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Un jeune homme à la capitale

Chapitre 17

Le peintre

Erotique
Lorsque je sortis de la gare, la première personne que je croisai fut Aïcha, quasi méconnaissable sans sa tenue de soubrette. Elle portait une tenue décontractée à laquelle je n’étais pas habitué, avec un pantalon qui moulait sa croupe qui m’avait donné tant de plaisir la nuit dernière. Son visage rond et enfantin et sa tignasse frisée lui donnaient un air d’innocence trompeuse. Nos lèvres s’effleurèrent dans un baiser complice :
— Votre tante est à la maison avec le peintre. Ne les interrompez pas, elle renégocie le devis. De votre chambre en collant l’oreille au mur côté lit, vous pourrez tout entendre. Ça peut être drôle.— Merci du tuyau, j’y cours. Tu n’as pas oublié d’enlever ton plug ?
Elle eut un rire bref :
— Tu es bête... Je n’ai qu’une envie : faire une nuit calme et complète.
Je notai avec plaisir qu’elle était passée au tutoiement.
— Repose-toi bien. En tout cas, c’était super. Je n’ai jamais pris un plaisir pareil !— C’était bien aussi pour moi. Ta tante est une sacrée femme. Et tu n’as pas encore tout vu !— Je ne demande qu’à voir. A bientôt.— Probablement. Je passerai sans doute dimanche ou lundi...
Elle ne décocha une œillade coquine et je partis en courant vers la maison.J’ouvris la porte en douceur et me glissais en silence dans ma chambre. La petite Marocaine ne m’avait pas menti, le couloir devait faire caisse de résonnance. En collant mon oreille à la cloison, j’entendais distinctement la conversation :
— Allons, Mr Roberto, gardez donc vos mains dans vos poches, disait ma tante d’un ton de reproche.— Ah, Madame Brigitte, ce n’est pas de ma faute si vous êtes si attirante.
La voix du peintre était assez banale quoique dans un registre assez aigu.
— Ce qui vous excite, Mr Roberto, c’est la facture que vous allez me faire.
— Vous exagérez, je vous ai fait un prix d’ami. Avec un ami, vous pourriez être compréhensive.— Eh bien, avec vous rien n’est plus cher qu’un véritable ami... Quel prix aurai-je obtenu auprès d’un ennemi ? Bas les pattes...— Allez, soyez compréhensive, vous savez que vous me faites de l’effet.— Des mots ! Des mots... Comme vos promesses concernant les délais !— Vous savez que j’ai eu des soucis... Mais je vous le promets, tout sera fini la semaine prochaine. Avant même si vous vouliez être gentille.— Mr Roberto, pour que je sois gentille, il faudrait que je n’aie pas la tête encombrée par mes soucis de factures...— Madame Brigitte, si vous solutionnez mon problème, je solutionne le vôtre.— Et c’est quoi votre problème ?— C’est ça...
J’entendis le bruit d’un zip. Je me doutai ce qu’il exhibait.
— Mr Roberto, vous êtes un voyou !
Mais il était clair que le ton de ma tante avait changé. On n’y sentait pas de colère. En fait, c’était plutôt de la minauderie.
— Allez Mr Roberto, remballez votre engin, vous allez me donner des envies et en ce moment, mon envie c’est de trouver de quoi payer votre facture disproportionnée.— Oubliez cette facture, Madame Brigitte ! Regardez comme je vous désire. Tenez, je vous fais cadeau de la main d’œuvre.
Il eut un moment de silence.Puis de nouveau la voix de ma tante.
— C’est vrai qu’elle est bien dure.
Nouveau silence puis grognement de Mr Roberto.
— Ah votre bouche, votre bouche, ah Madame Brigitte, hoqueta Mr Roberto.
Je me doutai que ma tante avait fait découvrir à Mr Roberto un de ses nombreux talents.Hélas je crois que ce n’était qu’une courte démonstration, car immédiatement j’entendis ma tante déclarer.
— Ca suffit comme cela. Comment puis-je vous faire confiance ? Vous me menez en bateau depuis deux semaines...
L’autre en bégayait de déception.
— Je vous jure Madame Brigitte tout sera fini samedi. Main-d’œuvre gratuite, promis...— Rien ne me dit que lorsque j’aurai cédé, vous tiendrez vos promesses. Voici ce que nous allons faire : revenez de bonne heure samedi et amenez un nouveau devis sans main d’œuvres. Et vous verrez que ce que je viens de vous montrer n’est rien.— D’accord, d’accord, Madame Brigitte. Mais là qu’est-ce que je fais ? — Vous remballez votre engin et allez en faire bénéficier Madame Roberto. Ce sera une bonne surprise pour elle. Et samedi, venez avec votre apprenti...— Mohammed ? Je vais le virer. Je l’ai surpris sur un chantier à se faire mettre par un de ses congénères. Dans un débarras, pendant la pause déjeuner. J’entre pour prendre un seau, il se faisait enculer tout debout. Excusez l’expression, Madame Brigitte ! Je vais le virer... Pas de pédé chez Roberto...— Vous le virerez après. Parce que nous avons besoin de lui samedi si nous voulons que les travaux soient finis.
Je notais le « nous ». Par ce simple changement de pronom, elle l’incluait dans son projet et en faisait non plus son sous-traitant, mais son compère, presque son associé. Du grand art. Puis sa voix s’adoucit.
— Et s’il n’est pas là, le travail s’arrêta si nous prenons un peu de bon temps...
J’entendis le bruit d’un zip puis le grognement de l’autre :
— Bon c’est entendu Madame Brigitte, je l’amènerai. Ce sera son dernier chantier avec moi...— Très bien Mr Roberto. A samedi, voyou...
J’entendis un pas lourd dans le couloir puis un bruit de porte. Enfin les claquements des talons de ma tante dans la cuisine.
...
Lorsque je surgis dans la cuisine, elle ne parut pas surprise.

— Ah, tu étais là ?— Oui ma tante. J’ai rencontré Aïcha qui m’a dit que vous étiez en négociation, je n’ai pas voulu déranger.
Je décidai d’être franc :
— J’ai tout entendu ? Vous auriez dû être négociatrice...
Elle sourit, flattée.
— Il m’a donné du fil à retordre. Il a même ouvert sa braguette. Il était excité comme une puce.— J’ai entendu. J’ai cru que vous alliez être obligé de céder...— C’eut été une erreur : je ne l’aurai pas revu avant un mois ! — Pourtant j’ai cru comprendre que vous lui avez donné des gages.— Bien obligé ; il faut appâter... Quelques coups de langue sur le gland et il était prêt à vendre sa mère, dit-elle gaiement. J’ai même dû abréger, car j’ai cru qu’il allait exploser dans ma main. — Et quand bien même ?— Avec ce genre de bonhomme, s’il prend son plaisir, il en a pour des jours à s’en remettre et oser se représenter.— Mais, ma tante, il reviendra samedi. Et s’il tient ses promesses, vous devrez tenir la vôtre.— N’anticipe jamais les problèmes. Et puis, s’il le faut, et bien nous essayerons de rendre la chose plaisante.
Pendant notre discussion, elle avait préparé un repas léger et j’avais mis la table.
— Ma tante, comment est-il ?— Tu parles de sa bite ? Quelconque : taille moyenne, sans caractère. A mon avis, de la manière dont il s’excite il était en manque. Et un homme marié en manque est en général un mauvais coup que sa femme met au régime sec... Mais ce qui compte dans le plaisir ce n’est pas l’outil, mais ce qu’on en fait. En fait la situation était assez excitante.
Je m’approchai d’elle.
— Vraiment ma tante. Permettez-moi d’être sceptique.
Je passai la main sous sa jupe et la posai sur des fesses. Elle se cambra et écarta légèrement les cuisses, facilitant mon parcours vers son sexe à peine protégé par un string. Effectivement, elle était trempée.
— Tu vois mon neveu ? Il me suffit de prendre un sexe dans ma main pour en avoir envie. Que fais-tu ?— Et bien, je sors ma queue pour la mettre dans votre main.— Tu prends de l’assurance, c’est bien. Bon, un petit quicky nous servira d’apéritif. Ensuite nous dînerons et irons sagement au lit. La séance de cette nuit a été intense.
Tout en établissant le programme, elle m’avait entraîné dans le salon où elle releva sa robe et rapidement se débarrassa de son string. Elle saisit mon sexe qui commençait à prendre de la vigueur et lui administra le même traitement qu’au peintre : de rapides coups de langue sur le gland. Puis elle l’enfourna dans sa bouche. Me jugeant à point, toujours en tenant ma verge dans sa main, elle se pencha sur l’accoudoir du canapé, m’offrant ses fesses somptueuses et présentât mon membre à l’entrée de sa chatte humide à souhait dans laquelle je m’engouffrais. Je me mis en mouvement avec un rythme langoureux qui était adapté à l’ambiance, mais aussi à mon état de fatigue. Rapidement, la respiration de ma tante s’accéléra d’autant qu’elle se caressait de sa main droite passée sous son ventre. De temps en temps, sa main s’égarait sur mes bourses qu’elle palpait et pressait. Je sus que je n’allais pas tenir longtemps.
— Ma tante, savez-vous ce qui m’a le plus excité dans votre scène avec Mr Roberto ?— Non, dis-le-moi...— C’est lorsqu’il a parlé de son apprenti se faisant prendre tout debout.— Tu as raison. Cela ne m’a pas laissée indifférente non plus.
Sa main droite ressurgit de sous son ventre et se glissant entre ses fesses et mon bas-ventre, elle saisit ma queue. Ma tante se redressa légèrement, m’expulsant de sa caverne onctueuse et me guida à l’entrée de ses reins. Je poussai et avec une facilité déconcertante, je pénétrai le barrage de ses sphincters en la sodomisant en douceur. Elle était penchée en avant, genoux légèrement fléchis, ses mains en appui dessus, ne touchant plus l’accoudoir du canapé. Sa position devait être celle de Mohamed telle que décrite par Mr Roberto.
— Vas-y, ne te retiens pas, dit-elle dans un souffle.
J’accélérai le mouvement, de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus profondément, jusqu’à ce que je me déverse dans son cul si accueillant. Ma délivrance correspondit à son râle de plaisir et nous restâmes immobiles quelques instants. Puis elle se releva, sa robe retomba cachant ses appâts. Elle avait repris l’apparence innocente de la maîtresse de maison s’apprêtant à dîner.Je me rhabillai rapidement et m’installai à table.
— J’ai l’impression, mon neveu, que vous développez une passion pour mes fesses.— Ma tante, elles sont si tentantes...— En tout cas samedi, nous devrons manœuvrer avec tact si nous voulons éviter le chômage à un apprenti appréciant la sodomie passive...
Nous dînâmes rapidement. Je lui racontai ma journée et elle se montra intéressée par ma visite de ce bar si spécial. J’en profitai pour lui annoncer la venue d’Arlette pour le lendemain soir, ce dont elle sembla se réjouir.Puis, après un baiser chaste, nous décidâmes de reprendre des forces par une bonne nuit de sommeil.
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