Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 113 J'aime
  • 8 Commentaires

Un job d'appoint

Chapitre 10

Une visite médicale peu conventionnelle

SM / Fétichisme
Marc m’a pris rendez-vous chez un de ses amis, médecin. Ce matin, je suis allée dans un laboratoire pour un examen sanguin complet. J’ai été surprise de la rapidité des résultats.
Tout est normal... bon avec ça, ce n’est pas vraiment une surprise.
Je me prépare à partir lorsque le bip de mon téléphone portable résonne. Je jette un œil sur l’écran : un message de Marc.
Je t’enverrai des consignes pour ta consultation. Ne sois pas en retard sinon...
J’esquisse un petit sourire. J’ignore pourquoi, mais j’imagine bien le petit côté obscène caché par ces trois points de suspension.
Marc n’est pas le genre d’homme à prêter ses jouets à d’autres hommes. Aussi je pense qu’il va pouvoir tirer bénéfice de cette consultation. Sera-t-il caché derrière une porte pour nous regarder ? Ou bien, obsédé comme il est, a-t-il demandé à son ami de filmer mon examen ? Je ne sais pas. Mais la situation m’excite. Je ne compte pas gâcher mon plaisir en me posant trop de questions.
Lorsque j’arrive un quart d’heure avant mon rendez-vous au cabinet, je constate que je suis la seule personne à attendre. La secrétaire m’indique que le médecin est en consultation et qu’il a pris un peu de retard. Je la remercie et sors un livre de mon sac. Juste à ce moment-là, je sens mon téléphone vibrer au fond du sac. Un message de Marc.
Enlève toute ta lingerie. Garde juste tes bas.
Je pousse un soupir d’amusement et me dirige vers les toilettes. J’enlève ma robe portefeuille et retire mon soutien-gorge et mon string. Nouvelles vibrations du portable, nouveau message.
Marc > Prends une photo et envoie-la moi.Marion < Tout ce que vous voudrez, Monsieur.
Je réfléchis à ma pose. Oui... je remets ma robe, sans la fermer et je m’assois à califourchon sur les toilettes. Prendre un selfie dans ces conditions est quelque peu compliqué... Je me prends en photos en plusieurs fois. Chacune lui montre une partie de mon corps caressée par ma main libre. Je me rhabille : avec ces bêtises, je vais être en retard. Je referme ma robe et retourne, le plus dignement possible, dans la salle d’attente. J’entends alors une porte se fermer et de pas revenir.
— Oh, vous devez être Mademoiselle Asha. Par ici, je vous prie.
Sans être un super canon, le médecin est plutôt pas mal. La petite cinquantaine, un corps athlétique, de très séduisants cheveux poivre et sel. Il m’invite à passer devant lui pour gagner son bureau. J’adopte une démarche souple, ondulant mes hanches. Et je m’installe dans l’un des fauteuils du bureau. Je le regarde s’asseoir en face de moi et examiner mon dossier. Il hoche plusieurs fois la tête.
— Je vois. D’après votre médecin du travail, vous êtes en parfaite santé. Mais Monsieur Ternay souhaite... comment dire... un examen plus poussé ? C’est cela ?
Je hoche la tête en guise de réponse. Le médecin m’invite alors à me déshabiller et à m’allonger sur la table. Je m’exécute et m’allonge sur la table, au milieu de la pièce. L’excitation provoquée par l’idée de la consultation et des photos envoyées à Marc m’a fait dresser les tétons. Le médecin ne peut pas ne pas le remarquer. Je m’allonge sur le dos. Je le vois aller jusqu’à un petit frigo et en revenir avec un bol, qu’il pose sur une tablette près de la table.
Le médecin observe mon corps nu, mes jambes gainées dans mes bas noirs, mes pieds glissés dans mes escarpins. L’image même de la luxure. Il fait glisser la pointe de sa langue sur ses lèvres.
Ses mains s’emparent délicatement de mes seins, les soupèsent l’un après l’autre, les palpent consciencieusement à la recherche de nodules. Son doigt qui passe sur mes tétons dressés m’arrache un soupir de délectation.
— Bien, bien. Pas de souci. Voyons la sensibilité.
Il plonge la main dans le bol et en ressort... deux glaçons, qu’il pose sans ménagement sur mes tétons. Je lâche un cri de surprise au contact glacé, qui se transforme rapidement en un contact excitant lorsque je vois mes tétons se dresser encore plus. Sans se départir de son attitude professionnelle, le médecin poursuit son examen, disons... peu conventionnel. Il promène les glaçons sur ma poitrine, mon ventre. Ma peau se couvre d’agréables frissons.
— Quelle réactivité. » constate-t-il. « Et comment réagissez-vous à ça maintenant ?
Il s’empare d’un téton entre deux doigts et le pince avec force. Un gémissement s’échappe de mes lèvres alors qu’il pince l’autre de la même manière. Mon excitation monte d’un cran : je sens les muscles de mon bassin se contracter. Alors qu’il pince de plus en plus fort mon téton, il libère son autre main qui se glisse entre mes cuisses. Son doigt me caresse les lèvres sans s’y glisser.
— Vous mouillez déjà... Vous êtes vraiment... très perverse.— Ouiii...— Je comprends que Marc vous envoie à moi. » Il prend un ton plus sec. « Très bien. Tournez-vous.
Son changement de ton me surprit, mais j’obéis et me mis à plat ventre. Il me donna une vive claque sur une fesse.
— Quatre pattes.
Ton sec. Ordres courts. Je comprends pourquoi il s’entend bien avec Marc et pourquoi il m’a adressée à lui. J’obéis et me mets en appui sur les genoux et les mains.
— Non, pas comme ça !
Le médecin pose sa main entre mes omoplates et me force à aplatir mon visage contre la table. J’écarte alors les genoux et relève mon bassin pour lui présenter ma croupe. Je sens sa main me caresser les fesses. Elle est chaude, douce et ferme. Ses doigts se glissent dans ma fente et la caressent avec force, frottent mes lèvres l’une contre l’autre. J’enfouis ma tête dans le moelleux de la table pour étouffer mes gémissements. Et réprime un cri lorsque ses doigts me pénètrent d’un seul coup.
— Bien, trois d’un seul coup... votre lubrification est parfaite !
Si ses gestes ne sont vraiment pas très médicaux, son ton le reste. Ses doigts s’enfoncent de plus en plus en moi.
— Aaaahhhh...— Mais arrêtez donc de gémir comme ça... que va penser ma secrétaire ?— Mais... je... ne... peux...
Il ne me laisse pas finir ma phrase et retire ses doigts aussi brutalement qu’il les avait enfoncés.
— Très bien... très bien...
Il s’éloigne un instant. Je l’entends fouiller dans un placard et le vois revenir avec plusieurs rouleaux de bandes de tissu.
— Aux grands maux, les grands remèdes alors.

Je le regarde dérouler la première bande.
Il va m’attacher ?
À la perspective d’être ligotée, mon ventre se contracte délicieusement. Je prends conscience que j’en meurs d’envie et que je n’en ai même pas honte. Je veux être le cliché même de la fille prise sauvagement par son médecin.
Punaise, ça m’excite encore plus !
Il me prend les poignets pour les lier dans mon dos. Je sens ses gestes fermes et habitués à cette pratique, mais aussi une certaine attention.
— Oh oui, attachez-moi. Faites de moi ce que vous voulez.
Il s’arrête quelques secondes, probablement surpris par mes paroles. Il serre le nœud bien fort. Il m’attrape les cheveux pour me faire relever la tête.
— Ne me donne pas d’ordre. C’est moi qui décide.
Il déroule une nouvelle bande, vont-ils me faire un bâillon bien serré. Si serré que les commissures de mes lèvres allaient bientôt être irritées.
— J’aurai adoré t’entendre crier, mais les couloirs résonnent, et il serait tellement dommage que quelqu’un pense que je te fais du mal. N’est-ce pas ?
Je lui adresse un sourire malgré mon bâillon.
— Tu ne perds rien pour attendre.
Il met sur-le-champ sa menace à exécution. Dans cette position, je ne parviens pas à le voir, je ne peux que me fier à mon ouïe. Je ressentis une légère appréhension lorsqu’il commence à fouiller dans un tiroir.
Ma position était absolument indécente, les fesses tendues vers le ciel, mon sexe à sa totale disposition, la poitrine écrasée sur la table d’examen, les mains attachées dans le dos. C’est loin d’être confortable. Soudain, le contact glacé d’un objet métallique sur mes lèvres me fait sursauter. Sa main cingle immédiatement et violemment une fesse après l’autre et m’arrache à un long gémissement. Les larmes me montent aux yeux tant la douleur a été vive.
Putain... il est médecin, il doit bien savoir que c’est un réflexe, non ?
Malgré cela, mon excitation a encore augmenté. Je sens même mon jus s’écouler à l’intérieur de mes cuisses. Je sens ses lèvres parcourir mes fesses, comme une caresse somptueuse et érotique ma peau sensibilisée. J’en frissonne tant le contact et de contraste était fort et je gémis sans retenue.
— Hmmm, alors tu aimes ça, toi... C’est Marc qui va être heureux avec un jouet comme toi.
Je tressaille à l’évocation de mon boss.
— Eh oui, il veut savoir si ce genre de traitement te plaît. » La voix du médecin se fit murmure. « Il va bien s’amuser avec toi.
Je sens de nouveau l’objet glacé à l’entrée de mon vagin. Mais désormais le froid décuple considérablement mon désir. Il le fait tout doucement aller et venir, sans entrer, par légères pressions. Ce simple contact me rend folle. Je sens que je mouille abondamment. Il finit par l’introduire entièrement en moi. J’ai l’impression qu’il s’agit d’une sorte de cylindre. Progressivement, il m’écarte de plus en plus les lèvres.
Non, c’est un spéculum. Il m’examine en profondeur.
Il le manie facilement de l’extérieur. Les mouvements qu’il lui donne me faire perdre toute contenance. Je me tortille. Je veux qu’il me l’enfonce encore plus loin, plus fort, qu’il m’écarte encor plus.
Je l’entends haleter en même temps que moi. Il se masturbe aussi. J’essaie de le voir, mais, installé derrière moi, il poursuit sa petite affaire. Il lui fait faire des va-et-vient plus ou moins profonds, plus ou moins rapides, l’écarte de plus en plus au point que je sens son souffle chaud dans mes chairs. Il lui imprime des petits mouvements pour la pointe, me stimule différentes zones du vagin. Le bâillon étouffe mes cris. Je sens mes jambes trembler. Après quelques minutes, il le retire. Mon vagin contracté réclame encore à être comblé.
— Ne t’inquiète pas. » dit-il comme s’il avait deviné mes pensées. « On n’en a pas fini.
Ses mains m’écartent la fente et sa bouche s’empare de mes lèvres. Je crie de nouveau lorsqu’il aspire mes lèvres et les mordille. Sa langue, ses doigts me fouillent en profondeur. Je n’en peux plus. J’ai l’impression que mon vagin va exploser tant il est sous pression. Ses doigts me badigeonnent l’anus avant de s’y glisser, avec un peu plus de douceur. Mon sphincter se contracte autour de son doigt.
— Tu es vierge ici ? Je vais laisser ce plaisir à Marc. » dit-il en retirant son doigt. « Allez, le final.
Il me soulève le bassin et fait descendre mes jambes. Mes pieds retrouvèrent sol ferme.
— Tu me rends dingue. Si tu te voyais...
Ses mots me laissent penser qu’il en a fini avec moi. Mais non. Je l’entends déchirer du papier et râler.
— Putain, vite, vite.
Il me pénètre d’un seul coup. Je sens qu’il a enfilé un préservatif. Ses va-et-vient étaient brutaux, frénétiques. Je hurle mon plaisir, les larmes aux yeux. Il est si brusque qu’il me fait glisser sur la table, au point que mes cuisses en heurtent durement le bord. Je le sens au plus profond de moi à chaque coup de reins. Mes seins écrasés et brutalisés me font très mal, mais au comble de ma jouissance, je réussis même à y prendre plaisir.
Mon corps est parcouru de spasmes. Je ne me souviens pas du moment où il a joui à son tour. Il me laisse dans cette position. Je l’entends s’éloigner et le vois retirer le préservatif qu’il a eu le bon goût d’enfiler, y faire un nœud et le jeter à la poubelle.
— Ne bouge pas.
J’entends alors le bruit d’un robinet que l’on ouvre, d’une bassine que l’on remplit d’eau. Je le vois revenir, une serviette de toilette sur l’épaule. Quelques secondes plus tard, je sens une douce chaleur parcourir ma peau. Avec une infinie douceur, qui contraste énormément avec ce que je viens de subir, il me nettoie le sexe, les fesses, l’intérieur de mes cuisses. Je ferme les yeux et gémis de plaisir et de détente.
Lorsqu’il me libère de mes liens, je suis encore parcourue de tremblements et ma vision est floue. Il m’aide à m’allonger sur la table.
— Prenez votre temps. Je vais vous chercher un petit remontant.
Je sombre dans une douce torpeur. Lorsqu’il revient avec une tasse de café chaud, je me rends compte qu’il est accompagné de...
— Monsieur Ternay ?
Sa vision me donne comme un coup de fouet qui me fait m’asseoir sur le bord de la table.
— Mais...— Tu n’imaginais quand même pas que j’allais laisser cette occasion s’échapper. Maintenant, je te ramène. Merci, Jacques.— Je t’en prie. Ça a été un réel plaisir. Et tu sais quoi ? Je t’en veux à mort d’avoir trouvé cette perle avant moi.
Le médecin lui donne une tape virile sur l’épaule et nous laisse. Marc me donne la tasse de café, que je savoure. Toujours nue, je lève les yeux vers mon patron, qui affiche une mine satisfaite.
— Je croyais que vous n’aimeriez pas prêter vos jouets.— Disons que je ne les prête pas à n’importe qui. Allez, je te ramène et je t’invite à dîner. Tu l’as bien mérité.
Alors qu’il m’aide à me rhabiller, je l’observe du coin de l’œil : j’ai du mal à le cerner celui-là...
Diffuse en direct !
Regarder son live