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Jeux exhibitionnistes

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Carine vs Chloé...
— Cela remonte à la fin du premier confinement. J’avais assez mal vécu cette période, très frustrante pour la libertine que je suis, et j’avais envie de rattraper le temps perdu.
Je suis allée passer une soirée chez Carine, une amie qui est aussi souvent ma complice, côté sexe (elle apparaît de temps en temps dans mes histoires). Il était prévu que je dînais chez elle, et que je resterais pour la nuit.
Après manger, nous avons regardé un film, en buvant quelques verres. Comme moi, elle ressentait un manque, et elle ne faisait pas mystère de son intention de prendre du plaisir avec moi. Mais elle ne précipitait rien, laissant notre désir mutuel s’exacerber.
C’est après avoir éteint la télé que Carine a proposé que nous jouions une partie de cartes. La perdante devait se soumettre à l’autre, et faire ce qu’elle lui ordonnerait. Comme nous sommes l’une et l’autre assez imaginatives, il y avait de quoi flipper !
J’ai perdu...
Carine a exigé que je me déshabille entièrement, et que je descende nue relever le courrier dans sa boîte aux lettres (elle habite au 3ème et dernier étage d’un immeuble, sans ascenseur).
J’ai donc enlevé mon tee-shirt (je n’avais pas de soutif), ma jupe, et mon string. Elle m’a demandé de remettre mes chaussures, des escarpins à très hauts talons, qui rendaient ma nudité encore plus érotique. J’ai eu le droit de mettre un masque chirurgical, mais elle ne s’est pas arrêtée là !
Elle a sorti des pinces, que je ne connaissais que trop bien. Elle a joué avec les pointes de mes seins, qui se sont mises à bander immédiatement, et elle a coincé mes tétons dans les pinces reliées par une chaînette, en les serrant fort.
Il y avait une troisième pince. Elle a passé sa main entre mes cuisses. Je mouillais comme une folle. Elle a ouvert mon sexe, l’a doigté un moment, et quand j’ai été suffisamment excitée, elle a pris mon clito entre ses doigts, pour y accrocher la pince.
Elle a ouvert en grand la porte de son appartement, et elle m’a poussée sur le palier. J’étais morte de honte et de trouille. Il me restait à espérer que, compte tenu de l’heure tardive et du contexte sanitaire, personne n’ait la mauvaise idée de sortir. Pour finir de me faire peur, Carine m’a annoncé qu’elle refermait sa porte à clé, et qu’elle ne me la rouvrirait pas si elle estimait que je n’étais pas restée assez longtemps...
Et me voilà, descendant l’escalier, à poil, mes talons claquant sur les marches. J’écoutais en arrivant à chaque palier, craignant d’entendre le bruit d’une autre porte d’appartement s’ouvrant.
Enfin, je suis arrivée dans le hall d’entrée. Il était éclairé. On pouvait me voir de la rue, et je n’osais pas regarder dehors à travers les vitres.

J’ai ouvert la boîte aux lettres de Carine, et j’ai récupéré les pubs qui étaient à l’intérieur. La mouille coulait le long de mes cuisses. La première partie de mon gage était donc réalisée, sans encombre. Il me restait à remonter...
Je montais vers le premier étage, quand j’ai entendu du bruit. Mon cœur s’est mis à battre la chamade. Je ne pouvais pas reculer.
C’est en arrivant au deuxième que j’ai croisé un jeune couple, qui devait sortir de chez des voisins. Je crois que je me rappellerai toujours de leurs têtes, de leur regard sur mes seins et mon petit bouton pincés !!! Et j’étais heureuse que mon visage soit en partie caché par mon masque.
Je suis arrivée devant la porte de Carine, essoufflée, les joues rouges. J’ai sonné, mais elle a attendu quelques secondes, qui m’ont paru durer une éternité, avant de m’ouvrir.
Elle m’a prise dans ses bras, riant en voyant mon état.
Elle m’avait préparé une autre surprise: elle était nue aussi, et un superbe gode double émergeait de sa chatte et se dressait. Un dildo, sans harnais, mon préféré!Elle a retiré doucement les pinces de mes seins et de ma chatte, et elle m’a entraînée dans sa chambre. Je lui ai raconté ce qui s’était passé dans l’escalier, pendant qu’elle léchait ma chatte, et qu’elle me pénétrait.
Ce fut une nuit aussi torride qu’excitante. Mais je me suis juré de me venger !

... La revanche

Quelques jours après avoir dû m’exhiber nue dans l’escalier de l’immeuble de Carine, j’avais trouvé la manière dont j’allais me venger.Ce soir-là, je l’avais invitée, en faisant allusion à ce qui s’était passé lors de notre dernier dîner en tête-à-tête. Elle me connaît bien, et elle avait deviné mon intention de prendre ma revanche. Mais Carine est aussi joueuse que moi, et j’étais certaine qu’elle essaierait de retourner la situation à son avantage, ce qui ne donnait que plus de piquant à cette soirée.
Je ne laissais donc rien au hasard, et j’ai tendu soigneusement mon piège.
— Première étape: je garai ma voiture sur un emplacement de parking que j’avais repéré. Sous la porte-fenêtre de ma chambre, à l’aplomb d’un lampadaire.— Deuxième étape: je rangeai dans la boîte à gants un superbe gode ceinture, noir, d’une taille imposante.— Troisième étape: je préparai un cocktail aux effets aphrodisiaques avérés, auquel je sais que Carine ne résiste pas.
Tout était en place, lorsque Carine sonna à la porte de mon appartement, au dernier étage de mon immeuble.
Elle était tout sourire, lorsque je lui ai ouvert. Plus belle et plus désirable que jamais. Elle s’était soigneusement maquillée et habillée, signe que, elle aussi, elle avait quelques idées derrière la tête. Mais elle ne s’attendait pas à ce que je lui avais préparé.
Elle m’avait apporté une excellente bouteille de vin, et je l’embrassai sur la bouche en la remerciant. Puis nous nous sommes installées confortablement dans le salon, et je lui ai servi un premier cocktail.
Nous parlions de choses et d’autres - il s’agissait souvent de sexe - et elle s’était blottie contre moi, comme une chatte. Nous grignotions des sushis, et je remplissais régulièrement nos verres. La faim nous gagnait, et j’ai commandé des pizzas, par téléphone.
— Tu montres tes seins au livreur, me demanda-t-elle ?— Si tu lui montres aussi les tiens...
C’était un de nos petits jeux habituels, et elle éclata de rire. En attendant le livreur, nous avons peaufiné nos tenues. Indécentes, comme il se doit. Carine ouvrit en grand son chemisier, sous lequel elle ne portait rien, se cala sur le canapé, et retroussa sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses. De mon côté, j’allais passer un peignoir en soie, très court, et j’ajustai la ceinture pour qu’il bâille généreusement sur ma poitrine nue. Le reste de ma tenue se réduisait à un string, et à des sandales à talons aiguilles.
Lorsque le livreur sonna, je lui ouvris la porte, et je le fis rentrer, pour qu’il dépose nos pizzas sur la table du salon. Le pauvre garçon était écarlate, et la bosse de son jean trahissait la progression de son érection. Surtout lorsque je me suis penchée pour chercher ma carte bleue, et qu’il a eu une vue imprenable sur mes fesses, et lorsque je me suis tournée de profil, sur mes seins.
Dès qu’il fut parti, Carine et moi avons ri comme des gamines, fières de notre coup. Mais mon amie ne comprenait pas pourquoi je n’avais pas encore cherché à me venger, en lui imposant une épreuve à la hauteur de celle qu’elle m’avait fait subir. Elle ne perdait rien pour attendre...
Nous bûmes presque toute la bouteille de vin qu’elle m’avait amenée, en mangeant nos pizzas et des gâteaux que j’avais achetés. Et c’est seulement après que j’ai abattu mes cartes.
— Je te propose de jouer maintenant une partie de scrabble, lui proposai-je (je gagne systématiquement, lorsque je joue contre Carine).— Toi, tu as une idée derrière la tête...— Bien sûr ! Pour pimenter le jeu, la perdante devra exécuter un gage qui sera fixé par la gagnante.— Évidemment, je m’en doutais. Tu veux ta revanche, après avoir perdu aux cartes.— Tu me prêtes des intentions...— Allez, pas la peine de chercher à te justifier, je suis d’accord.— Pour te faciliter la tâche, le score de tous les mots à connotation sexuelle sera doublé. Comme ce sont les mots que tu préfères...— N’essaie pas de me faire croire que tu es une ingénue, et jouons.
C’est ainsi que la partie a commencé. Je dois reconnaître que Carine m’a opposé une résistance farouche, démontrant sa parfaite connaissance du vocabulaire érotique et des mots crus. Parfois très crus... Mais avec "cunnilingus" en mot compte triple, je remportai haut la main la partie.
— Je m’avoue vaincue, reconnut Carine, avec un sourire qui me laissait douter de sa déception. Qu’est-ce que tu as prévu comme gage pour moi ?— Eh bien... Tu vas descendre chercher quelque chose dans ma voiture.— À poil, je suppose. Tu aurais pu être plus originale !— Non. Habillée.— ????— Tu monteras dans ma voiture, et seulement à ce moment-là, tu te déshabilleras totalement. Tu laisseras la portière entrouverte, pour que le plafonnier reste allumé. Tu prendras l’objet que j’ai mis dans la boîte à gants. Tu laisseras tes vêtements sur la banquette arrière, et tu remonteras chez moi, sans courir, avec l’objet bien visible dans ta main.— Putain ! Je vais devoir traverser le parking en tenue d’Eve, le hall de ton immeuble, et remonter l’escalier ?— Non, pas l’escalier. Tu prendras l’ascenseur. Dans l’escalier, on peut toujours se cacher si on entend du bruit. Dans l’ascenseur, si quelqu’un l’appelle, tu te retrouveras face à lui.— Mais tu es une salope !— Tu me flattes !... Mais je suis sympa: si tu remplis ce gage, tu pourras me proposer ce que tu veux, avec l’objet que tu auras ramené.— Je suppose que c’est un sex-toy ?— Tu verras bien... Allez, c’est à toi de jouer, dis-je en lui tendant les clés de ma voiture. Elle est garée sous mes fenêtres, côté chambre.
Carine prit ma clé, les yeux brillants, et je lui ouvris la porte. Le cocktail et le vin produisaient leurs effets, et nous étions très excitées toutes les deux. Elle passa devant moi, en ondulant des hanches, et je la suivis du regard, jusqu’à ce qu’elle monte dans l’ascenseur. Puis je me dirigeai vers ma chambre.
J’avais chaud. J’ôtai mon peignoir, et j’ouvris ma porte-fenêtre. Je vis Carine sortir de l’immeuble, emprunter le chemin jusqu’au parking, et ouvrir ma portière. Elle leva la tête, et brandit son poing dans ma direction. Mais je savais que ce geste de colère n’était que de la comédie.
Docilement, elle s’assit, mais laissa la portière entrouverte. Le plafonnier allumé, et la lumière du lampadaire me permettaient de ne rien perdre de ce qui se passait dans ma voiture. Et d’éventuels voyeurs pourraient aussi profiter du spectacle.
Carine se tortillait sur le siège avant passager, et je suivais son effeuillage, l’apparition de son corps nu. Une fois entièrement dévêtue, elle se pencha, ouvrit la boîte à gants, et en sortit le gode ceinture, qu’elle contempla un long moment.
Puis la portière s’ouvrit à nouveau en grand. Je devinais ce que faisait Carine, et ce qu’elle ressentait. Je la connaissais par cœur. Elle devait regarder tout autour de la voiture, pour voir si personne n’arrivait. Les battements de son cœur devaient s’accélérer.
Elle descendit, et sa nudité éclata en pleine lumière, comme s’il faisait jour. Elle marcha lentement vers l’entrée de mon immeuble, et je la perdis de vue.
Je retournai vers la porte de mon appartement, et c’est alors que j’entendis des bruits de voix, sur le palier. La locataire du studio en face de chez moi, une étudiante avait manifestement reçu des amis qui partaient, et discutaient en attendant l’ascenseur.
À travers la porte, je perçus le bruit de l’ascenseur qui arrivait à l’étage, les portes qui s’ouvraient. Carine devait se retrouver nez à nez avec le groupe, et j’entendis des exclamations et des rires.
Par le judas, je vis Carine arriver devant ma porte, rouge comme une pivoine. Elle sonna, mais je fis durer le plaisir. Nouveaux coups de sonnette, prolongés, et cette fois, je lui ouvris, réalisant trop tard que ma voisine devait m’apercevoir aussi, nue, dans l’entrebâillement de la porte.
— Putain, qu’est-ce que tu fous, s’indigna Carine, en s’engouffrant dans mon entrée.— Tu vois ce que j’ai ressenti, chez toi, dans l’escalier ?— Oui... La honte... Mais ne compte pas sur moi pour te plaindre.— J’espère que la voisine et ses amis ont vu ce que tu tenais dans ta main.— Je crois que oui. Mais au fait... Tu te rappelles ce que tu m’as promis ?— Je t’ai promis quelque chose ?— Ne fais pas l’innocente ! Tu m’as dit que je pourrai te faire ce que je veux, avec ça... me dit Carine, en me montrant le gode ceinture.— Ah oui... Peut-être... Ça tombe bien, j’ai envie de jouir.— Tu vas être servie. Mais après ce que tu m’as fait faire, n’espère pas une petite partie de cul tranquille, sur le canapé, ou dans ta chambre.
Carine se dirigea vers la porte-fenêtre donnant sur ma terrasse, qu’elle ouvrit en grand, et elle alluma l’éclairage. Elle me prit par le bras, et me fit sortir. La température de l’air s’était rafraîchie, mes seins durcirent, et leurs pointes se dressèrent fièrement.
Aucun logement dans mon immeuble n’avait de vue sur ma terrasse, mais un coup d’œil vers l’immeuble voisin me permit d’apercevoir de la lumière à certaines fenêtres. Et même des silhouettes à l’une d’elles.
Carine m’obligea à installer le gode ceinture et à attacher le harnais autour de sa taille. Puis elle m’amena sur mon bain-de-soleil, resté installé après mes premières séances de bronzage intégral de l’année, et me fit agenouiller sur le matelas. Installé en levrette, le cul bien cambré et offert, je reçus une pluie de claques sur mes fesses, rapidement marquées de traces rouges. Je poussai quelques plaintes, pas très convaincantes, car la mouille qui coulait sur mes cuisses trahissait le plaisir que cette situation scabreuse me procurait.
Carine enjamba le bain-de-soleil et, à califourchon, présenta l’énorme gland de résine à l’entrée de ma chatte. J’avais trop envie de me faire défoncer, et je passai une main entre mes cuisses, pour ouvrir moi-même mes grandes lèvres.
Elle prit mes hanches dans ses mains, pour m’immobiliser et d’une simple poussée, le gode franchit la porte de mon intimité. Je ne pus réprimer un petit cri de satisfaction, quand il s’enfonça en moi, lentement. Je contractais mon périnée, pour masser l’olisbos, comme s’il s’agissait de la vraie queue d’un mec, et des ondes de plaisir traversaient mon ventre. Le godemichet me pénétrait de plus en plus profondément, remplissait ma grotte inondée de sève, et il commença des mouvements de va-et-vient, rythmés par les bruits humides de mon fourreau dégoulinant de cyprine.
Petit à petit, les coups de boutoir de Carine se faisaient de plus en plus rapides. De plus en plus violents. Mes seins ballotaient en cadence. Je gémissais. Je criais. Je me tortillais, je m’empalais moi-même sur la longue tige de silicone, pour essayer de la faire rentrer plus loin en moi. J’aperçus des gens, aux fenêtres de l’immeuble voisin, mais cette vision, au lieu de m’inciter à la discrétion, renforçait mon désir de m’exhiber.
Carine feulait. J’avais réussi à passer ma main entre nos cuisses, et je la doigtais. Nous étions déchaînées. Rien ne comptait plus pour nous, en dehors de l’orgasme que nous sentions monter. Et il nous emporta. Toutes les deux, nous avions cette faculté de jouir plusieurs fois d’affilée, et après la frustration causée par le confinement, nous nous rattrapions.
Epuisée, je sentis enfin le vide créé par le gode, que Carine retirait de ma chatte. Mais elle exigeait à son tour de se faire défoncer son joli minou. Elle dégrafa la ceinture du harnais, qu’elle accrocha autour de ma taille. L’instant d’après, je me retrouvai étendue sur le dos, sur le matelas de mon bain-de-soleil, et Carine vint me chevaucher, me présentant son superbe cul.
C’était une vraie furie. Elle sautait littéralement, s’empalait jusqu’à la garde sur le chibre sombre. Sa mouille coulait sur mon pubis et sur mes cuisses. Elle giclait, quand le plaisir atteignait des sommets. De mes deux mains, j’écartai ses fesses, pour découvrir son petit œillet tout plissé.
— Oh ouiiii ! Fourre tes doigts dans mon cul, demanda-t-elle, lorsqu’elle sentit la pointe de mon index taquiner sa rosette.
Je ne me fis pas prier. Je plongeai mon doigt dans l’étroit orifice, qui se détendit et s’ouvrit. Je le fis coulisser, tourner, avant que deux autres doigts ne le rejoignent. Carine haletait, criait. Elle écarta grand mes cuisses, pour pouvoir plonger elle aussi sa main dans ma chatte. Et maintenant, elle me fistait.
Nous avons joui une dernière fois. Un orgasme somptueux, qui nous laissa au bord de l’évanouissement. Puis Carine vint se lover dans mes bras, me caressant tendrement.
Après quelques minutes, elle récupéra, et me regarda avec une expression perverse.
— Au fait, mes affaires sont restées dans ta voiture...— Oui, et alors ?— Qui va aller les rechercher ?— Mais toi, voyons !— Il va falloir que tu me prêtes des vêtements.— Il n’en est pas question ! Tu dois retourner à poil à ma voiture, c’est la suite logique de ton gage.— Tu es vraiment une salope, lança-t-elle en riant.— Ça, tu l’as déjà dit tout à l’heure.
Et j’eus le plaisir de voir Carine sortir, nue, de mon appartement. Puis de mon immeuble. Et de traverser le parking, en tenue d’Eve. Ma vengeance était complète.
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