Eh salut ! Moi c’est Léa, je fais 1M58 pour 47kgs et un 80B, autant dire pas exactement le type exact de femme fatale, ou de salope se tapant tout ce qui bouge. Et pourtant, depuis ma rentrée en terminale, je suis rentré dans un jeu... Magique. Je vous explique : A la début novembre, toute la classe s’entendais bien. Des"groupes" d’amis s’étaient formés, mais rien de très sérieux, tout le monde pouvait traîner avec tout le monde, quelques couples étaient en place mais rien de fidèle, tout le monde ou presque couchaient ensemble. Ma classe étant très libertine, si quelqu’un a une panne ou ses règles, toute la classe est au courant. Mais un jour, quelqu’un brisa la glace, et proposa un jeu. Chaque jour, deux noms seraient tirés au hasard, un garçon et une fille, et devraient avant chaque cours réaliser un défi, avant de coucher ensemble devant les autres.Il y avait quelques règles. Pas de scato (mais rien sur l’uro), de zoo, on pouvait choisir de ne pas être tiré au sort une journée, mais on ne pouvait pas participer aux défis. Ah, et le tirage était fait séparément, du fait que le garçon et la fille ne savent pas avec qui ils devront coucher. C’était aussi simple que ça. Les premiers jours, ce n’était pas très sérieux. C’était simplement montrer les parties génitales ou les seins/abdos, et ceux qui devaient coucher ensemble était tout bêtement en missionnaire. Puis ça commençais a aller de plus en plus loin. Une fille du aller en cours de français sans sous vêtements, un garçon devait se masturber en cours de maths, et chaque jour fit un peu plus repousser les limites. Mais un jour, ce fut mon nom qui a été tiré. Et je n’ai pas été déçue. Quand le bout de papier avec mon nom dessus fut tiré, je commençais a mouiller légèrement. La fille précédente était encore en train de boiter aujourd’hui, elle avait du se faire pluguer le cul avec un gros engin de 10cm de longueur sur 6 de largeur, pour finir sur une sodomie. Encore heureux le garçon n’étais pas très bien monté. Lucas, celui qui tenait la corbeille, me regarda et me lança : "Léa ! Tu as compris ? Tu dois donc accomplir nos défis. Vu qu’il y a sept heures de cours, tu en aura sept. Est tu prête pour le premier ?" Je hochait la tête. "Thomas, accompagne la aux toilettes. Tu sais ce que tu as a faire." Il savait lui, mais moi non. Je l’accompagnais, anxieuse. On s’enferma dans une cabine. Une fois assurés que tout le monde était parti, il me révéla mon premier défi
"Comme première épreuve, tu dois me donner ton téléphone, et le passer en mode vibreur". J’obéis, le vis le prendre et le mettre dans un préservatif. "Maintenant déshabille toi le bas, pas la peine encore le haut." Mon minishort était enlevé, et ma culotte un peu humectée était également a mes pieds. "Eh mais c’est qu’on est déjà excitée petite salope ! Bon alors pour toi, on a prévu un truc spécial. Je fais t’enfoncer ton téléphone dans la chatte. La classe est au courant, et se chargera de t’envoyer un maximum de SMS. Tu dois juste encaisser et attendre. Ah ! Tu dois aussi boire toute l’eau qu’on te fera passer. Bonne chance, cette journée va être longue." Après m’être mise non sans mal ce plug improvisé, je me rhabillais. Thomas me pris par la main, me fit un bisou sur le front et se mit a marcher jusqu’en salle d’espagnol. Le prof, un homme d’une cinquantaine d’années, était assez sévère et passait souvent dans les rangs pour voir si on travaillait. C’était donc a double tranchant, je n’allais pas recevoir énormément de textos, mais si je commence a gémir et a me tortiller sur ma chaise et qu’il le remarque, c’est fichu. Par chance, il nous laissa entrer malgré notre petit retard. L’heure se passa relativement bien, je ne comprenais toujours pas l’espagnol mais le préservatif amortissais bien les chocs des vibrations. Malgré le fait que lorsqu’il a du s’absenter a la moitié de l’heure pour des photocopies, j’ai commencé a gémir, ça c’est assez vite calmé. Pour l’eau, on a réussi a me passer 2L5 que j’ai du intégralement boire, ce qui me fit sortir la première pour aller aux toilettes. Mais Thomas ne l’entendais pas de cette façon. Non, car il avait prévu une autre épreuve pour le cours de français. Il me rattrapa donc avant que je n’arrive aux toilettes, et me fit retourner dans une cabine. "Alors Léa, comment c’est passée ta première heure ? disais t’il tout en tirant sur le préservatif pour me rendre mon téléphone-Plutôt bien, la capote a amorti la plupart des SMS.-Ah. Il semblait déçu. Et ta vessie, ça va ? -Là non. J’ai une énorme envie de pisser.-Et bien sache que c’est justement ce qu’il faut pour le cours de français ! Pisse toi dessus.-Quoi ?-Tu m’as bien entendue petite salope. Tu vas te pisser dessus et aller en cours de français comme ça. Et plus vite que ça !"J’étais donc debout, avec l’ordre de salir ma culotte et mon short. Des larmes commençaient a me monter aux yeux, mais je fini par réussir. La pisse commença a se répandre dans ma culotte, puis une tâche apparu et s’élargit sur mon minishort. Quelques gouttes commençaient a couler le long de mes cuisses. Thomas pris les gouttes sur ses doigts et me les mit dans la bouche."Voilààà c’est bien. Maintenant, en cours. Et si jamais tu ose te changer ou te faire choper, tu le regrettera. Je savais qu’il m’intimidait sans le penser, mais il mesurais tout de même 1M85 et savais se battre. Je n’avais donc pas envie de lui désobéir.J’étais donc rangée devant la salle de français. La prof allait ouvrir d’un instant a l’autre, et j’allais faire cours dans ma pisse. J’espérais que tout ce passe pour le mieux...
