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Un jeune homme à la capitale

Chapitre 21

Soirée fille -suite-

Avec plusieurs femmes
— Putain ce que tu es bien foutue, dit Arlette qui se relevait péniblement. Et ces seins... Vise les miens...
Elle retira son maillot qui rejoint la robe de ma tante sur le sol. Ma tante se pencha et donna un petit coup de langue sur les mamelons des seins minuscules.
— Small is beautiful, disent les anglais.
Elles étaient toutes les deux nues face à face.
— Tu ne veux pas m’apporter un verre d’eau ? Me demanda Arlette.
Je partis dans la cuisine chercher de l’eau fraîche et lorsque je revins, Arlette était à genoux devant pas tante le nez dans sa toison.
— Tu as une drôle de démarche, constata ma tante.— C‘est que mon pantalon est un peu serré.
Elle dégrafa ma ceinture et mon pantalon qui tomba sur mes chevilles. Elle libéra mon sexe de mon slip en baissant celui-ci. Retirant à la langue d’Arlette sa toison frisée, elle tomba à genoux. Elle était face à face et j’avançais mon sexe entre leurs deux visages. Immédiatement, ma tante entreprit une petite reconnaissance de ma verge et de mon gland à petits coups de langue. Arrivée à mon gland, elle enferma celui-ci dans sa bouche puis le relâcha. Le visage de ma camarade d’usine était à quelques centimètres de mon sexe, face à elle. Elle posa un baiser sur les lèvres d’Arlette puis remonta le long de ma queue avec sa langue, redescendit, goba mon gland et embrasse Arlette à pleine bouche. Je me gardai de tout mouvement, de toute parole, et bien m’en a pris, car alors que ma tante recommençait sa promenade le long de ma queue, je vis incrédule, Arlette sortir un petit bout de langue et lécher mon gland, à petits coups comme si elle voulait le goûter.
Puis elle s’enhardit et avec des coups de langue plus affirmés, elle remonta comme ma tante le long de ma hampe, chacune de son côté. Plusieurs fois, leurs langues se rencontrèrent, échangeant la salive dont elles enduisaient ma bite. Ma tante fut la première à revenir sur mon gland et elle l’entoura de sa bouche. Puis ce fut Arlette qui accueillit mon gland dans sa bouche...
Lorsqu’elle me libéra, elle se trouva en face des lèvres de ma tante et elles échangèrent un long et voluptueux baiser. Elles basculèrent ensemble sur la moquette et roulèrent l’une sur l’autre, me laissant seul. J’en profitai pour me débarrasser de mes chaussures, me libérai de mes chaussettes, pantalons en tire-bouchon sur mes chevilles et slip. Enfin, ôtant mon tee-shirt, je me trouvais nu comme elles. Je pris une coupe de champagne et m’asseyais dans un fauteuil pour les regarder. Elles semblaient soudées pas les lèvres et se caressaient mutuellement, enfonçant leurs doigts au plus profond de leur intimité, agitant leurs mains avec frénésie.
Cela dura un long moment avant qu’elles ne se calment et alors qu’elles reprenaient lentement une position assise, je frappai lentement dans mes mains comme un spectateur à la fin d’un spectacle.
...
- Je savais Arlette peu attirée par les queues, mais je vois ma tante que vous aussi vous savez vous en passer.

— Mon neveu, répondit ma tante essoufflée, mais nullement gênée, on prend le plaisir comme il vient. Et puis ça change, car des bites on en a toujours sous la main. Vraies ou fausses...
— Qu’entendez-vous par là ?— Montons dans ma chambre, nous proposa-t-elle d’un air entendu, nous serons plus à l’aise.
De nouveau, en montant l’escalier derrière ma tante, j’éprouvai le plaisir de voir son derrière dodu basculer d’un côté à l’autre au gré des marches...Arrivée sur le seuil, Arlette lança un coup de sifflet admiratif :
— Eh bien, tu ne te refuses rien, dit-elle en se jetant sur le lit.
Je m’assis non loin d’elle tandis que ma tante ramenait du dressing une petite valisette.
— Voici la parfaite valise de la femme seule, annonça-t-elle.
Elle la posa sur le lit et l’ouvrit. Dedans, sur du velours rouge reposaient des sexes de toutes formes et tailles. Des godemichés en plastique et en ivoire...
— Je vois que tu ne risques pas de t’ennuyer, dit Arlette. Elle laissait ses doigts glisser sur les objets puis elle en sortit un muni de sangles.— Elle jeta un coup d’œil interrogatif à ma tante.— Un gode de ceinture, tu dois connaître...— Sûr. Mais celui-ci est particulièrement beau et d’une qualité...— Un cadeau d’une amie chère.
Tout en papotant, elles s’étaient de nouveau rapprochées et recommençaient à se caresser.J’ôtais la valise du lit et la posai sur le sol. Mon érection avait baissé, mais je pris un godemiché de taille moyenne dans la collection et le plaçais à côté de ma verge. Il était plus court, mais plus gros. C’était un coup à avoir des complexes. Seul le godemiché de ceinture me sembla exactement du gabarit de mon sexe. Des halètements rauques attirèrent mon attention vers les filles sur le lit et immédiatement le désir embrasa mes reins. Elles étaient têtes bêches, la tête entre les cuisses de l’autre, se léchant mutuellement. Ma tante était sur le dessus et offrait à ma vue son fessier magnifique. J’approchai ma queue bandée. Arlette interrompt sa caresse et donna un coup de langue sur mon gland. J’approchai celui-ci de l’entrée de la vulve de ma tante. Arlette lécha la hampe tandis que mon gland pénétrait le sexe de tante Brigitte qui poussa un grand soupir.
Je fis quelques lents aller et retour et j’eus le bonheur de sentir la pointe de la langue de ma collègue me chatouiller lorsque mon sexe sortait. Je pris le risque de sortir complètement et ma queue heurta son menton et son nez, avant qu’elle ne réussisse à la mettre dans sa bouche, puis, je la remis en place et lançais quelques coups de reins puissants. Les réticences d’Arlette vis-à-vis de la queue des hommes semblaient s’amenuiser à vue d’œil. Alors que je retirai de nouveau ma queue, leurs corps basculèrent et Arlette se trouva sur le dessus. Je lui présentai ma queue, mais elle la négligea et enfouit son visage dans la toison de ma tante. Déçu, je fis le tour de leur mêlée et retrouvai de l’autre côté, ma tante donnant du plaisir à ma collègue dont les maigres cuisses largement écartées laissaient voir son sexe ouvert autour duquel s’agitait la langue rose de Brigitte. J’approchai ma bite et ma tante interrompit sa caresse pour me prendre en bouche.
Je l’utilisai comme un sexe, allant et venant à petit coup de reins. Au bout d’un instant, des mouvements secs du cul plat d’Arlette montrèrent qu’elle s’impatientait. A mon grand dépit, ma tante m’abandonna et sa langue repartit explorer le sexe offert à sa convoitise.
Tentant le tout pour le tout, j’approchai lentement ma queue de l’entrée béante et y engouffra mon gland. Je n’eus pas le temps d’aller plus loin. Dans un rugissement, Arlette eut un sursaut qui m’expulsa d’elle. Elle roula sur le côté, se mit à genoux face à moi. Son regard lançait des flammes.
— Salaud, tu as voulu me la mettre.— Excuse-moi, je croyais... — Tu croyais quoi ? Tu sais que je ne voulais pas...— Tu ne voulais pas sucer non plus et tu l’as fait alors...— Je t’ai sucé pour te faire plaisir et faire plaisir à Brigitte, et toi, tu ne penses qu’à m’enfiler...
Brigitte qui s’était redressée la prit dans ses bras
— Allons, je suis sûre, ma chérie qu’il ne voulait pas te forcer. La situation prêtait à confusion. Moi-même j’ai cru... Sinon je l’aurai arrêté.
Elle la berçait en caressant sa tête rasée.
— Je te jure Arlette, je regrette, je suis sincèrement désolé. Je voudrais que tu me pardonnes. Je ferai tout pour cela... je...
Ma tante lui parla à l’oreille. Cela dura un moment puis son visage se dérida.
— Tu as raison, ce sera sa punition.
Je jetai un regard interrogatif à ma tante.
— lorsque vous êtes venus, vous avez rejoué la scène du banc. Pour de faux. Et bien, nous allons rejouer la scène de ma promotion, mais pour de vrai. Arlette sera Livert et toi Imbert. Je me remémorai la scène et voyant Arlette se saisir du gode ceinture, je compris.
Voyant mon mouvement de recul, ma tante intervint.
— Tu as promis mon neveu. Prends cela comme un gage. Et puis tu m’as sodomisée plusieurs fois, me semble-t-il. Chacun son tour...
Je baissais la tête...
— Par contre pour jouer cette scène, il faut que tu sois dans de bonnes dispositions, dit-elle en regardant ma queue redevenue molle. Arlette, allons-y.
Elle me poussa sur le dos et saisit mon sexe tandis qu’Arlette s’approchait. Ma tante me branla deux ou trois fois puis s’arrête, la main contre mon bas-ventre. Mon sexe dépassait de sa main fermée et Arlette se pencha et le prit dans sa bouche. Elle eut quelques mouvements de lèvres et de langue puis me libéra, et ma tante me branla de nouveau et s’arrêta. Arlette, de nouveau, plongea sur mon gland.
S’installant plus confortablement, Alette se trouva en chien de fusil, la tête sur mon ventre. J’en profitai pour glisser ma main entre ses fesses sans qu’elle ne bronche, concentrée sur le moyen de me redonner vigueur. Mon doigt était légèrement engagé entre ses grandes lèvres. Elle mouillait abondamment.
En peu de temps, je fus de nouveau opérationnel. Ma tante s’interrompit, se plaça sur le dos, les fesses au bord du lit, les jambes pendantes, largement écartées, m’offrant son sexe grand ouvert dans lequel je me ruai les genoux sur le tapis...
Je sentis Arlette derrière moi qui écartait mes fesses et introduisait un doigt mouillé dans mon anus. Cela décupla mon érection, comme sous douche lorsque tante Brigitte m’avait doigté le cul. J’écartais les cuisses pour faciliter l’intromission, mais son doigt se retira, remplacé par une langue fureteuse qui m’enduisait copieusement de salive. J’avais arrêté mes mouvements de bassin. Puis ma tante me serra dans ses bras et je sentis la pointe du godemiché forcer mon anus aidé par la salive dont il était enduit. Lorsque le gland pénétra, j’eus un cri de douleur, mais celle-ci fut remplacée rapidement par une sensation de gêne à mesure que l’engin me pénétrait. Je sentis enfin le socle buter contre mes fesses. Les mains d’Arlette se posèrent de chaque côté de mon bassin et elle commença de lents mouvements copulatoires. La gêne se transforma vite en une montée intense de plaisir. Ma queue enfichée dans le sexe de Brigitte me semblait avoir doublé de volume.
J’accompagnai les mouvements d’Arlette qui accélérait et je fus bientôt pilonnant de toutes mes forces Brigitte tandis qu’Arlette me défonçait le cul. D’un côté, Brigitte entre deux râles de plaisir, m’encourageait :
— Plus fort, défonce-moi, vas-y...
De l’autre, j’entendais Arlette ânonner comme une litanie :
— Tiens, prends ça. Tu aimes ça, prends ça...
Ma tante partit la première, ce qui déclencha mon orgasme. Je m’effondrai sur elle. Arlette cessa ses mouvements, restant plantée dans mon cul. Puis elle sortit lentement. Je me retournai et souris en la voyant ainsi équipée. Je me penchais sur elle et lui chuchotais :
— Nous sommes à égalité maintenant... Nous avons la même queue.
Elle sourit et je lui administrai un long baiser auquel elle répondit. Puis, me repoussant sur le dos, elle s’empara de ma queue qu’elle enfourna sur toute sa longueur.
— J’aime l’odeur de ta tante, me dit-elle en me suçant avec entrain.
Ma tante se redressa et nous rejoignit. Leurs salives se mêlèrent et une nouvelle fois, je repris vigueur. Le sexe presque douloureux, je me demandai un instant si elles ne voulaient pas ma peau. Arlette fit signe à ma tante de monter sur moi et elle guida ma queue tandis que Brigitte s’empalait. Elle montait et descendait en gémissant tandis que sa lourde poitrine dansait devant mes yeux. Puis Alette poussa Brigitte sur mon torse faisant saillir sa croupe. Elle tâtonna et pénétra le cul de ma tante de son godemiché. Brigitte subissait des assauts des deux côtés à la fois et son orgasme fut instantané. Le mien survint rapidement, mais j’eus l’impression de ne plus avoir de sperme à éjaculer. Ma tante se laissa tomber sur le côté tandis qu’Arlette retirait son ustensile, le jetait au pied du lit. Toutes deux s’étendirent et posèrent leur tête sur mon torse. La tête blonde à droite et la brune à gauche. Elles échangèrent un long baiser et c’est ainsi que le sommeil nous surprit...
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