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Jeux interdits entre collègues

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Une gouttelette de transpiration perla au front de la jeune femme, à la racine de sa chevelure rousse. Elle glissa lentement le long de sa joue, caressant sa peau blanche avec la plus grande délicatesse. Elle termina sa course à mi-chemin de sa gorge, sous les lèvres gourmandes de Thomas. Le jeune homme poussa un râle de plaisir et planta ses dents dans la peau sensible de sa partenaire. Celle-ci répondit avec fougue, ondulant son bassin pour sentir le sexe dur et vigoureux du jeune homme aller et venir en elle. Il sourit et glissa ses doigts autour du cou de Sonia. Leur fermeté lui rappela qui dirigeait l’échange.
— Doucement, susurra-t-il, les collègues vont nous entendre...
Elle frissonna d’un désir non dissimulé à ces mots et reprit sa position contre le mur du cagibi. Ses chaussures à talon avaient été repoussées dans un coin de la pièce pour lui permettre de se placer sur la pointe des pieds, les cuisses écartées, la jupe soulevée au-dessus de ses fesses rebondies. Sa poitrine et son visage étaient maintenus fermement plaqués contre le mur gris et froid alors que son compagnon faisait aller et venir sa verge dans son sexe humide. Le risque de se faire découvrir sur son lieu de travail la rendait folle, et c’est pour cela qu’elle était devenue la compagne de jeu de Thomas. Il la faisait se sentir spéciale, forte, mais pourtant dépendante de lui. Il contrôlait son plaisir.
Un frisson lui parcourut l’échine et elle sentit son bas-ventre se mettre à bouillonner. La chaleur du pénis en elle lui faisait perdre la tête, et ses râles de plaisir se mêlèrent bientôt à ceux de son compagnon. Il allait la faire jouir, si facilement. Elle voulut le prévenir, mais le plaisir la submergea avant qu’elle n’ait pu entrouvrir les lèvres. Instinctivement, il plaqua sa main sur ses lèvres pour masquer son cri et sourit alors que les muscles du vagin de son amante se mirent à se contracter sur son sexe. Il respira profondément et se laissa aller, déversant sa semence chaude en elle. Ils s’oublièrent un instant, laissant l’orgasme les emporter dans un tourbillon de sensations indescriptibles.
La réalité revint lentement à eux, mélangeant halètements et odeurs de sueur. Il épongea son front et s’essuya rapidement avant de refermer son pantalon.
— Tu étais folle aujourd’hui, dit-il en souriant, je crois que c’est la première fois que tu m’attires de toi-même dans un coin pour me demander de te faire jouir...
Les joues de sa compagne s’empourprèrent et elle acquiesça en détournant ses yeux verts des siens.
— Tu me rends folle depuis des mois, je commence à avoir besoin de te sentir en moi chaque jour.
Il déposa un baiser au coin de ses lèvres et lui fit un clin d’œil.
— Je dois filer, j’ai une réunion dans dix minutes. On se revoit demain”.
Il entrouvrit la porte pour vérifier que le couloir des archives était vide et s’éclipsa, laissant la jeune femme seule dans la pièce mal éclairée. Elle soupira et entreprit de remettre de l’ordre dans sa tenue, sa respiration toujours hachée et entrecoupée de petits pics de plaisir.
— Je ne dois pas tomber amoureuse, songea-t-elle, je ne suis pas la seule femme dans sa vie. Je suis juste un plan parmi d’autres, même pas le meilleur. Mais il est tellement...“
Un bruit de pas interrompit ses pensées et la fit sursauter. Elle termina de se recoiffer à toute vitesse et se saisit d’un dossier avant de sortir de la pièce. Un collègue déboula en sens inverse et manqua de la percuter.

— Excuse-moi, lâcha Jean-Paul en la saisissant par les épaules, je ne m’attendais pas à te voir sortir de là.
Il lui offrit un sourire amusé en perdant son regard sur le chemisier de la jeune femme. Les deux premiers boutons étaient encore ouverts et son décolleté généreux offrait une vue délicieuse sur le haut de sa poitrine galbée.
— Je cherchais de vieux dossiers, répondit-elle sur un ton morne, je dois y aller maintenant.
Elle se faufila entre lui et le mur et reprit sa route d’un pas décidé.
— Je compte sur toi pour la réunion de demain, lança-t-il alors qu’elle s’éloignait, j’espère que la préparation n’est pas trop... sportive !”
Son cœur s’arrêta et elle s’immobilisa une seconde. Elle tourna la tête pour lui faire un signe et tourna dans le couloir adjacent.
— Quel con, jura-t-elle, il sait."
Elle baissa le regard vers son chemisier et le remit en place, et commença à refermer les boutons avant de se raviser.
— Thomas m’avait demandé de devenir plus sensuelle... se souvint-elle, il m’avait dit qu’il aimait savoir que les autres hommes ... bandaient en me matant... et qu’il était le seul à pouvoir m’utiliser...
Un frisson de désir parcourut son corps à ces pensées et elle dut faire un effort cyclopéen pour empêcher ses joues de s’empourprer. Elle prit place à son bureau et se plongea dans un dossier en cours pour écarter toutes ces pensées parasites de son esprit.
***
L’odeur de la fumée de cigarette fit plisser le nez de Thomas. Il détestait ça. Et il haïssait encore plus les discussions banales de ses collègues à la pause. Ces hommes imbus d’eux-mêmes, se complaisant dans leur travail inutile, comptant leurs chiffres à longueur de journée. Il était pourtant le meilleur d’entre eux. Ses résultats dépassaient de loin la moyenne et pourtant, il n’y mettait jamais aucun effort. Il repoussa une mèche de ses cheveux blonds de son visage fin et plongea son regard dans celui de Jessica. Elle était sans doute la femme la plus timide qu’il n’ait jamais croisée. Incapable de soutenir son regard, ses yeux bleus étaient fuyants et pourtant, ils criaient leur désir de rencontrer les siens. Elle recoiffa ses cheveux bruns d’une main fébrile et fit mine de s’intéresser à l’histoire de la voiture d’un de leurs collègues. Thomas sourit. Il était parfaitement conscient de l’effet qu’il produisait chez la jeune femme.
Du désir qu’elle commençait à découvrir pour lui.
Aujourd’hui, elle repartait avec lui. Il contourna un groupe d’hommes en costume et se rapprocha d’elle.
— Hello, commença-t-il en souriant, j’ai entendu que tu avais fait forte impression que nos clients hier. C’est grâce à toi que la compagnie se porte si bien.— Merci, murmura-t-elle en se mordant la lèvre inférieure, mais je n’ai rien fait de spécial. — Et c’est pour cela que tu le fais si bien. Tu es naturelle, tu n’essaies pas de concourir avec tes collègues comme tous les autres.
Il fit un signe de tête en direction de l’amas d’hommes et de femmes en costume, agglutinés dans le patio à leurs côtés.
— C’est ce que j’aime tant chez toi.
Il plongea son regard dans le sien et frôla sa main du bout de ses doigts. Jessica baissa la tête et fit mine de retirer sa main dans un premier temps, mais un courage fou la saisit et ses doigts restèrent en contact avec ceux de Thomas.
— Merci, répondit-elle en lui décochant un sourire, ça me touche de savoir que j’ai un collègue comme toi ici.— Et est-ce que ce collègue peut espérer être considéré comme un ami ? Sans vouloir te pousser... — Un éclat de bonheur jaillit dans le regard de la jeune femme et elle hocha frénétiquement la tête. — Très bien, répondit Thomas en riant, alors ce soir, laisse-moi t’inviter. J’aimerais te faire découvrir mes talents de cuisinier si ça te dit”
***
Sonia pénétra dans l’open-space où Thomas était installé. La journée venait de se terminer et tous les employés rangeaient leurs affaires en discutant et elle espérait qu’il soit encore là. Elle avait pensé à lui tout le reste de la journée. Imaginant ses mains sur son corps, le goût de son sexe dans sa bouche. Son corps brûlait d’un désir comme elle n’en avait jamais goûté et elle était déterminée à lui prouver qu’elle pouvait être plus qu’une simple occupation. Elle allait le ramener chez elle et prendre le contrôle. Alors qu’elle arrivait à la hauteur de son bureau, elle fut prise de stupeur. Il était là, juste devant elle, lui tournant le dos. A ses côtés se trouvait une jeune femme aux formes généreuses. Il avançait avec elle en direction de la sortie, la main délicatement posée au creux de ses hanches pour la guider. Alors qu’il allait franchir la porte, il tourna la tête et son regard croisa celui de Sonia. Elle n’eut pas besoin de mots pour comprendre ce qu’il signifiait.
Elle le savait, elle pensait l’avoir déjà accepté, et pourtant, une larme coula sur sa joue."Tu n’es pas la seule femme de ma vie”
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