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Un jeune homme à la capitale

Chapitre 15

Aïcha (suite)

Erotique
— Oui, bravo, ajoutais-je, vous sucez comme une déesse. Je vois que vous avez bénéficié des leçons de ma tante.— Sur ce sujet, je n’y suis pas pour grand-chose, répondit celle-ci, explique-lui Aïcha !— Eh bien, dans ma cité, c’était une bande de garçons qui faisait la loi. Et lorsque je rentrai de l’école, il y en avait toujours un ou deux pour m’emmener dans les caves et je devais les sucer. Sinon ils m’auraient violée, ce qui aurait été le comble du déshonneur, car chez nous, pour se marier, il faut être vierge. Je n’étais pas la seule dans ce cas, toutes mes copines y passaient...— Alors vous êtes toujours vierge ?
Elle sourit.
— Oh non, depuis que j’ai rencontré votre tante, j’ai compris que je ne pourrais jamais épouser un de ces imbéciles et que ma vie est ici, en France. Le retour au bled, pour être épousée par un vieil oncle, très peu pour moi.— Bravo, ma petite. Tu vois mon neveu, notre association qui aide les jeunes filles à s’insérer en France fait du bon travail. Nous leur ouvrons les yeux et les aidons à s’émanciper. Mais si Aïcha est un cas particulier, car en général, si nous mettons en place des cours d’éducation sexuelle, nous n’allons pas jusqu’aux travaux pratiques, dit-elle en riant.
Puis elle redevint sérieuse.
— Mais Aïcha a été une élève très attachante et très motivée.
Nous étions tous les deux nus sur nos fauteuils et Aïcha était debout devant nous, habillée. Je fis remarquer à ma tante l’étrangeté de la situation.
— Tu as raison. Mais comme je n’ai pas le courage de monter chercher un peignoir, ce serait plutôt à Aïcha de se mettre à l’aise...
Je sautai sur l’occasion et me levai. Je tournai autour de la Marocaine, admirant ses formes pleines et je détachai son tablier, le laissant choir sur le sol. Je continuai de l’interroger.
— Mais maintenant, tu n’as plus d’ennui avec cette bande ?
Son chemisier était boutonné dans le dos, je m’attaquai à la rangée de boutons.
— Non, j’ai changé de banlieue. Depuis que je fais des ménages, j’ai pu trouver une location avec l’aide de l’association. Maintenant, on ne me force plus.
Le chemisier vint rejoindre le tablier sur le sol, dévoilant de petits seins fermes fièrement érigés. Je les caressai un instant et sentis la jeune fille frémir.Je dégrafai la fermeture de sa jupe qui tomba sur ses chevilles, découvrant une croupe mince et musclée. A peine couverte par une culotte de satin mauve d’une belle qualité. Je subodorai un cadeau de ma tante, car je savais que ce genre de sous-vêtements était couteux. Ma tante me le confirma.
— J’aime la voir avec de jolis dessous alors quelquefois, nous allons ensemble faire du shopping. Ce qui donne parfois des scènes cocasses, car avec Aïcha, les essayages sont parfois torrides. La dernière fois, elle est sortie de la cabine d’essayage pour me demander si le string lui allait bien et j’ai cru qu’à sa vue, le seul client allait tomber d’apoplexie.
Aïcha pouffa.
— Oui, confirma-t-elle, c’était amusant. Lorsque nous sommes sorties, il était encore assis, essayant de dissimuler son érection tenace.
Je fis glisser sa culotte le long de ses cuisses charnues. Elle n’était plus vêtue que de ses bas Dim Up que je décidai de lui laisser. Je retournai dans le fauteuil pour pouvoir l’admirer. C’était une jolie fille. Sa toison pubienne était fournie et très noire. Quasi brillante, elle attirait irrésistiblement l’œil comme son derrière attirait la caresse...
— Tournez-vous, vous Aïcha que mon neveu voit comme vous êtes bien faite.
Sans pudeur, elle se tourna lentement sur elle-même.
— Ma tante, Aïcha nous a apporté beaucoup de plaisirs, ne serait-il pas juste que nous lui rendions la pareille ?— Je ne crois pas qu’Aïcha y voit un inconvénient, mon neveu.
Je me levai, pris la demoiselle par la main et la menai vers la table où la guidant gentiment, je la fis se pencher jusqu’à ce que son torse reposa sur la nappe. Puis je me reculai tandis que docile, elle restait immobile, son cul ouvert offert à nos regards.
Je tombai à genoux et avançai mon visage entre ses cuisses. Je commençais à la lécher avec ardeur. Très vite, je la sentis réagir. Ma tante quitta son fauteuil et vint s’agenouiller à côté de moi. Elle se saisit de mon sexe à demi érigé en commençant un lent mouvement masturbatoire.
Puis, me poussant gentiment, son visage prit la place du mien entre les cuisses de la jeune fille qui haletait de plus en plus fort. S’interrompant, ma tante tourna la tête vers moi et se penchant, elle me gratifia d’un long baiser profond et dans l’échange de salive, je reconnus les saveurs intimes d’Aïcha. Puis elle attira ma tête entre les cuisses brunes et ce fut à moi de continuer à satisfaire sa jeune protégée.
Tandis que je m’appliquai de mon mieux, ma tante se leva et je l’entendis fouiller un tiroir puis elle revint près de moi.
— Lèche-lui donc l’anus, me dit-elle, la feuille de rose est une caresse appréciée. Pas seulement des femmes.
Ayant le visage dans l’intimité de la jeune fille, je savais que son hygiène était irréprochable et c’est sans dégout que je m’exécutai. Aïcha avait le corps parcouru de petits tremblements et elle gémissait maintenant sans discontinuer... Ma tante m’écarta doucement et je me relevai. Nous nous retrouvâmes debout devant le cul offert.
— Regarde, je sais ce qu’elle aime, dit-elle, en exhibant une sorte de champignon en plastique bleu.
Elle me le montra en m’expliquant:
— La forme permet qu’il ne soit pas expulsé involontairement et la base large permet qu’il ne s’enfonce pas trop.
Elle le recouvrit de salive et se relevant, elle le pointa à l’entrée du derrière de la jeune fille qui se cambra. Ma tante appuya sur le plug qui pénétra lentement l’anus d’Aïcha laquelle eu un cri de plaisir malgré le diamètre de l’engin que je trouvai conséquent. Plus gros en tout cas que ma verge.
— C’est un plug anal, me dit ma tante, continuant ses explications comme une maîtresse d’école. On peut le garder longtemps en place, ce qui est très excitant.
Durant ses explications, Aïcha ondulait en de lents mouvements, poussant ses fesses d’avant en arrière, indifférente à notre bavardage.
— Bien, reprit ma tante, pensons à nous...
Elle se pencha, prit ma verge tendue dans sa bouche et en quelques mouvements, elle accrut ma vigueur. Elle abandonna ma queue, se tourna et se pencha, m’offrant son derrière généreux.
— Maintenant, prends-moi fort, dit-elle en enfouissant son visage entre les cuisses de la Marocaine qui redoubla de gémissements.
Presque sans tâtonner, je me retrouvai plongé jusqu’à la garde dans le sexe de ma tante qui était ruisselante d’excitation. Je la pilonnais le plus fort possible, encouragé par les cris d’Aïcha qui s’étaient transformés en rugissement de plaisir.J’étais au comble de l’excitation, mais je retenais facilement mon plaisir. La séance avec Solange et Arlette et la fellation d’Aïcha avaient entamé sérieusement mes ressources et si je bandais ferme, je pensais pouvoir résister indéfiniment à la montée du plaisir.
Toujours pilonnant vigoureusement ma tante, je sentis celle-ci atteindre un orgasme intense. Elle dégagea sa tête des cuisses de sa protégée et cria son plaisir tandis que, la maintenant par les hanches, je continuais mes coups de boutoir. Son cri dura longtemps, accompagné par les rugissements de la Marocaine. J’étais couvert de sueur, ainsi que les deux filles. Enfin, ma tante se dégagea de mon étreinte et elle saisit mon sexe dans sa main le masturbant avec vigueur. De son autre main, elle arracha le plug du cul d’Aïcha qui poussa un cri de déception. Mais ma tante pointait déjà mon sexe qu’elle tenait fermement, à l’entrée de l’anus de sa protégée et d’un mouvement de hanche, je m’enfonçai sans difficulté dans le cul offert. Ma verge était certes moins grosse que le plug, mais elle était plus longue...
Aïcha eu un sursaut et fut immédiatement submergée par un violent orgasme alors qu’en quelques va-et-vient, j’arrivai enfin au plaisir. Je me déversai dans le cul confortable en longs jets puissants et j’eus l’impression que toute ma sève jaillissait de mon corps.
J’eus les jambes fauchées et me dégageant du cul qui m’avait accueilli, je m’écroulai en arrière et restai étendu sur le dos. Ma tante se précipita vers moi et embouchant mon sexe qui avait perdu de sa rigidité, elle aspira les dernières gouttes de sperme qui perlaient puis resta la tête posée sur mon bas-ventre, mon sexe dans sa bouche.
Aïcha finit par également se laisser glisser de la table pour finir allongée sur le dos à mon côté et elle posa sa tête sur mon épaule. Nous devions former un charmant tableau...Je laissai machinalement glisser ma main pour caresser les fesses de tante Brigitte, toujours lovée contre moi, agitée de petits soubresauts qui ne l’empêchaient pas de téter machinalement mon sexe inerte. Je sentis sous mes doigts, entre ses fesses, un objet dur et je compris qu’elle s’était introduit le plug anal.
— Quelle coquine tout de même, pensais-je en m’assoupissant.
Nous dûmes rester ainsi un bon quart d’heure. Ma tante, dont les soubresauts s’étaient un moment accentués, avait dû s’offrir un petit orgasme supplémentaire grâce à son plug. Elle finit par relâcher mon sexe puis se releva lentement. Aïcha suivit le mouvement et nous nous retrouvâmes tous trois debout, toujours nus. L’horloge du salon marquait une heure du matin. Sans nous concerter, nous nous rendîmes à la douche et ce fut un plaisir dans l’escalier que de contempler ces deux jolis fessiers me précéder dans l’escalier. Je me remémorai cette citation de Georges Clémenceau : « Le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte l’escalier ». J’étais entièrement d’accord avec le bonhomme.
Je mesurai encore le confort de cette douche à l’italienne, car nous pûmes y aller ensemble et nous livrâmes à une séance de savonnage mutuel qui aurait certainement dégénéré s’il n’avait pas été si tard et si je n’avais pas été si fatigué ; il me sembla tout de même que les deux femmes profitaient de cette douche pour se livrer à de sensuelles caresses.
Pour ma part, je m’essuyai vigoureusement puis j’embrassai mes deux partenaires, les remerciai pour leurs attentions puis je descendis dans ma chambre où sans même prendre la peine de me glisser dans les draps, je sombrai dans un profond sommeil.
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