt violent mais sans la frapper. Par violent il faut comprendre plutôt animal et puissant. Presque à chaque fois, Jean-Luc éjaculait dans le vagin de Sharon qui subissait ces assauts avec le sourire.
Un samedi soir dans la maison, Oscar dormait d’un sommeil de plomb. Dans la salle de bain, Sharon s’était habillé d’un tailleur strict et d’une minijupe. Elle était en train de se maquiller comme si elle avait un rendez-vous professionnel mais ce jour-là et à cette heure, c’était impossible. Elle sorti alors de la salle de bain ainsi apprêtée et se dirigea vers la seule pièce de la maison d’où on pouvait voir de la lumière sous la porte : Le bureau personnel de monsieur. Elle frappa et elle entendit alors un puissant « Entrez ! » s’échapper de cette pièce. Quand elle entra, elle put y voir Jean-Luc, dans son costume de chef d’entreprise avec un regard autoritaire, lui désignant de la main le fauteuil en face de lui.
— Bonjour mademoiselle.— Bonjour monsieur le directeur.— Vous avez voulu me voir afin de négocier une augmentation de salaire, c’est ça ?— Oui monsieur le directeur. Voyez-vous, mes parents ont des problèmes financiers qu’ils ne peuvent assumer seuls. Je me suis dit qu’en demandant une augmentation je pourrais les aider.— Je comprends le problème mais malheureusement, on a déjà dû vous le dire, la société rencontre des difficultés de trésorerie en ce moment. De plus, il me semble que vos performances ainsi que votre indiscipline avec vos retards répétés ne plaident pas en votre faveur.— Je sais mais j’en ai vraiment besoin. Je pourrais faire des heures sup pour gagner plus, ou autre chose.— Mmmh ! Faire des heures sup reviendrait à prendre des heures à quelqu’un pour vous les donner et ça je ne peux pas le faire. Toutefois, il y a bien quelque chose que vous pourriez faire pour mériter une augmentation de salaire, mais ce serait à titre privé.— Ah oui c’est vrai ? Quoi donc ?— Coucher avec moi.— Pardon ?— Vous me plaisez. Si vous accepter de coucher avec moi régulièrement, de devenir ma maitresse, je vous paierai.— Quoi ? Mais …. Non …. Je ne peux pas.— Très bien. Moi je vous proposais ça pour vous aider.— Il n’y a vraiment aucune autre solution ?— Aucune. Alors soit vous acceptez et on passera de délicieux moments tous les deux, soit vous refusez ma proposition auquel cas je vous demanderai de sortir de mon bureau et d’arrêter de me faire perdre mon temps.— Je n’ai pas le choix de toute façon. — A la bonne heure ! — Que voulez-vous que je fasse ?— Déshabillez-vous. Ensuite vous viendrez me sucer.
Il était évident que cette scénette était un jeu de rôle entre eux. Sharon se déshabilla de manière un peu timide, puis, une fois nue, elle se mit à genou pour sucer ce sexe qui pointait vers elle. Durant cette fellation, Jean-Luc vociféra des insanités comme « Alors petite salope, Tu l’aimes la queue du patron hein ? ». Bien sûr, elle devait répondre par l’affirmative. Ensuite, il la fit s’arrêter pour la plaquer face contre le bureau. Il ne restait plus à Jean-Luc qu’à la prendre par derrière en la tenant par la taille puis de la retourner et continuer sa saillie alors qu’elle criait des « oh oui monsieur le directeur, monsieur le directeur …. ».
Ces jeux de rôle se déroulaient régulièrement entre Sharon et Jean-Luc depuis quelques semaines. La raison était simple. Oscar avait grandi et cavalait partout. Ils ne pouvaient donc plus se lancer dans un câlin sur le divan du salon de peur de se faire surprendre. C’est pour cela que Jean-Luc lui proposa ce genre de jeu qu’il pratiquait souvent avec sa première femme sauf que cette fois c’est lui qui menait la danse à cent pourcent. Il y avait le patron et la secrétaire, le papa et la baby-sitter, Le professeur et son élève, La masseuse et son client …. Bref, un jeu érotique avec de très nombreuses possibilités.
Sharon avait appris à apprécier le sexe et elle savait que son amant aimait aussi quand elle se donnait à lui. Jean-Luc, lui, ne voyait en Sharon qu’une chose : du sexe à volonté et presque sans restriction. Toutefois, un jour après avoir encaissé une sodomie bien profonde, Sharon posa une question qui la dérangeait depuis leur retour de Toulouse.
— Ah ma puce ! Ce que c’était bon. Dit alors Jean-Luc qui reprenait son souffle.— Oui, j’ai beaucoup aimé. En fait je viens de me rendre compte que c’est pratique en fait la sodomie quand j’ai mes règles.— Oui, même quand tu ne les as pas ça permet de varier les plaisirs et les positions. Et en plus, le fait que tu aimes ça n’est pas pour me déplaire.— Dis-moi, j’aimerais savoir une chose.— Je t’écoute.— Il faut faire l’amour combien de fois pour tomber enceinte en temps normal ?— Ça dépend. Une fois peut suffire dans de bonnes conditions. Pourquoi tu demandes ça ?— Parce que, vu qu’on fait ça tous les jours et que tu jouis presque à chaque fois là où il faut, je me demandais comment ça se faisait que ça ne soit pas arrivé.— Il y a beaucoup de chose qui peuvent jouer : La qualité du sperme, la période du mois, …. Mais j’ai aussi lu que le fait d’allaiter pouvait avoir des vertus contraceptives.— Ah bon ?— Et oui. Et comme tu le sais je suis comme un gros bébé qui a soif. Mais pourquoi tu me demandes ça ? Tu veux donner un petit frère à Oscar c’est ça ?— Non pas spécialement, c’était pour savoir. Bon ce n’est pas totalement vrai. J’ai peur d’être obligée de rentrer chez moi. Je suis un peu en situation illégale maintenant que mon contrat est terminé. J’ai peur de voir la police arriver pour me mettre dans un avion direction les USA.— Aucun risque. Je ne laisserai pas faire ça.— Il y a aussi cette femme qui est candidate aux élections françaises et qui est bien placée pour être élue. Elle a dit qu’elle voulait virer les étrangers sans papiers et comme c’est mon cas, Si jamais elle gagne … Enfin bref, comme on n’est pas marié, si je veux rester ….— Ne t’inquiète pas pour ça. Le commissaire du coin est un de mes amis. Si je lui demande de t’oublier il le fera. Et puis ce que veut cette femme c’est surtout virer les « bronzés ». Toi, tu peux passer pour une française. Il n’y a que ton accent qui pourrait te trahir …. Et encore.— Ok, je comprends. Elle est comme le gros sexiste et misogyne qui a été élu à la maison blanche mais avec une robe.
Jean-Luc semblait inquiet qu’elle se pose ce genre de question. Lui ce qu’il voulait pour le moment c’était une jolie jeune femme pour s’amuser et se vider les balloches. Elle lui plaisait et il n’était pas contre le fait de refaire sa vie avec elle mais pour l’instant le sexe avec Sharon c’était juste pour le fun. Il était parvenu à s’en sortir grâce à une pirouette sur l’allaitement qui n’était pas un mensonge car c’était médicalement prouvé mais il savait que si elle ne tombait pas enceinte c’était surtout dû à, encore et toujours, cette fameuse crème de jour qui contenait la même molécule que les pilules contraceptives. Il promit alors à Sharon de tout faire pour lui avoir des papiers mais il ne lui garantissait aucun délai vu la lenteur de l’administration.
D’un certains point de vue on pourrait penser que Jean-Luc n’était rien d’autre qu’un salaud profiteur. En fait il avait juste profité du fait de soustraire une jeune fille à un destin dont elle n’avait pas envie pour retrouver les caresses et l’affection d’une femme et, pourquoi pas, satisfaire certaines envies. De son côté, Sharon avait découvert un nouveau mode de vie qui lui convenait. Celui qui était dorénavant son amant lui avait ouvert les yeux sur le fait de ne pas gâcher sa vie pour les besoins égoïstes de son père. Elle avait découvert le sexe et elle aimait ça. Elle se rendait aussi compte que Jean-Luc était très généreux pour elle. Régulièrement il lui donnait de l’argent de poche ce qui lui permettait de satisfaire sa coquetterie.
Tout se passait bien entre eux. Toutefois Sharon ne cessait de recevoir des lettres de son père qui l’exhortait à revenir pour se marier. Il n’arrêtait pas d’insister et elle, elle ne répondait pas. Il faut dire que ça faisait plusieurs mois qu’elle aurait dû rentrer et, comme elle l’a dit à Jean-Luc quand il lui a demandé ce qu’elle lui dirait quand elle le reverrait, elle disait « qu’il aille se faire foutre ». Elle n’avait toujours pas digéré la raison de son mariage forcée ni la tentative de viol de son ex future mari alliée à la passivité de son père devant la situation. Sa colère ne redescendait pas à tel point qu’il valait mieux éviter le sujet avec elle. Elle était tellement excédée que, quand son père lui a écrit, la dernière fois, il avait menacée de venir la chercher lui-même. Elle lui renvoya la lettre en ayant entouré sa menace et en écrivant en dessous le mot « Chiche ». Malheureusement, un jour elle allait devoir affronter ses démons.
Un soir, Jean-Luc revenait comme chaque jour de son travail, pressé de retrouver sa petite femme et son fils. Il fut surpris de voir, au loin, trois hommes bizarres traîner dans le quartier, non loin de sa maison. Il rentra chez lui et fut immédiatement abordé par ce trio. Parmi ces trois hommes habillés bizarrement, il y avait un jeune homme qui parlait un français approximatif et les deux autres plus vieux à qui il faisait la traduction. Jean-Luc n’eut aucun mal à deviner qui ils étaient car deux d’entre eux avaient un air de famille avec Sharon. Il imaginait bien que ça devait être son père et un de ses frères. L’autre par contre, la seule possibilité qu’il envisageait était que cet homme, qui n’avait pas l’air d’avoir inventé l’eau chaude, était l’ex futur mari de Sharon. Sachant qu’elle s’était absentée avec Oscar, il lui envoya rapidement un SMS du style « ton père est là » pour la prévenir.
Jean-Luc avait vu juste. Il avait deviné qui était ces hommes. Il les fit entrer par politesse mais comptait bien se débarrasser d’eux très vite. Faisant semblant de ne pas comprendre ce qu’ils se disaient entre eux, il s’aperçut que le jeune homme édulcorait les propos de son père qui exigeait de voir sa fille pour la ramener avec lui pendant que l’autre ne cessait de réclamer sa femme en répétant « I want my wife ». Le ton montait et les quatre hommes étaient sur le point d’en venir aux mains, Jean-Luc ayant menacé d’appeler la police mais tout ce petit monde s’arrêta quand Sharon fit son apparition avec Oscar. S’en suivi alors une violente dispute durant laquelle Sharon fini par se faire gifler par son père. Le frère essaya de tempérer la situation mais sans succès. C’est là que l’ex futur mari empoigna le poignet de Sharon pour essayer de la faire sortir comme si elle était sa propriété en disant haut et clair « You are mine ». Seulement en faisant, ça il bouscula Oscar. Ce petit gamin de trois ans effrayé de la situation car ne comprenant pas cette agressivité commença à pleurer. Puis voyant que cet homme en voulait à celle qu’il considérait comme sa mère il tenta de le taper comme il le pu en répétant « méchant » mais fut renversé par terre par l’homme. S’en était trop pour Jean-Luc. On ne touche pas à son fils. Etant suffisamment costaud, il empoigna l’homme et le vira de force de chez lui. Quand il revint pour faire de même avec le père qui commençait à lever le bras, prêt à gifler Sharon qu’il traitait de « Slut » à cause de sa tenue trop provoquante pour lui (je vous laisse traduire seul), il le stoppa. Il bloqua son bras et le père s’adressa à son fils lui demandant d’intervenir. C’est là que Jean-Luc qui, en réalité, parlait parfaitement anglais lui dit dans la langue de Shakespeare : « Ecoute moi bien quaker de mes deux, Je vais te dire un bon truc. Ta fille je la baise, je l’ai baisé et j’ai l’intention de continuer. Ici elle est heureuse avec moi. A vouloir la vendre comme une vulgaire marchandise, tu l’as perdu. Maintenant tu te barres avant que je ne me mette vraiment en colère. Je te laisse le choix : tu veux passer passer par la porte ou au travers de la fenêtre» ? Le père et le fils le regardèrent alors avec des yeux énormes ayant pigé qu’il avait tout compris de leurs conversations y compris ce que le fils avait tenté de dissimuler en tempérant leurs propos. Curieusement le fils semblait ravi de cette situation. Le père se barra en claquant la porte pendant que tout penaud le fils fit ses excuses. Avant de partir à son tour, il laissa une enveloppe avec écrit dessus « To Sharon ». Quand Sharon l’eut entre les mains, elle reconnut l’écriture de sa mère. Jean-Luc la laissa lire seule pendant ce temps-là, il partit jouer avec son fils, qui fut choqué de la violence de la scène qu’il avait vu.
Jean-Luc avait besoin de se changer les idées et de faire oublier à Oscar ce qu’il s’était passé. Il passa un moment à jouer au ballon avec lui dans le jardin en faisant le clown pour le faire rire. Quand ils revinrent, Jean-Luc fit manger Oscar et le coucha, fatigué qu’il était de toutes ces émotions.
De son côté Sharon semblait heureuse, en larme mais heureuse. Cette lettre venait de sa mère et elle disait aller bien. Comme elle le craignait, Sharon apprit que sa mère s’était bien fait battre par son père. Elle lui disait avoir ouvert une adresse mail en cachette afin de pouvoir dialoguer avec sa fille depuis un smartphone. Ainsi Sharon allait pouvoir savoir ce qu’il se passait de l’autre côté de l’atlantique en dialoguant par ce biais là. C’est alors que Jean-Luc lisait une histoire à Oscar que Sharon arriva. Elle avait bien vu que ce petit bonhomme avait tenté de la défendre comme il le pouvait et elle l’embrassa avant de lui souhaiter bonne nuit.
Une fois seuls, Sharon embrassa fougueusement Jean-Luc. Il l’avait défendu et ça, pour elle, ça comptait. Ils se sont enfermés dans leur chambre et Sharon arracha la chemise de son homme pour lui caresser le torse. Elle le fit basculer allongé sur le dos lui fit un striptease et commença à sucer la queue de monsieur qui lui déformait son pantalon …. Qu’il ne tarda pas à retirer lui-même. Ce qu’il se passa par la suite, tout le monde le devine. Empalée sur le chibre de son amant elle se déhanchait en le qualifiant de « mon héros ». Pendant qu’elle était à l’œuvre, Jean-Luc ne décollait pas ses mains de sa poitrine qui ballotait devant ses yeux. Sharon se donnait, les yeux fermés à crier le prénom de son amant. Lui, ne cessait de l’encourager voir même la guider pour faire durer le plaisir et que chacun soit content.
A son retour des Etats Unis, Sharon s’était offerte à son patron. C’est vrai qu’il ne lui était pas indifférent et elle espérait bien construire quelque chose avec lui. Elle savait qu’il repensait tout de même à sa première femme et elle le comprenait. Elle l’avait, un jour, suivi. Il avait des fleurs à la main qu’il était parti déposer sur sa tombe et se recueillir. C’est pour ça que le lendemain de cette houleuse entrevue avec son père, Sharon demanda à Jean-Luc de l’y accompagner. Elle voulait elle-même dire à Cécile, qui fut sa grande amie, que désormais elle allait prendre soin de son mari.
Tout se passa bien mais Sharon avait remarqué quelque chose. Elle se souvenait des mots de Jean-Luc qui avait dit « Ta fille, je la baise, je l’ai baisé et j’ai bien l’intention de continuer » lors de sa rencontre avec son père. N’était-elle que ça pour lui ? Une poupée gonflable ? Elle espérait bien que non. Elle avait offert sa virginité à cet homme et elle comptait bien faire en sorte qu’il officialise leur relation, quitte à l’y contraindre. Si un jour peu probable où Jean-Luc décidait « Bon c’était sympas toutes ces galipettes mais maintenant tu dégages », elle se retrouverait à la rue sans papier. Ça elle ne le voulait pas.
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