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Un job d'appoint

Chapitre 9

Convoquée pour mauvaise conduite

SM / Fétichisme
Intimidée, je toque deux fois à la porte du bureau de Marc, dans le centre. J’ai croisé Alexandre ce matin, alors qu’il se rendait au centre. Il m’a indiqué que Marc souhaitait me voir dans son bureau en début d’après-midi. J’ai bien tenté de lui soutirer des informations, mais il s’est contenté de répéter les consignes de Marc.
Les mains moites, le cœur battant, la gorge sèche, j’attends que Marc m’autorise à entrer.
— Entrez !
Son ton est sec et ferme. Une boule dans la gorge, j’appuie sur la poignée de la porte et entre. Comme à son habitude, il est debout, face à la fenêtre, les mains jointes dans le dos.
— Veuillez fermer la porte, s’il vous plait.
J’ai l’impression de d’être convoquée chez le proviseur, pour recevoir une heure de colle. Mais je m’exécute sans tarder. Une idée saugrenue me traverse brusquement l’esprit.
J’aurais bien aimé être collée avec lui.
J’essaie d’étouffer dans l’œuf le fantasme qui me vient à l’esprit.
— Vous m’avez fait demander, monsieur ? 
Il émet un léger rire en se retournant et darde sur moi ses prunelles noires.
— Je souhaite faire le point sur ces deux premières semaines avec nous. Veuillez vous asseoir.— Je vous remercie d’avoir pu dégager un peu de temps pour moi, monsieur. » réponds-je en souriant.
Il contourne son bureau et s’assoit sur le bord en croisant les bras sur la poitrine.
— J’espère que tout se passe bien.— Oui. Je me fais à l’organisation et j’arrive à travailler sur mes traductions pendant mon temps libre…
Je baisse la tête pour cacher mes rougeurs aux joues. Mon temps libre a été aussi très agréablement occupé. J’espère qu’il n’a pas eu vent de ce qui s’est passé avec son frère et Alexandre. En songeant à ces moments au cours desquels je me suis comportée comme une chatte en chaleur, je me sens tout aussi honteuse qu’excitée, au point que mon vagin se contracte de plaisir.
— J’espère ne pas être une charge supplémentaire pour Alexandre.
Il hausse un sourcil en m’observant de la tête aux pieds.
— D’après ce que j’ai pu comprendre, ce n’est pas le cas. Il sembler même que votre présence soit très appréciée de mes frères.
J’essaie de contrôler les tremblements qui me gagnent : il sait quelque chose, j’en suis certaine.
— Il me semble aussi que vous ayez des compétences… particulières que vous m’avez tues. » Il esquisse un sourire en me voyant me décomposer devant lui. « Bien, je vois que vous savez de quoi je veux parler. Vous offrir, comme vous l’avez fait, à mon frère… à mon majordome… » Il pousse un profond soupir. « Ce n’est pas un comportement très professionnel.
Je baisse la tête en marmonnant des excuses. Il tape brusquement du plat de la main, me faisant sursauter et me demande de relever la tête et de répéter. Tremblante de la tête aux pieds, je m’exécute.
— S’il vous plait… » lui dis-je en essayant de contrôler les sanglots qui commençaient à me monter à la gorge. « Ne me renvoyez pas… Je… j’ai besoin de ce travail.— Qui a parlé de renvoi ? Ceci dit, vous offrir à d’autres hommes alors que vous n’avez même pas proposé vos services à votre employeur… Ce comportement doit être sanctionné.— Je vous prie de bien vouloir me pardonner… Je n’ai aucune excuse… Je ferai tout ce que vous voudrez…— Vraiment ? » demande-t-il sur un ton intéressé. « Vraiment tout ?
Je lui lance un regard implorant vers lui : je ne peux pas me permettre de perdre ce travail. Un licenciement, signifierait aussi que je devais quitter la maison : plus d’emploi, plus de logement… Je ne voulais pas finir à la rue. La honte commence à m’envahir insidieusement. Jusqu’où suis-je prête à aller ? Les mots s’échappèrent de mes lèvres.
— Oui, monsieur. » balbutié-je.
Son regard se durcit.
— Voilà des paroles que tu pourrais regretter. » dit-il sur un ton autoritaire.
Le changement de ton et le tutoiement soudain m’effraient.
Qu’ai-je dit ?
Il me saisit un bras et me mets brutalement debout. D’un geste tout aussi brusque, il me fait asseoir sur son bureau. Mes fesses glissent doucement sur le bois. En me fixant dans les yeux, il se glisse entre mes cuisses écartées. Leur ouverture est limitée à cause de l’étroitesse de ma robe. Sans douceur, il saisit le bas de ma robe et le remonte au-dessus de mes hanches. Je pose mes mains sur son torse. Sous mes mains, son thorax se gonfle et se dégonfle lentement, profondément, calmement. Il se penche sur moi. Sa bouche vient aspirer la peau de mon cou avec férocité. Je gémis de plaisir.
— Ça te plait ?
Je hoche timidement la tête. Il esquisse un sourire carnassier qui ne devrait jamais s’afficher sur le visage d’un patron. Il se saisit de ma bouche. Sa langue forçant le faible barrage de mes lèvres se met à tourner autour de la mienne avec concupiscence. Un goût de café envahit ma bouche. Je me sens fondre contre lui. Jamais je n’aurais cru que je me retrouverais un jour dans cette position, dans le bureau de mon patron. Nos respirations se font peu à peu plus saccadées.
— Oooh, monsieur. — C’est bien.
Emportée par l’instant, mes mains suivent les reliefs de son corps par-dessus ses vêtements. L’une de ses mains saisit mes poignets pour me tirer les bras au-dessus de ma tête. Sa main libre me pousse pour me bloquer sur le bureau avant d’aller ma cuisse et remonter sur mon entrejambe.
— Attendez un peu. » dis-je timidement.— Ça ne te plaît pas ? — C’est juste que quelqu’un pourrait venir, et…— Ça ne t’excite pas ? Moi, si.
Sa main glisse jusqu’à l’élastique de ma culotte et la retire brusquement, mettant à nu mon intimité. Mon corps se cambre sur le bureau. J’ai brutalement envie de lui. Son index vient frotter mon clitoris, me faisant sursauter légèrement. Très vite, il glisse ses doigts en moi, m’arrachant un cri de contentement.
— Tu n’attendais que ça, hein ?
Il fait de profonds va-et-vient, augmentant à chaque mouvement le plaisir qui prenait possession de mon être. Je suis entièrement à sa merci. J’aime cette sensation de contrôle qu’il exerce sur moi. Je gémis de plus belle.
Alors qu’il continue de stimuler mon clitoris de son pouce, je rejette ma tête en arrière comme si ça allait m’aider à mieux respirer. Mais ses caresses insistantes sur mon clitoris déclenchent une vague de plaisir déferlant sur moi. J’halète de plus en plus.
— Monsieur … je … bientôt…— Tu es bien plus sensible que je ne le pensais.
Mon corps entier mais plus qu’un brasier de plaisir. J’espère que personne n’aura l’idée de venir ici maintenant. C’est si bon que j’en perds tous mes moyens. Je le veux en moi au point que c’en est douloureux.
— Tu en veux encore ? Tu vas avoir ce que tu veux, ne t’inquiète pas.— Monsieur… pas ici… » le supplié-je— Vraiment ? On peut s’arrêter là…
Je lève un regard suppliant vers lui.
— Non, s’il vous plait…— Bien, je préfère ça.
Il m’embrasse avec force. Nos langues dansent ma bouche. Cette intrusion profonde est délicieuse. Avec regret, je sens ses mains abandonner mon sexe affamé de caresses et remontent le long de mon corps. Habilement, il défait les boutons de ma robe, un à un, avec une lenteur savamment calculée et frustrante. Si je m’écoutais, je l’aurais déjà balancée par-dessus ma tête. Sa langue parcourt maintenant chaque centimètre carré de peau dénudée. Il finit de retirer ma robe et la jette au sol. D’un geste expert, il défait mon soutien-gorge d’une main, tandis que l’autre, il me pince les lèvres, en les frottant l’une contre l’autre. Je me cambre sous lui, l’invitant à plus : plus fort, plus loin, plus profond. Je gémis sous ses doigts.
— Va fermer la porte à clé. » me murmure-t-il. « Ce serait dommage qu’on nous surprenne, hein ?— Bien, monsieur.
Il me libère en me regardant des pieds à la tête, nue, seulement avec des hauts talons noirs. Ce regard, il est encore différent de tout à l’heure : plus fiévreux, plus lubrique, plus dominateur.
— Je pense que je peux aller loin avec toi. » murmure-t-il.
Ses mots m’excitent. Je frissonne à l’idée de ce qu’il va me faire.
— Dépêche-toi. » dit-il en me claquant la fesse devant mon hésitation.— Ou-ui, monsieur. » réponds-je.
Je me lève du bureau. Complétement nue, je me dirige vers la porte pour la fermer à clé. Je sens son regard courir sur mon corps : je suis à la fois excitée et gênée. Je n’ai pas l’habitude de me promener comme ça. Je fixe la porte du regard, espérant qu’elle ne s’ouvre pas. Un visiteur-surprise bénéficierait d’un spectacle inhabituel dans le bureau. Que ferait-il dans ce cas ? Le renverrait-il, mettant fin à notre sauterie ? L’inviterait-il à regarder ou mieux… à participer ? Ces idées me donnent presqu’envie d’être surprise, là, maintenant.

La porte fermée à clé, j’ai à peine eu le temps de me tourner que je me retrouve le dos plaqué contre le bois rugueux.
— Évite de crier trop fort. On risquerait de t’entendre.
Ses mains sur mes hanches, ses lèvres sont venues jusqu’à mon oreille me susurrer ces mots. Il s’accroupit devant moi. Ses doigts m’écartent les lèvres. Je sens son souffle chaud sur ma peau. La pointe de sa langue glisse entre mes lèvres humides, s’attardant sur mon clitoris sensible. Je me mords le poing pour étouffer un gémissement de plaisir. Je frissonne en entendant des pas résonner dans le couloir. Il s’arrête pour écouter un instant.
— C’est bien, tu as compris.
Il reprend son léchage, consciencieux, appliqué. Il m’écarte plus les lèvres, introduisant sa langue en profondeur. Je gémis encore. Mon bassin ondule. Mes muscles se contractent sensuellement, m’envoyant de délicieuses sensations.
— Tourne-toi !
J’obéis, écrasant ma poitrine contre le bois. Il m’écarte les fesses. Sa langue remonte sur mon anus sur lequel il s’attarde.
— Tu es bien propre, c’est bien ça.
Je suis à la fois outrée de qu’il me lèche là, mais excitée qu’il m’accorde le privilège de cette caresse immorale. Tandis que sa langue pénètre légèrement ma rosette qui se détend doucement, il fait glisser deux doigts entre mes lèvres. Je me cambre sous cette pénétration. Il les écarte en moi, m’ouvrant plus que je ne l’aurais cru possible. Je sens un doux tiraillement dans ma chair et très vite un autre doigt les rejoint.
— Je ne te voyais pas si ouverte… un de plus peut-être ?
Un gémissement plus fort s’échappe de ma gorge quand un quatrième doigt force le passage. Les premiers instants sont douloureux. Mes muscles se contractent autour de ses doigts, mes jambes se fléchissent. C’est tellement excitant de me donner à lui, ici.
— Tu en veux encore plus ?— Oh, oui, ouiiii.
Ses doigts sortent de mon vagin et mon badigeonner mon anus de mon jus. Je me raidis : personne ne m’a jamais sodomisée.
— C’est ta première fois ?
J’essaie de reprendre ma respiration avant de répondre.
— Oui… » murmuré-je tout bas.
Je sursaute vivement lorsque je sens une violente claque sur ma fesse.
— Je n’ai pas entendu ! Parle plus fort.— Oui… monsieur.— Oui quoi ? Dis-le.— Oui, monsieur, c’est ma première fois.— Ta première fois pour quoi ?— Ma… première… sodomie…— Tu vas aimer.
Il frotte ses doigts contre mon sexe dégoulinant. Il se déplace sur le côté et, écartant au maximum mon anus, y introduit un long doigt. Je sens son doigt aller et venir à l’intérieur et mes muscles se resserrer autour de lui.
— C’est un peu tôt. Mais j’ai quelque chose qui va te plaire.
A mon grand regret, il sort ses doigts, me laissant brusquement vide. Mon sexe palpite de désir de se sentir comblé. Mon attente ne dure pas longtemps. Après avoir fouiller un tiroir, il me montre un sex-toy qui me fait rougir de honte.
— Tu sais ce que c’est ?
Je me contente de hocher la tête. Il me claque brutalement la fesse.
— Dis-le !— Un… un chapelet anal.
L’objet en question est une tige en silicone, ornée de huit sphères de diamètre progressif. Je le regarde l’enduire de lubrifiant.
— Cambre-toi un peu plus.
Docile, je recule les pieds, lui offrant mes fesses. Il les écarte et approche la première boule du chapelet. Il me caresse doucement l’anus avant d’introduire la première boule. Je gémis de plaisir. Il me tapote la fesse en me félicitant. Il continue d’enfoncer le chapelet une boule après l’autre. Je me sens de plus en plus ouverte, je gémis de plus en plus fort.
Quatre… cinq…
Je sens mes muscles se contracter pour expulser l’objet.
— Ne pousse pas. Détends-toi.
Je respire lentement. Mes muscles se relâchent. Je gémis doucement.
Six… il parvient à m’introduire six boules du chapelet avant que je cède sous la douleur.
— Hmm, plus que je n’osais l’espérer. Parfait.
Il fait coulisser le chapelet dans mon rectum, en lui imprimant de petits mouvements de rotation. J’halète de plus en plus. C’est un plaisir qui m’était jusqu’alors inconnu.
— Bonne petite. » dit-il entre deux va-et-vient. « Je te laisse jusqu’à la fin de la semaine pour l’introduire entièrement.
Même si cela me semble mission impossible, je hoche la tête. Satisfait de mon attitude, il le retire, aussi lentement qu’il me l’a introduit.
— Reviens me voir vendredi, en fin de journée. Et j’exige que tu le portes. Est-ce clair ?— Oui, monsieur.— Très bonne attitude. Ta récompense, maintenant.
Il défait sa fermeture éclair et s’introduit en moi d’un seul coup. Je gémis plus fort que je ne l’aurais souhaité. Mes mains plaquées sur la porte, je me mets à bouger instinctivement du bassin pour l’accompagner dans ses mouvements de va-et-vient.
Je gémis de plus en plus fort. Ses mains descendent sur mes seins, j’essaie de réprimer mes cris de plaisir, en vain. Sa bouche lèche la peau de mon dos, me faisant frissonner de bonheur. Je lâche un cri de douleur lorsque ses dents s’enfoncent soudainement dans mon épaule. Mais tout de suite après, sa langue vient apaiser la douleur de la morsure. Je gémis de plaisir assez fort, malgré moi. J’espère qu’aucun client ne se trouve derrière cette fichue porte.
— Si tu n’aimes pas ce que je te fais, ce sera la dernière fois. — Non. J’aime ça, monsieur.
Ses mouvements sont de plus en plus brutaux mais tellement délicieux. Il me rend folle.
— Quelle agréable surprise… ça me plait.
Mes gémissements se font plus forts à chaque coup de rein.
— J’adore t’entendre gémir, mais sois plus discrète.
Je retiens mes gémissements. Il se colle contre mon dos, et tourne mon visage vers le sien, en me tirant les cheveux. Sa bouche collée à la mienne, il avale mes cris de jouissance. Mon corps fond comme neige au soleil. Il se lâche en moi en un cri rauque et bestial. Mon orgasme le suit juste après. J’ai la sensation de me liquéfier entre ses bras.
Lentement, il se dégage de moi. Je me laisse glisser le long de la porte, jusqu’au sol. Je lève les yeux. Il me domine de toute sa hauteur. Avec une élégance que je n’ai jamais rencontrée, il remet son sexe dans son pantalon et remonte gracieusement la fermeture éclair. Je passe ma langue sur mes lèvres avec un air gourmand. Il sourit en retournant à son bureau.
— Ne t’inquiète pas. Tu y gouteras bientôt.
Je le vois prendre ma robe et mes dessous. À ma surprise, il ne me rend que mon soutien-gorge et ma robe. Portant ma culotte à son nez, il y respire profondément.
— Ça, c’est pour moi. Ah, aussi. » dit-il en me tendant une carte. « Tu as rendez-vous chez mon médecin généraliste, demain. Un check-up complet.— Bien, monsieur. » lui réponds-je en prenant la carte.
Je vois que l’heure du rendez-vous est notée derrière.
— Tâche d’être à l’heure, il n’aime pas attendre.— Très bien, monsieur.— Et voici une prescription de sa part, pour des bilans sanguins à faire demain matin, sans faute.
Je saisis la feuille et la parcours rapidement du regard : bilan biologique classique, sérologie VIH, hépatite…
Il est prudent.
— Mais… je veux bien faire ces bilans mais comment…— Prudente, mais un peu tardivement, non ?
Il est vrai que c’est un peu tard pour m’inquiéter de sa propre sérologie, ou de celle d’Hugo ou d’Alexandre.
— Ne t’inquiète pas. Nos sérologies sont toutes négatives.— Je dois vous croire sur parole ?— Dis-toi que je suis aussi exigeant avec moi qu’avec mon entourage. Je ne ferai rien qui mette en péril ta santé.
Impossible de mettre sa parole en doute.
J’acquiesce en silence. Il range alors le chapelet dans un sachet en tissu, dans lequel il glisse une petite poire, m’expliquant que je dois bien me laver avant et après. Il me rappelle le délai qu’il m’a imposé. Sur un bref signe de la main, il me congédie.
Je quitte son bureau, un sourire aux lèvres. Dans le couloir, plusieurs clients me saluent courtoisement. Que penseraient-ils s’ils savaient ce que je transporte dans le petit sachet noir ? Que penseraient-ils s’ils savaient ce que je viens de faire pour sauver ma place ?
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