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Jeux entre frères

Chapitre 8

Les déesses.

Inceste
Pendant que Lyli et moi étalions le linge sur les buissons pour qu’il sèche à l’air sain de la montagne ; Elsa et Julien s’occupèrent de la traite. Ensuite nous nettoyions la maisonnette pendant que les deux autres changeaient la paille dans la bergerie. Il ne devait pas être loin de midi car mon estomac commençait à crier famine, l’idée de faire un bon repas me donnait encore plus faim ; histoire de manger autrement qu’assis sur une pierre et autre chose que les casse-croûtes de la veille.
Mon frère sorti de la bergerie et demanda à Lyli de rejoindre sa sœur ; que pouvaient-elles bien manigancer pour se parler en secret ? Quelques temps après, nos cousines sortirent de la bergerie avec comme seuls vêtements un tablier en caoutchouc et des bottes.
— Oh les filles ! Vous êtes vachement « sexe » votre tenue avec vos bottes et votre tablier ! m’exclamais-je.
Sa réponse fut assez surprenante.
— Rigole ! Rigole, Antoine ! Tu vas, vous allez moins rigoler tout à l’heure, s’exclama-Elsa.— Ah bon ? Et pourquoi ? demanda-mon frère avec aplomb.— Comment ça, ton frère ne t’a rien dit ? Antoine ! C’n’est pas bien ça.— Rien, j’n’ai rien dit ; je te jure !
Julien, poings sur les hanches, se retourna vers moi en me fixant d’un regard menaçant.
— Tu devais me dire quoi ? Qu’est-ce que tu as encore raconté comme connerie cette fois ?— Pour une fois il a raison et n’a rien raconté ; mais juste oublié de te dire un truc.— Et quoi comme truc ?— Allez Antoine, raconte ce que je t’ai dit là-haut ! Que lorsque nous serions revenu tu ferais tout ce que je te dirais et, pour que Lyli ne soit pas délaissée ; Julien le ferait aussi ?— Et on est sensé faire quoi ? Bon, Antoine ! Tu accouches ou quoi !— Bah…Elsa veut qu’on soit leurs esclaves et faire tout ce qu’elles veulent.— Et t’as accepté ?— De tout façon vous n’avez pas le choix, repris Lyli.— Et si on ne veut pas… on peut aussi se tirer et voila tout ! reprit Julien.
Les filles éclatèrent de rire.
— T’es un petit comique, toi ; explique-moi où irez-vous et comment ? Vous ne connaissez pas la région, et en plus vous êtes tout nu ! Oh, les garçons ! — On se débrouillera et puis, nous avons juste à récupérer nos sacs, et voilà tout !— Et voilà, et voilà ... Il faudrait encore mettre la main dessus ; vous ne croyez pas que nous n’avons pas pris nos précautions ! Alors… ?— …
Sur ce coup, nous n’avions plus qu’à battre en retraite.
— Bon, ok ! Vous avez gagné. Que doit-on faire maintenant ?— Vous vous rappelez de vos cours d’histoire et de la Rome antique ?— Euh… oui, un peu, dit Julien.— Alors, nous allons y jouer, en voici le sujet : nous, nous sommes deux déesses et vous nos serviteurs et esclaves. Vous devrez faire tout ce que l’on vous demandera sans rechigner, si vous rouspétez ou faites mal ce qu’il vous sera demandé ; alors vous serez punis comme le faisait les romains, pigé ? expliqua- Elsa.— Vous n’allez pas nous faire du mal ? demandais-je— Un petit peu et vous découvrirez ainsi le plaisir dans la douleur.— Vous l’avez-déjà fait ? dit-Julien.— Oui et vous allez voir comme c’est super ! Il faut que vous fassiez ce jeu de bonne grâce. Nous ne pratiquons pas la domination brutale et humiliante mais plutôt quelque chose de plus subtile. Une sorte de SM ou vous pourriez même suggérer de subir ou de faire des choses. Et je vois que ça à l’air de vous plaire, conclut-Lyli.
Facile à voir, mon frère et moi avions une érection naissante.
— Par exemple : nous allons trouver un prétexte pour vous fesser et ce sera à vous de nous dire d’arrêter ou de continuer, voire de faire plus fort, mais nous pouvons aussi trouver d’autres choses à vous faire.— Si je comprends bien c’est à nous de fixer nos propres limites. Alors, pour moi c’est d’accord, mais à vous de trouver les punitions et promis on se laissera faire, avions-nous répondu.— Bien nous allons nous habiller, car nous sommes des déesses ; et les déesses ne se mettent pas nues devant leurs esclaves sauf si nous en décidons autrement. Comme pour la toilette par exemple où ce sera à vous de nous laver.
Nos cousines entrèrent dans la maisonnette pour se changer et nous laissèrent seuls dehors.
— Dis-moi frangin, c’est super excitant ce truc ; putain, tu as vu la trique qu’on se tape ? me dit Julien.— C’est clair, t’as envie de quoi, toi ?— Ch’sais-pas, la fessée et peut-être le fouet ou un truc dans le genre ; et après je ne sais pas ce qu’elles veulent faire. Moi, de toute manière, je ferai tout ce qu’elles veulent du moment qu’on les baise après.
La porte s’ouvrit.
— Fais gaffe, les voilà !
Les deux superbes déesses apparurent, majestueusement, vêtues d’une robe longue fendue jusqu’à la fesse et d’une cape rouge pour l’une, et jaune pour l’autre. Jetées sur leurs épaules, ces tenues ressemblaient à ce genre de déguisements trouvé sur les sites spécialisés.
— Ma chère sœur, comment trouves-tu nos nouveaux esclaves ? dit Elsa sur un ton majestueux.— Ils ne sont pas mal, mais il leur manque quelque chose comme un collier et des bracelets ; nous devons remédier à cela.
Aussitôt Lyli se leva et alla chercher un sac. Ce sac, du genre sac de course style carrefour, était joufflu ; si joufflu que je fus envahi par la curiosité, mais Lyli y plongea sa main et en ressortit un collier de chien, des bracelets en cuir qu’elle portait victorieusement à bout de bras.
— Venez mes petits, venez que je vous attache ; vous êtes à moi, à nous ; votre corps nous appartient et vous ne pouvez rien contre nous. Vous êtes à nous et rien, je dis bien rien ne pourras changer votre destin ! Ah ! Ah ! Ah !
Après cette tirade théâtrale, je me demandais si elles n’avaient pas fumé un truc ; mais c’était tout de même très amusant. Je pense que mon frère et moi étions aussi allumés qu’elles pour accepter un truc pareil ; mais bon… L’air était doux et chaud, midi devait approcher car mon estomac commençait à crier famine. Tous les deux à poils devant les deux déesses et le sac mystérieux ; cette situation me paraissait aussi bizarre qu’envoutante et avait pour effet de me faire bander de plus en plus. J’ai regardé ma cousine ouvrir le sac, y replonger la main et en sortir une multitude d’objets. Elles se partagèrent le butin et nous placèrent un bracelet en cuir noir, un à chaque poignet et cheville et un autre autour du cou du genre collier pour chien, identique à celui qu’Elsa m’avait mis dans la montagne.
Un peu inquiet, mais surtout excité ; j’avais vite compris que nous allions finir au poteau.
— Je les trouve parfait, quand penses-tu ma chère sœur ? demanda Elsa.— Tu as raison, nous allons leur faire découvrir les plaisirs du …nous appellerons cela : petites tortures ; quand pensez-vous les garçons ?
Devant notre silence, elles sourirent ; sans doute de notre érection grandissante qui nous trahissait.
Notre rôle était simple : servir ces dames uniquement habillé d’un collier de chien et de bracelets décorés d’un mousqueton.
— Julien tu vas commencer par allumer le barbecue, nous allons manger des saucisses ; elles sont dans notre frigo et toi, Antoine, tu iras les chercher.
— Pour rappel, le frigo était un bidon étanche attaché au fond de l’eau près de la cascade ; l’eau y était si fraiche que les aliments se conservaient facilement deux semaines sans bouger -
Et vlan ! Pas de bol ; la corde qui permet de remonter le bidon se détacha au moment où il était presque arrivé à la surface de l’eau. Le problème était la profondeur, il y avait au moins trois mettre et à cet endroit l’eau y était beaucoup plus fraiche. Je me retrouvais dans une situation assez compliquée et je retournais chercher du secours :
— Les filles !— Quoi ! Les filles ? Mais où as-tu vu ça ! Pour nous appeler : les filles, qui t’as autorisé ?— Euh, pardon votre altesse, mais la corde s’est défaite du bidon et il est au fond de l’eau ; alors je venais…— Et alors, tu te débrouilles ; tu n’as qu’à plonger ! Et pour ton insolence tu auras du fouet, cela te réchaufferas ! File !
Je venais de faire une connerie car j’avais oublié que le jeu avait commencé mais, cette idée de fouet m’excitait beaucoup. Je ne savais pas si cela allait être douloureux, mais la pensée de me retrouvé attaché et livré à leur merci m’avait foutu une trique d’enfer. Mais elle ne resta pas longtemps car le contact de mon service trois pièces et de l’eau glaciale avait eu raison de mon excitation. Après une bonne inspiration et une sacré dose de courage, je me retrouvais rapidement au fond de l’eau. Petit à petit mon corps s’habituait au froid, mais à bout de souffle, je dus remonter deux fois avant d’attacher correctement la corde à l’anneau du bidon.
Hors de l’eau et transit de froid, je récupérais enfin les saucisses, redescendis le bidon lesté. Je fus accueilli par une salve d’applaudissements et quelques quolibets du genre :
— Alors esclave ! Tu as perdu ta bistouquette ? Elle est toute rikiki ! Viens te sécher et nous allons te réchauffer.
Grelottant de froid, Lyli m’attrapa par le poignet et me dirigea vers l’appentis attenant à la maisonnette, il servait habituellement à stocker du matériel ; mais là, il était vide. J’y étais passé auparavant et je n’avais jamais remarqué que des chaines pendaient du plafond.
— Donne moi tes mains, me dit-Lyli.
En une fraction de seconde, je compris quel sort elle me réservait ; allait-elle recommencer ce que nous avions fait là haut ? Ou me réservait-elle une autre surprise ? Je ne tardais pas à le savoir quand elle prit mes menottes pour les fixer via un mousqueton aux chaines pendantes. Les menottes de mes chevilles furent reliées entres elles par un bâton dont chaque extrémité avait un anneau de bricolage vissé dans le chant du bâton. Prisonnier de mes liens, et toujours transit de froid ; j’étais exposé à la vue de tous et surtout au soleil qui me réchauffait doucement.
Mon frère, qui avait terminé sa tâche, rejoignit le groupe et put apprécier le spectacle. La gêne et un peu de honte avaient transformé mon vit grandissant en une virgule ridicule. Si je ne bandais plus, par contre la queue de mon frère pointait vers le ciel. J’éprouvais malgré tout un réel plaisir avec cet instant d’exhibition forcée. Offert à tous et sans défenses j’imaginais les pires supplices comme ceux que nous mations en secret sur les sites de cul. Quelles idées mes cousines pouvaient-elles bien avoir en tête ?
La réponse fut assez rapide, je reçus trois claques sur chaque fesse, ce excitait terriblement mon frère.
— Alors, Julien, la situation de ton frère semble t’exciter, on dirait ? dit Lyli.— …Euh… !
Je compris son attitude, car ne sachant pas ce qu’il allait se passe, il préférait garder le silence ; j’en aurais fait autant.
— Amène-toi ici, ordonna-Lyli.
Il s’approcha humblement, la tête baissée comme s’il avait commis une faute. Il tendit ses poignets et se retrouva face à moi dans la même position, son comportement théâtrale plut beaucoup à mes cousines et en profitèrent pour lui faire gouter aussi le plaisir de la fessée. À tour de rôle, elles nous marquaient le derrière ; un coup sur une fesse, un coup sur l’autre. Quand elles estimèrent que notre fessier fut de la bonne couleur, elles stoppèrent et tout en admirant leur travail :
— Lyli, ne sont-ils pas magnifiques nos petits esclaves ? Nous allons nous amuser un peu, ils son trop mignons avec leur petit cul tout rouge ; mais ils ont un petit défaut.— Ah, oui ! Et quoi ?— Je trouve qu’ils seraient beaucoup plus jolis sans poils, tu ne trouve pas ?— Tu as raison, mais j’ai faim ; mangeons et ensuite nous allons nous faire un petit dessert. Détachons-les pour qu’ils nous préparent le repas.
Libre de nos mouvements, Julien ravivait le feu et je dressais le couvert ; je réussi à trouver de jolie assiettes, anciennes, autres que celles de tous les jours. Dans un tiroir, je dégottais des couverts qui semblaient être en argent et je disposais le tout sur la table en bois ; le beau soleil permettait de manger dehors et parfaire notre bronzage. J’avais terminé de mettre le couvert, deux assiettes de chaque côté de la table. La table ressemblait à une table de mariage, en déco, des fleurs et des branchages, de jolis verres à pied sortis une fois de plus d’un placard. J’étais assez content de moi quand je demandais si la table convenait aux deux déesses ; je me suis fait rabrouer purement et simplement :
— Je ne savais pas que nous avions des invités, explique-moi pourquoi tu as mis quatre couverts ?— Bah…vous et nous…— Où as-tu vu que les serviteurs mangent avec leur maître ? Il faudra réviser l’histoire antique mon cher ; tu mérites le fouet ! Vous mangerez, ici juste à côté de nous, à quatre pattes par terre, dans des écuelles !
Décidément, je ne faisais que des conneries et voilà ; encore du fouet ! Je n’avais plus qu’à rectifier la table, elles mangeraient donc seules et face à face ; quand à nous il me fallait trouver de quoi nous servir d’assiettes. J’organisais la table différemment pour que ces « Dames » soient contentes. Pour nous des écuelles en bois, trouvées dans un placard où se nichait tout un tas de trésors ; feraient bien l’affaire.
La cuisson des saucisses terminée, mon frère les apporta ; elles sentaient bon la charcuterie montagnarde. Ces Dames servies, elles nous donnèrent à chacun deux saucisses, et un morceau de cet énorme pain qui, bien enveloppé dans un linge se garde à merveille. Le « ici » de notre place fut définitivement adopté quand après maints déplacements. Elles trouvèrent l’endroit qui leur convenait le mieux soit à quatre pattes, le cul tourné vers elles et le soleil ; cuisses bien écartées de façon à ce qu’elles puissent nous mater « le trou du cul et nos baloches » selon leurs dires. — C’est parfait ainsi, nous avons une belle vue, quand penses-tu Elsa, demanda Lyli à sa sœur.— C’est parfait. Eh les gars ! Faites gaffe que les chiens ne vous prennent pas pour des chiennes ! s’exclama-Elsa en riant.
La position était assez inconfortable, surtout qu’elles nous avaient foutu les jetons avec leur histoire de chiens ; je n’avais aucune envie de me faire saillir par les clebs. Tout se passa bien, le soleil me chauffait le cul et l’idée d’être bronzé à cet endroit me plaisait beaucoup.
[À suivre]
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