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Jeux entre frères

Chapitre 9

Quel repas !

Inceste
   Manger à quatre pattes, à poil, le cul en l’air et le nez dans une écuelle de bois n’était pas une chose facile ; d’autant que nos déesses nous introduisaient - sans doute par vice - de petits bouts de bois dans notre derrière. Je pus découvrir plus tard que ces bouts de bois étaient en réalité des crayons de couleur d’écolier, dont le bout était arrondi ; pour ne pas faire mal. Le but était d’en entrer le maximum pour élargir progressivement mon petit trou. Pour ce faire, elles commencèrent par en mettre délicatement trois puis, en ajoutèrent à chaque fois un ; en le plaçant toujours au milieu de ceux déjà en place et le mon cercle s’agrandissait peu à peu. La sensation était assez curieuse, sans être vraiment désagréable, mais au fur et à mesure de l’augmentation du nombre de crayons et du diamètre de mon trou de belle ; la distension de mes tissus me procurait une légère douleur.
— Comment vous sentez-vous ? C’est agréable, n’est-ce pas ? demanda Elsa.— Oui, ça va, répondis-je— Mais qu’est-ce que vous nous mettez ? interrogea Julien.— Des crayons, et celui qui en aura accepté le plus gagnera, éclairci-Lyli.— Et on gagne quoi ? repris-je.— Mis à part le droit de recommencé ; une surprise…Allez, ne vous occupez pas de ça ; mangez et prenez des forces, car vous allez en avoir besoin, confirma-Elsa.
C’est avec une grande difficulté que je réussis à manger mes saucisses, sans les mains ! Mon frère et moi ressemblions plus aux chiens de nos déesses de bergères qu’à deux jeunes hommes. Le jeu était malgré tout délicieux, petit à petit je sentais que mon petit trou s’élargissait de plus en plus et mon vit grandissait aussi. Nos cousines toujours aussi joueuses commentaient leur exploit :
— Et un de plus, pour moi !— Moi aussi ! T’en est à combien ?— Attends, je compte : un, deux, trois…dix, onze et douze, et toi ?— Pareil ! Et vous ça va ?— Oui, oui…et si vous n’en avez pas assez ? demanda mo frère.— Ne vous inquiétez pas pour ça, il y a toujours une solution à tout ; vous en voulez encore ?— Oh, oui, et tu peux en mettre encore autant, voire plus, fanfaronna Julien.— Alors là, je serais toi ; tiens regarde ce que ça fait douze crayon, comme taille ! repris Elsa.
Elle nous présenta une poignée de douze crayons serrés entre pouce et index.
— Alors, tu penses en prendre encore autant ? Regarde, dis-elle en ajoutant douze autres crayons qu’elle était obligée de tenir à deux mains.— Tu vois, si je rajoute tout ça, ce ne sera plus un trou du cul que tu auras, mais un bouche de métro ; mais si ça te fais plaisir, j’essaie. Tenez, regardez ; à la place du dernier crayon, nous vous mettrons, ça. Le -ça- était une petite branche de buisson dont la tige était aussi grosse que mon pouce.
La vérité était que la taille du rond que formaient les vingt quatre crayons me paraissait énorme mais, compétition oblige ; je me préparais à absorber tous les crayons et la queue. Bizarrement, l’idée de me faire agrandir le trou m’excitait de plus en plus. J’avais essayé en secret, mais je m’étais fait mal, alors j’avais abandonné ; mais là c’était différent la progression était lente et beaucoup moins douloureuse, alors j’avais hâte de vivre la suite.
— Lyli, on fait une pose ?— Si tu veux, moi je me ferai bien lécher la minette ; pas toi ?— Belle idée. Allez, esclave ; venez sous la table, et léchez nos minettes.
Nous nous sommes retournés et prêts à nous lever :
— Non, non ; à quatre pattes ! Vous êtes tellement mignons avec votre trou tout garni, on dirait des chatons ; tu ne trouves pas, Lyli ?— Mouais… ! Ou des petits chiens, mais j’ai bon espoir d’arriver à leur mettre tous les crayons et aussi la jolie queue ; pour faire plus vrai.
Nous obtempérons et nous nous retrouvons sous la table. Elles levèrent leur longue robe et nous offrirent le spectacle de leur minettes nue et lisse. Assises de chaque côté de la table, elles se faisaient face et je choisi de me diriger vers la minette de Lyli. Plus douce que sa sœur, j’ai une petite préférence pour elle. Sa fleur, aux lèvres encore rosées par sa jeunesse, m’invitait à venir gouter le liquide brillant qui suintait en son centre ; j’avais très vite apprécié et adoré gouter à ce liquide.
Julien et moi étions cul contre cul, et, de temps en temps les crayons plantés dans nos derrière se touchaient et mon frère poussait les miens avec une fesse ; ce qui les faisaient rentrer toujours un peut plus en moi. Alors pour lui échapper, je m’enfonçais le plus possible entre les cuisses de Lyli et posais mes mains sur ces cuisses. Partant d’une bonne attention, je commençais à caresser du bout des doigts l’endroit si magique, mais hélas, elle glissa ses mains sous la table et fit prisonnières mes deux mains en les tenant par les boucles des mousquetons. Alors, Je léchais sa chatte à grand coups de langue, de chaton, jusqu’à ce qu’elle m’attrapa la tête à deux mains pour la maintenir contre son abricot ; en semi-apnée, je lapais. Son jus coulait doucement de son antre et je m’en régalais, mais le plus jouissif se fut quand elle se cramponna à moi et que je la sentis vibrer, c’était la première fois que je faisais jouir une femme juste avec ma langue ; Elsa s’en aperçu :
— Lyli, qu’est-ce qu’il n t’arrive ; ne me dis pas qu’il vient de faire jouir ?— Si, si, il est génial, mon petit esclave ; je pense que je vais le garder avec moi tout le temps.— Oh ! Julien ! Moi aussi je veux arriver, alors magne-toi !
Lyli me lâcha la tête et je tentai de caresser sa minette ; elle ouvrit ses jambes en grand, avança ses fesses au bord du banc s’y accrocha des deux mains. Je pouvais la caresser au loisir, une énorme envie de me masturber monta mais je la maîtrisais ; par contre l’envie de recevoir d’autres crayons devint intenable. Je pris le risque de prendre la main de ma déesse Lyli ; elle se pencha son la table.
— Que veux-tu ?— Que tu me mettes encore des crayons, lui chuchotai-je.— Tu aimes ! Alors sort de dessous la table, me répondit-elle sur le même ton et en prenant la laisse.
À quatre pattes, je suivis la laisse qui me fit monter sur la table. Alors que je me léchais encore le museau pour récupérer le nectar de Lyli, elle m’enfila un puis deux et encore deux autres crayons. J’avais chaud, je transpirais sans doute à cause de la douleur, car je sentais mon anus extrêmement dilaté. Lyli passa devant la table.
— Ça va ? Pas trop mal ? me demanda-t-elle.— Si.— Tu veux arrêter ?— Non.— Alors, tourne-toi.
Elle me fit faire demi-tour et ainsi, je présentais mon postérieur à Elsa. Elle me fit m’accrocher au rebord de la table et le susurra un « Accroche-toi ! » puis pris ma tête à deux mains et m’entraina dans une galoche d’enfer. Pendant ce temps sa sœur m’enfilait encore des crayons jusqu’à ce que mon trou refuse de s’ouvrir plus. Je criais presque dans sa bouche, mais elle m’entraina dans une valse. Nos langues ne cessaient de tourner et de jouer ensemble dans cette terrible galoche baveuse qui me fit presque oublier ce qu’il se passait derrière moi. Elle me fit assoir sur le borde de la table, les jambes pendante ; j’eus le souffle coupé au moment où tous les crayons se mirent tous au même niveau.
Elsa, qui n’avait toujours pas réussi à arriver à l’orgasme se leva et vint se placer juste à côté de moi.
— Julien, je ne suis pas contente ; tu resteras sous la table jusqu’à ce que je te dise d’en sortir ! ordonna-t-elle tout en m’attrapant mes deux tétons.
Lyli se plaça entre mes jambes et pris mon sexe en bouche, et se lança dans une fellation extraordinaire. Elle me suçait avec une telle conviction et qu’avec l’aide de sa sœur qui torturait mes pauvres tétons ; elle me provoqua une terrible éjaculation. Elle fut longue et puissante, ce plaisir était tellement immense, que mes oreilles bourdonnaient ; je crus un instant m’évanouir. J’avais mal au cul et aux tétons, Lyli me fit partager ma semence ; sans doute une tradition dans l’antiquité ? Je dus avaler mon liquide aussi dégueulasse que mal odorant pendant qu’elle avait entrepris de me masturber une nouvelle fois. J’avais déjà expérimenté ce genre d’exercice et je savais qu’il n’était pas évident d’éjaculer deux fois de suite en peu de temps ; alors elles s’y sont mise à deux. C’est après une véritable séance de torture que je réussi à éjaculer à nouveau, et cette fois, Lyli garda tout .
Mon frère qui lui était toujours sous la table devait trouver le temps long. Elles m’ont allongé sur le dos les jambes repliées et ma boite à crayons bien en évidence puis, elles remplacèrent deux crayons par la petite branche de buissons.
— Et voici notre gagnant ! Bravo pour ta performance, tu auras une récompense tout à l’heure. Quant à toi Julien sort de dessous la table, comme tu n’as pas été capable de me faire jouir ; tu seras puni tout à l’heure, informa Elsa.
J’étais super content de cette nouvelle, mais beaucoup moins que la sensation extrêmement étrange que mon cul m’apportait.
— Julien ! Prépare-nous des tomates, et toi Antoine fait un petit tour. Allez mon petit chienchien vas faire ton petit pipi !
Sur le coup, je crus qu’elle devenait folle ou frappée par un coup de soleil ; mais non, elle n’était pas folle ni victime d’une insolation ! Elle me prenait juste pour le petit chienchien à sa mémère ! Elle voulait que j’aille faire un petit tour et lever la papatte pour faire mon petit pipi. Je trouvais ce jeu franchement rigolo, d’autant que ce qui m’encombrait le trou de balle avait l’avantage de m’apporter un plaisir très bizarre. À chaque pas -j’étais bien évidemment à quatre pattes- le balancement du morceau de buisson en forme de boule en haut, à l’image de la queue des loulous de Poméranie, faisait osciller tout mon derrière et me faisait bander en même temps. Je trouvais un endroit pour faire LE pipi du chienchien à sa mémère ! Je levais la patte, et pour plus de réalité je tentais de faire LE pipi ; mais là, c’était impossible. J’avais beau faire tous les efforts du monde, rien à faire ; je dus me rendre à l’évidence : pisser avec une trique d’enfer est tout simplement impossible !
— C’est bien, mon petit chienchien à fait son petit pipi ; allez, retourne à ta gamelle, je vais te donner du miam-miam !
Conclusion : mes cousines fument la moquette !
Ensuite il fallut manger la tomate, entière. Cette tomate, énorme ! Venue tout droit du potager situé derrière la bergerie, était Bio. Les plants ressemblaient plus à des buissons qu’aux jolis plants bien droits, soignés à coup d’engrais, de pesticides, de chaleur artificielle et de colorants. Ici, on laissait la nature faire son travail, on retournait la parcelle de terre destinée à y faire pousser des légumes ; car ici, on fait pousser, on ne cultive pas. D’après ce que nous avaient dit nos cousines, c’était de la « Cœur de bœuf » bien charnues, délicieuses, pleines de jus mais pas facile à manger, surtout sans les mains. Après quelques contorsions et quelques frétillements du popotin, et autres acrobaties ; nous arrivâmes à manger notre « Cœur de bœuf ».
Et maintenant place au dessert !
Ce sera dans le prochain épisode, alors ; patience …
[À suivre]
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