Je viens me positionner sur mon mari. Son sexe chaud et incroyablement dur est dans ma main, et je l’amène vers l’entrée de ma chatte bien trempée qui attend la visite de cet intrus qu’elle aime tant. Son gland caresse mon clito puis je m’empale dessus. Je descends doucement, nous faisant gémir tous les deux jusqu’au moment où je suis complètement remplie par sa belle bite. Ses mains viennent se poser sur mes hanches. Je reste bien droite sur lui, sans trop bouger. Il est dur et sa queue palpite dans ma petite minette. Je ne veux pas le faire jouir tout de suite. Mes mains passent dans mes cheveux, il me fixe, excité. — Chéri, tu te rappelles que plus jeune, j’ai couché avec un Sénégalais avec une bite de vingt-cinq centimètres. Un vrai monstre.— Ouais... me dit-il d’une voix rauque.— Je vais te donner tous les détails de cette partie de jambes en l’air. Comment ta douce petite femme s’est fait défoncer cette nuit-là. Tu vas tout savoir sur la partie de sexe la plus violente de ma vie... ********************************************************************
7 ans plus tôt.
Nous sommes en septembre, Claudia et Clémentine ont vingt-et-un ans. Leurs études sont terminées, licence en poche et la vie devant elles. Comme Clémentine est une grosse fêtarde, elle a encore entraîné Claudia dans une soirée. Maintenant, Claudia n’a plus une longue chevelure brune, elle a coupé ses cheveux pour les avoir lâchés au niveau des épaules. Clem ne cesse de lui répéter que cette nouvelle coupe la rend très sexy. Pour l’occasion, elle est habillée d’une petite robe noire qui la rend très attirante. Mais les garçons regardent d’abord les énormes seins du décolleté de sa meilleure amie. Je me suis faite super mignonne pour rien, pfff... Elle boit quelques verres, danse un peu avec Clem, mais cette dernière est vite abordée par un grand black. Elle danse avec lui, rigole, l’embrasse, se fait peloter les nichons, lui parle. Puis elle lance un petit regard vers Claudia. Ce dernier la regarde aussi et lui fait un petit oui de la tête. Claudia qui est au bar ne comprend absolument rien à ce qui vient de se passer. Elle voit avec surprise une Clémentine toute contente qui s’approche d’elle. — Ma chérie ! s’exclame Clémentine.— Qu’est-ce qu’il se passe ? Pourquoi vous m’avez regardée avec ce mec là-bas ?— Il y a quelques semaines, ce gars m’a baisée chez lui.— Et alors ?
— C’est un sacré putain de baiseur ! Je te jure que c’est le meilleur amant de ma vie sexuelle. Et tu es bien placée pour savoir que j’en ai connu un paquet. Et c’est du calibre vingt-cinq !— Hein ?— Vingt-cinq centimètres ma belle. C’est une putain de poutre qu’il a !— Ce n’est pas possible.— Et pourtant...— De toute façon, en quoi ça me regarde, moi.— Parce que tu vas les prendre ces vingt-cinq centimètres.— Je te demande pardon ?— Tu te plains toujours que tu as des kassos entre les jambes. Bah là, c’est un super coup. Alors il faut que tu y ailles.— Non ! Ça va pas ! Je veux être satisfaite au lit, pas coupée en deux !— Mais arrête tes bêtises. Tu vas baiser avec lui et si tu ne prends pas ton pied. Je ne vois pas ce que je pourrais faire de plus pour toi. Tu seras irrécupérable.— Bon d’accord... Je vais tenter le coup. Clem fait les présentations, mais Claudia ne comprend pas son prénom, vu le brouhaha. Ce black est beau-gosse, bien bâti et plus grand que les deux filles. Il doit avoir trois-quatre ans de plus qu’elles. Clem les laisse et ils quittent directement la boîte. Dans la voiture, Claudia n’est pas très à l’aise. Il y a ce silence gênant pendant qu’il l’emmène chez lui, pour la baiser. Mais ce moment de gêne est interrompu par le conducteur, qui sort sa queue de son pantalon. Oh mon Dieu ! Les yeux écarquillés et la bouche entrouverte, Claudia fixe la queue de son futur baiseur. De par l’énormité du chibre, mais également parce que ce mec sort sa bite en conduisant ! — Bon, alors, ne la fixe pas comme ça, suce-la un peu en attendant.— Mais...— Quoi ? C’est la taille qui te surprend ? Je pensais que grosses loches t’avait prévenue.—Grosses loches’ ? Ce surnom va plaire à Clem...— Si... mais... En fait...— En vrai, c’est plus impressionnant, je me doute. Bon, tu la suces ?— Mais... La route, ce n’est pas prudent ?— Ta copine réfléchit moins. Décontenancée, Claudia se penche et prend le gros gland dans sa bouche. Vu le gros calibre, elle s’attendait à juste suçoter le bout, mais la main ferme qui se pose sur son crâne la pousse et elle se retrouve avec une bonne dizaine de centimètres dans la bouche et le gland vient taper contre sa glotte. Elle est à deux doigts de vomir, mais résiste et subit le tempo voulu par le conducteur, en faisant des ‘glork, glork’ avec sa petite bouche. Elle continue de sucer la grosse bite avec les pressions de la main sur son crâne. Lorsque la voiture est garée, tout se passe très vite. En très peu de temps, Claudia se retrouve à genoux dans une chambre qu’elle n’a pas eu le temps de détailler, à se faire baiser la bouche. Il tient ses cheveux en queue-de-cheval avec sa main et lui donne de puissants coups de bite dans sa petite bouche en regardant ses yeux larmoyants. Il se sert de sa bouche comme d’un sex-toy féminin et il y va sans ménagement. Elle fait des bruits de bouche bien audibles tout en gardant ses mains sur les jambes de son amant. Il finit par s’enfoncer entièrement. Une bite épaisse de vingt-cinq centimètres de long avec un gros gland qui déforme la gorge de la petite Claudia qui n’en croit pas ses yeux. Surtout qu’il ne se retire pas. Mais c’est pas possible, il veut me tuer ?! C’est au moment où elle croit étouffer et que ses jolis yeux noisette commencent à se révulser, qu’il se retire. Elle a à peine le temps de reprendre son souffle qu’il vient lui remettre son gland dans la bouche. Mais, au moins, il la laisse le sucer comme elle l’entend, enfin, presque. Il pose ses deux mains sur son long sexe pour lui faire comprendre qu’elle doit le branler. Elle fait alors une masturbation de ses deux mains sur le manche et une fellation au gland. Et il apprécie le traitement. — Aaahhhh, ouais ! Tu pompes bien ! Mieux que ta copine ! Il tire ses cheveux pour la relever et il la déshabille rapidement. Il lèche ses petits seins, en mordillant les tétons puis la soulève comme une plume. Claudia s’accroche à lui par réflexe et reçoit sa bite entre ses cuisses et le gland entre ses lèvres intimes. Ça coince un peu, mais lorsqu’il la tire vers le bas avec ses grosses mains sur ses hanches, la moitié de sa queue glisse dans son vagin sous un cri de Claudia. — Aaaaahhhhhhh ! Plantée sur sa bite, elle sent ses mains qui glissent sous ses fesses, ses doigts se posent sur sa chatte et l’étire le plus possible pour que son gland finisse de repousser les parois de son vagin et buter sur le col de son utérus. — Ooooooooooh !
Claudia a l’impression que son sexe va éclater. Il lui donne d’énormes coups de bite et son vagin accepte rapidement sa grosse queue.Il défonce sa chatte avec beaucoup de rythme et la belle n’arrive pas vraiment à encaisser cette poutre noire. Elle prend cher et cela excite son baiseur qui s’en donne à cœur joie. Il la jette sur le lit et vient la mettre sur lui, son dos contre son torse. Sa bite retourne dans son vagin et ses bras viennent choper l’intérieur des cuisses pour que ses mains se retrouvent sur ses joues. C’est donc en boule, sous son emprise qu’elle se retrouve obligée de regarder sa petite chatte se faire déchirer par ce bâton noir qui rentre et ressort de son sexe sans pouvoir y entrer complètement. Elle ne peut toujours pas retenir ses cris. — Aaaaaaaaah ! Ooooooooooh ! Aaaaaaaaaaaah ! Mais il ne sait pas faire comme les autres ce mec ? Il la baise dans cette position de longues minutes avant qu’il ne la fasse rouler à côté de lui. Elle est à quatre pattes et il vient lui lécher la chatte. Claudia commence à gémir et sa chatte à se liquéfier bien plus qu’elle ne l’était. Lorsqu’il trouve sa chatte bien mouillée et dégoulinante de jus, il la reprend de nouveau avec sa grosse et longue queue.La levrette n’échappe pas à sa bestialité. Il lui donne de grosses claques sur ses magnifiques fesses bien rebondies. Cela arrache des cris rauques à Claudia. Il lui prend ensuite les cheveux et commence à la tirer comme il faut. — OOOOOH ! AAAAAH ! OOOOOOH ! AAAAAAAH !— Oh ouais, t’aimes ça petite pute ! Qu’elle est bonne ta petite chatte ! C’est un régal de te défoncer ! C’est un peu honteuse que Claudia finit par avoir un très léger orgasme. Mais une petite pointe de plaisir est cependant bien présente dans sa brutale soumission. Mais la partie va vite changer de registre. Il commence à lui doigter le cul et Claudia se tortille, peu habituée à la sodomie, qu’elle n’a réalisée qu’une seule fois, elle ne fait pas le rapprochement. Sa chatte qui se fait limer à la vitesse de l’éclair ne l’aide pas à avoir la tête concentrée à cent pour cent. C’est lorsqu’elle sent un gros gland forcer son trou du cul, qu’elle comprend... Putain, pas l’anal ! Mais étrangement, elle ne s’y oppose pas et se laisse faire. Voyant qu’il peut y aller, il force un peu et son gland passe son anneau anal pour aléser son boyau et, enfin, absorber entièrement sa longue queue.Il commence à bien l’enculer, en lui tirant toujours les cheveux qu’il ne veut pas lâcher. Il lui défonce l’anus et Claudia a le teint rouge, les yeux écarquillés et des cris venant de ses tripes sortent de sa bouche. Son petit trou du cul doit lui faire un effet de dingue, car il va lâcher la purée. — Je vais te gicler à la gueule, petite salope !— Aaaarghh ! Non ! Pas le visage ! Uuuurgggh ! Il souffle en se retirant et en aspergeant son magnifique fessier avec de longues giclées de foutre chaud... *** Claudia est sur le siège de la voiture, son baiseur dont elle ignore toujours le nom la ramène à la fête. C’est très gentil de sa part et cela la surprend. Vu comment il vient de la baiser et de la souiller. Il voit chez elle son trouble. — Pourquoi tu tires cette tronche ?— Je ne te comprends pas...— C’est-à-dire ?— Bin, tu me ramènes à la fête pour pas que je prenne les transports publics, car ça peut être risqué à cette heure, mais tu m’as violemment défoncé mes deux trous tout à l’heure.— Quoi, t’as pas aimé le sexe ?— Bah, pas vraiment, non. Je m’attendais à plus de douceur de ta part. Je ne suis pas un objet.— Waouh, ça, c’est étonnant. Généralement, les meufs que je ramène chez moi pour une simple baise, elles ont juste envie de se faire défoncer. Comme ta copine, quoi. Tu aurais dû me dire que tu voulais du soft. Ça ne me pose pas de problèmes.— ... ! Merde, il a raison. J’aurais dû lui dire que je n’étais pas comme Clem... C’est peut-être ça mon problème, je fais trop comme Clem, et après, je ne suis pas satisfaite... ******************************************************************** — Donc, si je comprends bien, c’est grâce à cette baise, que tu as compris que tu n’étais pas comme Clem ?— Oui et non. Je savais que je n’étais pas comme elle, mais je la suivais tout le temps dans ses parties cul et je faisais pareil. Mais ça m’a permis de me lancer à chercher ce que je voulais vraiment.— Tu veux dire, moi.— Oui, toi... aaahhhh. Toujours sur lui, je me déhanche avec douceur. Nous avons tous les deux une grosse envie de jouir ensemble et on ne va pas tenir longtemps, ça, c’est sûr. — Après cet événement, je n’ai pas eu beaucoup de partenaires. Je le faisais de temps en temps, mais sans vraiment y prendre du plaisir. Et puis un jour, Clem m’a emmenée dans un bar. Elle accoste un groupe de trois mecs. Et l’un était particulièrement beau. Et il ne faisait que de me mater du coin de l’œil.— Ah ouais ?— Ouais. Et après, Clem est parti danser avec les deux mecs, me laissant seul avec ce mec. Il était italien d’ailleurs... Et on commence à se parler, et le courant passe bien. Il me fait l’amour avec ses yeux, et j’ai qu’une envie, c’est que sa bite me baise à son tour. Alors, je me moque de lui, car ses amis ne faisaient que louer ses talents au lit. Alors je l’ai mis au défi. Et je l’entraîne aux toilettes...— Tu as fait ça ?— Oh que oui, et il ne s’est pas fait prier pour me suivre ce cochon. On s’est sauté dessus et on a commencé à s’embrasser comme des fous. Et il m’a saisie, m’a portée, m’a plaquée contre le mur. Il a sorti sa queue pour la mettre d’un seul coup au fond de ma petite chatte trempée. Et là, il a commencé à me baiser comme un dieu. Lorenzo se redresse en me prenant dans ses bras, il sort du lit et vient me plaquer contre le mur et commence à me pilonner en me portant. Mon dos plaqué contre le mur de notre chambre, mes jambes l’entourant. — Aaaahhh ! AAAaahh ! Ahhhh ! Oooh ouiiii ! AAAaaahhhh, ouiiii, ouiii !— Il te baisait comme ça ?— Oui !!!! Comme çaaaa ! Ohhh ouiiiii ! Encore plus foooorrt ! Hannnnn !— Ah ! Ah ! Et après, il s’est passé quoi ?— Il m’a fait jouir, AAAHH ! AAAhhhh ! Et il m’a giclé dans la chatte ! OOOoohh ! AAAAAHHHHHHHHHH... Il continue de me défoncer la chatte en grognant de plaisir. J’ai un orgasme foudroyant, et les contractions de mon vagin lui font cracher sa semence, pour la deuxième fois de la soirée. Il vient me redéposer sur le lit. — Et tu en as fait quoi de cet italien ? me demande-t-il.— Je l’ai épousé et je lui ai pondu deux gamins, ah ah ah. On s’embrasse en rigolant, nos corps étroitement collés l’un contre l’autre.
FIN
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.