- Histoire érotique écrite par quelpseudoprendre
- Fantasme
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Jeux d’été...
Les vacances estivales étaient enfin arrivées! Après avoir parcouru plus de 900 km pour rejoindre Vic la Gardiole, le camping de la Mer, nous ouvrait ses portes. Cette année scolaire avait été particulièrement difficile, et nous étions ravi d’avoir enfin le repos bien mérité après avoir décroché avec brio notre baccalauréat. Nous, c’était moi, Ben, et ma soeur jumelle, Elsa.
Alors que bien des jeunes préfèrent profiter de l’année de leurs 18 ans pour partir en vacance loin de leurs parents et avec leurs potes, nous avions choisi ma soeur et moi de partir avec nos parents. Camping au bord de la plage, piscine, en toute liberté, le tout gratis.
Elsa et moi, avions même droit à 50 euros d’argent de poche quotidien chacun. C’était le cadeau de mes parents à leurs deux enfants, pour avoir décroché leur bac avec mention Bien, s’il vous plait! La seule condition était que nous partions ensemble et que nous trouvions des moments en famille...correct comme deal!
Mes parents étaient, vous l’aurez compris, des parents cools, qui ne s’intéressaient qu’à la réussite
de leurs enfants, et qui aimaient récompenser les efforts quand il le fallait. Et là, le récompense, c’était une place privilégiée, avec aisance financière, tranquillité, voire même...indépendance, si on exceptait leur présence sur place. Nous pouvions vivre comme nous le voulions, sortir, aller à la plage, partir boire un coup en ville, sans avoir à rendre de comptes à personne.
Elsa et moi étions donc jumeaux, plutôt intelligents, disons, durant l’année scolaire, et là, nous avions envie de nous amuser un peu, pour décompresser. Nos parents avaient fait de beaux enfants: ma mère avait longtemps été hôtesse de l’air, et mon père était professeur d’EPS.
Je ne serais pas bien placé pour me décrire, je suis blond, sportif, un chouilla musclé, et je sais retenir l’attention des filles.
Chloé étant ma soeur jumelle, nous étions forcément très proches et un peu ressemblant. Nous jouions l’un pour l’autre le rôle de confident, de meilleur ami, de pire ennemi parfois, évidemment. Elle était ma soeur, mais nous étions très complice, et nous nous disions tout.
Simple, un brin espiègle, elle était vraiment une jolie fille, mais n’en avait pas pour autant pris la grosse tête.
La première journée que nous avions passé au camping n’était pas compliquée, puisque nous avions décidé ,étant juste arrivé, de la passer avec nos parents au bord de la plage, en attendant de trouver mieux: dégoter un groupe de jeunes avec lequel nous pourrions nous amuser et squatter.
En fin de journée, au moment de rentrer, vint l’heure de la dernière douche. Nous y allâmes, Chloé et moi, et je remarquai deux jeunes que j’avais déjà aperçus au camping à notre arrivée.
J’accompagnai donc Elsa à la douche pour nous débarrasser du sel et du sable avant de rentrer. Le sable grattait Elsa à l’intérieur de son haut de maillot de bain, et pas très pudique, elle l’enleva le temps de se rincer la poitrine. Ca ne me choquait pas, même si j’étais le premier à reconnaitre que ma soeur était un vraie bombe. Mais elle faisait semblant ne pas le savoir elle même, restait très simple, comme si la métamorphose de son corps ces dernières années n’avait eu aucune impact sur sa vie ni sur le regard des autres. Il m’arrivait pourtant parfois de la chambrer un peu, on se disait tout, et aucune blague n’était trop salace entre nous.
J’avais donc déjà eu l’occasion de voir les seins d’Elsa à de nombreuses reprises, et je pu remarquer de nouveau à quel point elle était belle: belle blonde aux jolis yeux verts clairs espiègles, elle avait un visage fin, un sourire charmeur, et de mignonnes petites bouclettes blondes. Physiquement, elle avait presque tout emprunté à ma mère en bon, si ce n’est qu’elle avait eu la bonne idée d’y ajouter son oppulente poitrine, attribut dont ma mère était dépourvue. J’étais surpris à chaque fois que je les voyais: ma soeur avait vraiment de gros seins, qui semblaient pourtant fermes et soyeux, bien symétriques, et juste à peine tombant, mais si peu, compte tenu de leur volume. Le contraste avec son ventre fin et plat me faisait souvent penser aux mangas, dont les héroïnes aux seins énormes défiaient la loi physique de la morphologie humaine avec leur ventre si menu.
La sensualité innocente avec laquelle Elsa se nettoyait les seins ne laissait pas indifférents ces deux mecs qui la mataient allègrement.
Je crois qu’il faut appeler les pompiers, y’en a deux qui risque de sombrer, et ca sera pas dû au soleil!
Oui, j’ai remarqué ca, me dit-elle. Sont pas discrets les pauvres, ont dirait que c’est la première fois qu’ils voient des seins à la plage.
Ben ceci dit, ce n’est pas moi qui masse mes gros seins devant tout le monde! Y’a de quoi en rendre dingue plus d’un!
Arrête un peu, je ne fais que prendre une douche, faut pas pousser...tiens, voilà, c’est fini, t’es content? On passe à autrechose?...
Elle faisait semblant d’être agacée, mais elle me taquinait. Chloé était consciente de sa beauté, mais elle s’en moquait. Il faut dire qu’elle avait pris l’habitude de se faire mater à longueur de journée, et même si elle ne mettait jamais rien de provoquant, elle ne pouvait pas non plus s’habiller en pull en plein été sous prétexte qu’elle avait de gros seins. Le moindre débardeur trahissait un décolleté affolant et elle n’y pouvait rien. Alors allez imaginez le nombre d’homme en train de s’aplatir sur leur linge pour cacher le début d’érection qu’ils avaient en ayant vu Chloé seins nus sous la douche!...
Nous étions rentré et avions décidé après le repas du soir, d’aller danser en seconde partie de soirée dans le bar du camping: c’était disco après l’élection des mini miss, de 23h à 1h00. L’idée était de poursuivre notre recherche de groupe sympa, sans pour autant en faire une fixation.
Alors que nous avions déjà passé une bonne demie heure sur la piste de danse, je proposai à ma soeur de faire un break et de sortir boire un coup. Bière à la main, nous allions nous poser sur un banc lorsque les deux gars que nous avions vu à la plage virent vers nous, accompagnés cette fois ci d’une jeune fille de nos âges.
On vous a vu à la plage tout à l’heure, on peut se joindre à vous? Vous êtes de l’arrivage de ce matin? me demanda l’un des garçons.
Oui, on est arrivé ce matin, répondis-je. On a été trahi par notre bronzage?
Non, blanc de poulet, c’est pas un bronzage! Je m’appelle Thomas, lui, c’est David, et on a fait la connaissance de Vanessa cet après midi à la piscine du camping. On est là depuis une semaine, mais les potes de la semaine dernière sont partis hier.
A première vue, David et Vanessa semblaient bien s’entendre, et même si je la trouvait plutôt mignonne, je comprenais vite que je ne devrais pas chasser de ce coté. C’était aussi le cas de Thomas qui ne voulait pas tenir la chandelle et semblait s’intéresser davantage à ma sœur.
Après avoir commandé chacun un truc, on commença à faire connaissance. Cette première soirée se déroula simplement, entre danse et boisson. C’est ainsi que se forma notre petit groupe, et au fil des jours, nous restions souvent ensemble.
Les journées se déroulaient normalement, plage, fariente, petits jeux, alcool, nous profitions bien et avions pas mal d’activités sympas grâce à l’argent de mes parents qui, par ailleurs, ayant vu que nous avions des potes, avaient décidé de nous laisser tranquilles.
Thomas semblait bien apprécier Chloé, mais ca n’était pas réciproque apparemment, et même si ma sœur ne m’en avait jamais parlé, je savais que le brave Thomas avait récolté un joli râteau. Il ne s’en était pas formalisé, et tentais par la taquinerie, de faire oublier ce premier échec et de rattraper le temps perdu. Chloé était plus sensible à cette nouvelle approche, mais on ne savait pas si elle craquait ou pas.
Depuis quelques jours, David et Vanessa sortaient ensemble, et savaient guère se montrer discret. Nous avions d’ailleurs surpris Vanessa en train de faire une fellation à David au bord de la plage alors que nous revenions de la baignade. On en avait plaisanté avec Thomas, mais il m’avait semblé lire dans le regard de Chloé un mélange d’envie et de désir...mais elle avait vite changé d’expression.
Les choses prirent une tournure plutôt spéciale un soir où nous avions décidé de passer la soirée au mobile home que Thomas et David avaient loué. La soirée avait été sympa, nous avions fait un barbecue qui avait été bien arrosé. Après avoir passé cette première partie de soirée à discuter, Thomas eu l’idée de sortir un jeu.
— C’est un jeu de carte en fait. On joue en équipe, et l’équipe qui gagne inflige un gage à une personne de l’équipe adverse de son choix. Je dirigerai le jeu, pour que vous soyez à deux contre deux. Je pourrai aussi participer aux gages parfois.
— Quelle est la nature du gage? demandais-je, ne sachant pas où tout cela allait nous mener.
-Oh, rien de méchant...disons, qu’il y aura une liste de gage classés en deux catégories. Sois un gage soft, soit un plus ardu...
-Comme quoi par exemple? continua ma sœur.
-Ben tiens, je regarde la première carte: soft, boire un coup cul sec. Ardu, faire le tour du quartier en slip...
-C’est quoi ces gages? C’est un jeu de société ca?
-Non, c’est moi qui me suis amusé à l’inventer.
-On y a déjà joué, poursuivi David, c’est marrant vous verrez...On est dans un mobile home un peu à l’écart, les gens ici sont cool, ils disent rien.
Le jeu commença, je jouai avec ma sœur contre David et Chloé. Tout le monde perdait régulièrement, mais je remarquai que Thomas n’avait pas été très inventif, parce que le gage qui revenait le plus souvent était le verre cul sec. Et bien que Thomas ne jouait pas, il buvait bien son compte malgré tout.
Au bout d’un moment, je ne remarquai pas que Thomas sortit un paquet complémentaire de gage et qu’il l’avait glissé dans les gages ardus. Ce fut au tour de David de perdre.
-Vous devez boire un verre d’alcool sur le torse de votre partenaire...Allez David, faut peloter Vanessa!
-Eh, attend, ca devient un peu chaud ton truc! répondis-je.
-Bah, sois pas rabat joie, c’est marrant! Et puis, c’est pas toi qui a perdu...Bois un coup! me fit Thomas, se montrant rassurant.
-Bon allez, c’est parti! Après tout, vous en avez déjà vu bien plus! confirma David en se levant.
-Viens là beau mec! fit Vanessa en enlevant son maillot de bain. C’était la première fois que je voyais ses seins, et ils semblaient fermes. En topless, Vanessa était très désirable, et elle avait un taille très fine et musclée.
David fit couler un filet de whisky dans le creux des seins de Vanessa et y promena doucement sa langue. Il en profita pour exciter les tétons de Vanessa du bout de sa langue, et le gémissement de cette dernière montra qu’elle n’était pas indifférente à cette caresse, mais David vint se rasseoir.
La suite du jeu continua, ainsi, Chloé se retrouva en petite culotte mais avec son débardeur, chantant devant le mobile home dans l’allée, pendant 30 secondes, Vanessa fut obligée de me rouler une pelle, et de même entre Thomas et David, ce qui me refroidit un peu. Jusqu’ici, j’avais échappé aux gages cochons, mais j’avais pas mal bu. Mon tour vint malgré tout.
-Ah, il est cool celui là. Toi qui me dit que tu ne vois pas en regardant ta sœur une personne désirable, ca devrait te poser aucun problème! "Vous devez caresser le torse de votre partenaire durant 2 minutes....Thomas avait lu ce gage non sans une certaine excitation dans la voix.
-Ah ouais, mais là, ca va pas être possible, ma partenaire, c’est ma sœur...faut trouver un autre gage..
-Oh, on s’amuse bien! Allez quoi, moi j’ai bien roulé une pelle à Thomas! C’est de la déconnade!reprit David. 2 minutes, c’est rien!
-Oui, mais là c’est différent, Chloé, merde, dis quelque chose!
-Pfff...m’en fou! Après tout, ce n’est que toucher ma peau, moi ca m’est égal. On rentre si tu veux, après c’est con, on délire bien...
-Ben tu vois, même Chloé s’en fou...Allez Ben, bois un coup! T’as peur de quoi, de choper la gaule?C’est ta soeur, ca risque rien! Personne d’autre que toi, peut le faire et rester de marbre, tu peux le faire!
Ils donnaient le change, mais je voyais bien qu’ils étaient tous très excités par ce gage et l’idée de voir un frère caresser sa soeur. Finalement, pour en finir, j’acceptais.
-Bon, ok, ca va...Allons y. Chloé, t’es sur?
-Mais oui allez, lève toi, je reste assise, ca va bien se passer.
Chloé était un peu pétée: en temps normal, et même si elle n’était pas pudique ou coincée, je pense qu’elle aurait refusé. Mais l’alcool, le contexte très à part, et l’envie de ne pas se prendre la tête pendant ses vacances, lui faisait changer d’avis.
Je me levai donc et m’installai derrière ma sœur qui n’avait pas bougé. Elle était assise et attendait mes caresses.
-Mets le chrono David!
-Ok, quand tu auras plongé dedans, je lance!
Chloé se tourna pour me regarder, et je ne pu déchiffrer son expression, mais ce n’était pas du rejet en tout cas. Elle prenait ca comme un jeu, et attendait que j’opère. Elle portait un débardeur plutôt moulant, mais pas serré avec un décolleté pas forcément indécent, mais qui laissait voir une bonne partie du haut de sa poitrine. Elle n’avait pas mis de soutient gorge, car nous étions sorti de la douche et étions arrivé chez Thomas directement derrière. Ne souhaitant plus ressortir, on était quasiment en mode pygama. D’où je me trouvais, je voyais à loisir ses deux seins, de la taille d’un très gros melon, ou à peine plus petits qu’un visage, mais de peu, et d’apparence bien ferme...Je me surpris à avoir un fort désir de les masser...
Je posai mes mains sur ses épaules, les massant lentement. Puis j’élargissais mes caresses par de courts aller retour de chaque main, allant de l’épaule à la naissance de la poitrine, en haut du torse. Un frisson envahit ma soeur, trahie par une belle chair de poule. Je fis semblant de ne rien voir.
-Il reste longtemps?...
-Là, ca fait 30 secondes, mais je propose une pénalité d’une minute, parce que pour le moment, c’est pas ses nichons que tu touches...tu temporises, c’est moche!...proposa Thomas.
-Pénalité confirmée!...reprit David.
Vanessa, elle, ne disait rien. Elle savait que mes caresses n’étaient pas qu’hésitation. C’était en partie le cas, mais ca éveillait aussi une certaine sensualité et un brin de désir.
Je ne répondis rien à cette pénalité, et je repris ma caresse. Mes mains reprirent leur manège...épaule clavicule, clavicule épaule, puis de la clavicule, je descendais vers la partie supérieur de la poitrine, petit à petit, puis mes mains se décidèrent enfin à survoler de ses gros seins, et le creux de ma main vint se poser sur ses mamelons, et revenant en arrière. Je sentais pour la première fois le volume et le toucher des seins de ma soeur. Ils étaient doux, soyeux, mais imposants, et on en jaugeait toute leur masse en les manipulant. Mes doigts ne s’étaient toujours pas refermés sur ses obus, et ma main refaisait ses allers retour, paume sur les tétons. Sentir mes deux mains se glisser sous le débardeur de ma soeur,et palper cette belle poitrine faisait naitre en moi un désir d’homme, mais un désir malsain. Mes doigts se refermaient enfin sur ses têtons, mon pouce et mon index les massant doucement, en les sentant pointer plus rapidement que prévu. J’avais un désir fou de les prendre en bouche, mais le gémissement discret que j’entendis sortir de la bouche de ma soeur me fit sortir de ma bulle. Tout le monde me regardait, et regardait ma soeur. L’image de deux jumeaux se faisant des caresses captivait l’entourage.
-Le compte est bon!...interrompit Thomas. On passe à la suite...
Il avait l’air à la fois agacé, et excité. Son agacement venait sûrement du fait qu’il aurait voulu être à ma place. Quant à son excitation...
Il commençait à se faire tard, mais tout le monde était envieux de continuer. Chloé avait parfaitement reprit ses esprits, et donnait le change, comme si ce gage avait été un gage comme les autres. De mon coté, j’avais régulièrement la gaule, et me demandai jusqu’où j’aurais pu allé si la situation nous avait mis en scène juste moi et ma soeur, sans personne autour. Mon désir de lécher ses seins, d’y enfouir mon visage, me gênait. Parce qu’après le visage, j’imaginais le massage mammaire de mon sexe, et puis quoi...la fellation? Je me dégoutais, mais c’était plus fort que moi, et ca me surprenait. Je croyais tellement me connaitre...Quelques bouteilles plus loin, Vanessa et David perdaient de nouveau...
-Un gage à toi Vanessa! C’est le gage rouge vif!
-Gage rouge vif? C’est quoi? demandais-je.
-Y’en a trois dans le jeu. Ce sont des gages...mmmh...comment dire....mmmh...porno!
-Et comme par hasard, il sort maintenant!...dis-je.
-Vanessa, tu dois...me sucer! dit Thomas.
-Hors de question, connard! reprit David, cuit à point, tu peux pas être juge et partie!
-Et pourquoi?
Je répondis le premier.
-Ca va trop loin!...et puis, Vanessa est la copine de David, c’est pas correct!
Ce dernier argument n’était même pas à avancer tellement il paraissait débile que Vanessa suce qui que ce soit sans raison ici et maintenant. Mais j’étais hors sujet, bourré, et resté excité après ma séance de caresses interdites.
-Bah, copine, copine...On est libre, Vanessa, elle aime le cul, c’est un flirt d’été. Non, ce qui va pas, c’est que Thomas se sert du jeu pour se faire plaisir, et là, c’est moche. Hein Vanessa?
La brave Vanessa était cuite, pétée, et un peu cassée par le joint qui avait fait son apparition depuis un bon quart d’heure.
-Moi, je veux bien sucer! répondit-elle. Elle était dans son trip.
-Tu dis ca David, mais c’est parce que tu aimes Vanessa que tu refuses qu’elle me suce!reprit Thomas.
-Non, moi, je veux bien qu’elle suce Ben par exemple, là, ca ira.
-Merde, il a le bon rôle lui ce soir!
-Vous m’avez forcé à caresser ma soeur, tu parles d’un bon rôle, répondis-je en parfait hypocrite.
-Ok, réponditThomas, moi, ca me pose pas de soucis. Vanessa n’a qu’à sucer Ben. Vanessa, t’en dis quoi?
Sans rien dire, elle se leva. J’aurais bien refusé, mais j’étais déconnecté et fin excité.
-Ok, allez Ben, sort ton zob!...reprit-elle.
Je baissai mon pantacourt...
-Ben ca c’est du calibre! dit Vanessa, et saisissant mon sexe et en commençant par me caresser les testicules. Il est déjà tout plein de liquide ton bâton! T’es bien excité mon cochon!
Elle ouvrit la bouche et y enfoui mon gland qu’elle lave, en avalant la mouille qui l’avait envahit depuis le massage intensif de Chloé. Je n’allais pas tenir longtemps, c’est sûr: cette fellation était la première de ma vie, et j’étais à bloc. En plus, Vanessa suçait tellement bien, alternant branlette et fellation, crachant sur mon gland, y faisant jouer ses doigt, puis prenant le relai dans sa bouche avec sa langue experte.
David se leva à cet instant, et prit Vanessa par le bassin, tandis qu’elle continuait à me sucer. J’étais donc assis sur ma chaise de camping, Vanessa à quatre pattes devant moi, et David, derrière elle, qui baissa sa culotte de maillot de bain, et y enfouit sa langue. Thomas décida de ne pas rester inactif, et voyant que tout ce petit monde était bien ouvert au sexe, vint se placer entre moi et David, décrochant le haut de maillot de Vanessa qui se trouvait maintenant complément nue. J’allais tenter de saisir un de ses seins nus que j’avais trouvé tellement excitant tout à l’heure, lorsque je sentis d’un coup que j’allai jouir. Mon inexpérience m’avait surpris, mais j’eus le temps de prévenir Vanessa qui n’en tint pas compte. David avait maintenant enchainé en prenant son flirt de vacance en levrette.
Thomas tentait de se glisser sous Vanessa pour lui lécher les seins mais cette dernière était trop occupée à recueillir tout le sperme que je venais de lui décharger dans la bouche. La jouissance avait été foudroyante, et j’avais sentis une explosion de plaisir tout le long de ma verge et jusque dans mon gland. Vanessa s’était pris deux giclées dans le visage et tentais de le recueillir avec ses doigts, comme lorsqu’on tente de manger dans un pot de confiture.
Une fois que je repris mes esprits, je regardais ma soeur qui comatait, assise sur une chaise, adossée au bungalow. Avec tous ces mouvements autours de moi pendant la fellation, je n’avais pas pu voir précisément, mais j’étais certain d’avoir vu Chloé écarter le bas de son maillot de bain, et s’être glissé un doigt en nous observant...il me semble même avoir croisé son regard, un regard étrange. Mais tout était allé très vite, et maintenant, elle dormait.
Je laissais Thomas et David besogner Vanessa. David avait prit ma place, et Thomas avait mis un préservatif et sodomisais Vanessa qui gémissait et semblait pressée de poursuivre sa pipe, avide d’avoir une seconde ration de sperme dans la gorge.
Nous quittions donc les lieux, bourrés, un peu défoncés...et en ce qui me concerne, vidé!
Je décidais de faire comme si rien ne s’était passé le lendemain, et du moins, si Chloé ne me parlais pas, j’en ferais de même. Nous avions préféré passer la journée tous les deux, comme ca avait déjà pu arriver deux ou trois fois, lorsque les autres étaient en excursion toute le journée, ou lorsque nous devions nous même nous absenter.
En voyant les traits tirés du visage de Chloé au réveil, mes parents avaient été surpris: mon père avait souri, et ma mère lui avait dit de faire quand même attention, avec ce qu’on voit de nos jours, il valait mieux ne pas se laisser aller et perdre le contrôle. Elle ne croyait pas si bien dire...
Nous décidions de passer la journée au bord de la mer, mes parents ne pouvaient pas nous accompagner, et en un sens, c’était pas plus mal.
Nous avions trouvé une baie sympa, un peu loin du camping, mais où il n’y avait pas beaucoup de monde en général. Nous marchions donc en direction de la plage, en silence. Chloé parlait par moment, sortant des banalités: on aurait dit que rien ne s’était passé la veille.
-T’en tenait une bonne hier soir, lui dis-je, histoire d’amener la discussion. Ma curiosité était trop forte.
-Ouais, justement, je ne savais pas comment aborder le sujet sans paraitre ridicule. C’était une soirée comme je n’en avais jamais vécu, hier. La honte!...
-Bah, c’est pas ta faute, ca s’est passé comme ca...et puis, tu as eu l’air de bien aimer aussi quand même...
-Evidemment! Au départ, c’était sympa, mais je dois admettre qu’après, c’était pas terrible!
Dans tes dents! Mon ego en prit un coup, même si le coté honteux de la situation me faisait dire que je le méritais.
-Ben c’est pas l’impression que tu m’as donné...Je suis d’accord que je suis ton frère, et que c’est pas évident à discuter de ca, mais...
-...mais de quoi tu parles? "l’impression que je t’ai donnée"? Tout ce dont je me rappelle, c’est chanter devant le bungalow, en t-shirt moulant et en slip de bain. Après j’ai bu, j’ai fumé, et rideau, je me rappelle de rien! Qu’est ce qui s’est passé après? Y’a eu d’autres gages?
Je ne savais pas si je devais la croire...si oui, être déçu, ou soulagé de la tournure des évènements. Je m’en tirais à bon compte. Ma sœur ne m’avait jamais fait fantasmer: normal, rien que l’idée était saugrenue...pourtant, hier, lancé, j’aurais été même capable, avec l’alcool que j’avais bu, de lui faire l’amour, si il n’y avait pas eu les autres. Je lui répondis, mi figue, mi raisin.
— Ben en fin de soirée, ca a tourné un peu hot. Mais on est parti au bon moment, tu commençais à comater, il était l’heure de rentrer.
-J’ai pas eu d’autres trucs à faire, ou à participer au gage de quelqu’un d’autres? Rien qui me mette dans l’embarras?
Frisson glacial dans le dos...bon, rien ne l’avait mis dans l’embarras, elle avait semblé aimer mes caresses. Je bottais de nouveau en touche...
-Non, rien, t’inquiète!
La journée se déroulait sans accrocs. Matinée dans l’eau, il y avait peu de monde, on profitait. Une fois le pic nic avalé, Chloé revint sur la soirée d’hier. Je sirotais une bière, pour terminer mon repas.
Avant d’entamer la sieste, Chloé décida d’aller au peu à l’ombre, ce qui nous faisais nous déplacer plus loin de la mer, à des endroits pas aménagés sous les arbres, un peu sauvage, mais à l’ombre...
Une fois installés, elle revint à la conversation précédente...
-Y’avait de la picole hier quand même. T’as parlé de trucs hot tout à l’heure. Je suppose que tu m’en aurais parlé s’ils avaient abusé de mon état pour me peloter. Mais alors, qui a profité? Vanessa je suppose, madame "Je suce mon mec sur la plage"...
-Oui, David a bu du whisky sur le torse nu de Vanessa.
-Ca je m’en rappelle encore...Ca t’as fait quoi? Elle est bien foutue Vanessa, musclée, des seins fermes...hmmm, je pense qu’elle me proposerais un truc, je lui dirais pas non...même si je ne suis pas lesbienne...
-Ebé, t’es encore sous l’emprise des stupéfiants ou quoi? Ma soeur jumelle, au visage d’ange à qui on donnerait le bon Dieu, serait un diablotin?
-Oui, bon, pousse pas Benoit XVI! Je suis sûr que toi aussi tu lui dirais pas non!...
-Oui bon...
-Et sinon, ca t’as fait quoi de me caresser les seins?...
Bang, le plafond me tombe sur la tête! On était là, allongé tous les deux, sur la plage, côte à côte et elle me sort ca, de but en blanc, sans vaseline!
Ma soeur me dévisageais avec un regard qui avait perdu de son innocence, mais avec toute sa malice, encore bien présente. J’étais abasourdi...que répondre à ca? Botter en touche de nouveau semblait la meilleure chose...
-Je croyais que tu avais oublié pour hier?
-En fait, je n’étais plus trop sûre du "qui", mais je me rappelais le "quoi"...et ce quoi, a été un vrai délice. J’avais besoin de confirmation, j’y suis allée un peu au bluff...Il me semblait me rappeler, mais ca me paraissait bizarre, comme t’es mon frère...
Alors, tu m’as caressée, t’es dégueulasse! me dit-elle avec un clin d’oeil complice. Presque flippant...et le pire, c’est que j’en aurais presque désiré aller plus loin avec toi. En même temps, je suis contente que ca soit toi: Thomas me saoule et David est un chaud lapin. Toi, tu as été tellement sensuel, c’était agréable.
-C’était un jeu, ca ne mangeait pas de pain...Je dois admettre que c’était tout nouveau pour moi. C’est marrant, je t’ai vu nue des centaines de fois, et je n’avais jamais eu ce désir...Et là, hier...
-Et maintenant?
En prononçant ces mots, Chloé avait glissé sa main à l’intérieur de son haut de maillot de bain, se caressant le sein gauche, et laissant apparaitre son téton. Qu’est ce qu’elle pouvait être belle, elle ne souriait plus, mais avait de nouveau ce regard intense, avec des yeux verts claires magnifiques, ses magnifiques bouclettes qui se reformaient après avoir pris l’eau de la mer, et ce corps parfait...
Est-ce qu’elle plaisantait? Me testai?...elle n’en avait pas l’air.
Je ne contrôlais plus rien...je ne voulais plus rien contrôler. Je posai ma main sur son sein, tandis qu’elle titillait son téton avec son pouce et son index. Il durcissait à vue d’oeil. En me redressant, je dégagea sa main de sa poitrine, et je caressai cet imposant sein gauche avec mes deux mains. Chloé s’allongea alors, et enleva complétement son haut.
-Tu m’as tuée hier...Je dois admettre que moi non plus je n’y avais jamais pensé, et que je trouve ca un peu fou. Mais c’est comme la drogue, j’ai besoin de tes mains et de ta langue sur mes seins. Ok, on est frères et soeurs, jumeaux qui plus est, mais on ne fait rien d’irrévocable. Tu es un beau mec, j’ai remarqué que notre massage d’hier t’avait fait de l’effet quand Vanessa t’a sucé, et bien c’est pareil pour moi, j’en mouille déja!
Je ne répondis rien, et je m’allongeai sur ma sœur. Ses deux seins m’étaient offerts. J’étais sonné, et je croyais rêver à vrai dire, tout cela semblait irréel. Je massai maintenant ses deux seins et ma lange jouait à tour de rôle sur ses tétons, faisant des tours sur ses auréoles puis venant en titiller le centre. Chloé pointait et trahissait un désir tellement maléfique, et tellement bon!
-A moi de te montrer que tu as un joli corps!
Je me retrouvai à mon tour allongé sur le dos, ma soeur à cheval sur moi. Elle promenait elle aussi sa langue sur mon torse, un peu musclé, mais surtout sans le moindre bourrelet. Les copines de lycée m’avaient souvent dit que ma gueule d’ange et mon torse étaient mes atouts majeurs. Comme elle s’abaissait, ses gros seins flottaient et venaient caresser mon torse, ce qui m’excitait d’autant plus. Je les saisissais lorsque Chloé se redressa, tandis qu’ils pendaient dans un mouvement de balancier.
-Ils t’excitent hein, mes gros lolos!
-Non, y’a pas que eux: tu ne serais pas ma soeur, y’a longtemps que j’aurai tenté de te séduire, tellement tu es belle! Tous les mecs se retournent quand ils te croisent, c’est un truc de fou!
-Tant qu’on reste dans le domaine de la caresse, je pense que tu n’auras rien contre ca?
En parlant, elle enleva mon bas de maillot de bain. J’allais protester, mais je compris tout de suite que ca resterait dans le domaine de la caresse si j’ose dire...Chloé pris ses deux seins dans chaque main, et les plaça au niveau de mon sexe qui avait pris de l’altitude depuis pas mal de temps déjà.
-Elle a raison la brave Vanessa, t’as une belle bite!
En parlant, elle plaça mon sexe entre ses deux seins, et commença à le masser. Je voyais par moment réapparaitre mon gland, puis disparaitre à nouveau entre son opulente poitrine.
-On va voir si je suce aussi bien qu’elle!
Elle se recula et se saisit mon sexe par la base. En me fixant dans les yeux, elle prit mon gland en bouche, et commença par alterner la séance de pompage, et le jeu de langue sur mon gland. Son visage se déforma ensuite tandis qu’elle tentait d’engloutir mon sexe entièrement jusqu’au fond de sa gorge, sans y parvenir. Cette fellation n’était pas experte, et je soupçonnais ma soeur de faire son baptême de pipe! Mais cette inexpérience partagée était tellement excitante! Je prenais mon pied, mais je devais admettre que ses lolos me manquaient déjà! Je ne voulais pas la laisser faire sans agir. Je voulais la gouter moi aussi et je le lui fis comprendre.
Chloé retira son bas de maillot de bain et était parfaitement nue devant moi. Deux frères et soeurs nus l’un en face de l’autre, ca arrivait...mais qui se faisaient un 69, qui s’abandonnaient à la luxure, là, ca devenait différent.
Car je léchais maintenant la vulve de ma soeur, promenant mes doigts à l’intérieur de son sexe, la faisant mouiller, abondamment, et gémir, effleurant par moment son clitoris, sans insister, car je savais à quel point cette zone pouvait être sensible. Ma soeur cria de jouissance pourtant un peu trop fort, lorsque mes doigts avaient insisté trop longtemps sur son petit bouton.
-Eh, les amoureux, sous les fourrés, c’est pas une cachette! Y’a des chambres d’hôtel! Ah, j’te jure, la jeunesse!
-Jean Luc, laisse les donc!
-Mais oui, j’arrive Irène...
Le couple de vacancier repartait de la plage et avait entendu Chloé en passant à proximité. On les entendait s’éloigner...
-Ca me rappelle quand on avait leur âge! Tu les aurais vu, ils sont si beaux les deux, forment un joli petit couple, la nature est bien faite...
Nous éclatâmes de rire, et Chloé reprit sa fellation. Je lui faisais comprendre que j’allais jouir. Elle changea donc de position, et continua à me sucer en me regardant de nouveau. Je me redressais, à genou devant ma soeur, et comme elle sentais que j’allais jouir, elle approcha son visage, recevant ma semence sur ses jolis bouclettes, et sur les joues. Ma soeur était contente apparemment de la quantité de sperme qu’elle m’avait fait sortir.
-Dis moi que tu n’as pas aimé...DIS MOI que je ne suce pas mieux que Vanessa...
-Je dirais même mieux: elle ne t’arrive pas à la cheville!
En disant ces mots, je m’allongeai sur le dos, et comme elle allait partir, certainement pour se nettoyer, je lui saisi la main pour qu’elle s’allonge à mes cotés.
-Je profite de cette journée pour abuser de toi. J’ai comme l’impression de rêver, alors je fais ce que je veux dans mon rêve! Je crois que je t’aime frangine...
Ma soeur ne répondit rien, mais resta allongée. Je me plaçais sur elle, et pendant de longues minutes, je repris mes caresses sur ses seins qui me passionnaient. Je ne pouvais plus m’en passer, je les pinçais doucement, je les lubrifiai avec ma salive, j’enfouissais mon visage entre ses deux montagnes et les faisait remonter en les pressant contre mes joues, plus haut que mes deux oreilles.
Puis mes deux mains sur la partie inférieure de ses seins les resserraient vers le centre puis en faisaient tourner leur grande masse...J’étais comme un gamin devant un nouveau jouet. Et dire que j’avais déja eu ces beaux jouets sous les yeux, sans même y avoir prêté attention! Que serait-il advenu si j’avais tenté de les caresser plus tôt?
-On remet ca? me demanda-t-elle, au bout d’un long moment...
-On va nager non? Tu veux peut-être te débarbouiller le visage?
En disant cela, je pris un mouchoir dans la poche de mon short, posé non loin de nous. En revenant, je fus surpris par Chloé...
-T’es sûr que tu veux aller ...à la mer? me demanda-t-elle. Nue, elle avait placé ses bras sous sa poitrine comme pour la rassembler, et faisait semblant de s’étirer. Ce contraste avec son ventre plat, ses gros seins... l’effet sur moi était stupéfiant et elle le savait: sa poitrine déjà énorme semblait déborder de sous ses bras, je n’en pouvais plus! Je la surpris à mon tour, en me laissant tomber à ses cotés, et en lui roulant une pelle d’anthologie...d’abord surprise, Chloé répondu à ma soupe à la salive, nos langues s’emmêlant fougueusement.
Ce n’était pas là le baiser romantique qu’on pouvait imaginer entre deux amoureux, c’était un baiser passionné entre deux personnes qui avaient faim l’une de l’autre. Il dura lui aussi très longtemps. En continuant de m’embrasser, ma soeur alla chercher mon sexe qu’elle branlait. Puis une fois ce long baiser terminé, elle prononça ces mots qui allaient changer pas mal de choses:
-Tu fais ce que tu veux, mais moi, si tu ne bouges pas, je pense ce sexe, et je me le mets profond...C’est insoutenable, j’ai tellement envie que tu me prennes que j’en ai mal au ventre!
-Je vais faire l’amour à ma soeur...tu vas pas y couper!
Plus d’hésitation, je n’avais pas envie de cogiter pendant des heures.
Chloé s’assit sur moi, saisi mon sexe, et tout doucement, elle se l’inséra en le glissant sans efforts. Ma soeur se cambrait sur mon torse, et mon sexe glissait naturellement au plus profond de son sexe. Pas très original, mais tellement désireux, je pris les deux seins de ma soeur, et jouais avec ses tétons. Puis je glissai un doigt dans la bouche de ma soeur qui le sucait en même temps qu’elle continuait ses mouvements de va et vient. Elle avait les yeux fermés, et prenait vraiment son pied. De mon coté, j’étais tellement content d’avoir jouis quelques minutes avant, que j’arrivais plus facilement à contrôler mon orgasme.
Chloé semblait en transe, et dansait sur mon sexe, se cambrant pour obtenir une pénétration maximale. Par moment, je la regardais, et je réalisais que j’étais en train de faire l’amour avec ma soeur jumelle, celle qui avait grandit en même temps que moi dans le ventre de ma mère, qui avait joué avec moi dans l’enfance, qui m’avait confié ses joies, ses peines, que l’on voulait protéger, cajoler, aimer, et je l’aimais maintenant d’une autre manière, je prenais soin d’elle. Je lui enfonçai mon sexe au fond de son bas ventre, et j’étais envahis par la passion. Cette symbolique redoublait mon désir.
-Moi aussi je t’aime Ben, j’ai réalisé ces derniers jours que je te voulais, je veux ton sexe, je veux ton corps, tu es tellement beau, personne ne me comprend mieux que toi! Quand j’ai lu le désir lorsque tu m’as touchée hier pour la première fois, j’avais envie de hurler de bonheur! J’étais comme folle, j’avais envie de te prendre, là, devant tout le monde, et de te faire l’amour sur la table de jeu...un truc de fou! Je pense que ca a toujours été comme ca, mais je l’ai réalisé seulement hier...J’avais tellement peur que tu refuses de me toucher, que tu me prennes pour une folle! Je suis si heureuse de coucher avec toi, c’est si bon! Caresses moi encore les seins!!
Chloé était transformée, j’étais cloué au sol, abasourdi. En parlant, elle accélérait ses aller retour. Un groupe de jeunes passa de nouveau non loin de notre cachette.
-Hé, regarde, y’en a deux qui baisent derrière les fourrés!
-T’as vu la meuf?Elle prend bien son pied, comme elle est trop bonne! Mates ses inss de ouf!!!Comment ca balonne! Hein mademoiselle! Un coup de main peut-être?
-Allez, laisse les tranquille, moi à leur place, je ne voudrais pas être dérangé...
Chloé était toujours assise, empalée sur moi, mais je m’étais redressé, adossé à un arbre. Elle m’embrassa alors de nouveau, puis se cambra, presque allongée en arrière, appuyant sa tête sur le bas de mes jambes. En plein acte, elle me présentait sa poitrine que je caressai des deux mains. Cette position était délicieuse, et me rendait fou. J’avais tout le loisir de caresser et de regarder ma soeur prendre son pied dans une pénétration optimale. J’avançais mon doigt pour le faire jouer sur son clitoris pendant que je continuais à la prendre.
-Oh Ben, tu réponds rien, ca va? Je te choque? On va au bout, promet le! Je veux te sentir jouir en moi, je veux que ton sperme vienne plâtrer le fond de mon sexe! Donne tout, je t’aime!
L’explosion fut terrible et rapide, je n’eus rien le temps de calculer, j’emplis ma sœur de mon sperme, et elle jouis en même temps que moi. L’orgasme simultané était délicieux, intense. Nous nous regardâmes, complice, et nous ne ressentîmes pas la moindre sentiment de honte. Nous étions presque fier de ce que nous avions fait.
Que dire du reste des vacances? Nous les avons passé ensemble, nous avons fait l’amour à chaque occasion qui se présentait, en randonnée, nous cherchions subitement un sentier sauvage pour nous isoler et baiser dans les herbes, dans le camping, nous avons même faire l’amour sous la douche: je prenais ma soeur par derrière tandis que l’eau ruisselait le long de ses gros seins et de son corps parfait.
J’eus même droit à une pipe alors que nous avions emprunté la voiture de nos parents, et que nous étions allé au Mac Drive: tandis que je payais, puis que je recevais la commande, Chloé avait sorti mon sexe de mon short, et me léchai le gland sous les yeux abasourdis du caissier, à qui elle lâcha un petit sourire, puis continua. On s’en foutait, on n’était pas connu, et on était dans notre voiture, pas question d’exhibition!
Le plus joli fut le dernier jour, alors que mes parents rentraient au bungalow, et que nous les voyons arriver au loin depuis la fenêtre de la chambre: nous les saluions, tous sourires, les regardant par la fenêtre ouverte. Mes parents nous voyaient et répondaient gentiment à nos salutation, ne se doutant pas qu’à cet instant même, Chloé et moi concluions une séance de baise d’une demie heure, et que prise par derrière, Chloé n’eus même pas le temps de remettre son haut de maillot de bain après que je l’aie renlevé deux fois. Je déchargeai alors mon sperme dans le vaggin de ma soeur, qui eu beaucoup de mal à retenir son cri de jouissance, et ce, quelques instant avant qu’ils n’entrent dans le bungalow. Nous avions juste eu le temps de remettre nos bas de maillots de bain, Chloé prétextant ce topless improvisé comme étant en train de se changer.
Le retour des vacances n’y changea rien, nous avons poursuivi nos études assez loin de chez mes parents, le hasard n’y était pas totalement pour quelque chose, et étudiants en licence, nous sommes toujours ensemble aujourd’hui, et personne sur le campus ne sait que nous sommes frère et soeur. notre relation nous semble si naturelle que nous n’en avons jamais eu honte.
J’ai mis ma soeur enceinte depuis 5 mois, et j’espère bien avoir plein d’autres enfants avec elle. Nous sommes fier de continuer à faire l’amour comme bon nous semble, comme le vrai couple que nous sommes...