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Un job d'appoint

Chapitre 17

Sévère punition

SM / Fétichisme
Vendredi soir, dix-sept heures...
Je n’en mène pas large quand j’arrive devant la porte du bureau de Marc. Deuxième convocation en quatre semaines. Il avait l’air furieux au téléphone lorsqu’il m’a appelée, hier, pour me convoquer. Je n’en ai pas fermé l’œil de la nuit.
Mais qu’est-ce que j’ai fait ?
J’ai ma réponse au moment où je vais toquer à la porte : celle-ci s’ouvre pour laisser sortir Hugo et Alexandre. Alexandre sort la tête basse et Hugo, un sourire gêné aux lèvres lorsqu’il me voit.
Il sait... il sait ce qu’on a fait.
Mes épaules s’affaissent brusquement, tandis qu’Alexandre passe à côté de moi en murmurant un « désolé » à peine audible. Je les regarde partir : est-ce qu’ils ont pris cher ? J’espère qu’ils ne vont pas être mis à pied ou pire, se faire virer.
— Mademoiselle Asha », dit Marc sèchement. « Après vous.
La tête basse, j’entre dans le bureau. Je sursaute en entendant la porte de se fermer... et se verrouiller. Je joins honteusement les mains devant moi, n’osant même pas relever la tête. Cette fois, je suis fichue. J’entends les pas de Marc passer à côté de moi et s’arrêter devant son bureau. Il pousse un profond soupir.
— Tu sais pourquoi tu es ici, je suppose ? »
Il est en mode patron énervé.
— Oui, Monsieur », murmuré-je tout bas.— Alors, tu ne nies pas ?— Non, Monsieur.— C’est dommage pour toi, car Hugo et Alexandre ont refusé de me donner l’identité de leur partenaire.
Je relève la tête.
— Mais comment avez-vous su ? » lui demandé-je, surprise.— Je te l’ai déjà dit, je crois : je sais tout ce qui se passe ici et dans ma maison », m’assène-t-il. « Qu’as-tu à dire pour ta défense, alors ?— Pas grand-chose, Monsieur. Rien de ce que je pourrais dire ne saurait excuser ce que j’ai fait.— Au moins, tu le reconnais. C’est tout à ton honneur. Raconte-moi tout, dans les moindres détails.
Je relève doucement la tête, sentant son regard pesant sur moi. Je me sens toute petite face à lui, sans défense. Je pousse un profond soupir et lui explique l’accident et ce qui s’en est suivi dans la cabine, en omettant sciemment la fin de soirée.
— Cela peut paraître inconvenant, mais l’idée m’a...— Excitée ? » demande-t-il d’une voix rauque, essayant de masquer son excitation.— Oui, Monsieur. Excitée.— Je vois. Heureusement qu’il n’y avait plus aucun client à cette heure-là.
C’était une chance, en effet. La réputation du centre aurait pu en pâtir.
— Je ne suis peut-être pas fière de ce que j’ai fait, mais j’en assumerai les conséquences, Monsieur. Je vous remettrai ma démission une fois rentrée.
Il se lève et contourne son bureau en laissant traîner ses doigts sur le bois noir.
— Ce ne sera pas nécessaire d’en arriver là. On peut trouver un autre moyen de te punir.
Me souvenant de ma dernière convocation, j’imagine un peu ce qui m’attend. J’accueille presque cette idée avec plaisir.
— Très bien, Monsieur.
Il me tire par le bras et d’un geste brusque, il me plaque la poitrine sur son bureau. Instinctivement, mes mains vont s’accrocher au bord éloigné du bureau.
— Tu fais bien de t’accrocher. Ça ne va pas te plaire. Mais moi, oui.
Je sens qu’il remonte le bas de ma robe sur mes reins. Il semble prendre son temps. Admire-t-il mes fesses gainées dans ma jolie culotte en dentelle noire ? Ou bien mes jambes dans mes bas en résille ?
— Perverse à souhait. » l’entends-je murmurer.
Brutalement, une claque s’abat sur ma fesse droite, me faisant crier de surprise et de douleur. Je tente de me redresser pour protester, mais une main vigoureuse me plaque sur le bureau.
— De ton attitude...— Dépendra ma sanction », dis-je pour conclure sa phrase.— Très bien.
Mes doigts s’agrippent plus fort au bord du bureau. Je ferme les yeux, attendant la claque suivante. Mais je suis surprise en sentant sa main se glisser sous ma culotte et caresser ma fesse meurtrie. J’accueille cette caresse avec un soupir de plaisir. C’est alors qu’une nouvelle claque s’abat sur mon autre fesse. Je réprime un cri. Un gémissement s’échappe de mes lèvres.
— N’oublie pas que tu es punie.— Oui... Monsieur.
J’attends la suite avec un mélange pervers d’appréhension et d’excitation. Il m’ordonne alors de me redresser et de me déshabiller. J’obéis avec docilité. Je saisis le bas de ma robe qui est déjà sur ma taille et la fais passer par-dessus ma tête. Je le vois hocher la tête avec satisfaction, m’invitant à continuer. Je fais glisser les bretelles de mon soutien-gorge de mes épaules et le dégrafe. Mes seins se dressent, libérés de leur carcan. Il se passe la langue sur les lèvres. Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes et m’en débarrasse d’un coup de pied. Je vais pour enlever mes bas, mais il me fait signe que non.
Avec inquiétude, je le vois défaire sa ceinture et la faire glisser dans les passants de son pantalon pour la retirer. Mes fesses se souviennent du début de la séance. Il se met à rire en voyant mon visage déconfit. Il passe alors derrière moi et m’ordonne de mettre mes mains dans le dos. À peine ai-je le temps de m’exécuter, qu’il saisit et attache mes poignets à l’aide de sa ceinture. Il tire sur le bout libre pour m’obliger à m’agenouiller.
La moquette est rugueuse sous ma peau. Je vais en garder les marques, c’est certain. J’écarte les genoux pour me stabiliser. En voyant son sourire lubrique, je réalise l’obscénité de ma position. Comme elle semble lui plaire, je n’en change pas. Quelle image de soumission je dois donner ! Nue, portant seulement des bas en résille et mes petites chaussures à talon, les mains attachées dans le dos, à genoux devant mon patron.
Un vrai porno !
Sans un mot, il défait la braguette de son pantalon et sort son sexe, encore au repos.
— Fais ce qu’il faut », dit-il en posant une main sur ma tête.
Je lève mon visage vers lui et souris avant de commencer à le lécher. Ma langue va-et-vient lentement de son gland à sa racine, prenant mon temps. La pointe de ma langue titille un peu son gland. J’entends sa respiration s’accélérer un peu. Mes lèvres suçotent son gland, l’aspirant légèrement. Ma langue tourne autour, dans un sens, puis dans l’autre avant de recommencer à le lécher. Peu à peu, il se durcit, se redresse, se gonfle. En le voyant ainsi, je pousse un soupir de satisfaction. Il me tire alors les cheveux en arrière, pour que je le regarde.
— Crois-tu que cela soit suffisant pour me donner du plaisir ?— Non, Monsieur.— Alors, continue !
Je sens mes lèvres frémir à la façon dont il me parle. C’est tellement excitant. J’ouvre alors la bouche et y enfourne son sexe. Il est gros et long, plus long et plus gros que celui de son frère. Brusquement, ses deux mains se posent sur ma tête et la poussent brutalement, me faisant l’avaler entièrement. Il émet un râle rauque en me maintenant la tête. Je sens la nausée me gagner sous la profondeur de cette pénétration. Pour la faire passer, je déglutis une fois, puis une autre. À chaque déglutition, je l’entends gémir. L’alternance contraction/relâchement des muscles de ma bouche et de ma gorge le stimule plus que mes succions. Alors je continue avec plaisir. Le nez dans sa toison pubienne, je respire son parfum, celui de l’homme en rut, enivrant, excitant.
— Arrête !
Son ordre claque brutalement dans le silence du bureau. Pourtant, j’ai envie de continuer, de le garder dans ma bouche. Me refusant ce plaisir, il me tire la tête en arrière, pour m’obliger à le libérer. Je lui souris, haletante, attendant plus que ça.
— Je ne te savais pas si douée.— Merci, Monsieur.
J’ai oublié toute pudeur, toute honte : je lui obéis et lui réponds avec humilité. Il esquisse un sourire et me relève d’un geste souple, pour me plaquer à nouveau contre le bureau. Du pied, il m’écarte les jambes.
Ses doigts saisissent mes lèvres et les caressent.
— Hmm, me sucer t’a autant excitée ? »
Je mets un peu de temps à répondre. Deux nouvelles claques s’abattent avec force sur mes fesses. Je lâche deux nouveaux cris.
— O-oui, Monsieur.— Tu aimes être punie aussi.
Il ne me laisse même pas le temps de répondre, deux nouvelles claques. La douleur cuisante m’arrache des larmes.
— Oui... Monsieur.
Il enfonce brutalement trois doigts d’un coup entre mes lèvres. Je gémis de surprise et de plaisir sous la force de cette pénétration. S’il est lent, son va-et-vient est très profond, m’arrachant un cri à chaque fois.
— Vas-y. » grogne-t-il en continuant. « Tu peux crier tout ce que tu veux, il n’y a plus personne.
Comme pour me faire obéir, il introduit un quatrième doigt. Douleur et plaisir se mêlent l’un à l’autre à nouveau.
— Oooohhh, ouiiii !
Ma voix résonne contre les murs. Je m’en moque. Je l’entends ricaner de plaisir, accentuant son geste. Je crains qu’il n’y mette carrément le poing.
Il va finir par me déchirer !
Il retire ses doigts et sans me laisser de répit, me pénètre avec force. Chaque coup de reins m’écrase un peu plus sur le bureau. Mes cuisses heurtent de plus en plus rapidement le rebord du bureau. Je vais avoir des bleus, mais je m’en moque. Je n’en peux plus.
— Je... Je...— Quoi ??? » crie-t-il agacé.— Vais jouir !!!— Oh non, ma petite.
Il se retire alors aussi brutalement qu’il m’a pénétrée. Je ne peux pas m’empêcher de me plaindre.
— Non, s’il vous plaît, s’il vous plaît.
Il me caresse le dos et descend jusque sur mes fesses. Il me les écarte avec force, tirant délicieusement sur ma peau. Je sens alors qu’il me malaxe l’anus avec son pouce, tout en utilisant mon jus pour le lubrifier. J’ai le corps en feu. Ses pressions se font progressivement de plus en plus fortes. Mon anus se détend rapidement sous ses caresses.
— Alors, comme ça, tu aimes les doubles pénétrations, hein ?— Oui... Monsieur », bafouillé-je ne sentant mon visage chauffer.— Très bien.
Il m’abandonne un instant, dans cette position aussi indécente qu’excitante. Il revient au bout de quelques secondes et me montre un plug anal en silicone, son diamètre est aussi gros que son sexe en érection.
— Lubrifie-le.
Je lèche avec attention toute la surface du plug. J’aime la sensation douce du silicone sur ma langue, aussi douce que la peau du sexe de Marc. Il l’applique avec une légère pression sur mes lèvres afin que j’ouvre la bouche. L’objet envahit complètement ma bouche. Ses lents va-et-vient sont assez excitants. Satisfait, il finit par le retirer.
— Pas besoin de te préparer plus que ça.
Sans plus de préliminaire, il introduit brusquement le plug dans mon anus. La brutalité du geste me surprend, me submergeant d’une vague de plaisir jamais ressenti : le plug est en fait plus gros que son sexe.
— Aaaaahhh... » lâché-je.— Vas-y ! » dit-il avant de m’asséner une nouvelle claque. « Tu aimes être punie comme ça ?
Sa question m’interpelle : est-ce que j’aime les punitions physiques ? Est-ce cette caresse interdite que j’aime ? Ou bien les deux ? Qu’est-ce qui me plaît le plus ? Une troisième claque s’abat, m’arrachant un cri.
— On ne t’a jamais appris à répondre ? Ou je dois te punir encore ?— Vous avez raison, Monsieur. Punissez-moi.— Très bien.
Ses mains m’écartent les lèvres et il me pénètre avec force. Je me cambre en gémissant. Les sensations sont beaucoup plus fortes qu’avec les sexes d’Hugo et d’Alexandre en moi. Ses va-et-vient se font de plus en plus rapides. Je sens une pression monter dans mon bas-ventre, comme un trop plein de liquide. La tension en est presque douloureuse. Comme une envie d’uriner. Mes seins écrasés sur le bureau me font mal, mes cuisses heurtées contre le meuble à chaque coup de reins sont douloureuses. Le frottement de son sexe contre ma paroi étirée par le plug m’arrache des cris de plaisir. Trop rapidement, je l’entends rugir en se lâchant. Plusieurs claques sur mes fesses se succèdent, me faisant gémir encore plus.
Il se retire. Mais la pression que je ressens ne fait qu’augmenter.
— Monsieur... s’il vous plaît...— Quoi ?— J’ai besoin... toilettes... peux plus me retenir.
J’entends le bruit feutré de ses pas rapides dans le bureau. Mais je n’ose pas regarder ce qu’il fait. Une porte grince. Ses pas reviennent.
Vite... je vais exploser.
Me retenir est difficile, très douloureux maintenant. Mais je dois tenir... je ne peux pas me vider sur son tapis.
— Accroupis-toi !
Sans ménagement, il me décolle du bureau et me force à m’accroupir au-dessus d’une bassine. Il s’agenouille derrière moi, me soutenant par la taille. C’est moins une. Mes muscles se relâchent et un flot de liquide s’échappe alors que je gémis de soulagement.
— Eh bien, si je m’attendais à ça !
Je décèle dans sa voix un brin de surprise, alors que je me vide honteusement dans son bureau. D’un geste doux, il dégage le plus anal, m’arrachant un nouveau soupir. Je sens les dernières gouttes couler. Il m’aide à me relever. Il m’installe dans un fauteuil, dont il bascule le dossier en arrière, avant de me faire poser les cuisses sur les accoudoirs.
— Quelle position indécente », commente-t-il. « Mais tellement plaisante à regarder.
Je reprends doucement mon souffle tandis qu’il s’éloigne à nouveau de moi. Tout est redevenu calme dans le bureau. J’ignore ce qu’il fait en ce moment et encore moins ce qu’il projette de me faire encore subir. Mais quoi qu’il veuille, je le subirai avec plaisir.
De l’eau coule. Quelque chose de métallique est traîné sur du bois. Les pas reviennent vers moi. Je ne sais ce qu’il est allé chercher. Je redoute autant que j’attends avec impatience la suite.
— Ne bouge pas.
Je lève la tête : il s’est agenouillé entre mes cuisses. Je crie de surprise en sentant un liquide froid couler sur mes lèvres et mon anus.
— Laisse-toi faire.
Je me sens gagnée par des frissons. Le froid qui apaise ma chair, le liquide qui la stimule, l’homme qui me domine. J’entends l’eau couler dans un récipient métallique. Ce doit être une bassine. Mais pourquoi prend-il le soin de me nettoyer comme ça ? N’en a-t-il pas fini avec moi ?
— Parfait ! » dit-il en passant sa main sur mon anus et mes lèvres. « Lève-toi maintenant.
Je lui obéis sagement. Il me libère les mains. Je pousse un soupir de soulagement en me frottant les poignets. Il me lance ma robe.
— Cette attitude me plaît. Continue comme ça et tout se passera bien.— Bien, Monsieur.
Même si à ce moment, je joue la grande timide, la chienne assoiffée de sexe et de soumission s’est réveillée en moi. Je n’attends plus qu’une chose : retourner dans son bureau.
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