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Un jeune homme à la capitale

Chapitre 19

Rebecca suite

Voyeur / Exhibition
Nous traversâmes le couloir éclairé, lui, et nous pénétrâmes dans le vestiaire masculin en prenant soin d’ouvrir et de refermer la porte sans aucun bruit. Nous étions dans une relative obscurité, car la lumière filtrait du couloir, sous la porte. Sans hésiter, Arlette s’approcha d’un miroir, au-dessus de la rangée de lavabos, et dévissa les écrous décoratifs des pattes à glace, qui maintenaient le haut du miroir. Elle fit basculer celui-ci et le dégagea des pattes du bas. Ensuite, elle le posa délicatement sous les lavabos. Elle avait des gestes précis et procédait sans bruit. Visiblement ce n’était pas la première fois qu’elle démontait ce miroir.
Une fois ce miroir démonté, une lumière apparut: il y a avait un trou dans la cloison quasiment de la taille du miroir.
— De l’autre côté, c’est un miroir sans tain. Le gars qui a monté la cloison devait être un drôle de vicelard, chuchota-t-elle.

Le trou était assez grand pour que nous puissions regarder ensemble, nos deux visages collé joue contre joue.
C’était comme un film à la télé. La vue était parfaite. Le vestiaire féminin était violemment éclairé et Rebecca était en train de se déshabiller en essayant de prendre des poses suggestives. Mr Leroy, toujours la mine sévère, mais le visage empourpré avait ouvert sa braguette et sortit un sexe mou et de petite taille qu’il caressait vigoureusement en regardant Rebecca. Il était de profil. C’était idéal pour nous ; lorsque Rebecca fut entièrement nue, elle se tourna pour montrer à Mr Leroy son seul trésor en ce bas monde, un cul à faire se damner un évêque. Nous vîmes que son sexe se redressait peu à peu. Il commençait à bander.
Mr Leroy se leva et ôta son pantalon qu’il plia et rangea sur le banc puis son slip, mais garda ses chaussures. Il se tourna vers Rebecca avec une expression contrariée : durant son déshabillage, son sexe était redevenu mou. Arlette pouffa.
— Ça va pas être facile, chuchota-t-elle.

Rebecca, bonne fille, vint s’agenouiller devant Mr Leroy et le caressa rapidement. Puis elle prit la bite molle dans sa bouche et commença une fellation lente.
— Elle s’y prend pas mal, commenta Arlette toujours dans un murmure, qu’en penses-tu ?— J’aimerais bien être à la place de Leroy. Elle commence à m’exciter.

Je sentis la main d’Arlette se glisser entre les pans de ma serviette.
— Fais voir.


Elle se saisit de mon sexe en semi-érection.
— Tu aimes bien mater. T’es comme moi, constata-t-elle.

Mr Leroy arborait maintenant une érection assez honorable. Pour autant, son sexe me semblait de petite taille tant en diamètre qu’en longueur. Rebecca le sortit de sa bouche, contempla les résultats de son travail et se mit à quatre pattes. Leroy tout en se masturbant se plaça derrière elle, tâtonna tandis que Rebecca le guidait d’une main experte. Il s’enfonça en elle et pour la première fois, ses traits se détendirent. Il la besogna tout d’abord avec une certaine vigueur puis il ralentit, continua lentement un certain temps. Il s’arrêta, sortit son sexe d’entre les cuisses noires de l’Africaine. Il ne bandait plus ! Rebecca se retourna, constata le désastre, se réinstalla à genoux et reprit sa fellation. Cela donna le résultat escompté...

Elle suça quelques secondes de plus le membre de nouveau dressé, se remit à quatre pattes, la croupe haute, puis Leroy plongea de nouveau entre ses cuisses. Il avait les yeux fermés comme s’il se concentrait sur des images susceptibles d’entretenir son érection. Mais il ne dut pas se concentrer sur les bonnes, car rapidement, il s’arrêta, de nouveau en panne...

Bonne fille, Rebecca recommença à le sucer, remuant la tête, aspirant, jouant de toutes les ressources de ses lèvres charnues.
— Elle a vraiment une bouche à pipes, me chuchota ma voisine. Et elle est patiente. Bon, il faut dire aussi que c’est aussi le patron...

Je me rendis compte qu’elle tenait toujours mon sexe dans sa main et qu’elle me masturbait lentement, d’un mouvement quasi imperceptible dont elle n’avait sans doute pas conscience. Je glissai doucement ma main dans son caleçon et descendis le long de ses fesses osseuses jusqu’à son sexe. Pas de réactions de sa part, elle semblait fascinée par le spectacle. J’introduisis le bout de mon index entre ses grandes lèvres. Elle était trempée.
— Tu mouilles grave, constatais-je. On est vraiment deux vilains mateurs...

De nouveau, Mr Leroy était prêt à enfiler Rebecca qui s’était remise en position. Leroy recommença son mouvement saccadé, mais cette fois-ci, il sembla qu’il visionnait les bonnes images, car il ne ralentit pas et même accéléra. Il eut un cri bref, se retira rapidement tandis que Rebecca se retournait vers lui. Elle ouvrit grand la bouche et tira la langue tandis qu’il se branlait devant elle. Un jet de sperme partit, inondant le visage de Rebecca, puis un deuxième atterrit sur la langue sortie. Enfin, Mr Leroy introduisit son gland dans la bouche de Rebecca. Son sexe était maintenant à demi mou et il eut deux ou trois mouvements masturbatoires comme pour en extirper les dernières gouttes.

Ma queue était maintenant au garde à vous, toujours caressée par une main affectueuse et ma main à moi toujours entre les maigres cuisses de ma camarade de travail. Nous vîmes Rebecca, à peine libérée par Mr Leroy, filer au Lavabos cracher le sperme qu’elle avait reçu dans la bouche tandis que Mr Leroy se rhabillait à toute vitesse, comme honteux de son acte. Il déverrouilla la porte tout en relevant le zip de sa braguette et sortit, presque en courant en rebouclant sa ceinture.

Arlette eut un petit mouvement de hanche pour se dégager de l’emprise de mon doigt et relâcha mon sexe. Avec ses mouvements précis et rapides, elle remit le miroir en place et me chuchota.
— Viens, et ne lui parle pas du coup du miroir.

Nous quittâmes le vestiaire masculin et pénétrâmes dans le vestiaire des femmes où Rebecca se lavait le visage à grandes eaux, penchée au-dessus du lavabo, offrant une vue superbe sur les deux globes noirs de son cul de déesse entre lesquels on apercevait la chair rose d’une vulve encore ouverte.
— Police des mœurs, annonça Arlette.

Rebecca sursauta, puis se rassura.
— Ah c’est vous. Hé le petit blanc, qu’est-ce que tu viens faire dans le coin des filles ?— Il vient mater des jolis culs, dit Arlette en passant sa main entre les cuisses de l’Africaine.

Elle retira sa main, la porta à son nez.
— Hum, ça sent le sperme de patron ça.

Rebecca tenta de faire l’innocente.
— Qu’est-ce que tu racontes ? Je suis toute seule.— Parce que Leroy vient de se tirer. On l’a croisé dans le couloir, il semblait avoir le diable à ses trousses et la braguette ouverte. Et puis tu as encore du foutre sur un sourcil.

Rebecca ne chercha pas à nier
— Dis rien Arlette, je fais pas ça pour le plaisir, je ne veux pas d’ennuis.— T’inquiète ma poule. On est des tombes.

Elle s’assit sur un banc et je m’y assis non loin d’elle.
Rebecca après un moment d’hésitation vint se placer entre nous.
— Alors c’était comment, demanda Arlette en glissant sa main entre les cuisses d’ébène que s’entrouvrirent.— M’en parle pas. Il bande mou et il faut le sucer des heures...

Elle avait un petit accent, chantant, très agréable. Je voyais la main d’Arlette qui s’activait entre ses cuisses et je décidai de manifester ma présence.
— Sucer n’est pas désagréable, lui dis-je, et tu as des lèvres qui font rêver les hommes.

Pour prouver mes dires, j’écartai un pan de ma serviette et mon sexe jaillit.
— Hey, tu as une plus belle queue que le boss, dit-elle gaiement, en posant sa main dessus.
Mais, ajouta-t-elle, sucer, c’est des trucs de blancs.
— Comment ça ?— Chez nous, au village, ce sont les mamans qui enseignent les choses de l’amour aux petites filles. Elles ne m’avaient jamais parlé de sucer. C’est en France que j’ai découvert ça. C’est une invention des hommes blancs.— Et tu n’aimes pas ça, demanda Arlette.— Si, ça va, répondit l’Africaine, dont la voix était moins assurée et le souffle court. Visiblement, le travail des doigts de ma partenaire portait ses fruits.— Ce que j’aime pas, c’est le sperme dans ma bouche. Berk. Et Mr Leroy c’est comme ça qu’il finit à chaque fois...

Elle avait une moue dégoûtée qui contrastait avec les ondulations de son bassin.
— Ça tombe bien que tu aimes tout de même sucer, car mon partenaire n’a jamais été sucé par une Africaine.

Rebecca comprit ce qu’Arlette et surtout moi attendions et dans un soupir, se laissa tomber à genoux devant moi.
— Bon, je veux bien, mais tu ne me craches pas dans la bouche.— Promis.

Elle engloutit ma queue entre ses lèvres voluptueuses et je fermai les yeux. Le paradis, ça devait ressembler à ça. Je la sentis soudain bouger. J’ouvris les yeux et constatai un changement : Arlette l’avait fait se relever et elle était maintenant sur ses jambes lesquelles étaient largement écartées. Elle prenait appui sur ses mains posées sur le banc de chaque côté de mes cuisses et tétait goulûment ma queue tandis qu’Arlette, accroupie derrière elle, avait le visage enfoui entre ses fesses. Je me dis que je n’allais pas tenir longtemps, mais Arlette vint à mon secours. Elle interrompit sa caresse, ôta son caleçon et j’eus de nouveau la vision de son sexe glabre. Elle prit la serviette de Rebecca qui traînait sur le banc, l’étala sur le sol et s’allongea sur le dos, jambes repliées et cuisses écartées, dévoilant de manière impudique, voire obscène, sa vulve d’un rouge sombre.
— Hey Rebecca, viens donc t’occuper de moi, ordonna-t-elle.

Rebecca me délaissa immédiatement et se mit à quatre pattes. Elle plaça ses lèvres sur le sexe offert et sa tête commença à s’activer. Je regardais la scène en caressant mon membre. Mon point de vue sur le cul de Rebecca était imprenable. Je voyais les chairs roses de son sexe luisant de la salive d’Arlette et au- dessus entre les deux magnifiques globes noirs, le cercle encore plus sombre de son anus. Sans me presser, je me levai et j’allai m’agenouiller derrière ce cul provocant. Sans difficulté, je m’introduisis entre les chairs humides et chaudes. Rebecca poussa un long soupir tandis qu’Arlette, elle, poussait de petits gémissements. Encouragée par le spectacle, ma partenaire s’offrait totalement aux lèvres charnues de l’Africaine. J’imprimai un rythme plus rapide. Je besognai la jeune Africaine ainsi de longues minutes. Ma collègue de travail gémissait sans discontinuer tandis que Rebecca ondulait de façon à venir à la rencontre de mon bassin à chaque poussée.

Soudain, elle releva la tête, offrant à mon regard le sexe béant et luisant d’une Arlette aux joues cramoisies et au corps maigre couvert de sueur. Rébecca se tourna vers moi :
— Tu peux me casser le cabinet, si tu veux, me dit-elle.— Hein, quoi ? dis-je, essoufflé, mais sans cesser de la pilonner.— Elle dit que tu peux l’enculer, si tu veux, expliqua Arlette, ça, les africaines, elles connaissent: c’est parfois leur seul moyen de contraception...

Comment refuser une si charmante proposition ? Je sortis ma queue de sa chatte, j’enduisis le bout de mon membre de salive et appuyai mon gland sur son anus. Une poussée eut raison d’une résistance modeste. Visiblement, le passage était fréquenté. Elle eut un soupir de contentement et replongea entre les cuisses d’Arlette tandis que je repris mes allées et retours, mais entre ses fesses cette fois-ci. Une main coquine vint me tripoter les bourses puis Rebecca alla remplacer mon sexe dans sa chatte par deux doigts frétillants. Ses soupirs devinrent gémissements, tandis qu’Arlette poussa un cri bref, son corps se tendit en arc. Elle resta ainsi quelques secondes en appui sur les épaules et les pieds, la tête de Rébecca qu’elle tenait à deux mains par la toison crépue, plaquée dans la fourche de ses cuisses.

Rebecca fut prise de tremblements et elle recula ses fesses vers mon bas-ventre comme pour bénéficier d’une plus grande longueur. Je me vidai dans son cul...
A regret, je me retirai de ses fesses si accueillantes et Arlette se releva péniblement en même temps que Rebecca qui nous regarda avec admiration.
— Eh bien. On peut dire que vous formez une sacrée équipe tous les deux.

Arlette lui mit une claque sur les fesses :
— T’es pas mal non plus, on va peut-être t’embaucher, on fera un numéro à trois, mais en public ce coup-ci.— Eh... On gagnerait peut-être plus qu’ici...

Nous la laissâmes à ses rêves de fortune et retournâmes sous les douches. Arlette était nue, sa serviette et son caleçon à la main. J’étais dans la même tenue, mon gel douche à la main, ma serviette dans l’autre. Heureusement que le couloir était désert. Je m’engouffrai sur les talons d’Arlette sans les douches. Elle partit du côté des femmes et je la suivis.

Elle se mit sous la pomme de douche et où je la rejoignis et faute de gants de toilette, je fis couler du gel dans ma paume, reposai le flacon sur le support prévu à cet effet et j’entrepris de la savonner. Elle se saisit du gel et fit de même. Nous nous frictionnions mutuellement, aveuglés par le jet tiède. Sa main s’empara de ma queue et procéda à son nettoyage avec une minutie touchante. Du coup, je glissais ma main savonneuse entre ses cuisses et m’évertuais à éliminer les traces de Rebecca, allant jusqu’à introduire un doigt dans son vagin. Elle eut un court soupir, puis, bloquant l’avancée de mon doigt et lâchant ma queue, elle murmura gentiment, presque tendrement :
— On a eu notre dose, non ? Ta tante va nous attendre...

C’était la voix de la sagesse ! Un quart d’heure plus tard, nous étions dans le métro...
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