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Un jeune homme à la capitale

Chapitre 2

Première expérience

Inceste
L’ambiance est donc plutôt gaie et décontractée. J’ai l’impression d’être à des années-lumière du domicile familial où un éclat de rire est incongru et où, enfant unique, je m’ennuie à mourir. Je me sens quasi en vacances d’autant que ce stage ouvrier, période de découverte de l’entreprise, ne m’obligera qu’à la rédaction d’un rapport peu consistant. Pas de longues heures d’études le soir. Le bonheur... Ma tante a concocté, en l’honneur de son jeune homme préféré, dit-elle, un succulent déjeuner, et elle a tenu à ce que nous l’arrosions dignement d’une bouteille de vin. Moi qui n’en bois jamais, j’ai la tête qui tourne agréablement alors qu’elle nous ressert régulièrement en dévidant des histoires de famille dans lesquelles je trouve que les aventures et les adultères prennent une grande part. Mais cela la fait rire aux éclats. Elle est drôle, séduisante, gaie comme un pinson. Un rayon de soleil lorsque l’on sort d’une famille quelque peu austère.
— Et tu aurais vu la tête de ta tante Danielle, la sœur de ton père, lorsqu’elle est entrée dans l’étable pour y trouver son mari et la bonne de la ferme ensemble. Lui avec le pantalon sur les chevilles. Il a essayé de s’enfuir, car ta tante Danielle était une matrone à la main leste et là, elle avait un battoir à la main !— Mais que faisait-il dans l’étable son pantalon baissé ?
Elle me regarde d’un air surpris, hausse les épaules puis éclatant de rire, elle me dit :
— Sûrement pas la traite des vaches. Toujours est-il qu’en essayant d’échapper à sa femme, il s’est pris les pieds dans son pantalon et s’est étalé sur le sol de l’étable. Il s’est cassé le nez. Un mini-scandale familial. La bonne a été licenciée. C’est un valet de ferme qui a été embauché pour la remplacer.
Je la regarde rire de ses histoires et même si je ne comprends pas toujours le comique de situation, je ris moi-même de bon cœur. Quel plaisir que cette bonne humeur permanente ! Chez moi, on ne rit pas à table. Et on évite de parler...
...
Après le déjeuner, elle propose de m’aider à ranger mes affaires avant une courte sieste pour me remettre de la fatigue du voyage. Quelque peu chancelant, nous rangeons mes vêtements et dans l’espace exigu de la chambre, je me trouve plusieurs fois à frôler sa croupe, ce qui me trouble, alors que j’ai de plus une vue plongeante dans son décolleté.

Arriva le moment où elle éclate de rire en rangeant mes slips :
— Eh bien, on ne peut pas dire que tu sois à la mode avec de tels sous-vêtements !— Mais ma tante, que voulez-vous que je porte ?— Mais des caleçons bêta... C’est bien plus agréable...— Comment le savez-vous ? Vous en portez ?— Qu’il est sot, dit-elle en me caressant la joue, tu as déjà vu une femme en caleçon ?
Je deviens rouge comme une pivoine, ce qui la fait rire et elle ajouta :
— En caleçon ou non, j’ai l’impression que tu n’as pas vu beaucoup de femmes. Je me trompe ? Il va être temps de faire ton éducation. C’est urgent. Bon, je vais m’allonger pour me reposer, ensuite nous ferons une promenade.
Elle monte dans sa chambre alors que je tire les rideaux afin de briser la lumière printanière, puis je m’allonge sur mon lit. Peu habitué à la sieste, il me semble normal de rester habillé. Dans cette légère pénombre, je m’enfonce dans une torpeur agréable due à la fatigue et surtout au vin. Mes pensées vagabondent et reviennent sans cesse vers ma tante, ses seins, sa croupe. Une excitation monte lentement. Je déboucle mon pantalon, le baisse ainsi que mon slip et commence un lent mouvement de masturbation en évoquant tante Brigitte... La maison est silencieuse et si tante Brigitte descend, je l’entendrai dans les escaliers. Le vin et la fatigue eurent raison de moi et je sombrais dans un sommeil peuplé de femmes nues avec les traits de ma tante...
— Eh bien, toi, tu sais te mettre à l’aise !!!
La voix amusée de ma tante me réveille en sursaut. Elle se tient dans l’encadrement de la porte et regarde le piteux spectacle que je lui offre : allongé sur le dos, pantalon et slip à mi-cuisse, le sexe en érection. Tétanisé de honte, je suis, pendant un instant, incapable de bouger. Puis je reprends mes esprits, tire le couvre-lit sur moi et bégaye.
— Pardon ma tante, pardon...
Elle s’approche et s’assoit sur le bord du lit.
— Ne panique pas, j’en ai déjà vu des sexes d’hommes. Plus que tu n’as vu de femmes nues, j’en suis sûr. Et d’ailleurs, pourquoi le cacher ? ajoute-t-elle en repoussant le couvre-lit, il est joli...
Je ne savais que dire, je suis rouge et j’ai du mal à déglutir. Sans me laisser le temps de réagir, elle pose sa main sur mon sexe et immédiatement je me remets à bander.
— Je vois que tu réagis vite, la fatigue du voyage est passée dirait-on.
Sa main me caresse doucement d’un lent mouvement de va-et-vient.
— C’est l’apanage de la jeunesse cette vigueur. As-tu eu beaucoup de copines ?
Mes yeux passent de mon sexe emprisonné dans sa main à sa poitrine qui se trouve sous mes yeux. Je bégaye en mentant maladroitement :
— Quelques, quelques-unes.— Et elles t’ont fait cela ? demande-t-elle en se penchant et en prenant mon sexe dans sa bouche.

La sensation fut extraordinaire. Je m’étais déjà masturbé dans un gant de toilette tiède. Cela n’avait rien à voir. La chaleur de sa bouche, sa langue qui virevolte autour de mon gland, tout cela m’était totalement inconnu. Je regarde quelques instants sa tête monter et descendre au-dessus de mon ventre, puis ses fesses proches de ma tête. N’y tenant plus, je glisse ma main sous sa robe, remonte, pose la main sur ses fesses qui ne semblent protégées par aucun sous-vêtement. Le contact direct avec sa chair tiède, c’en était trop pour moi, c’est l’explosion. Elle garde mon sexe dans sa bouche, serre les lèvres autour de ma hampe et continue son lent va-et-vient. Je me répands longuement dans un grognement incontrôlé. Je n’ai vu une telle chose que dans les revues pornographique que les copains s’échangent au lycée, et voici que j’en suis l’acteur.
Un moment qui me parut une éternité s’écoule, puis elle relève la tête :
— Qu’est-ce qu’on dit ? Merci Tatie...
Et devant ma figure, elle éclate de rire. Un rire si communicatif que bientôt, nous sommes tous deux secoués d’un fou rire sans fin.Une fois ce rire calmé, je me rendis compte que j’ai toujours ma main sur ses fesses, sous sa jupe. Je la retire vivement :
— Pardon ma tante.— Que tu es fatigant à toujours t’excuser ! Nous allons vivre deux semaines ensemble, il vaut mieux que tu sois moins cérémonieux et plus décontracté. Il était temps que tu viennes à Paris, car tu es vraiment un provincial. Heureusement, ta tatie va s’occuper de son neveu. Pousse-toi, fais-moi une place.
Je me déplace vers le bord opposé du lit alors qu’elle fait passer sa robe par-dessus sa tête. Elle m’apparaît en sous-vêtements affriolants. Je n’en ai jamais vu de tels, surtout pas chez moi, car ma mère n’est pas du genre femme fatale. Ce que ma tante me confirme :
— Ce n’est pas ta mère qui porterait cela, pas vrai ? Tant d’argent dépensé pour ses petites choses qu’on ne pense qu’à ôter...
Joignant le geste à la parole, elle retire en un tour de main son soutien-gorge et ce qui s’avère être un string et se glisse sous les draps. Je ne peux qu’entr’apercevoir une belle poitrine, lourde, mais ferme, semble-t-il, et un sexe dont la pilosité est taillée au cordeau. Cette courte vision suffit pour que j’entre de nouveau en érection.
— Viens donc sous les draps, nigaud, tu ne vas pas rester entre les draps et le couvre-lit.
Je repousse le couvre-lit et me redresse. J’enlève lentement pantalon et teeshirt et j’ai un moment d’hésitation alors que mon slip est toujours à mi-cuisse. Dois-je le remonter où l’ôter ?
— Tu peux le retirer, il me semble que j’ai déjà vu ton sexe. Et de près encore...

Piquant un fard, je me débarrasse prestement de mon slip en regrettant cette éducation rigide source de mon inexpérience et de mon ridicule. Puis je me glisse entre les draps et dans le même élan, je me colle contre ma tante.
— A la bonne heure, un peu de cran jeune homme, tu as beaucoup de choses à apprendre.
Elle glisse sa main entre nous, saisit mon sexe pour en mesurer la rigidité et s’exclame.
— Bon, les conditions sont réunies pour continuer la leçon...
Elle me repousse sur le dos, m’enjambe et se retrouve sur moi. J’ai sa poitrine à quelques centimètres de mon visage et elle s’amuse à me caresser les joues avec la pointe de ses seins qui sont doux et qu’elle balance en bougeant le torse lentement.
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