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Le jeune soumis de Madame

Chapitre 1

Première séance

SM / Fétichisme
Je m’appelle Nathan, j’ai 25 ans, 1m83 pour 75kg, brun de cheveux, un profil plutôt athlétique et un visage mignon. J’ai toujours eu un petit succès avec les filles, quelques conquêtes et quelques histoires un peu plus longues…
Mais je n’étais pas comblé sur le plan sexuel. Je sentais qu’une partie de moi était insatisfaite par la sexualité vanille que j’avais jusque là toujours connu. J’avais besoin de plus.
En naviguant sur les plus sombres pages d’internet, je tombai un soir par hasard sur la photo d’une sublime femme scandinave harnachée d’un gode-ceinture noir de plus de 25 centimètres de longueur et armée d’une cravache prête à l’emploi. Mon ventre bouillonnait, le sentiment de puissance que dégageait la photo de cette magnifique dominatrice m’exaltait. Je la désirais terriblement, car je sentais qu’elle pouvait m’apporter quelque chose qu’aucune femme ne m’avait pour l’instant donnée. Moi qui avait le contrôle de ma vie, j’avais envie de m’abandonner à elle, de lâcher prise.
Alors j’ai commencé à fréquenter des sites sado-masochistes pour discuter avec des femmes dominatrices. Il y en avait peu dans ma région. J’engageai la conversation avec une demi-douzaine d’entre elle et seules deux me répondirent. L’une d’entre elle était vénale, donc je lâchai rapidement l’affaire car je n’étais pas intéressé par ce type de relation. L’autre dominatrice avait 55 ans et peu d’expérience. Le courant passa très bien entre nous et au bout de quelques jours d’échange elle m’invita à venir marcher au bord d’un étang près de chez moi. Je n’avais pas vu de photos d’elle avant de la rencontrer.
En arrivant au lieu du rendez-vous, je vis une femme rousse d’1m70 qui discutait au téléphone. Elle avait beaucoup de charisme et d’assurance, tout habillée de cuir. Je la laissai finir sa conversation avant de m’approcher pour me présenter. Dès son premier regard je compris qu’elle me trouvait beau. Nous nous sommes promenés et nous avons un peu échangé, sans trop parler de bdsm. Elle me plaisait et je me sentais déjà en confiance avec elle. La différence d’âge n’était pas un problème pour moi, au contraire je trouvais qu’être sous le contrôle d’une femme en âge d’être ma mère était très excitant.
Nous nous sommes revus deux jours plus tard au même endroit. Entre temps, elle m’avait envoyé une check-list qui j’avais complété avant de lui retourner. Nous avons passé la matinée à discuter des pratiques qui nous intéressaient, et nous avions beaucoup de points communs. Sexe anal, bondage, contrôle d’orgasme, impact, une pointe de fétichisme, humiliations, servitude formaient notre univers commun. Mais elle n’était pas contre l’idée d’avoir des relations sexuelles plus classiques avec moi, ce qui est plutôt rare pour une dominatrice, selon son bon plaisir. Je sentais que je lui plaisais bien. Un beau garçon à son service, prêt à laisser libre cours à son imagination perverse. Cela m’excitait beaucoup aussi je dois dire.
Quelques jours plus tard, nous nous sommes rencontrés chez moi pour notre première séance. J’ai la chance d’habiter seul dans une grande maison de trois étages à la campagne. C’était parfait pour que notre relation reste discrète, car Madame était mariée, peut-être plus pour très longtemps car elle n’était plus heureuse dans cette relation.
J’ouvris la porte en entendant sa voiture se garer dans l’allée. Elle entra sans un mot pour moi et je tournais la clé dans la serrure :
— Déshabille-toi !— Bien, madame.— Tu as le corps bien rasé comme je te l’ai demandé, c’est bien ! Tu es très beau.— Merci madame.— J’ai très envie de m’amuser avec toi ! — Je vous en prie, Madame, nous sommes là pour ça.— Je trouve que tu parles trop, je vais remédier à cela !
Elle sortit un bâillon-boule noir de son sac, ce qui déclencha un tourbillon dans mon ventre.

— À genoux, soumis.
Elle me bâillonna. Le goût de plastique dans ma bouche ne me gênait pas vraiment. Le fait de garder la bouche grande ouverte sous la contrainte un peu plus.
— Tu es tellement mignon comme ça, mon petit esclave ! Les mains dans le dos.
Elle sortit une paire de menottes en métal et attacha mes poignets. C’était assez douloureux, je me sentais entravé et à sa merci. J’adorais ça.
— Allez suis-moi, nous allons dans ta chambre à l’étage. Suis-moi à genoux.
Ce ne fut pas évident de monter les marchés de l’escalier dans cette position, mais je parvins en haut, les genoux brûlants mais fier de moi.
— Tu m’écoutes bien pour l’instant ! Je vais te récompenser.
Elle sortit de son sac des pinces à tétons. Elle savait que j’adorais qu’on joue avec mes petits tétons sensibles.
Elle les frotta un peu avant de les emprisonner. Le gauche puis le droit. Une vague de chaleur envahit ma poitrine, la douleur était mon plaisir. Elle tira sur la pince. Je gémis dans mon bâillon.
— Mais tu bandes, mon soumis. Ta maîtresse t’excite tant que ça ?
Je hochai la tête verticalement et je reçus une gifle en retour.
— Petit pervers. Sale petit, petit pervers. Tu ne jouis pas sans mon autorisation, c’est clair ?
Je hochai la tête, un peu honteux mais secrètement ravi de sa réaction. Je vivais un incroyable moment.
— Tu es une belle bite, mon mignon. Difficile à croire que tu n’aimes pas t’en servir. J’en profiterai à un moment sois en sûr. J’ai très envie de faire de toi mon sextoy. Quelle beau mâle soumis tu fais !
Elle me détacha les mains.
— Aide-moi à enfiler mon gode-ceinture, que je m’occupe de ton cas !Je l’aidai à s’apprêter, elle le plaça au-dessus de sa combinaison de cuir. Elle colla son sexe sur mon visage.
— Tu aimes ! Tu aimerais la prendre en bouche, hein ?
Je hochai la tête comme un bon soumis.
— Je vais te faire ce plaisir, petite chienne. Suce ta maîtresse !
Elle enleva mon bâillon mais ma bouche se remplit bien vite. Ce n’était pas naturel pour moi, mais j’obéissais.
— Plus profond !
Je toussai et elle ressortit.
— Ce n’est pas bien. Je vais te punir pour cet écart à mon ordre.
Elle sortit sa cravache et m’alluma les fesses, viscieuse et sadique.
— 10 coups, tu comptes !
Ce fut très humiliant. Au fil des coups me dents se serrèrent et je lâchais un cri sur le dernier coup.
— Que ça te serve de leçon ! Maintenant je vais te défoncer le cul.— Comme ça, sans utiliser de plug avant ?— Mon soumis n’a pas besoin de plug, oserais-tu le contester ?
Je répondis par la négative.
— D’ailleurs qui t’a permis de parler ? Viens chercher le bâillon sur le sol et remets-le. Je ne veux pas t’entendre, tu es agaçant quand tu parles !
Je m’exécutai.
Elle se plaça derrière moi, mit du lubrifiant sur mon petit trou serré et plaça un doigt dans mon intimité. J’étais désarmé.
— Tu es très serré par contre.
Elle mit deux doigts et joua avec mon trou en faisant de petits cercles avec ses doigts.
— Détends-toi ! Tu es hyper serré. Tu n’as pas envie de faire plaisir à ta maîtresse ?
Je répondis en m’ouvrant à elle, ce ne fut pas facile pour moi, mais je fis l’effort pour elle.
Quelques secondes plus tard, elle me pénétra avec son sexe en plastique. La sensation était incroyable ! Je sentis sa puissance féminine qui s’acharnait sur moi. Cette relation paradoxale entre une femme en pleine démonstration de sa supériorité et un homme qui lâchait prise était cérébralement jouissive pour nous deux. La connexion était belle, j’avais l’impression de combler un manque en explorant une nouvelle facette de ma sexualité, comme si je me réconciliais avec une autre partie de moi.
Elle prenait beaucoup de plaisir à le faire, je le sentais. Pour moi, la délivrance fut soudaine. Sans un bruit, mon corps se détendit et un flot de liquide blanc s’écoula de mon sexe transis. Ma maîtresse continua un moment, narquoise, puis elle ressortit du trou.
— Tu es une bonne salope, n’ayons pas peur des mots.
Elle arracha les pinces de mes tétons endoloris, retira mon bâillon et me demanda de me lever. La séance était terminée, elle m’embrassa sur le torse et me claqua les fesses.
— On recommence quand ?
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