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Un job d'appoint

Chapitre 11

Une soirée inattendue

Histoire médaillée
Lesbienne
Depuis ma convocation, il y a trois jours, dans le bureau de Marc, je me tiens éloignée le plus possible d’Hugo et d’Alexandre. Malgré moi, mon appétit est réveillé et je n’ai qu’une envie, me retrouver sous l’un d’eux, quel qu’il soit.
Même si la consultation avec Jacques m’a plus que satisfaite, je n’en ai pas assez.
Je pousse un profond soupir en regardant le ciel étoilé de ma fenêtre. L’air frais me caresse la peau. Sous ma serviette, mes tétons se dressent, stimulés par la fraicheur de la nuit. L’une de mes mains commence à glisser vers l’un d’eux. Mais je me reprends.
Non, punaise... mais calme-toi !
Mon regard se porte sur le petit sachet noir posé sur mon chevet. À l’intérieur, le chapelet anal m’attend avec impatience. Je tends la main vers lui pour le prendre : je dois me préparer pour vendredi. Si je n’obéis à Marc, Dieu sait comment il va réagir.
Je vide le contenu du sachet entre mes jambes : le chapelet, un lubrifiant et un produit pour nettoyer l’objet après usage. Le souvenir du chapelet dans mon anus relance mon excitation, mais j’imagine que le mettre dès maintenant est un peu tôt. Je le caresse du bout des doigts. Je sens des frissons naître dans mon bas-ventre tandis que mes mains glissent sur les boules. Et dire que cette chose m’a donné énormément de plaisir quelques jours plus tôt. J’ai hâte de la ressentir en moi. Et ce soir, je ne suis pas vraiment d’humeur à tenter l’expérience.
Depuis ce soir-là, j’ai fait quelques recherches sur le Net pour trouver les meilleures positions pour la masturbation anale. Je ne suis pas lesbienne, mais voir ces femmes se masturber jusqu’à jouir violemment m’a énormément excitée. J’ai toujours fini avec deux ou trois doigts dans mon sexe, à me masturber avec elles. J’aime sentir le moelleux de mes chairs autour de mes doigts, mon vagin se gorger de plaisir sous mes allers-retours lents et profonds. Mais quand je les ai regardées s’enfoncer des objets dans l’anus, comme leur déodorant, un légume jusqu’à une canette de soda... ça a été trop pour moi. Ça m’a carrément refroidie. Comment peut-on en arriver là ? Quel plaisir y prenaient-elles ? Ce devait être atrocement douloureux...
De ce qu’il ressort des vidéos, ce sont les positions, pratiquement, toujours les mêmes : à quatre pattes ou sur le côté. Je décide d’arrêter les vidéos pour le moment. Voir certaines scènes a carrément fait chuter mon excitation pour ce soir.
Il ne me reste plus que de jours pour me présenter à Marc, selon ses conditions. Je n’arrive pas à me décider et pour... je ne lui obéis pas, il va me virer : plus de boulot, plus d’appartement, qu’est-ce que je vais devenir ?
Aarrgh ! ça suffit !
Il faut que je sorte, que je m’aère l’esprit. Je me débarrasse de ma serviette. J’enfile un short sur mes fesses nues, un sweat et enjambe ma fenêtre pour aller faire un tour sur la terrasse.
Tout en me laissant guider par mes pas, je songe à ces premières semaines ici. Je ne reviens pas de ce que j’ai fait. Hugo, Alexandre, Marc... je n’ai jamais eu tant d’amants en si peu de temps. Très différents les uns des autres, ils m’ont donné autant de plaisir les uns que les autres. Différent certes, mais tellement bon.
Mes pensées s’égarent dans mes frais souvenirs, si sensuels, si excitants. Ils m’ont, tous les trois, révélé une facette de moi que je ne connaissais pas ou peut-être que j’avais toujours refusé d’accepter. Pourtant, je dois reconnaître qu’aussi troublante soit-elle, ce nouvel aspect de ma personnalité m’effraie un peu. J’ai été soumise par Marc et par Hugo et j’ai adoré. J’ai soumis Alexandre à mes désirs, j’ai adoré aussi.

C’est normal, ça ? Aimer être soumise et dominer ?
Un rire vient me tirer de mes pensées. Je tourne la tête et me rends compte qu’il s’échappe d’une fenêtre ouverte, juste en face de moi. De ce côté de la maison, les chambres donnent sur une terrasse en forme de L. Dans l’ordre des fenêtres, je peux voir la mienne et celle d’Alexandre, sur la façade et après le coin de la terrasse, il y a celle d’Anne et celle d’Élise. Et si je ne me trompe pas, mes pas m’ont conduite devant la chambre d’Élise.
— Elle est plutôt sympa, la nouvelle. » dit Anne.— Oui, en effet. Je ne l’aurais pas cru.
Il y a un silence... un soupir...
Elles parlent de moi ?
J’hésite : je suis curieuse de savoir ce qu’elles pensent de moi. Mais je ne veux pas non plus m’incruster dans leur intimité.
— Elle s’est vraiment bien adaptée.— Elle a peut-être fait une école hôtelière. En tout cas, elle a de la classe et est très bien organisée.— On dirait qu’elle a été formatée par Alexandre. » lâche Élise.
Je suis plutôt rassurée de ce qu’elles pensent de moi. Bon, ce n’est pas comme si l’avis des autres m’importait tant que ça, mais si mon travail est apprécié, c’est une reconnaissance agréable.
— Y a pas qu’Alexandre qui l’a formatée ! ha ! ha ! ha ! » lance Anne.— Pfff, t’es con, des fois. Viens là. »
J’entends des bruits de baisers passionnés, des gémissements de plaisir. Je suis partagée entre la curiosité excitante que je ressens et la gêne d’espionner Anne et Élise. Mais la curiosité l’emporte. Je m’agenouille de l’ombre, près de l’entrebâillement de la fenêtre.
Seulement vêtues d’un débardeur et d’une petite culotte, Anne et Élise sont assises l’une en face de l’autre, les jambes entrelacées. J’ai l’impression que leurs bassins frottent l’un contre l’autre. Elles s’embrassent avec douceur. Je réprime un hoquet de surprise. Décidément, je ne peux pas rester là. Pourtant, mes yeux ne peuvent se détacher de ce duo qui se câline.
Élise glisse ses doigts dans la crinière blonde d’Anne, et rapproche son visage du sien. Elles échangent un long baiser, plein de sensualité de douceur. Les mains d’Anne caressent doucement le dos d’Élise en de lents va-et-vient et finissent par se glisser sous son débardeur. Je ne parviens pas à détacher mon regard d’elles. Je soupire, imaginant leurs lèvres glisser et frotter entre elles.
Je recule dans l’ombre et me mords les lèvres, morte de honte de les espionner, mais c’est plus fort que moi. Je risque un œil. Elles ont enlevé leurs hauts. Je suis surprise par leurs poitrines : si celle d’Élise semble plus petite, la poitrine d’Anne est bien plus imposante que la mienne. A cause de nos tenues de travail, je ne m’étais pas rendu compte, jusque-là, de la beauté de la poitrine d’Anne, de la rondeur ferme de ses seins, du brun envoûtant de ses tétons déjà dressés par l’excitation. Mon regard se porte sur la poitrine menue d’Élise. Elle ne manque pas de charme malgré sa petite taille. Chacun de ses seins pourrait tenir dans la paume de ma main.
Je déglutis doucement lorsqu’Anne pose une main sur le sein d’Élise et glisse l’autre entre ses cuisses. Élise se cambre, laissant échapper un gémissement de plaisir. À ce moment, mon imagination se met à travailler : est-ce une caresse ou bien Anne a-t-elle déjà glissé ses doigts dans la chaude moiteur de sa compagne ?
Non, elle va prendre son temps.
Je sens une pression monter doucement dans mon bas-ventre : je reconnais les premiers signes de l’excitation qui me gagnent petit à petit. Je résiste à la tentation de me caresser à mon tour. J’ai envie d’en voir plus. Je me laisse glisser sur le sol le plus silencieusement possible.
La fraicheur de la nuit me déclenche des vagues de frissons et fait pointer mes tétons sous mon sweat. Dans la chambre, les lèvres d’Élise s’emparent du mamelon d’Anne. Elle le suce et le mordille sous les gémissements de la jeune femme, qui se cambre sous les caresses de sa partenaire. La courbure de son dos est splendide et met en valeur sa petite poitrine.
Élise renverse Anne sur le dos et enfouit son visage entre ses cuisses. Les bruits de succion et les gémissements d’Anne ne laissent planer aucun doute sur la caresse d’Élise est en train de lui prodiguer. Je ferme les yeux en faisant glisser une main sur ma poitrine et l’autre dans mon short. Mes doigts glissent sur mes lèvres humides, les saisissent et les pincent délicatement. Ils les font coulisser l’une sur l’autre.
Les gémissements d’Anne sont de plus en plus forts.
Je gémis aussi fort ? Oui, sans aucun doute.
Nouveau coup d’œil. Couchée sur Anne, Élise la tète avec douceur. Je vois son bras en les cuisses de sa partenaire faire de lents et profonds allers-retours. Je n’ai jamais vu le visage d’Anne aussi radieux qu’à ce moment. Mes doigts glissent un peu plus entre mes lèvres. Je lâche un soupir lorsque mon majeur se faufile entre mes replis humides et rencontre les parties les plus moelleuses de mon anatomie. Petit à petit, je le fais aller plus profondément en moi, au même rythme qu’Élise en Anne. Je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements.
J’entends alors un doux froufrou un peu plus loin. Je retiens ma respiration et mon doigt. Je n’entends alors plus que le vent et les oiseaux nocturnes. Mon attention se reporte sur la chambre. Les deux jeunes femmes se sont arrêtées et le silence est tombé sur leurs ébats nocturnes.
— Tu es gelée ! » commente la voix d’Anne.— J’avoue qu’il commence à faire frais.— Attends, je vais te réchauffer. »
Anne fait basculer Élise sur le dos et s’installe à cheval sur sa poitrine. Elle lui écarte les cuisses et son visage plonge sur le sexe offert de sa compagne. Élise lâche un long gémissement.
Je réprime un soupir de plaisir en les regardant. Tout n’est plus que gémissements, bruits mouillés dans cette chambre. Et moi, près de leur fenêtre, assise, les cuisses écartées, je me masturbe avec force. Comme j’aimerais subir la même chose. Mais je dois me contenter de mes doigts qui vont et viennent en profondeur en moi. Mes doigts accélèrent le mouvement. Dans la chambre, Anne a plongé plusieurs doigts dans le sexe d’Élise qui se met à gémir.
— Plus fort, plus fort.
Les mouvements d’Anne s’intensifient, accompagnés gémissements d’Élise. Brusquement, le corps d’Anne se cambre. Probablement qu’Élise la fouille de la même façon.
Mon Dieu !
Je laisse échapper un gémissement alors que je sens mes muscles se contracter violemment autour de mes doigts. Je retire mes doigts. Ma cyprine mouille abondamment mon short.
Merde !
— Attends ! je crois que j’ai entendu quelqu’un ! » dit brusquement Anne.— C’est peut-être le vieux chat !— Bouge pas !
Re-merde !
J’essaie tant bien que mal de me lever, mais mes gestes sont maladroits, tellement je suis troublée du spectacle qui s’est offert à mes yeux, honteuse de l’avoir regardée et de m’être masturbée. Je sens alors une main agripper mon short et me tirer violemment en arrière. Je bascule à l’intérieur de la chambre et m’étale lamentablement sur le tapis. J’entends les filles éclater de rire.
— Ah non. » constate Anne. « C’est une jolie petite chatte en chaleur.
Elle me tire vers le lit et m’y fait asseoir, à côté d’Élise. Elle nous rejoint et, sans ménagement, m’écarte les cuisses. Élise se penche vers moi, en se léchant les lèvres.
— C’est même une petite chatte trempée. » dit-elle en caressant du doigt mon short imbibé.— Je... je... suis... désolée. » balbutié-je. « Je ne voulais pas.— Mais tu l’as fait quand même. » dit Anne sur un ton sévère. « Et apparemment, ça t’a plu. Qu’en penses-tu, Élise ?
Sans rien dire, Élise plonge la main dans mon short et glisse deux doigts entre mes lèvres. Je ne parviens pas à retenir un gémissement de plaisir à son contact.
— Mais c’est qu’elle aime ça, la coquine.— Oooh... » lâché-je quand ses doigts remontent sur mon clitoris.
Sous le regard gourmand d’Anne, Élise me lèche la nuque. Ma peau se couvre de frissons.
Pourquoi ça m’excite ? Je ne suis pas lesbienne...
Collée contre moi, Anne glisse une main sous mon sweat et empoigne mon sein.
— En voilà un melon bien ferme. » commente-t-elle.
Élise retire sa main de mon short et enlève mon sweat, exposant ma poitrine au regard d’Anne qui se mord la lèvre inférieure. Elle se colle aussi contre moi. Elle coince mon bras entre ses seins alors que ses mains reprennent leurs caresses sur mes lèvres.
— C’est ta première fois avec des femmes ? » me demande Élise dans le creux de l’oreille.— O-oui.— Ça t’excite ?— Oui... » avoué-je.
Je ne peux pas le nier.
Élise m’allonge sur le lit. Elle se penche sur moi, ses lèvres s’emparent de mon téton, alors que sa main empoigne mon sein libre et le malaxe fermement. À travers mes paupières mi-closes, je vois Anne descendre du lit et ramper entre mes cuisses, son regard vissé sur mon entrejambe. Même si je le voulais, je ne pourrais pas leur résister.
Je n’en ai pas envie...
Anne s’agenouille juste devant moi et tire sur mon short pour le retirer. Elle me caresse les lèvres et glisse ses doigts dans mon intimité.
— Première soirée lesbienne et tu as deux femmes pour toi toute seule...
Ses doigts coulissent en moi, m’arrachant des soupirs de plus en plus fort. Sa langue me lèche avec force, remontant jusqu’à mon clitoris.
— Moins fort, la fenêtre est ouverte. » me conseille Anne.— Je vais la faire taire. » lui dit Élise.
Sa bouche s’empare de la mienne en un baiser profond et appuyé. Ma raison me commande de me dégager de cette étreinte défendue, mais mon corps s’y refuse, appelant leurs caresses. Nos langues entament un ballet vicieux dans ma bouche. Les doigts d’Anne s’enfoncent encore et encore en moi tandis qu’Élise pince douloureusement mes tétons. Je lâche ses lèvres pour gémir de douleur.
— C’est pour nous avoir espionnées, vilaine fille. » murmure Élise en me tordant les tétons. « Et ça, pour ne pas l’avoir fait plus tôt.
Mon corps se cambre sous ses caresses délicieusement douloureuses. La langue d’Anne dessine alors des courbes sur ma poitrine et s’arrête sur mon sein. Élise dégage sa main pour permettre à sa partenaire de me téter à son tour.
— Aaaah... Aaahhh...— Mais elle y prend goût. » murmure Élise.— Ne la décevons pas alors.
Les deux jeunes femmes me tètent, comme affamées, me mordillant. Mon corps se tord de plaisir. La main d’Élise glisse alors sur mon ventre, jusqu’à ma fente qu’elle écarte pour aller y chercher mon clitoris gonflé de désir. Je me cambre encore plus en gémissant. Les doigts d’Anne coulissent de plus en plus vite entre mes lèvres alors que les doigts d’Élise agacent délicieusement mon clitoris gonflé.
C’est divin. Je n’aurais jamais cru ça.
Je n’entends plus que mes gémissements et les halètements des deux filles. Les lèvres d’Élise descendent encore sur mon ventre, jusqu’aux doigts d’Anne. Élise m’ouvre alors plus les cuisses et m’écarte largement les lèvres. Mon regard descend sur Élise, plus affamée que jamais.
— C’est dingue comme elle mouille. » commente Anne.— Dépêche-toi, j’ai envie d’en profiter aussi.
La langue d’Élise glisse jusqu’à mon pubis alors qu’Anne m’écarte plus les cuisses. Élise se décale et me tire au bord du lit. Sa bouche avide s’empare de mes lèvres visqueuses dans un obscène bruit de succion. Elle est beaucoup moins délicate qu’Anne. Sa langue s’introduit profondément entre mes lèvres largement ouvertes par ses doigts. Mon corps se cambre alors que je laisse échapper un profond gémissement, aussitôt étouffé par la langue d’Anne. Mon corps et ma tête sont au bord de l’explosion. Comme agissant d’elles-mêmes, mes mains attrapent la tête d’Élise pour l’appuyer plus fort contre mon sexe. Sa langue me fouille plus loin.
— Quelle perverse. » murmure Anne. « Tu m’excites encore plus.
Elle se redresse, genoux écartés et attrape ma main la plus proche d’elle. Sans me laisser le temps de réagir, elle s’enfonce deux de mes doigts profondément en lâchant un cri rauque. Mes doigts se retrouvent emprisonnés dans ses chairs chaudes et moelleuses, dans un bruit obscène. Toujours autonomes, mes doigts commencent un profond et lent va-et-vient alors d’Anne se tortille sur ma main.
Je deviens folle !
Mon corps appelle toujours et encore leurs caresses. Mes doigts accélèrent dans les entrailles trempées d’Anne alors qu’Élise... Élise... elle s’est redressée entre mes cuisses et me montre un double gode. Elle le lèche sur toute sa longueur avec un sourire pervers. Elle me l’enfonce sans ménagement, m’arrachant un cri. Sans attendre, elle s’empale sur l’autre extrémité. Ses mouvements sont brusques. Le gode coulisse douloureusement en moi malgré mon jus abondant.
— Il... est ... gros...— Oh oui, il l’est !
De son côté, Anne n’est pas en reste. Elle prend ma main trempée de son jus et s’enfonce encore deux de mes doigts. J’ai l’impression que je vais la déchirer. Mais ses chairs se distendent avec souplesse autour de mes doigts. Mon corps se tend comme un arc alors que l’orgasme contracte douloureusement tous mes muscles.
— Aaaaahhh !
Mon cri semble remonter du plus profond de mon être, bientôt rejoint par ceux d’Anne et d’Élise. Le jus d’Anne coule dans ma main alors que celui d’Élise se mêle au mien sur mes cuisses et le long du gode.
Je halète de plaisir. Pas une, mais deux femmes me font jouir à en mourir et jouissent avec moi. Avec mon éducation classique, je devrais en avoir honte. Mais non, au contraire. J’ai adoré. Et j’en veux encore, et encore. Anne et Élise s’allongent, aussi essoufflées que moi, l’une de leurs cuisses posées sur les miennes, une main empaumant un sein, jouant chacune avec le téton. Elles ne semblent pas vouloir me donner du repos.
— Oh oui... » laissé-je échapper malgré moi. « Encore, encore.— Tu entends ça, Élise ?— Mais c’est qu’elle n’en a pas eu assez !
D’un commun accord silencieux, leurs mains descendent sur mon sexe. Elles y introduisent chacune deux doigts d’emblée. Mon corps se cabre violemment sous cet assaut. Ma lubrification est telle qu’ils s’y glissent sans aucune difficulté. Je me tortille sous leurs caresses. Je sens des pincements, des mordillements sur mes tétons extrêmement sensibles tandis que leurs doigts vont et viennent en moi, dans un indécent bruit mouillé. Leurs mouvements s’accélèrent brusquement. Mon corps se tend comme un arc alors qu’un râle de plaisir monte dans ma gorge. J’ai l’impression que mon vagin va exploser tellement il est sous pression avec leurs quatre doigts enfoncés.
— Aaaaah... Aah... noon...
Mon corps se cambre de nouveau alors qu’elles maintiennent leurs doigts profondément enfoncés. Je suis prise de violents soubresauts incontrôlables, accentuant le va-et-vient de leurs doigts. Elles les retirent brusquement. Mes muscles se contractent et expulsent un jet visqueux sous les regards médusés de mes partenaires.
— Aaah... non... oh non...
J’ai la sensation de me vider sur le drap.
— Eh bien, on lui a fait de l’effet. » constate Anne avec plaisir, en me caressant les lèvres gonflées et trempées en souriant à Élise.— J’ai jamais vu ça !— Moi, si, mais seulement dans les films.
Mon corps tressaute, expulsant le reste de ma jouissance. J’ai honte... j’ai tellement honte que j’en ai les larmes aux yeux.
— Désolée. » balbutié-je. « Vraiment...— Ooh, choupette. » lâche gentiment Anne en me caressant les joues. « T’inquiète pas. C’est beau à voir. J’aimerais jouir comme toi à chaque fois.— On envoie le linge à la blanchisserie demain, ça tombe bien, non ?
La plaisanterie d’Élise détend soudainement l’atmosphère. Je me mets à rire avec elles, oubliant ma gêne. Élise contemple mon visage rouge comme une tomate.
— Tu sais, c’est pas parce que tu as pris du plaisir avec nous ce soir que tu es lesbienne, si c’est ça ce qui t’inquiète.— Je sais... mais bon... » dis-je en m’asseyant « Mais, c’est bizarre pour moi...
Élise et Anne s’assoient à leur tour. Tandis qu’Anne me caresse doucement le dos, Élise pose sa main sur ma cuisse.
— Tu peux marcher jusqu’à ta chambre ?— Oui... enfin je crois.— Tu ne te trompes pas. » dit Élise en pouffant de rire. « Ta porte est juste en face.— Remarque. » ajoute Anne. « Ce cher Alexandre ne serait sans doute pas contre une visite surprise.
Je pique un fard monumental à cette remarque. Je récupère mes vêtements qu’Élise me tend et traverse vite fait le couloir. Je me glisse sous la douche. L’eau fraiche va me faire du bien et me calmer... enfin j’espère...
Mais c’est quoi cette maison ? Que des obsédés, des pervers !
Je lève le visage vers le pommeau de la douche pour laisser l’eau rafraichir mes joues brûlantes.
Pourquoi j’aime ça ? Pourquoi est-ce que j’en redemande ?
Devant un écran d’ordinateur
Il n’en peut plus. Sa main accélère son mouvement sur son manche tendu alors qu’il regarde avec avidité l’image des trois femmes sur le lit. Le corps tendu à l’extrême de Marion l’excite davantage que ceux, pourtant appétissant, d’Anne et Élise... peut-être seulement parce qu’il sait qu’elles sont lesbiennes et qu’il ne les intéressera jamais.
Il devine le cri silencieux de Marion quand son visage se tord sous l’effet de l’orgasme.
Je vais jouir... Je vais...
Sa main se resserre brusquement autour de son sexe alors qu’il se vide par jets irréguliers sur sa taie d’oreiller dans un cri rauque.
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