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Le jeune voisin un peu fou

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Carine, et j’ai 40 ans tout rond. Je rentre dans la quarantaine, l’âge où toutes les personnes se posent des questions sur leur vie, mesurant le poids du passé et l’incertitude de l’avenir. On dit que c’est souvent à cet âge-là que les femmes commencent à dépérir, mais je suis encore très bien faite de ma personne : j’ai de longs cheveux noirs, une très belle poitrine et un joli cul rond qui attire de nombreux regards. Je suis mariée avec un bel homme, Marc, depuis près de 12 ans. Cependant, il m’est arrivée une aventure incroyable que je dois vous confier.
Cet évènement se déroula lors d’un week-end durant lequel mon mari partit en voyage d’affaire. Il travaillait du samedi matin au dimanche soir, me laissant seule durant tout le week-end, ce qui m’embêta un peu, car je m’ennuyai ferme : mes amies ne furent pas disponibles ces jours-ci. Je passai donc tout mon samedi à faire quelques courses, puis à m’occuper un peu de la maison, et enfin, quand vint le soir, de regarder la télévision, vers les 22h. Pour la télé, j’avais souvent l’habitude de la regarder nue, car c’était plus confortable et cela faisait très plaisir à mon mari. Cette soirée n’échappa à la règle.Pendant que toute mon attention était centrée sur le film qui passait (un film à l’eau de rose, avec quelques scènes un petit peu sensuelles), j’entendis taper à la porte. J’eus un sursaut : je n’attendais personne. Je filai dans ma chambre enfiler un peignoir et en nouer la ceinture autour de moi. Je me dirigeai vers la porte et ouvris.Ma surprise fut totale. Se tenait devant moi William, le fils de mes voisins du dessus. C’était un jeune homme de 18 ans très particulier : il lui manquait une case, son cerveau lui faisait défaut dans certaines choses, et il était un peu cinglé. Il n’était pas méchant, ni agressif : juste bête. Son physique était différent de son esprit : il n’était pas laid, il avait même un peu de charme, et son corps était d’une musculature moyenne. Il était mince et assez grand, un peu plus que moi. Je n’avais jamais vraiment eu de contact avec lui, hormis les bonjours que je lui lançais quand je le croisai avec ou sans ses parents. C’était pour cela que j’étais très étonnée de le voir devant le seuil de ma porte, l’air hagard.— Bonsoir, Will, euh… qu’est-ce qui t’arrive ?— Carine ! dit-il avec une grosse voix.— Euh… oui, Will, tu as des soucis ?Je remarquai que son regard était braqué sur ma poitrine volumineuse, cachée par le peignoir.— Carine : seins ! s’écria-t-il.Je n’eus guère le temps de saisir qu’il me poussa dans mon propre appartement en m’empoignant les seins. Je poussai un cri de surprise, tandis que la porte d’entrée se refermait d’elle-même. Je reculai pour éviter de tomber et nous débarquâmes précipitamment dans mon salon.— William, arrête, mais tu es fou ?— Fou, fou ! Carine : bonne !— William, ça suffit !Il tripotait toujours mes seins. Je voulus me dégager, mais il fut le plus rapide. Il attrapa la ceinture de tissu et la défit en une fraction de seconde. Incroyable pour une personne qui avait du mal à faire ses lacets ou boutonner sa chemise ! Une fois la ceinture défaite, il ouvrit mon peignoir et toute la partie avant de mon corps fut nue à ses yeux. Il pouvait voir mes énormes seins rebondir lentement, mes tétons, mon ventre mince et ma chatte entièrement rasée.— Carine, seins ! répéta-t-il.Il les tripota de nouveau, mais cette fois, je me tins prête. Je le repoussai en l’engueulant :— Mais arrête, Will, tu n’as pas le droit de faire ça, tire-toi !J’ignorai s’il comprenait ce que je lui disais ou non, mais il ne réagit pas à mes paroles. Je lui mis alors une claque. Cela fonctionna, il retira ses mains de mon corps. Mais en un éclair, il bondit derrière moi, attrapa mes bras et joignit mes poignets dans mon dos, me faisant crier de surprise. Je me débattis, mais je fus impressionnée par sa force ! Je ne pouvais dégager mes bras. Il me tenait les poignets d’une main. De son autre main, il me caressa de nouveau les seins en s’écriant :— Carine : gros seins !— Arrête, William, je t’en supplie !Il n’écoutait guère. Il me tripota pendant environ une minute, qui furent de longues secondes éprouvantes. Je me sentais très mal, et je commençai sérieusement à être apeurée. Puis soudainement, il me poussa violemment. Je tombai sur le sol, mais durant la chute, Will avait attrapé mon peignoir et je me retrouvai sur le sol totalement nue. Je me retournai précipitamment et le vis jeter le peignoir loin dans la pièce. Il était juste devant la sortie du salon, et je n’avais aucune issue : si je voulais m’enfuir, il me fallait passer à côté de lui, à portée de bras.Je décidai d’attendre un moment propice. William retira son T-shirt, puis son pantalon et enfin son caleçon. Ce fut le choc.J’ouvris grande la bouche. Une bite de plus de 22cm me faisait face, tendue comme un arbre. Jamais de ma vie je n’avais vu tel sexe. Mon mari était dans la moyenne, c’est tout. Je fus tellement impressionnée par la taille et l’épaisseur du sexe de ce débile que j’en oubliai ma peur. Il s’approcha de moi, et celle-ci revint plus forte que précédemment.— Ne m’approche pas ! criai-je.
— Carine : baisée !— Non !Il se jeta sur moi et me retourna comme une crêpe sur le sol de mon salon. Il m’écrasa ensuite de tout son poids, me faisant perdre ma respiration. J’étais allongée sur le sol, sans pouvoir me défendre : il était trop lourd pour moi. Je sentis un gros gland effleurer ma chatte. Il s’y introduisit et je poussai un gémissement : cet espèce de cinglé allait me violer !Il s’y enfonça lourdement, et je poussai un cri. Bon sang, il était énorme et m’écartelait le vagin. Jamais je n’avais senti pareille grosseur en moi. Il parvint à m’enfoncer la quasi-totalité de sa verge dans mon con. Je n’aurais pas pensé que mon vagin puisse accueillir pareille bête ! Je me sentais souillée, mais je ne pouvais plus y faire. Je n’avais plus qu’à prier qu’il revienne à la raison ou qu’il se dépêche.Il se mit ensuite en mouvement et commença à me baiser. Mais cela n’avait rien à voir avec mon mari. Il me baisait à une allure très rapide : ses coups de bites étaient puissants, profonds et violents. Tout d’abord, j’eus mal, mais quand les deux premières minutes de baise passèrent, la douleur s’envola… pour laisser place à une forme d’attirance, puis de plaisir. Mon vagin dégageait une vague de chaleur sans précédent : je me sentis fondre de plaisir sous cette énorme bite qui me défonçait sauvagement. Mais immédiatement, je ressentis cela comme quelque chose de très mal : un jeune homme fou était venu me violer et j’en arrivais à éprouver du plaisir. Je pensai soudainement à mon mari, qui était loin de moi et ne pouvait pas me protéger dans ce moment-là. Mais un gros coup de bite bien placé me fit pousser un petit cri, et pas de douleur…— Aaah ouahhh ! gémis-je, retenant mon plaisir.— Ouah ! Carine : trop bonne !Sa cadence était rapide et incroyable, il me tringlait avec une telle bestialité que j’en jouissais ! Je commençais à gémir de plaisir avec le temps, je ’en croyais pas mes oreilles ! Mais quelle salope j’étais !Il me prit durant dix minutes dans cette position, contre laquelle je ne pouvais pas me défendre. Puis je le sentis s’immobiliser au fond de mes entrailles, puis il poussa un drôle de hoquet de plaisir. Je le sentis éjaculer : un gros jet de sperme vint inonder mon vagin. Je m’écriai, effrayée :— Non, arrête, je ne prends pas la pilule !Il ne répondit pas : savait-il seulement ce que cela signifiait ? Ma peur se transforma en surprise : il éjaculait d’énormes quantités de foutre ! Il continuait inlassablement à se vider les couilles en moi. Son sexe toujours aussi dur et tendu ne débandait pas et crachait sa semence par vague. Bon sang, c’était incroyable, mon mari crachouillait à peine quelques gouttes, lui se vidait par flots !Je sentis petit à petit mon vagin et mon utérus se remplir de son foutre chaud. Je saisi également que son sexe était en train de terminer son travail : je ne ressentais plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de son énorme bite encore dure. Lorsqu’il sembla avoir terminé, il dit :— Carine : baisée !— Tu es complètement fou, Will, lui expliquai-je, essayant de rester calme.Il ne bougeait toujours pas, et sa bite était toujours aussi grosse et dure, ce qui commença à m’inquiéter.— Will, écoute, maintenant que tu as eu ce que tu voulais, lâche-moi, et va-t-en. Promis, je ne raconterais rien à personne, si tu t’en vas tout de suite !Sa seule réponse fut :— Carine : encore baisée !— Quoi ?Je n’eus pas le temps de comprendre ou de réagir qu’il retira son sexe du mien, puis m’attrapa par les bras et me força à me relever. En quelques secondes, il me fit lever et m’emmena vers le canapé. Il m’y projeta, bondit sur moi et écarta mes jambes. Il plaça son sexe sur mon clitoris.— Mais qu’est-ce que… commençai-je.Il me pénétra une seconde fois, m’arrachant de nouveau un gémissement de surprise. Instantanément, il reprit sa cadence de forcené et recommença à me baiser sauvagement.— Oh Mon Dieu, Will… gémis-je.À ma grande surprise, son énorme sexe de 22cm était toujours aussi gros, bandé et épais. C’était comme s’il ne venait pas d’éjaculer. Juste incroyable !Contrairement à la première fois, aucune douleur ne vint troubler la baise. Il ne me fallut que quelques secondes pour ressentir de nouveau le plaisir grimper. Celui-ci fut encore plus grand, car j’avais cette fois-ci vraiment l’impression d’être une chienne qui se faisait tringler sauvagement. Seule la grosse bite qui me défonçait l’intérieur commençait à compter, et j’en vins à oublier mon mari, mes principes…Mes seins rebondissaient sous les coups de boutoir de mon amant débile, et je commençai à gémir sous sa sauvagerie animale. Les cris de jouissance vinrent peu après. Au bout de quelques minutes supplémentaires, j’en vins même à parler à William :— Vas-y, Will, baise-moi plus fort, oh oui !— Carine : salope !— Oui, je suis ta salope, fais de moi ta chienne !Il me baisait à grande allure. C’était jouissif et tellement bon. Jamais je n’aurais cru le sexe aussi plaisant. Mon mari parvenait à me faire plaisir, mais jamais de façon aussi intense et bestiale !Will se retira, mais il me fit lever et s’assit sur le canapé à ma place. Il me retourna, je fus dos à lui, puis me fit empaler sur sa queue bien dure et bien trempée de ma mouille et de son foutre.Là, il me fit sautiller sur son sexe, et accompagnait mes mouvements des siens, en me donnant de puissants coups de bite. Je criais mon bonheur de me faire défoncer de la sorte, je ne me reconnaissais plus du tout. Les paroles salaces qui sortaient de ma bouche ne pouvaient être de moi, et pourtant si. J’en vins même à l’orgasme, qui fut plus fort que tout ce que j’avais vécu jusqu’ici ! Mon vagin, mon utérus, les lèvres de ma chatte en furent brûlées, toute cette jouissance atteignit mon corps et j’hurlai telle une pute défoncée !Mon amant ne s’arrêta pas là, il changea une seconde fois de position, me tournant face à lui cette fois-ci, puis nous recommençâmes à baiser comme des fous.Il poussa un autre hoquet de plaisir et éjacula une seconde fois pour la soirée. À nouveau, je sentir sa semence épaisse et chaude envahir mon utérus et mon vagin et j’en jouis une nouvelle fois.— Oh oui, c’est trop bon ! hurlai-je.Contrairement à la première fois, je ne protestai pas à ce qu’il éjacule au fond de moi, sans protection : j’étai trop occupée à jouir et atteindre l’orgasme. Et une nouvelle fois, son liquide fut important. Il se vidait les couilles de façon presque aussi importante que la première fois, ce qui me rendit pleine de fierté (et de foutre).Je le sentis arrêter de se vider. Je pus souffler un moment, toujours empalée sur son énorme sexe. Je posai mes mains sur son torse, le regardant dans les yeux.— Oh putain, c’était bon, t’es incroyable, Will !— Carine : trop bonne !— Merci, au début, je n’étais pas consentante, mais je dois avouer que tu es…— Carine : enfant !— Quoi ? répliquai-je, sonnée.— Carine : enfant !— Tu es fou, il n’en est pas question !Mais il réagit en même temps. Il me poussa sur le sol, et me fit mettre à quatre pattes. Il m’attrapa par les hanches et me pénétra de son énorme sexe toujours aussi dur depuis une demi-heure. À peine fut-il au fond que je sus que je ne pourrais résister à la jouissance qu’il me procurerait bientôt. J’étais en train d’en redemander intérieurement. Je m’entendis lui crier alors :— Oui, Will ! Oui, je le veux ! Fais-moi un enfant, je vais porter ton bébé ! Baise-moi ! Mets-moi enceinte !Je ne me rendis même pas compte de la stupidité de mes paroles, mais nous repartîmes pour une demi-heure de baise durant laquelle il m’envoya au septième ciel plusieurs fois. Et lorsqu’enfin il éjacula en moi une troisième fois, je me sentis pleine, satisfaite et heureuse. Mais sa bite fut toujours aussi dure et grosse, et il me tringla une quatrième, puis une cinquième, une sixième… À chaque fois, entre chaque baise, il éjaculait par gros flots de sperme, dont la plupart ne rentrait désormais plus en moi et s’échappait de mon vagin pour atterrir sur le sol.Il me baisa et me défonça durant des heures. Ce fut les 4 heures les plus jouissives et les plus merveilleuses de ma vie, ce ne fut qu’un maelström de plaisir et de bestialité hors du commun. J’aurais voulu être dans cet état jusqu’à la fin de ma vie, mais c’était impossible.William éjacula pour la neuvième et dernière fois en moi vers 2h du matin. J’étais complètement crevée et usée, dans un état de loque jouissante impossible à décrire. Ce fut à ce moment là que William débanda enfin ! Sans même me demander comment j’allais, il se rhabilla lentement, pendant que j’étais allongée sur le sol, une petite mare de foutre tout autour de moi, mon utérus et mon vagin littéralement remplis de sa semence chaude et épaisse. Je l’entendis quitter mon appartement en claquant doucement la porte. La seule chose qu’il me murmura avant de m’abandonner fut :— Carine : à moi !Oui, petit bonhomme, j’étais à toi… Jamais on ne m’avait faite jouir à ce point !L’heure suivante fut utilisée pour me nettoyer et me décarcasser. Le lendemain, je passai le plus clair de mon temps à nettoyer et à parfumer le salon, qui puait terriblement le sexe et le sperme.Mon mari revint le soir, et ne posa aucune question. Je ne lui parlai évidemment pas de la veille, mais je ne vis plus Marc, mon mari, de la même façon : c’était mon homme, mais ce n’était pas un bon amant. Le sexe était meilleur avec William.Une semaine plus tard, je découvris que j’étais enceinte, et n’eus aucun doute de l’identité du père : William m’avait effectivement mise enceinte. Cette nouvelle ravit mon mari, qui pensait être le père. Je fus terrifiée pour deux raisons. La première, c’était qu’un tout jeune homme de 18 avait réussi à me mettre en cloque, juste en baisant une fois alors que je n’aurais jamais dû laisser cela arriver. Cela me faisait sentir terriblement humiliée et salope en même temps. La seconde, c’était que le père, Will, était débile. L’enfant qui en résulterait serait-il tout aussi débile et dingue ou serait-il normal ? Etait-ce génétique et qu’avait William ?Cette question, je n’osai jamais la poser à ses parents. D’ailleurs, puisqu’il m’avait mise en cloque, et malgré toute la jouissance qu’il m’avait procurée, je fis de mon mieux pour ne plus approcher Will.J’accouchai d’une petite fille tout à fait normale, ce qui me soulagea énormément. J’avais tout de même le poids de la culpabilité d’avoir trompé mon mari et d’avoir donné naissance à un bébé qui n’était pas le sien.Après l’accouchement et les premiers temps de mères, j’appris d’une voisine qu’elle-même et que plusieurs autres de l’immeuble avaient également été victime de la fougue sexuelle de William. Elles n’étaient pas tombées enceintes, mais toutes, comme moi, avaient adoré le traitement de Will, qui semblait être le plus bel amant du monde.À ma grande surprise, je recouchai de nouveau avec Will seulement un an après mon accouchement, mais en prenant soin de me protéger cette fois. Je le revis de nombreuses fois, et à chaque fois, j’en redemandais et jouissais comme une folle. Une incroyable aventure !
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