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Un jeune homme à la capitale

Chapitre 12

Promotion canapé (suite)

Avec plusieurs hommes
L’autre ne tarda pas à faire descendre la culotte jusqu’à mes genoux et à insinuer sa main vers mon sexe, bien que je tentais de serrer les cuisses. Sa main entreprit un va-et-vient sur mon sexe dénudé.
— Mais elle mouille la cochonne. Ça lui plaît, s’écria-t-il.
Il est vrai que la situation et surtout la pensée que je suçais ton oncle m’avait excitée plus que je ne l’aurais cru.M. Imbert glissa un doigt puis deux dans mon sexe et se mit à me prodiguer une caresse, un peu brutale, mais ô combien efficace.
— Tu aimes ce que je te fais, hein cochonne... Mais les doigts, ce n’est pas ce que tu préfères, j’en suis sûr.
J’entendis le bruit du zip de sa fermeture éclair de braguette puis l’instant d’après, son sexe était à l’entrée du mien. Je n’avais plus envie de résister, je ne pensais même plus au poste convoité, je n’avais plus en tête que mon plaisir. J’écartai un peu les genoux et me cambrai. M. Imbert s’engouffra d’un trait jusqu’à la garde. J’eus un petit moment d’arrêt, pour savourer la présence de ce membre au plus profond de mon intimité, puis je repris ma fellation de plus belle, pendant qu’Imbert faisait monter mon plaisir à grands coups de reins.Je sentis le sexe de M. Livert monter dans ma gorge et le goût âcre de son sperme envahir ma bouche tendit qu’il poussait un grognement de satisfaction. Comme la veille, j’attendais qu’il ait éjaculé la dernière goutte pour faire le ménage avec ma langue. L’autre, accroché à mes hanches, continuait ses va-et-vient et se mit à claironner.
— Eh bien Philippe ? Déjà ? Regardez comme je bande mon ami. Je me retiens n’est-ce pas. Et je l’ai maintenant pour moi tout seul. Cela vous dérange si je l’enfile sur votre bureau, il en a vu d’autres, ce cher vieux bureau.
Comme M. Livert ne disait toujours rien, Imbert me libéra de son emprise et se releva. Son éducation lui ordonna de m’aider à me relever.
— Venez ma chère, vous méritez une position plus confortable.
Une fois debout, ma culotte glissa jusqu’à mes chevilles et d’un petit mouvement de pied, je m’en débarrassais tandis qu’Imbert ôtait son pantalon qu’il avait jusqu’alors juste ouvert. Il présentait toujours une belle érection. Son sexe était plutôt mince, mais d’une longueur honnête.
— Allons chère Brigitte, venez par ici.
Il me guida entre le bureau et M. Livert qui nous regardait, avachi dans son fauteuil en tripotant son sexe maintenant flasque. Il me fit pencher vers le bureau. Il troussa ma jupe et me mit une petite claque sur les fesses.
— Avouez Philippe qu’elle a un cul magnifique. Dommage que vous sembliez un peu... désarmé. Bon, j’en profite.

Il présenta de nouveau son sexe à l’entrée du mien et m’enfila. J’étais debout, penchée sur le bureau, la poitrine reposant sur le dessus de bureau en cuir et je subissais les assauts de M. Imbert qui ne semblait pas pressé de conclure. Je bougeais à son rythme pour essayer de l’aider à monter au septième ciel, mais rien n’y faisait. Je pensais à Me Imbert qui devait avoir un drôle de spectacle avec, au milieu de son champ de vision, le fessier de son collaborateur qui s’agitait.M. Imbert se retira, et me pria de me relever :
— Allons ma belle, relevez-vous, voilà. Tournez-vous et posez vos jolies fesses sur le bureau. Bien... Laissez-vous aller en arrière. Parfait. Relevez les jambes. Je suis sûr que M. Livert appréciera de voir votre vulve, lui qui n’a vu que le dessus de votre crâne.
J’étais exhibée, allongée sur le dos sur le bureau, les cuisses relevées, les jambes retenues par les mains sous mes genoux. Mon intimité s’étalait sous le regard de ses deux hommes, l’un dans son fauteuil essayant de redonner de la vigueur à son sexe mou, l’autre, pérorant debout, le sexe en érection, le front en sueur avec de larges aréoles qui décoraient sa chemise sous les aisselles.
— Alors Philippe ? Non ? Tant pis, j’y retourne...
Et il enfila de nouveau son sexe, dans le mien, de toute sa longueur.
...
Le récit de ma tante m’avait de nouveau mise dans tous mes états. Mon sexe en érection pointait de nouveau entre les pans de mon peignoir. Ma tante fit semblant de ne rien voir, but une gorgée de champagne puis reprit le récit de ses frasques.
« M. Imbert était penché sur moi, ahanant à chaque coup de reins. Il finit par se pencher tant que nous étions visage contre visage et qu’il m’embrassa en enfonçant profondément sa langue dans ma bouche. Je vis derrière lui M. Livert qui s’était relevé et qui tenait dans sa main son sexe qui avait repris une vigueur certaine :
— Mon cher Patrick, dit-il, je ne sais pas si c’est de voir vos fesses s’agiter sous mon nez ou si c’est votre performance sexuelle, mais cela m’a donné des idées. Et de l’énergie... Une énergie que je voudrais vous faire partager...
Je le vis s’enduire le sexe de salive tandis que prise d’une impulsion subite, j’enfermais M. Imbert dans mes bras. Celui-ci cessa son baiser sauvage et tenta de se relever alors que M. Livert était collé derrière lui. Trop tard... Avec une habileté qui traduisait une longue expérience, M. Livert introduisit son gland entre les fesses du DRH et d’une poussée inexorable s’enfonça dans son anus.Imbert poussa un petit cri à moitié de surprise et à moitié de douleur. Je sentis son sexe qui était toujours en moi doubler de volume... Les deux cochons n’en étaient pas à leur première expérience de ce type.Juge, mon neveu de la situation ; j’étais sur le dos sur le bureau, jambes en l’air avec la queue du DRH de l’entreprise plantée dans mon intimité alors que celui-ci se faisait sodomiser par le directeur.Après quelques mouvements désordonnés, nous nous mîmes en harmonie de mouvements. Les coups de reins de M. Livert donnaient la cadence.
— Mon cher Patrick, votre cul est aussi accueillant que le con de Brigitte, encore que je ne l’ai pas encore essayé. Mais saurez-vous sucer comme elle ? A voir aussi... Ah je crois que je vais jouir dans votre cul cher ami. Je viens, je viens...
Il poussait un véritable grognement. Je sentis M. Imbert se cambrer et se déverser à son tour dans mon sexe alors que balayée par l’orgasme, je laissais tomber mes jambes.Nous restâmes de longues minutes absolument inertes, puis M. Livert se retira. M. Imbert fit de même, et tous les deux, me prenant galamment chacun par une main, me redressèrent. Je restais assise sur le bureau, puis je me mis lentement sur mes jambes flageolantes et je me penchais pour récupérer ma culotte qui gisait sur le sol, et l’enfilait.
— C’est vrai qu’elle a un cul superbe, dit M. Livert.— Et beaucoup de talents, répliqua M. Imbert. Mon cher Philippe, je pense que vous avez fait le bon choix.— Eh bien, arrosons donc cette promotion. Patrick, sans vous commander, voyez dans le frigo, il doit y avoir une bouteille de champagne.
Nous le vîmes, les fesses à l’air partir vers le frigo et revenir avec une bouteille, son sexe pendouillant entre ses cuisses maigres.
— Et remettez votre pantalon, mon vieux, vous êtes ridicule.
Devant l’air dépité de M. Imbert, sa queue à l’air et sa bouteille de champagne dans les mains, nous partîmes, M. Livert et moi, d’un grand éclat de rire bientôt partagé par M. Imbert.J’étais devenue secrétaire de direction... »
...
Le récit de ma tante m’avait excité à un point que je ne saurai dire. A peine eut-elle fini que j’étais debout et que je laissais tomber mon peignoir, exhibant mon sexe dressé. Ma tante y jeta un coup d’œil amusé et sans mot dire, elle posa son verre et se retourna dans son fauteuil, d’un mouvement fluide qui l’amena à se retrouver les genoux sur l’assise du siège. Elle posa sa tête sur ses bras croisés sur le haut du dossier et attendit. Je m’approchais, relevais son peignoir découvrant ses fesses magnifiques. Et tel M. Imbert, j’approchais mon sexe du sien qui était inondé. Visiblement, revivre son aventure l’avait autant excité que moi. Je poussais mes hanches en avant et je l’embrochais de toute la longueur. Elle poussa un soupir d’aise tandis que je commençais de vigoureux mouvements qui faisaient trembler ses fesses. Je regardais ces deux globes charnus réagir à mes coups de boutoir avec des yeux exorbités. Cela dura un certain moment.

Je ne voulais pas prendre mon plaisir trop vite. Soudain, ma tante tourna la tête et les épaules et glissa une main entre nous. Elle se saisit de mon sexe qu’elle sortit du sien. D’un geste assez obscène et pourtant excitant, elle se pencha et laissa couler sa salive sur mon gland. Puis elle reprit sa position sans lâcher ma hampe qu’elle dirigea vers son anus. Elle l’appuya doucement, mais fermement. J’accompagnais son mouvement en avançant les hanches et je sentis mon gland pénétrer lentement. Puis ma tante lâcha ma verge et je continuais ma lente poussée jusqu’à ce que mon bas-ventre vienne buter sur ses fesses. J’étais dans son cul ! Je repris mes mouvements de va-et-vient avec plus de douceur, m’amusant à me retirer presque entièrement avant de m’enfoncer de nouveau de toute ma longueur. Ma tante haletait.
— Plus vite, m’intima-t-elle.
J’accélérais et ses gémissements prirent de l’ampleur. J’accélérais encore puis, pris de frénésie, j’adoptais un rythme dément. Ma tante hurlait presque.
— Vas-y ! Plus fort ! Plus fort ! Défonce-moi ! Oui, oui ?? Ahhh.
Son corps se mit à trembler sous la puissance de son orgasme qui déclencha le mien. Abuté à ses fesses, je me déversais dans son cul en gémissant. J’eus l’impression de lâcher des quantités invraisemblables de sperme. Après un long instant de silence et d’immobilité, je me retirai doucement. Ma tante resta un instant dans cette position impudique puis son peignoir glissa, masquant son cul de rêve. Elle reprit sa position assise. De la sueur perlait sur son front et ses joues étaient rouges.
— Eh bien, dit-elle d’une voix essoufflée, cela faisait quelque temps que je ne m’étais pas fait enculer.
Elle se pencha, se saisit de la bouteille et remplit nos coupes. Elle m’en tendit une.
— A ta santé mon neveu. A ta première sodomie. Il te faudra maintenant sodomiser un homme pour voir la différence. Cela t’a-t-il plu ?— Oh oui, ma tante, dis-je en prenant ma coupe. C’était extraordinaire. Vous avez de si belles fesses. Je ne vous ai pas fait mal ?— Mais non. La salive est un très bon lubrifiant. Et j’étais terriblement excitée d’avoir revécu ma promotion canapé. Je peux te dire qu’entre Mr Imbert, Mr Livert et moi s’est ensuite établie une relation particulière. Rien n’était soupçonnable et nous continuions à avoir les mêmes rapports hiérarchiques, le même vouvoiement. Mais il y eut quelques parties de jambes en l’air mémorables...
Bon... il est temps d’aller se coucher. Je vais me doucher... A demain mon neveu...Je m’allongeais dans le canapé en rêvassant. Tout de même, ma tante, quelle cochonne ! Et quelle chance j’avais de faire mes premières armes avec un tel professeur. J’entendis que la douche ne coulait plus. La salle de bain était libre. Je pris une douche puis je redescendis dans ma chambre. Je me couchai et m’endormis comme une masse...
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