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Un jeune homme à la capitale

Chapitre 20

une soirée fille

Avec plusieurs femmes
Arlette fut enchantée de la promenade depuis la gare jusqu’à la maison de ma tante, par le bord de la rivière. Je lui montrai le banc sur lequel ma tante et moi avions eu un rapport et elle me força à rejouer la scène. Elle se retrouva dans la même position que ma tante, mais là, nous étions tous deux en jeans, ce qui ôtait de l’érotisme à la situation... Nous arrivâmes enfin devant le pavillon de ma tante et sonnâmes à l’entrée, puis poussâmes le portillon alors que ma tante apparaissait sur le seuil. Toujours vêtue d’une de ses robes printanières elle en avait choisi une très moulante et légèrement transparente. L’absence de marques sur ses hanches montrait qu’elle ne portait probablement rien dessous. Je montai les trois marches et lui collais deux bises sur les joues.
— Ma tante, je te présente Arlette, ma collègue de travail.
Ma tante descendit les marches et négligeant la main que lui tentait Arlette, elle la prit dans ses bras et lui fit une bise sur chaque joue.
— Je suis très heureuse de vous rencontrer, mon neveu ne tarit par d’éloge sur vous.
Arlette fut un peu prise de court par cet accueil. Elle se reprit rapidement.
— Il m’a aussi beaucoup parlé de vous.
Ma tante passa son bras autour de la taille fine de ma collègue et la guida vers la maison :
— Ah bon, j’espère qu’il n’en a pas trop dit. Cela retire le plaisir de la découverte...— Il en a dit beaucoup. Suffisamment pour me donner envie de venir.
Bras dessus, bras dessous, elles franchirent la porte. Elles étaient presque de la même taille. Ma tante guida Arlette vers la salle à manger :
— C’est là que nous dinerons, le salon est hélas encore en travaux. Jusqu’à demain si tout va bien...
Arlette regardait autour d’elle, impressionnée par l’impression de tranquillité cossue que dégageait le pavillon. Cela devait la changer de son studio. Elle retira ses chaussures de sport à l’entrée de la salle à manger.
— Oh ce n’est pas la peine, dit ma tante.

Je vis Arlette se troubler :
— C’est que j’ai envie de mettre mes pieds nus sur ce tapis.— Ah, si c’est pour le plaisir du toucher, vous pouvez même vous y rouler, lui proposa ma tante en riant.— Ne me tentez pas, j’en suis capable, rétorqua Arlette en riant également...
La glace était rompue...
...
Je m’éclipsai dans la cuisine où je débouchai une bouteille de champagne que je mis dans un seau. J’emmenai trois coupes sur la table basse entre les fauteuils où ma tante et Arlette s’étaient installées et échangeaient des amabilités. Je les regardai un instant, ma tante, radieuse dans sa robe légère et Arlette, à l’aise, pieds nus, en jean et débardeur, son blouson de cuir abandonné dans un coin. Ma tante lui faisait raconter sa vie à l’atelier et Arlette évoquait notre travail commun. A chaque fois qu’un nom apparaissait ; Mamadou, Raoul, Mr Leroy, Solange... Ma tante éclatait de son rire cristallin :

— Ah oui, mon neveu m’en a parlé de celle-ci : un phénomène...
Les sous-entendus entraînaient de nouveaux éclats de rire. Elles s’entendaient visiblement bien...Je ramenai le champagne
— Pas pour moi, merci, me, dit Arlette.— Ah oui, dit ma tante, mon neveu m’a raconté pour votre père. C’est sûr que de tels souvenirs vous dégoutent de l’alcool. Mais vous ne devez pas vivre avec vos fantômes, ma petite, il faut les exorciser pour vivre pleinement ce que vous êtes.— Bon alors, juste une goutte.
Je fis le service, nous trinquâmes et ma tante se leva pour aller surveiller sa cuisine.
— Ellle est sympa, me dit Arlette.— Plus que cela...— En tout cas, elle me plaît. Et tu avais raison, elle a un corps d’enfer.
Nous passâmes à table et nous continuâmes à boire du champagne pour les entrées. Arriva le saumon. Alrlette avoua n’en avoir jamais mangé.
— Pour accompagner le dernier voyage de ce noble poisson, j’ai du vin blanc sec des Charentes, le pays d’origine de ce garnement, mais nous pouvons aussi continuer au champagne, annonça ma tante.
Cela devait représenter pour Arlette un repas de fête. Sa réticence vis-à-vis de l’alcool devait être soluble dans le champagne, car elle annonça que pour sa part, elle préférait éviter les mélanges.J’allai ouvrir une seconde bouteille...Nous fîmes un mauvais sort au délicieux saumon et Arlette dont les yeux brillaient déclara qu’elle n’avait jamais mangé quelque chose d’aussi bon. Le dessert consistait en une crème brulée savoureuse et je dus ouvrir une troisième bouteille. Au café, nous étions tous très joyeux. La conversation commença à dériver quelque peu. Les deux filles se tutoyaient et un rien tournait à l’éclat de rire.
— Brigitte, tu sais, ton neveu m’a montré le banc où...— Il t’a raconté ça. Le cochon...— Et bien on a fait pareil... Mais en jean, c’est pas la même chose...
Elles éclatèrent de rire toutes les deux et je les accompagnai...Quand elles reprirent plus ou moins leur souffle, ma tante demanda :
— J’espère que c’est tout ce qu’il a raconté ce nigaud.— Penses-tu, il m’a tout dit. Tes aventures m’ont fait mouiller devant la machine...
Nouveau fou-rire... Les coupes se vidaient et je les remplissais.
— Dis-moi Arletque, qu’est-ce qui t’a le plus excité ?— Le coup de la promotion canapé. Putain, t’as dû te marrer. C’est ton meilleur souvenir ?— Pas exactement.
Elle tendit sa coupe vers moi et je la servis.
— Après, nous avions pris l’habitude, de temps en temps de faire de cochonneries tous les trois. Un jour, figure-toi qu’ils ont organisé un jeu. J’avais les yeux bandés, j’étais sur le dos sur le bureau, sans culotte bien sûr. Ils m’ont léchée à tour de rôle. Il fallait que je devine qui était en train de s’occuper de moi. Après, ils m’ont prise et là, ça a été plus facile ; je connaissais leur queue, la taille le diamètre, la courbure, la dureté... Mais au jeu de la minette, j’ai été piégée. Agréablement, mais piégée quand même.
Je remplis la coupe que me tendait Arlette. Elle semblait pensive.
— Et bien moi, je pense que j’aurai trouvé...— Ne crois pas cela, les yeux bandés c’est trompeur.
Arlette s’anima, le champagne y étant probablement pour beaucoup
— Je parie que je trouve à tous les coups.— C’est un pari impossible, lui dis-je, ne t’emballe pas.— on va voir...
Elle se leva en titubant et déboutonna son jean qu’elle laissa tomber sur le sol. Son caleçon suivit le même chemin. En essayant de sortir ses pieds de ce tas de vêtements, elle perdit l’équilibre et s’écroula moitié sur le canapé moitié sur le tapis. Elle éclata de rire.
Tu vois, Brigitte, que je me roule toute nue sur ton tapis...
Tous deux repartirent en fou rire...Ma tante se leva, elle aussi flageolante et retira les vêtements des pieds d’Arlette qui s’allongea sur le dos. Ma tante apporta une serviette de table :
— On a dit les yeux bandés... Et pas de triche, pas de bruit, interdiction de parler...
Elle lui noua la serviette autour de la tête, écarta ses cuisses et releva ses genoux. Le sexe glabre était maintenant totalement exposé...
— Les règles, dit ma tante : Chacun de nous va te lécher chacun son tour, tu donnes la réponse après le deuxième coup...— Roule ma poule, répondit Arlette d’une voix pâteuse.
Ma tante me fit signe de commencer et je m’installai, prenant grand soin de ne pas la toucher afin qu’elle ne puisse m’identifier par la texture de mes cheveux par exemple. De la pointe de la langue, j’explorai les grandes lèvres remontant vers le clitoris que je titillai un instant puis je redescendis vers l’entrée de son vagin que j’explorai rapidement avant de revenir sur le clitoris ; j’essayai de reproduire ce que ma tante m’avait appris, mais sans utiliser mes lèvres qui auraient pu me trahir. Je sentis son corps trembler et ma tante d’un petit coup sur l’épaule me signifia que mon temps était achevé. Elle s’installa à son tour et entreprit le même manège. Arlette appréciait visiblement et moi je me régalais également, car ma tante, dans sa position, m’offrait vue inoubliable sous sa jupe qui d’ailleurs était à moitié relevée. Elle s’interrompit, se releva, lissa sa jupe et demanda :
— Alors ?
Sans changer de position, Arlette reprenait son souffle. Elle posa une de ses mains sur son sexe, se caressant légèrement... L’autre main était posée sur le bandeau...
—Putain, c’est vrai que c’est pas facile. Heu, bon. Le premier coup, c’était Brigitte...
Elle retira son bandeau...
— Perdu, triompha ma tante.
Arlette ne sembla pas être une bonne perdante.
— Allez-y encore une fois sans le bandeau que je vois si vous ne me bernez pas.
Je repris ma place et mon activité. Elle se remit à trembler.
— Ah oui, c’était lui le premier.— La preuve, dit ma tante en prenant ma place...
Arlette se mit à ronronner. Elle lui prit la tête à deux mains et s’agrippa. La position de ma tante à quatre pattes me fit penser à Rébecca. Je m’approchais à genoux, relevais sa robe et plongeais ma tête entre ses cuisses blanches. J’appliquai ce qu’elle m’avait appris de ma tante et j’eus le plaisir de la sentir réagir à mes caresses. Elle fut parcourue d’un long tremblement et arrêta quelques instants son activité buccale. La pression des mains d’Arlette sur sa tête la rappela à l’ordre, tandis que je me relevais quelque peu à l’étroit dans mon jean, car je bandais ferme... Bientôt, le travail de ma tante et son talent portèrent leurs fruits et Arlette fut secouée par un orgasme intense...Ma tante se releva et me demanda une coupe de champagne que je lui apportai aussitôt. J’en profitais pour passer dans son dos et lui caresser les fesses. Elle ne broncha pas, aussi je déboutonnai sa robe qui ne fut bientôt qu’un tas de chiffon sur le sol.
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