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Un job d'appoint

Chapitre 14

Quand la balnéo... c'est trop...

Avec plusieurs hommes
Cela fait un long moment que je me prélasse dans une eau chaude et parfumée. Je profite de ma journée de repos pour continuer à découvrir les soins proposés par le centre de remise en forme. Cela fait longtemps que je rêvais de ce genre de soins et j’ai bien l’intention d’en profiter au maximum.
Maintenant, je sors du bain d’algues. Mais, comme je me relève trop vite, je suis prise d’un violent vertige et manque de peu de m’effondrer sur le carrelage. Je m’agrippe par réflexe au rideau fermant l’entrée de la cabine qui est à ma portée et l’entraine avec moi, ainsi que la tringle sur laquelle il était suspendu dans un grand bruit métallique. Je tombe sur le tapis de bain, à moitié sonné, le corps enroulé dans cette couverture improvisée.
Alerté par le bruit, quelqu’un ouvre brusquement la porte du vestiaire.
— Tout va bien ? » demande une voix masculine. « Oh, Marion ! » L’homme passe la tête par l’entrebâillement de la porte. Il s’agit d’Alexandre. « Que t’est-il arrivé ?
J’esquisse un vif mouvement pour tenter de couvrir les parties nues de mon corps, mais en vain. Mes bras refusent de m’obéir, je suis encore sous le choc ma vision s’obscurcit par intermittence.
— Ça va… ça va… j’ai juste fait un petit malaise, c’est tout. Rien de cassé. Enfin, je crois.
Je tente de me redresser maladroitement.
— Je vais chercher monsieur Hugo. Ne bouge pas. — Oh… mais ça va aller, ne t’en…
Il fronce les sourcils le et me coupe la parole d’un geste vif de la main.
— Ne bouge pas. » insiste-t-il. « Je reviens vite.
Je reste alors sagement à ma place pour ne pas le contrarier. Je me sens un peu bête qu’il soit parti pour alerter inutilement Hugo alors que je me sens beaucoup mieux. À peine a-t-il quitté les lieux que j’ai l’impression d’avoir récupérer mes sens. Je pourrais au moins me lever pour prendre mon drap de bain, mais ils ne me firent pas attendre bien longtemps.
À peine une minute plus tard, Hugo, déboule dans la cabine, Alexandre sur ses talons.
— Que s’est-il passé ? Tu t’es levée trop vite ? Je t’ai prévenue d’y aller doucement. Laisse-moi voir si tu n’es pas blessée avant de te relever.
Je suis prête à protester mais, finalement, je me sens plutôt bien, à être l’objet de l’attention des deux hommes. Je me laisse palper, indolente sous les gestes assurés et professionnels d’Hugo, aux petits soins avec moi. Alexandre observe la scène de près, inquiet.
— Alors ? » demande-t-il. — Tout semble en ordre. » répond Hugo, comme un garagiste aurait révisé ma voiture.
Hugo me tapote énergiquement la jambe. Vexée, je décide de l’asticoter un peu.
— Tu en es sûr ? J’ai un peu mal, là.
Je lui désigne une zone de mon bassin, d’un geste lent.
— Pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt ?
Il presse doucement quelques endroits que je lui indique avec le plus grand sérieux. Je fixe Alexandre qui se tient derrière lui, adossé à la porte et lui adresse un sourire aguicheur. Un éclat dans son regard me signale qu’il a immédiatement compris mon idée. Je lui adresse un sourire encore plus tendancieux et il lève les yeux au ciel très amusé du spectacle que je lui offre.
— Tu as mal là ? 
Il insiste sur la crête iliaque. Je fais mine de ressentir une douleur.
— Aïe ! Oui, tout à fait. C’est là ! Un peu à côté, aussi. — Tu vas sûrement avoir un bel hématome, mais je ne vois rien de grave. Si jamais ça ne va pas rapidement mieux, dis-le-moi et le médecin te fera faire une radio.
Il m’adresse un sourire confiant. Je lui retourne une moue taquine et glisse sensuellement la pointe de ma langue sur mes lèvres. Il fronce les sourcils d’incompréhension. Alexandre lève les yeux au ciel devant l’attitude d’Hugo. Il ferme la porte et s’accroupit à côté de moi.
— Je pense que ses douleurs se trouvent ailleurs… » dit Alexandre en écartant le rideau pour dévoiler mon intimité. « Et qu’elle a besoin de soins… particuliers.— Aaah… » fit Hugo, tout sourire. « Je vois, je vois.
Je lance un regard faussement complice à Alexandre.
— Je devrais peut-être vérifier qu’il n’y a rien de ce côté-là, alors.
Il pose sa main délicatement sur l’intérieur de ma cuisse qu’il écarte. Je lui montre mes lèvres mouillées du bain.
— Je sens quelque chose, ici. Ou plus haut, peut-être ? — Vicieuse. Nous ne faisons pas ce genre de soin ici. » fit Alexandre, l’air faussement choqué.— Laisse-la donc. Après tout, nous sommes venus nous enquérir de son bien-être, non ?
Entre la chaleur de l’air, la main d’Hugo et le regard d’Alexandre, je ne mets qu’un instant à me détendre complètement. Alexandre vient s’asseoir derrière moi, m’enserre de ses cuisses et me caresse doucement les épaules. Je me laisse lentement retomber contre son torse, lascive.
Hugo, quant à lui, écarte un peu plus mes jambes et plie grossièrement le rideau arraché lors ma chute pour le caler sous mes hanches et surélever mon bassin. Je prends de longues et profondes inspirations, anticipant le plaisir qui va m’être accordé.
— Quelle chance que nous ayons été là quand tu es tombée, n’est-ce pas ? Qu’aurais-tu fait si Alexandre n’était pas passé ? » demande Hugo alors que mes doigts caressent mes lèvres humides.— Quelqu’un d’autre s’occuperait de moi en ce moment. Vous auriez été peut-être déçus.
Il se moque de moi, ses yeux taquins plantés dans les miens, au-dessus de moi et se met à ricaner. Je passe la pointe de ma langue sur mes lèvres de manière très provocante. Alexandre secoue la tête et se penche en avant pour m’embrasser. C’est un baiser tendre et affectueux doux contraste avec la chaleur qui commence à envahir mon bas-ventre, alors qu’Hugo écarte mes lèvres des deux mains. Il les caresse lentement et plonge la tête entre mes cuisses.
Lorsque ses lèvres prennent le relais de ses mains, le baiser que je partage avec Alexandre devient plus intense. Il le sent tout de suite et me caresse doucement les cheveux. Je soupire de bonheur quand sa langue parcourt mon cou, ma gorge, dessine ma clavicule. De là où il est, Alexandre ne manque rien du spectacle que nous lui offrons, Hugo et moi.
— C’est sensible, ici. Tu as mal ? » demande Hugo.
Sa langue vient buter sur mon clitoris. Ses lèvres l’aspirent avec force. Je me tortille en gémissant plus fort. Alexandre me tire doucement les cheveux un peu plus sèchement pour me relever le visage et approfondir son baiser. C’est une sensation absolument délicieuse et j’émets malgré moi un nouveau gémissement. Je peux deviner son sourire juste à sa façon de respirer au-dessus de moi.
— Je crois que l’état de cette charmante dame demande davantage d’attention. » dit-il.
Je sens qu’ils s’adressent un regard complice car aux succions et lapements d’Hugo s’ajoutent ses doigts, qui s’introduisent en moi, efficace et précis, tandis qu’Alexandre lâche mes cheveux pour attraper mes poignets et les bloquer avec le poids des siennes, dans mon dos. Ma poitrine se dresse à présent, bien visible, délesté de ses remparts. Elle se lève et s’abaisse dans un mouvement continu de vagues.
Je sens alors contre mes mains le sexe d’Alexandre comprimé dans son pantalon. Je commence à le caresser de haut en bas. Ses soupirs rauques se font plus forts à mon oreille, alors que mes doigts défont ses boutons pour le libérer. Tout en me tortillant sous les assauts d’Hugo, je saisis le sexe d’Alexandre entre mes deux mains et le masturbe avec fermeté. En réaction, il me tire les bras un peu plus en arrière. Je respire de plus en plus mal, je me mets à geindre.
— C’est plus sérieux que prévu. » constate Alexandre. — N’arrêtez pas ! Ne me laissez pas comme ça !— Tu ne dois plus être loin, on dirait qu’elle a très mal, là. — Alexandre… » murmuré-je.
Il pense peut-être que je vais lui demander de se taire, mais je n’en sais rien. En fait, j’ai une envie plus pressante.
— Occupe-toi plus de moi !— Avec plaisir, mademoiselle. » dit-il, taquin.
Je connais déjà l’habileté de ses mains qui m’ont déjà donné énormément de plaisir. J’ai envie de plus, cette fois, bien plus.
— Caresse-moi, touche-moi, tète-moi.
Il relâche alors mes poignets et m’allonge sur le dallage glacé. Il se met à côté de et se penche sur ma poitrine pour l’embrasser et la malaxer. Mes mains se perdent l’une dans les cheveux d’Alexandre, l’autre dans ceux d’Hugo, que je tire au gré de mes soubresauts de plaisir.
Hugo saisit mes jambes et les passe sur ses cuisses. À genoux, entre mes cuisses, il continue d’enfoncer ses doigts profondément en moi, tout en badigeonnant mon anus de mon jus abondant. Mes gémissements rebondissent sur les murs de la cabine. Alexandre plaque une main sur ma bouche, pour étouffer mes cris.
— Ne crie pas comme ça. » me dit sèchement Hugo. « On va t’entendre. Tu ne veux pas qu’on nous interrompe, hein ?
Je secoue vivement la tête. Je vois un sourire lubrique se dessiner sur les lèvres d’Hugo.
— Alexandre, fais-la donc taire.— Oui, monsieur.
Alexandre se met à califourchon sur ma taille et promène son gland turgescent sur mes lèvres.
— Je regrette, mais je vais devoir te faire taire.
Il n’a pas besoin de finir sa phrase que j’happe son sexe, lui arrachant un gémissement rauque. Il s’enfonce profondément. Je sens son gland toucher le fond de ma gorge. Je laisse libre cours à mes gémissement, étouffés par son sexe qui fait de lents allers-retours.
— Ah oui ? Tu le prends comme ça ? » lâche Hugo entre mes cuisses. « Très bien alors.
Il me soulève un peu plus le bassin et me pénètre d’un brusque coup de rein. Je lâche un nouveau cri tandis qu’il que ses assauts se font de plus en plus violent. Prise dans la bouche, prise dans mon vagin, je ne pense pas pouvoir être plus comblée lorsque je sens Hugo glisser un doigt dans mon anus, rapidement suivi par un second.
— Pu… naise… j’aurais… pas… cru… ça… de… toi… » parvient-il à articuler, tandis que mon corps ondule de plus en plus sous lui.
Je saisis le sexe d’Alexandre d’une main et le dégage de ma bouche, en le masturbant vigoureusement.
— Prenez… moi… tous… les… deux…
Ils ne se le font pas dire deux fois. En un clin d’œil, je me retrouve à califourchon sur Hugo, empalée profondément.
— Je reste comme ça. » dit ce dernier.— Très bien, monsieur. » grogne Alexandre en se glissant derrière moi. « Quel honneur de visiter ce passage étroit, mademoiselle.
Il me soulève le bassin, m’écarte les fesses. Hugo ne bouge plus. Cet instant de répit lui permet probablement de retarder son orgasme… et le mien. Je sens le gland d’Alexandre contre mon anus déjà dilaté par le travail d’Hugo. Sans me prévenir, d’un geste sec, il me pénètre profondément, totalement, jusqu’à la racine de son sexe. Je lève la tête pour crier de plaisir, mais la main d’Alexandre étouffe de nouveau mon cri. D’une main, Hugo me pince durement un téton.
— Tu vas te taire, oui ou non ?
Je sens leurs deux sexes palpiter en moi, frotter contre mes fines parois internes. Mes lèvres et mon anus me font mal, mais d’une douleur qui ne ressemble à rien de ce que j’ai connu.
Les minutes s’écoulent, saccadée, chaudes, piquantes, au rythme de mes montées et de mes descentes. Je suis toute transpirante. Ils m’offrent ainsi deux magnifiques et puissants orgasmes. J’en reste pantelante, coincée entre les deux hommes hors d’haleine. Leurs chemises mouillées et froissées me collent à la peau. Leurs parfums m’enivrent. Je reprends doucement mon souffle.
— J’ai vu plus sérieux, comme premier secours. » leur dis-je, tandis que je m’enveloppe dans le peignoir que me tend Alexandre.
Les deux hommes feignent l’agacement.
— Je pourrais te facturer la consultation !— Et moi le simple déplacement !
Je me redresse, assise, secoue mes cheveux et leur adresse un sourire avenant.
— Vous acceptez les paiements en nature ?
Une même lueur perverse traverse leurs regards simultanément. Hugo et Alexandre échangent un regard et un léger sourire.
— Bien, nous allons vous raccompagner à votre chambre, madame. Après votre malaise, je pense que c’est plus prudent.
Les voyant hocher la tête de concert, je m’attends à une soirée inoubliable.
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