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  • Concours Les voisins / voisines

Jeux de voisins, jeux de vilains

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Plusieurs heures de route et deux camions furent nécessaires pour nous faire parvenir à notre nouvelle maison. Nous n’en finissions plus de faire des allers-retours entre la maison et les véhicules chargés de meubles, de vêtements et d’autres objets du quotidien. 
Au bout de deux pénibles heures de travail, nous prîmes possession de notre nouveau logement. Afin de nous remettre du voyage et du déchargement, mon père nous proposa d’aller manger au restaurant. 

Le soir venu, après nous être reposés quelques heures, nous montâmes dans la voiture pour aller dîner au restaurant, mon père à la place du conducteur, ma mère sur le siège passager et ma soeur et moi sur la banquette arrière. 

Le choix de mon père s’était porté sur un petit restaurant américain dont la spécialité était les "Texas Burger". Désireux d’y goûter, nous en prîmes un chacun, accompagné d’un Coca-Cola pour ma soeur et moi et d’un verre de vin rouge pour mes parents. 

Le repas fut délicieux et le personnel de service très aimable. Après avoir réglé l’addition et laissé un pourboire aux serveurs, nous reprîmes la route en direction de notre domicile avec l’intention de nous présenter à nos nouveaux voisins le lendemain. 

Après avoir passé une nuit plutôt difficile, j’allai retrouver mes parents et ma soeur pour prendre le petit-déjeuner. Ma mère me servit ma tartine et ma tasse de café. 

— Alors, Paul ? Bien dormi dans notre nouvelle maison ?— Pas vraiment. J’ai eu un peu de peine à m’endormir. Mais je pense que je vais me plaire ici. — J’en suis ravie, mon chéri. 

Nous mangeâmes notre collation sans plus de conversation puis ma mère décida de faire un gâteau et d’en offrir une part à nos nouveaux voisins. Après notre repas du matin, ma soeur et moi l’aidâmes aux préparatifs tandis que mon père s’occupait d’aller régler les dernières formalités liées à notre maison. 

Lorsque mon père fut de retour, le gâteau était déjà prêt et il ne restait plus qu’à le couper en tranches. 

— Ah, te voilà, Pierre ! Tu arrives juste à temps pour couper le gâteau. — Excuse-moi, Alice. Il y avait une file pas possible au bureau de la régie. 

Mon père divisa le gâteau en plusieurs tranches tandis que ma soeur et moi allions nous changer afin d’être présentables. 

Lorsque toute notre famille fut prête, nous fîmes le tour du voisinage avec notre gâteau pour faire les présentations. Les voisins furent plutôt accueillants et nous remercièrent de notre délicate attention. Il était déjà 18 heures et il nous restait encore une maison à laquelle frapper. Il s’agissait d’une famille de deux enfants, un garçon et une fille, du même âge que ma soeur et moi. 

Mon père frappa à la porte des derniers voisins que nous devions voir. Un homme d’une cinquantaine d’années vint nous ouvrir et nous sourit chaleureusement. Il appela le reste de la famille en leur signifiant notre arrivée. Les enfants et la mère rappliquèrent donc devant la porte. 

— Bonjour ! Nous sommes vos nouveaux voisins et nous sommes venus nous présenter. Je m’appelle Alice. Voici mon époux Pierre et mes enfants Justine et Paul. 

Nos voisins se présentèrent également sous les noms de Philippe pour le père, Carole pour la mère, Elisa pour la fille et Alphonse pour le fils. 

Les échanges furent plutôt banals et concernaient principalement la santé, le travail et les formations suivies. De fil en aiguille, Philippe finit par proposer de nous inviter à dîner. Après s’être concertés, mes parents finirent par accepter la proposition en se disant que cela permettrait sans doute de tisser des liens plus étroits avec cette famille. 

Après avoir pris une bonne douche et nous être habillés, nous nous rendîmes tous les quatre chez Philippe et Carole pour le repas du soir. L’accueil fut à l’image de celui du premier deux heures plus tôt : chaleureux, souriant et spontané. 

Philippe et Carole nous guidèrent jusqu’à la salle à manger dans laquelle Elisa et Alphonse s’occupaient de mettre la table. Ma soeur et moi proposâmes notre aide aux deux enfants tandis que ma mère et Carole s’affairaient aux fourneaux. Mon père et Philippe, eux, se contentèrent de parler tranquillement des dernières actualités en attendant l’heure du repas. 

Le dîner fut un franc succès. Les olives et les rissoles servies en entrée furent tout bonnement délicieuses. La dinde qui servit de plat principal avait été préparée avec brio et soigneusement présentée. En guise de dessert, Carole nous servit des coupes de glace accompagnées de framboises qu’elle avait cueillies dans son jardin.

Lorsque nous eûmes fini de manger, ma soeur et moi aidâmes Elisa et Alphonse à faire la vaisselle puis demandâmes la permission de quitter la table. Les deux filles allèrent ensuite s’enfermer dans la chambre d’Elisa tandis qu’Alphonse et moi options pour faire quelques parties de Call of Duty sur sa Playstation 4. 

Tout concentrés que nous étions sur nos armes et les ennemis que nous devions abattre, nous ne nous rendîmes pas compte du temps qui passait. Tant et si bien que nous fûmes surpris de recevoir la visite d’Elisa et Justine qui se demandaient ce que nos parents respectifs pouvaient bien avoir à se dire pour que nous restions aussi longtemps dans la maison. En effet, la nuit était déjà bien avancée et la lune éclairait le ciel noir de sa faible lueur. Alphonse consulta l’horloge qui trônait sur sa télévision.

— Purée ! Il est déjà trois heures du matin ! On va voir ce qu’ils font en bas ?— C’est justement ce qu’on allait vous proposer. 

Nous sortîmes donc tous les quatre de la chambre d’Alphonse et descendîmes lentement les escaliers menant au rez-de-chaussée, tout de même un peu inquiets de ne pas avoir eu de nouvelles de nos parents respectifs. 

Dans la salle à manger et dans la cuisine, les lumières étaient éteintes, preuve évidente de leur fin de discussion. En ressortant de la cuisine pour nous diriger vers le salon duquel nous parvenait de la lumière, nous entendîmes des gémissements provenant de la pièce. Elisa et Alphonse furent les premiers à passer leur tête dans l’entrebâillement de la porte. Peu après, ils la retirèrent, l’air choqué et nous firent signe à ma soeur et moi de regarder à notre tour. 

En posant les yeux sur ce qu’il se passait de l’autre côté de la porte, je compris tout de suite ce qui avait choqué Elisa et Alphonse quelques instants auparavant. Nos parents étaient tous les quatre entièrement nus et s’adonnaient à des parties de jambes en l’air pour le moins torrides. 

Carole et mon père étaient allongés sur le divan et copulaient dans la position du missionnaire tandis que ma mère s’occupait de sucer la verge de Philippe dont elle ne manquait pas de louer la grosseur et la fermeté. 

Gênés d’avoir surpris cette scène intime, ma soeur et moi nous retirâmes discrètement pour rejoindre Elisa et Alphonse à l’étage. Tout comme nous, ces derniers étaient à la fois choqués et excités par ce que nous venions de voir. 

— Ils ont bien caché leur jeu, nos parents. — Je comprends mieux pourquoi ils ne nous ont toujours pas donné signe de vie.— Ils s’amusent bien, on dirait...

Sur ces dernières paroles, plus personnes n’osa prendre la parole mais l’excitation était palpable dans nos regards. Elisa tenta de monter discrètement une main vers sa poitrine mais ce geste n’échappa pas à son frère.

— Il semblerait que de nos voir nos parents baiser t’ait donné envie de le faire à ton tour. 

Dans un premier temps, Elisa rougit puis elle murmura qu’elle en avait effectivement envie. Ma soeur nous jeta un regard mi-gêné mi-amusé à Alphonse et moi. Je regardai Alphonse à mon tour et pus constater que la déclaration de sa soeur lui avait tout de même procuré quelques ardeurs. 

Percevant notre envie, Elisa invita ma soeur à s’assoir auprès d’elle. Justine s’assit et les deux filles commencèrent progressivement à s’effeuiller l’une l’autre. 

Désormais totalement excités, Alphonse et moi nous déshabillâmes à notre tour jusqu’à nous retrouver en sous-vêtements devant nos soeurs qui s’adonnaient à de langoureux baisers. 

— Hum... Ils ont l’air bien durs, nos mâles. Si on regardait ce qui se cache sous leurs boxers ?

Ma soeur lança un regard complice à Elisa puis les deux filles nous retirèrent nos sous-vêtements, dévoilant nos sexes à l’air libre. 

— Dites donc, vous bandez bien, petits cochons ! Tu les estimes à combien, Justine ?— Hum... Pour Alphonse, je dirais 16 ou 17 centimètres et pour mon frère 17 ou 18 centimètres. — C’est ce que je pense aussi. Comme tu es l’invitée, je te laisse le plaisir de sucer la bite qui nous paraît la plus grosse. Si ça ne te gêne pas trop...

Ma soeur hésita. Elle me jeta un regard interrogateur auquel je répondis par un hochement de tête gêné. Justine dégrafa son soutien-gorge et s’agenouilla devant moi pour prendre mon sexe en bouche tandis qu’Elisa en faisait de même avec son frère. 

Cela me faisait tout drôle de voir ma soeur aussi dénudée en train de me prodiguer une fellation. Je jetai un regard vers Alphonse. Lui aussi semblait plutôt gêné par la situation. 

Les deux filles nous sucèrent quelques instants puis elles recrachèrent gentiment nos sexes. 

— Ils ont l’air bien chauds, qu’est-ce que tu en penses ?

Justine répondit par l’affirmative et les deux filles se positionnèrent à quatre pattes sur le lit. D’un regard, Alphonse et moi convînmes de la répartition des rôles. 

Je baissai la petite culotte d’Elisa jusqu’à hauteur de ses genoux tandis qu’Alphonse écartait le fin tissu qui cachait l’entrejambe de ma soeur. Si mon nouveau voisin s’empressait de pilonner Justine, moi, j’optai pour y aller en douceur avec Elisa. J’écartai doucement ses fesses afin de me ménager un accès plus facile à son intimité et commençai à la caresser, d’abord de la pointe de la langue, puis tout mon organe se délecta du jus déversé par cette cascade très généreuse. 

À côté de nous, Alphonse et Justine avaient changé de position. À califourchon sur son partenaire, ma soeur était en train de s’empaler sur son sexe, se faisant également gratifier de quelques fessées coquines de la part de ce dernier. 

De notre côté, Elisa et moi décidâmes de quitter le lit pour adopter une nouvelle posture. Ma partenaire appuya ses mains contre une cloison et se cambra autant qu’elle le pouvait pour que je vienne la prendre. Lorsque je m’enfonçai lentement dans ses chairs intimes, je me félicitai d’avoir opté pour le cunnilingus initial car, grâce à cette pratique, je n’avais pas la moindre difficulté à faire aller et venir mon sexe dans son antre d’amour. Alors que je la pénétrais, j’eus l’idée de m’inspirer d’Alphonse en lui donnant quelques claques sur les fesses. Mes gestes furent doux dans un premier temps, puis sous les encouragements d’Elisa, mes fessées se firent plus appuyées. 

Ayant le lit pour eux tout seuls, Alphonse et Justine s’était allongés et ma soeur se faisait prendre dans la position du missionnaire, situation qui semblait bien réussir à mon nouveau voisin au vu des gémissements émis par sa partenaire. 

Alors que nous étions toujours dans la même position, Elisa me fit gentiment sortir de son intimité et alla chuchoter quelque chose à l’oreille de ma soeur. Celle-ci lui répondit par un sourire et vint me rejoindre tandis qu’Elisa se mettait à quatre pattes sur son lit en écartant bien ses fesses de façon à faire comprendre à son frère ce qu’elle désirait. 

Quant à Justine et moi, nous décidâmes d’utiliser le sol en guise de lit. Ma soeur s’allongea sur le dos tandis que je me penchais au-dessus d’elle. Comprenant ce que les deux filles s’étaient dit, je relevai les jambes de Justine à hauteur de mon dos et allai titiller son petit orifice. 

Comme il l’avait fait avec ma soeur, Alphonse ne s’embarrassa pas de préliminaires et encula sa soeur à puissants coups de reins tandis que je m’appliquais à faire une feuille de rose à Justine. 

Lorsqu’elle fut satisfaite de mes coups de langue, ma soeur décida qu’il était temps que son petit trou profite de quelque chose de plus dur que ma langue. Elle me fit allonger sur le dos et vint s’empaler sur mon sexe. 

Sur le lit, au vu des râles qu’il poussait, Alphonse n’allait pas tarder à jouir, tout comme moi. Je profitai donc du fessier de ma soeur jusqu’à ce que je sente la jouissance m’envahir. J’en informai Justine qui se libéra de mon sexe et me laissa jouir sur ses seins.

Lorsque j’eus récupéré mes esprits, je jetai un œil en direction d’Alphonse et Elisa. De leur côté, le frère venait tout juste d’éjaculer sur le visage de sa soeur. 

Nous demeurâmes ainsi plusieurs minutes, à la fois gênés et excités par ce que nous venions de faire. Ce moment de torpeur passé, nous nous rhabillâmes et allâmes voir ce qu’il se passait au niveau de nos parents respectifs. 

En poussant la porte du salon, nous pûmes constater que nos parents étaient toujours nus, allongés côte à côte, et dormaient à points fermés.

Si le but de cette soirée était de tisser des liens avec cette famille, c’était plutôt réussi. 

La suite ? Libre à vous de l’imaginer... 

FIN  
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