Temps pourri. Depuis un mois, pas moyen de sortir la moto pour faire une petite balade dominicale histoire de la faire tourner un peu. Le jeune voisin de Madelaine allait une fois de plus faire tourner sa Harley au ralenti dans son garage, juste sous les fenêtres de sa cuisine. Tous les dimanches matin, Madelaine s’affairait à préparer le déjeuner dominical pour le retour de ses deux petits monstres et de leur père partis à la patinoire jouer au hockey. Excédée, Madelaine décida que cette fois, elle en toucherait un mot au propriétaire du terrible engin. Sans même prendre le temps d’enlever son tablier, elle sortit précipitamment de chez elle, laissant imprudemment une tarte aux prunes dans le four, pour se diriger vers le garage de son jeune voisin. La porte était suffisamment ouverte pour permettre d’évacuer les gaz d’échappement, mais pas assez pour lui permettre d’entrevoir la Harley et sans doute, pensait-elle, son pilote occupé à huiler ou serrer des boulons. Elle entra prudemment pour se figer soudainement devant le spectacle du jeune homme entièrement nu prenant appui avec force sur la moto. Elle se doutait que le beau gosse qui avait emménagé six mois plus tôt seul dans la maison voisine était du genre athlétique. Mais aussi bien fait de sa personne, non. Ce n’était qu’une succession harmonieuse de muscles dessinant un magnifique Apollon. Ses pectoraux captaient son attention pleine d’envie. Reprenant ses esprits, Madelaine chercha le regard de son voisin pour lui témoigner sa gêne. C’est là qu’elle distingua subitement, en voyant son visage grimaçant, la silhouette tout aussi sculpturale d’un autre homme nu, le crâne rasé, s’activant derrière lui. Madelaine fut comme pris d’un immense vertige devant le spectacle de ces deux hommes en plein coït. Elle était tétanisée et sentait en même temps un feu la dévorer entre ses cuisses. À chaque coup de queue, le jeune voisin se cambrait, prenant plus fortement appui sur la calandre de la moto dont le moteur tournait à petite vitesse. L’odeur de sueur, d’huile et d’essence lui montait à la tête. Instinctivement, sa main se porta à son sexe dont elle sentait l’ébullition sous son tablier. Le regard du voisin s’était enfin porté sur elle. Son amant avait cessé de lui pilonner le cul. Les deux hommes se tenaient maintenant debout, leurs queues fièrement dressées, deux beaux mandrins à la mesure de leur musculature. Les deux glands violacés semblaient pointer vers elle. Ils s’approchèrent. D’une main ferme, le premier des deux hommes la fit s’agenouiller devant sa queue dressée. Madelaine posa timidement sa bouche sur le sexe avant de le sucer de plus en plus avide. Puis, sa main attrapa le mandrin du jeune voisin qu’elle se mit à branler pendant que sa langue lapait l’autre dard des couilles à l’urètre en prenant soin de bien en suivre toutes les veines. Madelaine ruisselait entre ses cuisses de sentir ces calibres d’exception ainsi à sa disposition, elle dont la vie sexuelle était devenue si pauvre qu’elle était davantage habituée au plastique du gode planqué dans la penderie qu’à la chair d’une vraie bite. Car oui, elle était bien là, face à deux belles queues portées par deux beaux gosses manifestement prêts à s’occuper d’elle sans la moindre retenue. Le jeune voisin aida Madelaine à se relever tandis que l’amant lui apporta un concours efficace pour se retrouver rapidement en culotte devant eux, ses seins lourds aux larges aréoles pendant fièrement sur son torse clair et parsemé de petits grains de beauté. L’un d’eux la souleva par la taille pour venir la déposer sur le ventre sur la selle de la moto, une selle de cuir noir qui colla à sa peau. Elle sentit des mains s’emparer violemment de ses fesses, les pétrir avant que sa culotte ne lui soit arrachée. Elle était maintenant à leur merci, cuisses écartées sur sa fente ouverte et coulante. Côté droit de la moto, Madelaine suçait l’inconnu tandis que son jeune voisin poussait lentement son gros gland à travers sa chatte morte de faim. Elle frissonnait de se sentir ainsi remplie de ce pieu de chair chaude. Il la baisait de plus en plus férocement, la tenant par les cuisses tandis que ses seins lourds s’écrasaient sur le flanc gauche de la moto. L’autre homme avait disparu de son champ de vision. Madelaine comprit rapidement que chaque coup de reins entre ses cuisses procédait d’un même mouvement du bassin, celui de l’amant enculant son jeune voisin. Le cul explosé par la titanesque queue du bel inconnu, l’heureux propriétaire de la Harley s’abandonnait avec joie dans la chatte de Madelaine, sa beauté laiteuse sublimée par le noir de la moto. Les deux hommes se libèrent de leur emprise réciproque, l’un pour la retourner et entreprendre de lécher sa chatte béante et l’autre pour porter de nouveau sa queue à sa bouche. Rapidement, le jeune voisin sentit sa sève monter et remplir par saccades la bouche de Madelaine qui suffoquait de plaisir sous les doigts et la langue de l’amant. Étourdie par le plaisir, Madelaine haletait tandis que maintenant, le deuxième homme se vidait à son tour dans sa bouche tout en embrassant son compagnon de jeu. Quant Madelaine reprit ses esprits, elle était assise cul nul sur le sol crasseux du garage. Elle regarda sa montre. Midi. Elle n’avait pas vu le temps passer. Son mari et les enfants allaient arriver d’un instant à l’autre. Sa bouche était encore pleine du jus odorant des deux hommes. Elle en sentait les traces maintenant sèches au coin des lèvres. Madelaine se rhabilla rapidement pour se précipiter chez elle. Une épaisse fumée s’échappait par la fenêtre de la cuisine. Elle avait oublié la tarte dans le four. Autant vous dire que le retour sur terre fut pour Madelaine particulièrement rude ! Mais rassurez-vous, depuis ce jour-là, Madelaine n’a cessé de découvrir les plaisirs incroyables que recelait son petit lotissement si tranquille en apparence !
