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jeune hétéro se transforme en lope une fois par an

Chapitre 2

Deuxième visite au sauna

Gay
Le sauna, partie 2


Un mois plus tard, mon escapade au sauna me trottait toujours dans la tête. J’y pensais dès que je me masturbais. Je passais d’ailleurs souvent du porno conventionnel au porno gay dans lequel j’arrivais désormais à m’identifier. Je m’imaginais à la place de ces jeunes acteurs pornos suçant, léchant et se faisant pénétrer par des hommes plus virils, plus forts, plus grands, plus vieux. L’envie d’y retourner était de plus en plus forte et je finis par y retourner un samedi soir où mes amis étaient tous indisponibles pour sortir. Moi, je comptais bien m’amuser ce soir...
Arrivé au sauna, l’homme à l’accueil me reconnut et me dit avec un sourire en coin « Ravi de vous revoir ». Il faut dire que je n’étais pas passé inaperçu lors de ma dernière visite... Je lui dis bonjour et payai avant de récupérer les clés du vestiaire et une serviette. Après un rapide tour dans les vestiaires pour me mettre en tenue d’Adam, je descendis nu comme un ver les escaliers qui menaient aux douches. Je sentais déjà mon sexe se gonfler en pensant aux hommes que je pourrais croiser. Je me sentais toujours un peu timide, mais j’avais envie d’exciter des mâles en rut, je voulais provoquer, être l’objet du désir d’un (et même plusieurs) homme et m’abandonner le temps de quelques heures. Vous admettrez après avoir lu ce récit que ce fut le cas !
Je croisai quelques hommes dans les douches, d’autres se baignaient dans la piscine en regardant le film sur l’écran incrusté dans le mur : un garçon complètement imberbe en train de sucer un homme pendant qu’un autre lui bouffait le cul. La vue de ces images m’émoustilla et je décidai de les rejoindre. Je vis leur regard se poser sur moi. Ils étaient quatre et semblaient se connaître, tous étaient plutôt bien bâtis, la trentaine, cheveux rasés ou coupés courts. J’entrai dans l’eau en descendant les quelques marches qui menaient à la piscine, en prenant soin de dandiner du cul et d’exhiber mon sexe droit devant eux. Une fois dans l’eau, les quatre hommes se rapprochèrent en m’entourant.
— Elle est mignonne cette petite, dit le premier à ma droite en m’attrapant la main pour la poser sur son sexe.— Oui, très mignonne même... surtout son petit cul qu’elle dandine comme une salope, enchérit le second derrière moi en attrapant mes hanches pour me tirer contre lui et plaquer son sexe le long de mes fesses.— Je crois qu’elle est là pour se faire enfiler... la coquine ! continua le troisième, à ma gauche en attrapant mes couilles.
J’étais arrivé depuis dix minutes et j’étais déjà en train de branler deux inconnus pendant qu’un autre frottait sa bite le long de mon sillon interfessier. Le dernier homme était face à moi, c’était un grand métis avec un sexe épais et circoncis. Il s’approcha de moi et m’attrapa par les cheveux pour me faire relever la tête. Il approcha alors sa bouche de la mienne pour m’embrasser tout en me tirant toujours les cheveux. J’ouvris ma bouche et il me pénétra avec sa langue.
— T’embrasses comme une femme, j’aime bien les jeunes lopettes comme toi. Allez, venez les gars, on va s’amuser dans une cabine en haut. Tu vas nous montrer comment tu suces, dit-il d’un ton autoritaire.
On sortit tous les cinq de la piscine, celui qui était derrière moi me mit une claque sur le cul et me dit :
— Passe en premier pour qu’on puisse te voir rouler du cul quand tu monteras les escaliers.— Pas de problème, me contentai-je de répondre avec un petit clin d’œil.
Sur le chemin, je me demandais si je n’en faisais pas un peu trop. Mais honnêtement, même si c’était le cas, mes efforts portaient leur fruit et n’avais-je pas finalement ce pour quoi j’étais venu ? En plus, leur façon de me traiter comme une femme me plaisait au fond de moi. Plus qu’insulté, je me sentais flatté. Une fois en haut, plusieurs cabines remplissaient l’étage. Bien sûr, je connaissais leur utilité. On se dirigea vers une cabine plus grande que les autres, avec un grand matelas au sol.
— A quatre pattes salope, me dit le métis en me poussant sur le matelas. Montre-moi tes talents de suceuse et t’as intérêt à bien baver parce que c’est le seul lubrifiant auquel t’auras droit.

J’approchai ma bouche de son sexe et commençai à lécher ses boules. Son sexe, encore à moitié mou, retombait sur mon visage, sur mon nez et je sentis son odeur virile. Loin de me dégoutter, ça m’excitait. Je remontai alors doucement avec ma langue le long de son sexe jusqu’à son gland que je gobai. J’aimai sentir son sexe durcir dans ma bouche, sous l’action de ma langue tournoyant autour de son sexe d’ébène gonflé et veineux.
— Alors Max ? Elle suce bien ? On s’ennuie nous, ça te dirait pas de nous branler ma jolie ? dit l’un de ceux que j’avais branlés dans la piscine.— Ouais, elle est douée, encore plus que toi, rigola Max.
Sans m’arrêter de sucer Max, je me remis à branler les deux hommes dont je m’occupai déjà à la piscine. Pendant que je m’affairai, le dernier qui semblait être fétichiste de mon cul s’était agenouillé derrière moi et me prodiguait un très agréable anulingus. Sa langue forçait mon anus en effectuant des va-et-vient pendant que ses mains m’écartaient les fesses. Sa langue fut remplacée par un doigt, puis deux. Pendant ce temps, je m’appliquais toujours à sucer du mieux que je pouvais. Comme Max me l’avait demandé, je bavais abondamment sur sa bite et je ne tentais même pas de retenir la salive qui coulait sur ses couilles puis sur le matelas, mais aussi sur mon menton et mon torse.
— Elle est prête Ronan ?— Oh oui, elle est à toi, répondit l’homme qui avait continué de s’occuper de mon petit trou tout ce temps.
Max se releva et se plaça derrière moi, il positionna son sexe en érection devant mon anus.
— Tu veux que je t’encule ? me demanda-t-il.— Oui.— Je veux que tu me le demandes.— Enculez-moi s’il vous plaît, dis-je.— Supplie-moi.— S’il vous plaît, enculez-moi. Je suis une salope et je veux être baisée, le suppliai-je.— Très bien alors qu’est-ce que t’attends pour t’enfoncer sur ma bite ?
Le salaud, tout ça pour ça. Sans hésitation, je reculai mon bassin et sentis tout de suite son sexe posé contre mon anus faire pression. Je poursuivis mon mouvement et centimètre après centimètre, son sexe dur et épais finit par se retrouver en totalité dans mon fondement. Max reprit alors les choses en main et commença à me besogner. D’abord doucement puis de plus sauvagement. Son sexe entrait au plus profond de moi puis ressortait avant de rentrer à nouveau. A chaque va-et-vient, ses couilles cognaient contre les miennes. La chaleur qui m’envahissait et cette sensation d’être comblé, rempli par le sexe d’un homme comme lui étaient exquises. Des râles (ou plutôt des petits couinements) m’échappèrent.
— C’est bien ce que je pensais, on est tombés sur une salope de compétition les gars, je l’ai vu dès le premier coup d’œil !
J’avais arrêté de branler les deux hommes pendant la manœuvre, mais ils étaient en train de se branler mutuellement alors je les laissai s’occuper. Ronan, lui par contre, avait échangé sa place avec Max et me présentait son sexe, plus fin, mais plus long que celui des autres. Je compris assez vite ce qu’il attendait de moi et je le pris en bouche. J’avalais sa bite au rythme des assauts que subissait mon cul. Il m’attrapa soudain la tête de ses deux mains et commença à accélérer la cadence, puis il s’immobilisa au fond de ma bouche et je sentis de puissants jets de sperme m’inonder la bouche. J’en avalai une partie directement, mais la majorité tomba sur le matelas. Il me maintenait toujours la tête et gardait son sexe bien au chaud au fond de ma bouche.
— T’avais raison, elle suce super bien, par contre elle a pas tout avalé. C’est dommage, tu frôlais la perfection là... Mais bon, tu vas tout nettoyer pas vrai ?— Oui bien sûr, dis-je en léchant son sexe puis ses couilles jusqu’à ce qu’elles soient bien propres.— Oublie pas le matelas ! rigola-t-il en me plaquant le visage sur le matelas souillé par ma salive et son sperme.— Oh putain, moi aussi je vais pas tarder à jouir, s’exclama Max. Voir cette salope le visage plaqué sur ce matelas rempli de sperme m’excite trop !
Moi aussi je me sentais venir d’ailleurs, la situation m’excitait autant qu’eux. Soudain, Max s’enfonça encore plus profondément en moi et se crispa. Je sentis ses jets de sperme couler dans mon fondement et taper dans mon anus. Cette vague de sperme chaud déclencha en moi une réaction en chaîne et je sentis mon sperme couler sur le matelas en continu. C’était beaucoup trop bon et je m’affaissai complètement sur le matelas. Une forte claque sur mes fesses me fit sortir de ma torpeur.
— Tu crois que c’est fini ? Une bonne salope nettoie toujours ses saloperies alors viens nettoyer ma bite, m’ordonna Max. Ensuite tu lécheras le sperme que t’as foutu sur le matelas, continua-t-il pendant que je me retournais pour le nettoyer.
Sa bite avait un goût clairement différent par rapport à tout à l’heure. Mélange de mon cul et de son sperme. Une odeur et un goût beaucoup plus âcre. Comme pour Ronan, je léchai méthodiquement d’abord son gland, puis toute sa bite avant de passer à ses couilles en laissant tomber son sexe devenu plus mou sur mon visage. Je ne sais pas pourquoi, mais j’adorai faire ça, sentir tout le poids de son sexe sur mon visage avait quelque chose d’assez humiliant.
— C’est bien, maintenant nettoie tes saloperies. Noé, Paul, c’est à votre tour maintenant.— On arrive tout de suite, tu nous as fait attendre dis donc !— Ouais bah quand on tombe sur une perle comme ça, on essaye de faire durer le plaisir, en plus je l’ai lubrifié exprès pour toi, rigola Max.
Je compris que je n’en avais pas encore fini. Alors que j’étais en train de lécher mon sperme sur le matelas, Noé me pénétra. Il n’eut aucune difficulté à entrer en moi étant donné que j’étais bien dilaté. Je remarquais que Paul ne se plaça pas devant moi comme je m’y attendais, mais plutôt derrière son ami qu’il pénétra pendant que lui même me baisait. Cette seconde sodomie me refit bander. Après plusieurs minutes, Paul se retira de son ami pour se placer devant moi, il m’éjacula sur le visage.
— C’est le maquillage des salopes !
Noé continuait de me besogner de plus en plus frénétiquement, les trois autres nous regardaient, rigolaient et encourageaient leur ami à me « baiser comme une chienne ». Je jouis une seconde fois et Noé ne se fit pas attendre non plus. En me relevant, je sentis le sperme que j’avais dans le cul couler le long de mes cuisses. Après avoir nettoyé sa bite et mes deuxièmes saloperies, ils m’accompagnèrent prendre une douche puis faire un tour au sauna.
Finalement, je décidai de rester encore un peu pour me reposer avant de rentrer chez moi. Eux partirent ensemble après m’avoir payé plusieurs verres au bar et je ne les ai encore jamais revus. Pourtant, chaque fois que je retourne au sauna, j’espère toujours retomber sur eux...

PS : Voici ma seconde histoire, je vous remercie pour les commentaires encourageants du chapitre précédent. J’espère que vous apprécierez autant cette suite !
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