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Jeux entre frères

Chapitre 14

Fin d’un rêve.

Divers
J’étais maintenant convaincu que j’allais enfin faire l’amour avec Maman. Nous étions en voiture au retour de la gare et pendant qu’elle conduisait, je lui caressais doucement la cuisse.

— Ah mais dis donc tu as aussi les mains douces ! — Tu aimes ?— Oui, j’aime bien ; mais tu sais Antoine. Je connais bien mon frère et je ne serais pas étonné que ces filles soient venues chercher des caresses et peut-être plus ; et comme dit Lucienne : on ne fait pas des chats avec des chiens, car mon frère… enfin bref !
L’étau se resserrait, elle cherchait à savoir si nous avions couché avec nos cousines. J’étais paniqué, et mon frangin roupillait à l’arrière ; je tentais une échappatoire.
— Et avec papa, comment ça se passe ? — Mal, mais ne sois pas inquiet, car je ne vous empêcherai pas d’aller le voir ; mais pour moi c’est terminé.— Bon, tu n’es pas triste alors ?— Pas du tout, et puis j’ai mes deux petits hommes. Tiens, on arrive ! Tu ouvriras le portail, s’il te plait ?
Je sortis de la voiture, ouvris le portail, Maman gara la voiture dans la cour gravillonnée, et mon frère se réveilla, nous récupérions nos sacs. Maman reprit la parole :
— Bien, Julien tu as entendu ce que j’ai dit à ton frère dans la voiture ?— Non… ?— Ah, je lui ai donné les nouvelles règles de la maison.— Ah oui… et c’est quoi ?— Maman m’a dit qu’on doit rester tout nu tout le temps à la maison, c’est cool…Hein ?— Oui c’est cool, et tu dois être content ?— Pourquoi tu dis ça, tu n’as pas envie de le faire.— Bien sûr que si, c’est tellement agréable d’être tout nu tout le temps ; Maman ! Antoine ne te l’a pas dit ?— Dis quoi ? interrogea-t-elle.
— Bah ! On vient de passer deux semaines à poil, et il ne t’en a pas parlé ? Pour une fois qu’il ne dit pas de conneries !
J’eus l’impression de passer pour un imbécile, mais j’étais aux anges ; elle m’avait dit qu’elle s’occuperait de moi. Du coup je m’imaginais qu’elle me câlinerait, me toucherait, me ferait sans doute une pipe, et qu’on ferait l’amour ; j’avais hâte.
Nous entrâmes dans la maison et Maman commença à se déshabiller.
— Prenez vos sacs et suivez-moi que je mette votre linge à laver, enfin s’il y en a !
Nous étions tous les trois dans la buanderie, Maman se déshabilla et quand nous enlevâmes notre short :
— Ah mais vous n’avez pas mis de caleçon ! C’est cool, merci pour les économies de linge et de lessive. Allez montrez-moi votre bronzage.
Mon frère et moi tournions sur nous-mêmes, et moi en demi-érection.
— Joli …! Vous êtes superbes, votre bronzage est vraiment très joli et si régulier ; dommage qu’il y ait ça ! commenta-t-elle en me tirant sur mes poils pubiens.— Aïe… ! Et tu crois que ça fait si moche que ça ? demandai-je.— Moi je n’aime pas trop, mais c’est votre corps ; vous faites ce que vous voulez.— Alors je veux bien essayer, mais tu me le feras, car j’ai peur de me couper ; hein Maman ?— Si tu veux, et tu veux faire ça quand ?— Maintenant … ?— Ok, monte dans la salle de bain j’arrive, et toi Julien si ça te dis, tu peux prendre un bain dans la piscine ; et après on fait péter le champagne.
Elle était restée un peu avec mon frère, le temps que je prépare tout ce qu’il fallait dans la salle de bain à l’étage pour qu’elle me rasât le pubis et les couilles aussi.
« Ça va être le pied, elle va me faire des trucs ; j’ai hâte, j’ai hâte » pensai-je.
Justement, elle entra dans la pièce et ferma la porte à clé. Alors que je m’avançais vers elle ; elle leva la main pour me stopper en me disant :
— Stop ! Antoine, j’ai compris ce que tu veux ; c’est moi que tu veux ?— Oui, Maman tu es si belle, je t’aime, je voudrai être tout à toi…— D’accord, mais avant tout, tu vas me prouver que tu es un homme !— Oui Maman, pour toi je ferai tout ce que tu veux.— Alors branle-toi !… Allez !
Surpris mais convaincu que le dénouement de mon envie incestueuse était proche, je pris ma bite en main en me branla avec énergie. Ma mère, les bras croisés sur sa poitrine et adossée à la porte de la salle de bain, me regardait fixement dans une position très désinvolte. Ses yeux passaient alternativement de mon visage à mon sexe pendant que je m’astiquais le poireau ; j’y mettais tellement d’ardeur que je transpirais comme un bœuf. Mais en peu de temps je me sentis gêné, un sentiment de honte commençait à m’envahir ; ma bite ramollissait et mon envie s’évanouissait doucement. Alors elle s’approcha de moi.
— Alors mon chaton, un coup de mou ? Tu veux un coup de main ?— …
Un flot de sang me monta au visage, j’ai dû devenir rouge écarlate et avec ma bite toute molle en main ; je me sentais ridicule. Elle me planta un regard féroce dans les yeux, celui qu’elle faisait lorsqu’elle était en colère ; je me mis à regarder le sol. Je ne vis pas arriver la magistrale paire de claques qu’elle m’envoya. Sur le coup je fus sonné, mes oreilles bourdonnaient et les larmes montèrent immédiatement. De mémoire, je n’ai pas souvenir d’en avoir pris une aussi terrible de sa part.
Mon envie de baise avec ma mère s’écroula instantanément, j’étais en colère. L’espace d’un instant je fus en colère contre elle, car elle m’avait fait miroiter des choses qu’elle me refusait tout à coup. Je trouvais ça dégueulasse de sa part avec en plus un sentiment de trahison, et elle m’avait ridiculisé. Mais je pris rapidement conscience que le dégueulasse c’était moi et mon fantasme ridicule, j’avais sali ma mère. Alors la colère se retourna contre moi ; intérieurement je me traitais de con, d’abruti, d’obsédé. Je compris mon erreur : j’avais fait du mal à Maman, alors je fondis en larmes et le sermon arriva :
— Tu as compris, Antoine ; je ne veux pas de ça. Je veux bien vous faire des petits câlins, même tout nu. Ta bite, tu la gardes pour tes copines. Si tu es en manque et que tu n’as personne avec qui jouer, chose que je comprends, tu te débrouilles tout seul, mais surtout pas avec moi ! N’oublie jamais ça, Antoine ! Je ne suis pas ton jouet et tes cousines non plus, car je suis certaine que vous avez fait des conneries avec elles, mais à la limite, ça, je m’en contre fous. Antoine, tu m’as bien comprise ? Regarde-moi !
Ridicule, piteux et en larmes, je levais les yeux vers maman :
— Pardon Maman, pardon … je ne le referai plus…— Allez viens, me dit-elle en me tendant les bras.
Ce qu’ii y avait de bien avec Maman, c’était que même en colère, elle nous consolait juste après. Depuis toujours quand mon frère et moi faisions une bêtise, sa réprimande était violente. Elle frappait rarement mais son discours sonnait comme des coups de semonce. Sa méthode pour nous guérir de nos maux était parfois terrible, je venais d’en faire la triste et cinglante expérience ; la sentence était, immédiate, rapide et parfois humiliante.
Alors elle me serra très fort dans ses bras et me caressa le dos et la tête de l’autre, et me dis.
— C’est fini mon chaton, prends une bonne douche bien fraiche, ça te calmera, et descend nous rejoindre.— Pardon Maman, j’ai fait une grave erreur et je ne peux plus te regarder en face, alors je vais aller dans ma chambre.— Non-non ! Tu vas venir avec nous ; assume ; mon garçon ! Je ne suis pas fâchée, pour moi c’est fini, mais ne recommence plus jamais ça ; c’est compris ?— Oui Maman.
Elle me lâcha, fouilla dans un tiroir et me tendit un tube de pommade.
— Mets ça sur tes joues après la douche, je crois que j’y suis allé un peu fort…Antoine, ce qu’il vient de se passer, reste entre nous !— Oui Maman, s’est promis je ne le ferais plus.— Allez, dépêche-toi ; je vais préparer l’apéro.
L’affaire s’arrêta là et ma vie incestueuse également. Un peu plus tard je fis la connaissance d’une fille de mon âge, Zoé ; sans complexe et au tempérament de feu. Elle venait à la maison, elle était très complice avec ma mère, et avait adopté cette règle de nudité. Quand elle venait à la maison, elle ne portait en général qu’une robe qu’elle retirait dès son arrivée. Un jour, alors que je croyais ma mère absente j’avais invité Zoé pour passer la journée ensemble, et lui avait indiqué que Maman était absente. Elle était venue avec sa voiture et m’avait appelée pour que je lui ouvre le portail. Quand elle arriva, ma surprise fut énorme : elle était nue au volant ; je l’ai tout de suite prise sur le capot de sa voiture. Nous avions fait l’amour toute l’après-midi, mais Maman nous surpris emboités l’un dans l’autre au bord de la piscine, et elle s’écria :
— Zoé, Antoine ! Je veux une petite fille !
Et nous l’avons attendue deux ans.

    FIN.
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