Fille de parents divorcés, qui ne s’intéressent pas trop à moi, je suis en internat au lycée, ça forge le moral et ça me rend indépendanteLe plus dur c’est au moment des vacances, surtout lorsque je vois Anita, ma copine de chambre partir chez elle, aussi en internat, pourtant elle a un père ‘friqué,’ bel homme, mais soit disant trop pris pour pouvoir correctement s’occuper d’elle tout au long de l’année, il ne la prend que pour les vacances d’où elle revient exténuée, sois disant qu’ils font du sport, lorsque je lui demande quel genre de sport elle reste très évasive Elle me taquine souvent parce que je suis encore vierge, parfois la nuit elle vient se glisser dans mon lit étroit pour parler de cul — Quand est-ce que tu va te décider à devenir femme ? — Lorsque j’aurais trouvé un amant idéal — Comment le vois-tu ? jeune ? mûr ? mûr ne veux pas dire vieux ! — Ce serait plutôt mûr, qu’il ait de l’expérience afin de m’amener à l’extase en douceur pour rendre ce moment inoubliable Sans crier gare elle refoule le drap jusqu’aux pieds et retrousse ma chemise de nuit — Tu a de beaux nichons Cloé, je peux les toucher ? — Entre nous ça ne prête pas à conséquence — Ils sont fermes pour la grosseur, mon père dit que j’ai deux œufs sur le plat— Les tiens sont petits mais bien ronds, j’aime bien tes tétons pointus — Dis moi tu ne te rase pas ? — Me raser ? — Oui en bas, la chatte !— Non ? pourquoi faire ? je laisse ma toison comme elle pousse — Tu devrais au moins les tailler, regarde les miens …c’est plus pratique pour les rapports sexuels — Tu le fait souvent toi ? — Pendant les vacances évidement, le reste du temps nous somment ici toutes les deux ensembles !— Tu baise avec qui ? je croyais que tu restais avec ton père ? — Oui enfin... c’est comme ça, un point c’est tout !— Ne t’énerve pas
— Excuse moi… caresse plutôt ma minette ça m’a émoustillée de parler de ça, si tu veux je caresse la tienne en même temps ? — … Si tu veux, mais ne rentre pas de doigts — Promis, c’est une belle et grosse queue d’homme mûr qui te dépucellera ! — Je l’espère, car je commence à en avoir sérieusement envie... — Ça peut arriver plus vite que tu ne le crois … Aaaaaaaaaahhhhooouuuuuuuuiiiiiii ajoute un autre doigt … huuuuuummmmmmmmmmmmmmm ! c’est boooooooonnnnnnnnn, branle moi plus fort ! Moi au fond de sa vulve en eau, elle sur mon clitoris nous avons jouis en même temps, en silence hélas pour ne pas ameuter les autres chambres …les dernières vacances avant la fin d’année approchent, Anita ma fait une proposition … — Pourquoi ne viendrait tu pas chez moi ? Mon père t’invite — Je ne voudrais pas déranger... — Au contraire, et puis ce serait mieux pour moi …j’en ai un peu marre de nos têtes a têtes… il te trouve très belle— Il est gentil, je le trouve pas mal aussi— Que dirais tu si il te demandais de te faire femme ?— Me faire dépuceler par ton père ? Tu me dis ça comme ça ?— Parlons franchement … je vais te confier un secret… promet moi de ne jamais rien en dire a personne — Promis …— Papa et moi … faisons certaines choses ensembles — Oui du sport ? — Pas seulement, c’est lui qui m’a dépucelée— QUOI ? — C’est à lui que je pensais lorsque que je t’ai parlé d’homme mûr expérimenté pour te prendre le pucelage, j’en garde un extraordinaire souvenir, pourquoi n’essaierais-tu pas ? — Tu m’annonce ça brutalement, laisse-moi me faire à l’idée... par ton père ????— Ok, nous en reparlons ce soir dans notre chambre Je n’ai rien fais en cours cet après midi là… a quoi pouvait ressembler la verge de son père ? Comment avait-il amené sa fille à devenir sa maitresse ? Avait-elle joui la première fois ? Toutes ces questions je le lui aient posées… — Il était en manque total de femme, un soir je me suis hasardée à le toucher et le masturber pour le soulager, il n’a pas pu résister en voyant mes cuisses ouvertes et ma chatte dégoulinante, si tu voyais la grosse queue qu’il possède, tu craquerais aussi, et encore elle est moins grosse que celle de son frère — Ton oncle te baise aussi ? — Oui … — Il sera chez toi ? — Ça se pourrait bien, comme c’est bon de se faire caresser à quatre mains, ils me préparent si bien que leurs bites entrent en moi comme une lettre a la poste ! — ASSEZ ! — Tu ne veux pas venir ? ça te fait peur ? — Je dis ‘assez’ parce que je n’en puis plus, caresse moi encore ! je viens chez toi !— Chouette ! je téléphone à papa pour lui annoncer la bonne nouvelle ! Je n’en menais pas large lorsque je suis entrée dans cette grande maison bourgeoise, son père m’a détaillée sous toutes les coutures en se massant la braguette — Vous êtes superbe Cloé, je sens que nous allons passer de superbes soirées — Tu téléphoneras à tonton Paul ? — Oui, un des ces soir, mais pas avant que j’ai fait connaissance avec ta copine— Je ne veux pas tenir la chandelle trop longtemps !— Rassure toi, y’a toujours de quoi s’occuper … montre lui sa chambre, prenez votre douche et descendez pour l’apéritif Ma chambre est magnifique, un lit immense et une douche attenante, tandis que je me lavais j’ai cru voir une ombre …lorsque je suis sortie les vêtements que j’avais laissés en vrac sur le lit avaient disparus, une sorte de nuisette opaque, ouverte de partout les remplaçaient, Anita est entrée revêtue du même vêtement…elle tourne sur elle-même en riant — T’as vu ? C’est super ! Tous les endroits de nos corps sont accessibles ! — Ont voit tout ! ça me gêne … — Dans quelques heures tu ne diras pas pareil quand tu seras allongée sur la peau de bête devant la cheminée …— C’est pour ce soir ? ton père va me prendre ce soir ? — A moins que tu ne refuse, même si c’est un chaud lapin, ce n’est pas un violeur ! La première coupe de champagne me faisait déjà tourner la tête, pas ivre, mais euphorique, une chaleur inhabituelle montait entre mes cuisses, sans doute était-ce dût aux regards insistant du père sur ma toison noire, lui-même était en sortie de bain de soie très courte déformée par son sexe encore au repos, dans la cheminée le feu crépite, les flammes m’hypnotisent … — Nous allons nous assoir sur les coussins devant l’âtre, allonge toi prés de ta copine ma chérie, vous devez vous caresser parfois a l’internat ? Je me trompe ? — Non papa, ça nous arrive...mais superficiellement — Alors qu’attendez-vous pour faire plus ? faites comme si je n’étais pas là …ôtez-moi ces chemises ridicules — Tu veux qu’ont se mange le minou Cloé ? — Je ne sais pas faire … — J’ai une idée, Anita, tu va manger la choupinette de Cloé, pendant ce temps je vais te pénétrer par derrière, ainsi ta copine verras comment se passe l’accouplement, ça va la rassurer, qu’en dites vous les filles ? — Moi ça me va, et toi Cloé ? — Pourquoi pas ? je suis novice je vous fais confiance — Soit rassurée après mon père va te caresser jusqu’à ce que tu sois bien ouverte avant de te dépuceler, montre lui ta queue papa …— Voilà … qu’en penses-tu petite ? — Mon dieu ! elle est grosse — Et encore il ne bande pas à fond !— Ta chatte va tout absorber soit tranquille, aller assez bavardé en position, écartez vous bien, montrez moi vos minettes ! demain tu passe le rasoir dans ta forêt vierge Cloé, je veux voir tes lèvres lisses — Oui monsieur — Pas de monsieur, appelle-moi Laurent et tutoie-moi s’il te plait— Oui Laurent !— Bravo les petites, je vais étendre la lampe, seul le feu va éclairer vos jolies petites fesses La suite bientôt …
