Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 122 J'aime
  • 5 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Le jeune soumis de Madame

Chapitre 3

Dans l’antre de ma maîtresse

SM / Fétichisme
Je gardai ma cage de chasteté et mon plug jusqu’à la fin de la matinée sur ordre de ma maîtresse Je vous laisse imaginer ma joie quand je pus enfin les ôter. Je vécus ce moment comme une véritable libération et j’en profitai pour me soulager honteusement.
J’étais tellement impatient de la revoir. Son emprise sur moi était désormais très forte, et cet état de complet lâcher-prise me faisait beaucoup de bien, car j’avais un travail très stressant.
Dix jours plus tard, je reçus un message de ma maîtresse après une dure journée au bureau. Mon cœur se mit à battre à toute vitesse pendant que je parcourais l’écran de mon téléphone :
« Viens chez moi ce soir. Mon mari est en déplacement et mes enfants ne sont pas à la maison. Pas besoin du sac de jouets. J’ai besoin de tes services… »
Je fis un détour par chez moi et une demi-heure plus tard je me garai devant chez elle. La lumière était allumée dans le salon. Une fois devant sa porte, elle m’ouvrit rapidement et me laissa discrètement entrer chez elle. L’intérieur de sa maison était très chic, le salon était tout de noir et de blanc et il donnait sur une cuisine lumineuse dans laquelle trônait un grand lustre en cristal.
— Suis-moi à l’étage !
Elle était vêtue d’une magnifique combinaison en latex noir qui lui allait tellement bien. Le décolleté plongeant de sa tenue laissait deviner son opulente poitrine que je n’avais encore jamais vu libérée. J’étais très excité.
Ma maîtresse m’emmena sans sa chambre. Elle me demanda de me déshabiller et de me mettre à quatre pattes sur son lit, face à elle.

— Ça fait longtemps que mon mari ne m’a pas baissé. Je t’ai fais venir ce soir pour que tu me satisfasses. Tu vas me besogner comme il se doit, je veux que tu sois viril pour ta maîtresse.
— Bien, madame !
Il y avait une tirette sur sa tenue au niveau de sa chatte. Elle l’ouvrit et me dévoila son clitoris excité.
— Pour commencer, bouffe-moi la chatte !

Je m’y entrepris avec délectation. La séance de la dernière fois m’avait laissé très frustré et j’étais déterminé à lui montrer toute ma motivation pour la servir. Je léchai son clitoris avec le bout de ma langue, en insistant bien sur son capuchon. Déjà, je le sentais mouiller d’excitation.
— Tu ne m’avais pas menti, tu es très doué. Oh oui, continue !
Elle me supplia de poursuivre. Je commençais tout juste à durcir, et je sentais que j’allais faire preuve d’endurance ce soir.
— Arrête et mets-moi des doigts.
Je souris car elle ignorait que j’étais encore plus compétent dans cette pratique. Je ne lui prédisais que deux minutes avant de jouir sur moi.
— Oh, c’est bon !
Je devinais qu’on ne s’était pas occupé d’elle comme ça depuis bien longtemps. Mes doigts allaient bien au fond de son antre, deux puis trois, pendant que je caressais son clitoris avec mon pouce. Elle hurlait presque.
— Oh oui, vas-y, vas-y, mets-les moi bien au fond. Ta maîtresse est fière de toi. Stop, je vais jouir avant de t’avoir utilisé !
J’arrêtai, très content de ma prestation. Après un haletant silence, elle reprit ses esprits et m’ordonna :
— Je vais me déshabiller devant toi. Contemple-moi en silence. Une fois que je serai prête, tu vas me prendre en levrette jusqu’à ce que je jouisse. Je t’ordonne de me tirer les cheveux pendant l’acte. Baise-moi bien et je te récompenserai !
Ell retira la combinaison de latex. Son corps était très beau, ses seins imposants ornés de magnifiques tétons bien dressés m’hypnotisaient. Ma maîtresse se pencha et me montra ses belles fesses rebondies.
— Il y a une boîte de capotes sur la table de nuit.
J’enfilai le préservatif puis ma maîtresse.
Je fis claquer le bas de mon ventre contre ses fesses et je lui tirai les cheveux d’une main en la pilonnant.
— Baise-moi plus fort, soumis !
La tête de lit cognait contre le mur avec force, cela me bloquait presque, mais ma maîtresse devenait de plus en plus insistante.
— Éclate-moi la chatte !
Trois minutes plus tard, elle s’effondra sous moi dans un puissant orgasme qui témoignait de la qualité de ma performance. Je n’avais même pas joui.
— Retire-toi je vais te sucer.
Je découvrais ma maîtresse sous un jour nouveau.
Elle s’acharna sur mon gland avec une technique affirmée. Je reçus ce soir là la meilleure fellation de ma vie. Je sentis un jet de sperme qui cherchait à sortir de ma verge.
— Je vais cracher madame !
Elle continua. Lorsque je vins en elle, elle avala sans rien dire. J’étais choqué par la tournure des événements. Après s’être essuyé les lèvres, elle me fit un câlin et me confia à l’oreille.
— Ta maîtresse est une femme comme les autres. Parfois j’ai besoin de me sentir femme. Ces jours-là, tu me combleras comme si tu étais mon mari. — Je comprends madame, ne vous en faites pas. Je serai toujours là pour vous satisfaire.— Bien, maintenant rentre chez toi et débarrasse-toi de la capote pleine ! J’espère que tu es libre mardi prochain, le soir ?— Oui madame. — Je t’enverrai une adresse, tu viendras avec le sac de jouet à 20 heures. Repose-toi bien car cela risque de durer plusieurs heures.
Je frémissais de plaisir en reprenant la route. Qu’avait-elle prévue pour combler nos désirs ?
Diffuse en direct !
Regarder son live