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Joan et l'homme qui aimait les culottes

Chapitre 1

Erotique
Dans cette fin de journée portée par les derniers rayons du soleil de Manhattan, Joan se laisse aller doucement à l’arrière de la berline qui l’emmène vers sa destination. Les vitres sont teintées et ne pénètrent qu’une faible lueur du jour dans l’habitacle. Elle porte d’imposantes lunettes de soleil et regarde à l’extérieur. Dans la rue, les gens marchent avec hâte, comme des poulets à qui l’on vient de couper la tête et qui avancent vers l’inconnu. Joan n’est pas concentrée sur ces gens, son regard est plutôt lancé vers un horizon imaginaire, barré par le pied des immeubles. Elle porte une robe fourreau bleue électrique, élégante et raffinée, fendue jusqu’en haut de la cuisse. Croisant les jambes, le haut de sa hanche est à découvert. Elle est légèrement maquillée, un rouge à lèvres intense et une touche de mascara. Son visage est parfait, avec des angles autoritaires. Sa main gauche est posée délicatement, mais précieusement sur un sac de cuir.
Cette main ne bouge pas du sac, comme s’il contenait des liasses de billets. La berline s’arrête. Joan descend en prenant le sac à la main puis pénètre dans le hall d’immeuble luxueux, mais désert, comme abandonné. Des nuances modernes de gris et de noir la cernent. Elle monte dans l’ascenseur et appuie sur le bouton du dernier étage. Joan n’a pas enlevé ses lunettes de soleil et demeure imperturbable, à l’image de son chignon très serré. L’ascenseur arrive au dernier étage et elle pénètre dans un long couloir. Elle prend la porte du bout, qu’elle referme derrière elle.
Un vestibule donne rapidement sur un grand bureau dépourvu de meubles, surplombant le tout Manhattan. Au milieu de cette pièce austère, un homme à la carrure imposante est assis. Il est élégant. Le crâne rasé, il porte une chemise bleue, un pantalon bleu foncé et ne porte pas de chaussures ni de chaussettes. Ses gros pieds nus creusent la moquette. Il est enfoncé dans un fauteuil de cuir. Il porte à l’oreille droite un anneau doré. Dans la salle claire et vide, il est de trois quarts face à la grande paroi vitrée. Il n’y a que lui au milieu de la pièce. Ses yeux vitreux, presque transparents, regardent à l’horizon, mais ne semblent se poser nulle part. Joan vint vers lui. Elle a au préalable enlevé ses talons hauts. Il déteste que l’on fasse des traces sur la moquette. Il sent Joan arriver à côté de lui, ce parfum de patchouli enivrant, il tend une main. Elle la lui prend tendrement, lui dépose un baiser sur la joue puis elle lui met le sac entre les doigts.
Une imposante bague en or trône sur l’annulaire de l’homme. Il esquisse un sourire et dit d’une voix roque « Merci ma belle, mon ange gardien, paladin de mes désirs. Joan, ô Joan, tu viens me rendre fou encore... ».
Il caresse un instant le sac puis en ouvre délicatement la fermeture. Joan se tient debout devant lui. Il plonge une main dedans. Il sourit. Tandis qu’il fouille doucement à l’intérieur du sac, explorant chaque recoin, le tissu de son pantalon au niveau de l’entrejambe se bombe. Joan prend l’initiative de venir le caresser. « Pas trop vite ma belle, pas trop vite... » Enfin, il sort du sac une culotte rose satin. Il touche délicatement le tissu. Il en apprécie un instant la matière, touche l’intérieur puis la met à son nez en prenant une grosse respiration. « Tu es une grosse cochonne Joan, tu l’as bien mouillée celle-là. » Il en prend une autre, en dentelle rouge cette fois-ci, puis répète le même geste. « Hum oui, elle a bien frotté contre ta chatte humide celle-là, hum c’est divin... ». Sans un mot, Joan se met alors à genoux près de lui et abaisse la braguette de son pantalon.
Dans des gestes proches de la perfection, elle sort le sexe de l’homme, qui affiche déjà une érection vigoureuse. Ses veines palpitent sous la peau tendue. Du gland violacé s’agite une goutte de liquide claire, que Joan attrape d’un coup de langue expert, faisant frissonner fougueusement le corps de l’homme. Puis, après avoir léché les parois du gland, fit quelques courts va-et-vient avec ses lèvres pulpeuses, elle avale le membre vigoureux de manière qu’il n’en reste plus rien.
Tandis que Joan l’a en bouche, l’homme continue de toucher et de sentir les culottes amenées par Joan, les unes après les autres.
— Tu les as bien souillées comme je les aime ma divine. Hum... cette odeur... ce nectar... ce miel qui a coulé de ton sexe, de ton intimité, si belle... ah je te veux tout entière, ton sexe, ton cul, tes effluves, tes délices, tes liquides... je te sens au plus profond sans aucune pudeur...
Il lâche régulièrement des râles de plaisir. Joan finit par les camoufler en lui enfonçant dans la bouche une des culottes puis de lui mettre sur la tête celle qu’elle porte depuis la veille et qu’elle a pris soin de bien mouiller en s’enfonçant ses boules de geisha préférées. Avant de partir de son appartement, elle s’était également longuement masturbée avec un vibrateur de haute intensité qui l’avait fait jouir deux fois de suite. Ainsi, son sous-vêtement était imprégné d’une forte odeur de mouille et était bien humide, comme l’homme les aimait. Il prend soin d’essorer cette culotte avec sa bouche. Il n’a d’autre choix que de mordre fortement dedans, tant les lèvres de Joan, refermées comme une toile sur son pénis, le rendent fou de plaisir. L’odeur âcre lui envahit les narines, la gorge, il en prend de grandes respirations, imaginant l’intimité de Joan. L’homme grogne, des sons primaires, plus aigus, sortent du fond de sa gorge, des sons qu’il ne peut retenir.
Joan effectue des allées et venues avec sa bouche, tout en suivant le mouvement avec sa main gauche. Elle le suce du mieux qu’elle le peut, y mettant toute sa tendresse, tout son expérience. Des bruits de succion raisonnent dans la pièce. Le membre lubrifié et tendu s’enfonce parfois jusqu’au fond de sa gorge.

L’homme, tremblant, cherche les bras de Joan, qui comprend son signal. Elle s’interrompt, se lève, soulève sa jupe. Elle lui prend la main et la pose un instant sur sa chatte. Il gémit. Puis il s’enfourche facilement sur l’énorme membre en érection. Elle abaisse les bretelles de sa robe et découvre une paire de seins ferme et pâle. L’homme les prend dans ses mains et se met à les pétrir. Puis il passe aux fesses, les palpe fermement. Doucement, par gourmandise, un doigt vient titiller l’anus luisant et doux de Joan. En pleine maîtrise de ses moyens, elle examine la culotte que l’homme a sur la tête. C’est une belle culotte de fine dentelle jaune, que l’on devine ne pas dissimuler grand-chose une fois portée. Elle se penche sur lui pour lui murmurer à l’oreille : « Celle-là, je l’ai portée deux jours. Une femme m’a fait jouir dedans avec son vibro pendant que j’avais ses doigts dans le cul. Je l’ai proprement inondée de ma mouille ». Cette évocation est trop intense pour lui.
L’homme crache alors la culotte qu’il a dans la bouche et commence à hurler de plaisir. Alors Joan s’enlève, le branle intensivement et le sexe de l’homme expulse une imposante giclée de foutre, tandis que ses yeux se révulsent et que sa gorge émet ses sons de jouissance. Joan s’essuie alors délicatement la bouche puis le sexe de l’homme avec un mouchoir en satin. Elle lui remonte le caleçon et se rhabille également. Après lui avoir enlevé la culotte qui lui camouflait la tête, elle prend dans la poche de l’homme un cigare et lui allume. Ses yeux vitreux ne semblent pas savoir où se poser, il tend ses mains pour chercher la silhouette de Joan. Elle lui tend une dernière culotte en satin bleu puis vient poser sa tête sur les genoux de l’homme. Tandis qu’il fait glisser entre ses doigts le dessous de satin, il psalmodie :« Joan, je ne sais pas à quoi tu ressembles.
Mais chacune de tes culottes me parle un peu de toi, me dit la couleur de ta peau, l’odeur de ton sexe, la taille de tes seins, la courbe de tes reins, les volutes de tes cuisses. Chacune de tes culottes te raconte. Et mon Dieu, comme tu es belle, comme tu es belle, comme tu es belle... »
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