Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 36 J'aime
  • 0 Commentaire

Jeux Très Privés

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je suis Anna, décrite comme femme de caractère.
Au zénith de la trentaine en 2012, je menais ma vie suivant mes goûts jusqu’à rencontrer Yann sur un site de rencontres. Charismatique homme d’affaires, mon mari, devenu mon Pygmalion, m’a progressivement envoûtée sans tambour ni trompette, moi qui étais si indépendante.
Nous étions tous deux sexuellement actifs. Avec lui, j’ai découvert que je préfère qu’un autre choisisse pour moi comment me faire jouir. Dépendre et accepter, une rupture ! Soyons clairs, je n’ai jamais supporté l’humiliation, et ça ne va pas commencer demain ! A petits pas, sans le dire pendant longtemps, il a su me mettre en confiance et a fait de moi son jouet sexuel. Aujourd’hui consciente, j’assume mes deux facettes dans ma vie privée, même si l’une me fait rougir quand j’y pense.
Après une dizaine d’années d’amour et une parfaite confiance installée, mon maître m’a proposé de pimenter nos jeux par l’entrée d’un tiers inconnu. Si l’idée a d’abord choqué ma culture chrétienne (que je n’ai d’ailleurs jamais pratiquée), la lecture de quelques histoires qu’il a savamment distillées à l’insu de mon plein gré a provoqué une excitation en moi qui n’a cessé de se développer, jusqu’à devenir irrésistible. Je n’ai finalement pas mis deux mois avant de lui poser les conditions, c’était il y a 6 mois. Depuis, plusieurs rencontres avec un second homme se sont déroulées. Voici le déroulé de la dernière soirée...
Ce samedi après-midi, mon maître m’annonça que nous nous détendrions dans le SPA de la maison toute la soirée.
Ces six derniers mois, j’ai appris à lire en ce signal que nous aurions notre soirée « jeu privé ». Le moment venu, je suis allée à l’étage prendre une douche et me mettre la tenue... adaptée aux circonstances.
__________________
19h30 : Je sirotais mon troisième Mojito, confortablement installée dans le salon avec mon maître, quand soudain le silence fut rompu par la sonnette. Il m’ordonna d’aller ouvrir la porte.
Je me levai et me dirigeai vers l’entrée juste revêtue de mon shorty en dentelle fendu, de mes bas, mon porte-jarretelles, et mon collier en cuir.
Ignorant ce qui m’attendait, c’est en me cachant pudiquement derrière la porte que j’ouvris pour accueillir le ou les arrivants.
Le premier homme, un costaud, entra :
— Salut, c’est Carlo... C’est quoi cet accueil ? Où est la soumise ?
Il contourna la porte, saisit mon poignet et me planta devant ces acolytes. Je comptais trois hommes.

— Pardon ! Je suis désolée ! — Regardez-la ! Elle nous provoque déjà, elle est chaude celle-là...
Il me scannait de haut en bas comme un simple objet.
— Héé... t’as pas la peau un peu sèche, il faudrait remédier à ça non, hein les gars ?
Entre rires et acquiescements, je me risque à lever les yeux. A mon grand soulagement, la porte est fermée et tout le monde se trouve dans le hall d’accueil - Je n’imagine pas que les voisins assistent à la scène ! Trois... c’est inédit. Je suis un peu décontenancée, mais les Mojitos font passer la surprise,... je me surprends même à mouiller en imaginant quatre queues pour me fouiller en profondeur non-stop.
— Le mieux serait de la préparer un peu, pour lui rappeler quel est son rang ! — Allez soumise, à genoux, et fais-nous voir comment tu utilises tes gros nichons. »
Du haut de mes 46 ans, je suis rousse, plutôt bien conservée, et la nature m’a gratifiée d’un bon 95E qui hypnotise le regard des hommes depuis mon adolescence. J’ai longtemps maudit cette poitrine qui me transforme en appât, mais à présent, je suis devenue fière de mes deux beaux globes lourds qui continuent de les électriser...
Je me mis à genoux et les laissai ouvrir leurs braguettes. Ils commençaient déjà à bander. Le premier, Carlo, me fourra sa queue coiffée d’un gros gland difforme entre mes seins. Je n’ai pas eu le temps de le dévisager, la quarantaine, dégarni, un peu bidonnant pour ne pas dire rondouillard, j’étais surtout complètement fixée sur cette bite en chou-fleur invraisemblable dont je me demandais quel incroyable effet elle pourrait me faire dans la chatte. Il passa sa queue entre mes seins et j’entrepris une branlette bien serrée qui le fit jouir dans la minute. Sa semence entre mes seins, je n’eus pas le temps de bouger qu’une longue bite prit sa place, présentée par un grand blond – Même traitement sur cette belle queue qui s’allongea encore sous mes bons offices, avant de finalement me cracher au visage. Enfin le dernier se présenta, un beau gosse tout juste la trentaine, typé méditerranéen, circoncis.
Il fut plus long à venir - Mmmmhh un endurant ! - J’eus tout juste le temps de le finir avant que mon maître arrive.
— Je vois que tu as bien accueilli mes invités ! Hello Carlo, ça t’a plu ? — Elle s’est cachée derrière la porte, il a fallu qu’on lui rappelle le comportement attendu d’une femelle dévouée ! Comme convenu, mes deux amis sont là, on a commencé sans ta permission !
Mon mari lui sourit, saisit la laisse accrochée au mur, l’accrocha à mon collier, puis plantant ses yeux dans mon regard :
— Anna ! Suis-moi !
Je précédai les hommes en direction du SPA, couverte de leur sperme qui me dégoulinait entre les seins.
Le SPA est une idée géniale. Quand nous avons acheté cette ferme, les espaces étaient si grands qu’on a pu y installer une salle de détente avec Sauna, hammam, Jacuzzi et douche. Le rêve ! Agrémentée de pierres naturelles pour un côté rustique et chaleureux, la salle est un écrin idéal pour le déroulement de nos divers ébats et le nettoyage final. Les hommes entrèrent sans porter attention au décor, je sentais leurs yeux rivés sur mon cul... J’aime assez me sentir convoitée... d’une certaine façon, ces types sont aussi mes instruments, la vue d’une bite de cheval ou du chou-fleur de Carlo me donnent une envie folle de les essayer.
— Distrais-nous le temps qu’on se prépare, caresse-toi, étale tout ça ! ordonna Yann.
Je m’installai devant eux, et j’étalai le sperme sur mes seins, en les pétrissant avec mes deux mains ; je sais que les mecs adorent ça. Mes tétons se dressèrent, rougeoyants et durs. Je continuai ce jeu encore quelques instants, portant les tétons à ma bouche, et léchant mes mains en regardant les hommes désormais alignés devant moi, les sexes au garde à vous. Pour les motiver, je mis ma main sur mon sexe et y plantai mes doigts. Ils entrèrent un à un, jusqu’à tous disparaître dans la mouille de ma chatte.
— Regardez-la, elle n’a qu’une hâte, c’est d’être fourrée, dit mon mari.— Je vous l’ai promis, c’est une chaude... vous aurez du mal à lui faire demander d’arrêter... reprit-il.
Leurs queues en mains, tous regardaient mon numéro.
Au centre de notre salle SPA, nous avons couché une ancienne meule de moulin en pierre, qui sert d’ordinaire de table pour poser les serviettes. Sur son flanc, sont discrètement installés 5 anneaux en étoile, dédiés à nos jeux.
Mon maître plaça une grande serviette épaisse sur la pierre, et m’y fit coucher pour m’y attacher, comme pour les quatre précédentes soirées. Il fixa mon collier, mes poignets, puis mes chevilles sur chacun des ancrages. Mon mètre soixante-dix est trop grand pour tenir dessus, je me trouvais les jambes pliées et écartées, offerte en croix, la tête en arrière, sans plus pouvoir bouger ni refuser quoi que ce soit. Il glissa une serviette sous ma nuque pour soulager mes vertèbres, j’étais confortable, prête. Il saisit le flacon d’huile de coco, et m’en couvrit le corps sans l’étaler, avant d’inviter mes hôtes à approcher :
— Elle est à vous une heure... Vous ne la détachez pas, ni gifles, ni morsures, ni pincements, ni accessoires. A vous d’inventer votre scénario à présent. — Tu vas être gentille avec nos invités, et leur réserver le meilleur accueil dans chacun de tes orifices, tu veux ?
Yann me fit un baiser, puis je l’entendis s’installer dans le Jaccuzzi.
Un frisson, promesse de plaisir, me traversa le dos ; je déteste lâcher prise dans la vie, mais en matière de sexe, c’est devenu autre chose... Carlo s’empressa de m’approcher. Il faut dire que ce gras du bide ne devait pas souvent s’envoyer une telle femme... Il contourna la roue, s’approcha de mon visage, m’ouvrit la bouche d’une seule main, et me fourra sa bite sans douceur. Quel mufle ! Son gland était gigantesque, je ne pouvais même pas tourner la langue pour le découvrir. Il se branla dans ma bouche en forçant le passage de ma gorge, je m’étouffais... Mes larmes commencèrent à couler. Pendant ce temps, quatre autres mains étalaient l’huile sur ma peau, massaient mes seins, fouillaient ma chatte, caressaient l’intérieur de mes cuisses, j’adorais cette sensation d’être devenue un objet, et je jubilais à l’idée d’être bientôt leur vide-couilles.
— Mets-y voir plus d’entrain ! Excite-moi un peu avec ta langue !
La queue de Carlo n’était pas très longue, sans doute une quinzaine de centimètres, mais son champignon rivalisait avec le diamètre de mes plus belles courgettes quand j’avais l’habitude de me fourrer en solitaire ; j’avais du mal à tourner ma langue autour sans me déboîter la mâchoire.
Je laissai encore échapper un haut-le-cœur. Je pompais aussi fort que je le pouvais, comme si j’allais tirer les dernières gouttes d’un tube de lait concentré. Peu à peu, il se mit à gémir, puis crispa ses mains sur mes joues avant d’expédier sa jute en saccades, crépissant ma gorge à chacun de ses spasmes. Ce salopard manqua de m’étouffer. Je nettoyai son gland avant qu’il ne quitte ma bouche, et aussitôt il appela la relève :
— A toi Matt, vas-y, elle est bouillante.
Matt était mon coup de cœur du jour avec son teint hâlé. Sa queue me promettait un répit après Carlo. Je me pris vite au jeu de la flatter de ma langue, et il me répondait par de lents va-et-vient témoignant son plaisir. Alors que je portais toute mon attention à le satisfaire, un des types se plaqua entre mes cuisses. Je le sentis positionner son gland entre mes grosses lèvres, forçant l’entrée avec une certaine précaution, puis il entra dans ma chatte obéissante. Carlo venant de finir, ça ne pouvait être que le Scandinave dont je n’avais pas encore le prénom, qui commençait à me baiser. Il progressait par poussées de plus en plus profondes...
La sensation de plénitude qui montait en moi était divine. Je fermai les yeux pour me concentrer sur l’image de cette puissante queue sans fin, disparaissant dans ma chatte écartelée, laissant Matt violer ma bouche à son gré. Les va-et-vient commencèrent, la queue butait au fond de moi, me crispant à chaque contact. Il montait lentement en puissance, plus fort... puis plus fort encore... je commençai à me détendre et apprécier pleinement. A chaque aller, ses bourses pilonnaient ma rondelle tandis que sa queue faisait un strike dans mes organes. Je commençai à haleter, mon cœur s’emballait...
Cet enfoiré se préparait à m’arracher une jouissance centennale. Salope, excitée, je repris mes succions sur Matt, tentant de le faire jouir dans ma bouche alors que le feu montait en moi. Mon corps résonnait maintenant en union avec chaque coup de boutoir, mes seins allaient et venaient en un balai désordonné. Ma mâchoire serrait l’autre queue que j’aspirais comme une folle. La pute était sortie de sa tanière. Je hurlais silencieusement, étouffée par l’autre bite rageuse dans ma bouche...
J’aurais voulu choper ce cul et le planter rageusement en moi. En quelques minutes, ce fut ma délivrance... le raz de marée de la jouissance me traversa en spasmes, mon corps cabré se rebellait sur ses liens, avant de renoncer, terrassée sur la pierre...
Mon état entraîna une réaction en chaîne sur les deux gaillards. Leurs grognements se firent plus fort, et ils explosèrent à leur tour en un flot de sperme dans ma chatte et ma gorge à l’unisson.
Je flottais maintenant dans un autre monde. Dans l’œil du cyclone. Ce fut le calme, comme une perte de connaissance furtive. Les hommes m’avaient tous abandonnée, satisfaits de leur plaisir. Je repris doucement mes esprits. J’entendais leurs voix résonner dans le Jaccuzzi où ils s’étaient installés, se gargarisant de leurs performances. Après une dizaine de minutes de paix, la voix de mon Maître me tira de ma torpeur :
— Guette ça Carlo, Stéph n’a pas mis au fond, ma salope coule de la chatte... ça va salir la serviette... faut arranger ça.
Mon mari n’avait pas son pareil pour relancer le rythme. Je commençais à repérer cette expression comme un rituel lorsqu’il voulait raviver son excitation, cette demande de me voir saillie par un inconnu était de nature à le faire jouir sans même se toucher.
— Merci Yann, je passe mon tour, j’irai après Matt, il faut qu’elle aille crescendo la petite !— Prétentieux, répondit Matt, ce n’est pas la taille mais l’habileté qui compte !
A présent, le puzzle était complet : Carlo était le big gland, Matt l’adorable queue soyeuse, et Stéph la bite de cheval.
J’entendis du mouvement, et en relevant la tête, je vis Matt se diriger près de moi. Il reprenait vite ses esprits celui-ci...
— Alors ma belle, voyons si je peux encore sauver cette serviette... suce-moi un peu.
Je lui lâchai mécaniquement un sourire, autorisation pour un tour gratuit. J’accueillis avec le même plaisir son gland dans ma bouche, il était chaud et mouillé du passage dans le SPA. Tournoyant la langue autour, je le flattais en succions, sentant rapidement la vigueur revenir, jusqu’à ne plus pouvoir le contenir complètement dans ma bouche.
Il se retira et fit courir ses mains sur mes seins puis mon ventre en me contournant avant de se présenter entre mes cuisses. Je sentis sa queue bien dure s’enfoncer dans le sillon de mes fesses, puis remonter sur mon pubis.
— Désolé Yann, je crains qu’il soit trop tard pour la serviette...— Stéph, tu travailles comme un porc, je vais devoir remettre ton foutre au fond de sa chatte. — Fais pas le difficile, t’aimes ça les salopes pleines de foutre, lui rétorqua le blond.
Joignant son geste à la parole, il me pénétra et se coucha sur moi. Mon beau brun aux yeux noirs me plaisait, je lui aurais tout passé. Il prit ma nuque dans ses mains pour joindre ma bouche à la sienne. Je répondis à son baiser et nos langues se rencontrèrent dans une valse baveuse. Sa bouche était chaude, et sa salive avait un « goût d’amour », goût inqualifiable qui enivre et crée ma dépendance, mon envie de sexe. Après la douceur de ce moment, il reposa ma tête sur la serviette et attrapa fermement mes épaules. J’étais ouverte, dans l’attente d’un prévisible moment de baise romantique, quand subitement, il engagea une série de coups de reins rapides et violents. Matt cachait bien son jeu, c’était un baiseur ; un marteau piqueur qui bourrinait comme une machine. Très vite, je sentis la douleur venir du Mont de Vénus qu’il frappait à chaque assaut. Les séquences duraient une éternité, ponctuées d’une dizaine de secondes de répit pendant lesquelles il reprenait son souffle.
Est-ce que ça faisait 5 séquences, 6 ? Je ne comptais plus et cette douleur qui me tirait les larmes des yeux :
— Stoppe Matt, stoppe, tu me fais mal, arrête j’en p......
C’était à nouveau reparti. J’abandonnai et le laissai me baiser à sa guise. Je n’étais pas en situation de lutter. Qu’est-ce qui m’avait pris de me fourrer dans ce pétrin ?
Miraculeusement, la douleur finit par s’atténuer, puis elle disparut. Matt ne s’arrêtait plus, il me pilonnait frénétiquement. Ce bourrin était en train de m’exciter. La fièvre s’emparait à nouveau de mon corps, je ne me contrôlais plus... ces assauts provoquaient des spasmes, des frissons partout en moi. Je sentis arriver un orgasme atomique. Je tentai de serrer sa queue dans ma chatte pour qu’il balance enfin sa purée, et plus j’y pensais, plus le plaisir montait, incandescent, volcanique. Soudain, ce fut l’explosion. Mes sens étaient ivres. Je relevai ma tête plaquant mon front dans le sien :
— Vas-y baise-moi, baise, baise ouiiii ouii... Putaiiiiin de merde je jouiiiiiiis.
Mes larmes coulaient et mon corps tremblait, je ne m’appartenait plus... je fis un passage en apesanteur, au paradis des orgasmes.
Matt venait de m’arracher un truc inouï. Je regardais à présent son buste marteler ma chatte. Depuis combien de temps ? 10mn ? 20mn ?... L’orgasme faisait place au sentiment de plénitude, sa queue continuait de me limer, et je la faisais mienne tant elle continuait de me faire du bien. Matt transpirait de grosses gouttes qui perlaient sur son front quand enfin, Mister Viagra fit entendre ses premiers râles. Il explosa dans ma chatte avant de s’effondrer sur moi.
— Hey Matt, vous étiez au moins trois dans ce petit corps-là ???
Mon maître faisait place à mon mari.
— Tu ne l’as pas cassée dit ? Et s’adressant à moi.— Ca va Anna ?
Je hochai la tête, flottant encore entre l’altitude terrestre et l’orbite orgasmique... Matt le diabolique disparut, Matt le doux revenait. Il se retira avec précaution et caressa ma joue. Il posa un ultime baiser sur mes lèvres auquel je répondis sans regret, puis il partit chancelant en direction du bain bouillonnant. Yann s’assit à côté de moi, sa main posée affectueusement sur ma joue, et reprit :
— Ça va, tu te sens bien ?
Mouillée de mes larmes, je hochai la tête. Rassuré, il se tourna vers Carlo :
— Alors Carlo, tu ne vas pas laisser ma petite salope refroidir, maintenant, il faut la ramoner !
Je l’entendis sortir du bain et s’approcher. Yann se redressa, et m’offrit sa queue. Je le pris en bouche, et débutai mes succions... J’adore sucer mon mari, ces instants sont magiques depuis toujours. Les mains de Carlo se posèrent sur mes cuisses, en écartant largement le compas. Puis je sentis sa langue me lécher. Elle était douce et adroite, allant de mon clitoris à ma chatte béante de foutre, je le sentais lécher sans réserve le sperme de ses deux acolytes – Drôle de type – C’était agréable. J’appréciais cet instant subtilement érotique de plaisir lascif. Sans doute excité par ce que me faisait Carlo, Yann commença des allées et venues jusque dans ma gorge. Je laissais aller, détendue et en confiance...
Carlo se redressa, et présenta sa queue devant ma chatte. Je sentis sa poussée, alors que Yann s’excitait désormais énergiquement dans ma bouche. Malgré mon état, Carlo dut s’y reprendre d’une nouvelle puissante poussée pour me pénétrer, m’arrachant une grimace de douleur au moment d’entrer. Puis ce fut à nouveau un sentiment de plénitude. J’avais l’impression d’avoir une orange qui montait et descendait ma chatte, mettant tous mes capteurs plaisir en alerte rouge. Les allées et venues de son gland stimulaient partout où il passait et provoqua rapidement de nouveaux frissons. Les deux hommes me limaient à présent au même rythme, et la machine à jouir se relança. Je fermai les yeux, me concentrant sur les sensations qui m’envahissaient. Ma poitrine se soulevait au rythme de Carlo, je commençai à haleter. Carlo poursuivait imperturbablement son pistonnage régulier tandis que Yann accélérait, signe d’une prochaine délivrance.
La baise torride dura plusieurs minutes d’un bonheur total, puis Yann déferla en premier dans ma bouche, j’ouvris les yeux, et je flattai aussitôt son gland de ma langue pour le remercier. Il se retira, me laissant à Carlo qui tenait, encore et encore. Je voulais jouir, prendre sa décharge dans la chatte, tout de suite, immédiatement :
— Vas-y baise ! tu vas la baiser ma chatte ?... foutre moi, alleeez... enfile là... et jute gros porc, Encooore... alleeeez viens, remplis-moi de foutre...
La putain venait de reprendre les commandes, mon corps se secouait entre ses liens, j’écartais mes cuisses, m’offrais tout entière, et je regardais cette queue difforme me labourer la chatte en déformant mon ventre à chaque aller et retour. Carlo avait les yeux fermés, et continuait de me pistonner avec régularité. Du regard, j’aurais voulu prendre le contrôle de sa bite et lui ordonner de me défoncer... Je continuais à l’exciter par mes appels à baiser :
— Alors, elle est bonne ma chatte ? Baise-la....., t’attends quoi ?... Je suis une salope... j’en veux encooore, enfile-moiii..., Joui ! Alleeez...
Carlo ouvrit les yeux, et accéléra subitement le rythme avant de se plaquer en moi. Son corps se tendit à plusieurs reprises, tandis que je sentis ma chatte inondée de son sperme. Il se vida consciencieusement en moi, puis se remit à genoux entre mes cuisses. Sa langue experte reprit ses investigations, ses léchouilles étaient divines. Yann se mit assis à côté de moi, et entreprit de me masser le clitoris. Ses caresses circulaires m’arrachèrent de nouveau des gémissements, puis une ultime jouissance me renvoya définitivement dans le coton.
Mon Maître libéra mes liens, je ne pouvais de toute façon plus bouger, terrassée.
Un quart d’heure passa, Carlo et ses amis saluèrent Yann, le silence revint.
Yann me détacha, et me porta dans le bain bouillonnant. Il s’absenta un instant, revint avec deux coupes de champagne.
— Tchinn mon amour.— Tchinn, répondis-je, posant ma coupe sur le bord du SPA.— Notre procédure doit être respectée ! me rappela-t-il.— Oui, c’est vrai.
Lorsque nous avons décidé de pimenter notre vie sexuelle, nous avons convenu de deux règles :
La première : c’est Yann, mon maître, qui décide seul du scénario de nos prochains jeux.
La seconde : c’est moi qui dis « stop » ou « encore » en renversant ou en buvant ma coupe. Mais si je renverse, c’en sera terminé définitivement de nos jeux.
Je saisis alors ma coupe des deux mains devant moi, fixant Yann droit dans les yeux...
Puis je l’avalai cul sec.
Yann me sourit. Je l’aime.
Diffuse en direct !
Regarder son live