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Un job d'appoint

Chapitre 18

Une soirée très spéciale (1/2)

Voyeur / Exhibition
Je suis surprise de voir une petite boîte posée sur une robe noire, sur mon lit. Une petite enveloppe accompagne les deux cadeaux.
Pour Marion.
Je reconnais l’écriture fine et élégante de Marc sur l’enveloppe. Je m’assois sur le lit, le cœur battant. Qu’est-ce donc ? Je n’ai rien fait pour mériter un cadeau. Fébrilement, je la décachète.
Ta tenue pour ce soir.20 heures 30. Dans le salon.
Les doigts tremblant, je saisis la boîte et l’ouvre. Je trouve deux paquets, dont un fait en papier de soie. Je le déplie, ma curiosité de plus en plus excitée. Je découvre un ensemble collier - bracelets en cuir noir. Lorsque je les sors, je me rends compte qu’il ne s’agit pas d’une simple parure.
Une parure de soumise !
Le collier et les bracelets sont larges de 5 centimètres et ornés chacun d’un anneau en métal. Leur cuir est épais. Un frisson d’inquiétude s’empare de moi. Que va-t-il faire de moi ? Depuis le début, je ne suis qu’un jouet entre ses mains et le pire... le pire c’est que j’aime vraiment ça. Est-ce ainsi qu’il compte continuer à me punir de ma conduite ? Si c’est le cas, je m’y soumets avec plaisir.
Je regarde l’heure : 19 heures 30. Je ne dois pas tarder. Je file sous la douche, me lavant bien partout. Et quand je dis partout, je dis partout. Mon gant s’attarde sur mon sexe et mon anus. On ne demande pas à une femme de porter un tel ensemble sans attente obscène derrière la tête. Je me sèche rapidement et entreprends de me coiffer. Avec un collier comme ça, il faut que je me fasse un chignon. Quel que soit l’endroit où Marc m’emmène, il voudra que l’on voie que je lui appartiens. Il me faut bien un petit quart d’heure pour achever mon chignon, et lui donner un petit côté négligé en dégageant quelques mèches de mes cheveux. Je me maquille discrètement et termine par une touche de rouge à lèvres violet, celui que Marc préfère.
Je retourne dans ma chambre. J’ouvre le second paquet et vois aussi qu’il a mis une robe bustier noire et une paire de bas résille autofixant. Je les enfile en prenant garde de ne pas les abimer et me glisse dans mes escarpins Salomé noirs. Il adore me voir seulement avec ces accessoires. Si au début, je trouvais ça vulgaire, maintenant, je me trouve très sexy. Je saisis le collier et le passe. Je règle le serrage pour bien sentir le cuir sur ma peau, sans pour autant me comprimer la gorge. Je mets ensuite mes bracelets en cuir. Je m’arrange pour que les anneaux soient bien apparents. Je me regarde dans le miroir : en talons hauts, les jambes gainées dans mes bas, avec mes accessoires de soumise, je donne bien l’image qu’il veut avoir de moi.
En enfilant ma robe, je nous imagine bien aller dans une boîte de nuit et danser un slow langoureux tandis que ses mains se glissent sous ma robe, pour me caresser au milieu de la foule.
Comment suis-je devenue aussi perverse ?
Ma propre attitude me choque. Peut-être que je l’étais déjà, mais aucun de mes amants n’avait jusque-là éveillé cette perversité en moi. Et pourtant... ça me plaît énormément. Je n’ai jamais été aussi comblée sexuellement que depuis mon arrivée ici : Marc, Hugo, Alexandre, Benoit. Quatre hommes différents, trois tempéraments différents. Anne et Élise... Même des femmes m’ont donné du plaisir.
Bon, il faut que je descende.
J’enfile rapidement mon manteau. Je ne le ferme pas tout de suite : Marc voudra sûrement examiner ma tenue. Je descends lentement les escaliers, encore peu habituée aux talons hauts. Je me trouve très sexy, avec cette robe qui m’arrive au ras des fesses. J’espère que ça lui plaira.
En parlant du loup, je le vois qui m’attend devant l’entrée. Il baisse les yeux sur sa montre puis me lance un regard satisfait. Lorsque j’arrive devant lui, il m’ordonne d’ouvrir mon manteau. Avec un brin d’excitation, je m’exécute. Me dévoiler comme ça devant lui est toujours une source de plaisir. Il hoche la tête, semblant satisfait.
— Tu es superbe.— Merci, Monsieur.
Je dissimule un sourire alors qu’il s’approche de moi. Il glisse son doigt sur le bord de mon bustier, me faisant frissonner. Sa main tire dessus pour baisser mon bustier, libérant ma poitrine. Il saisit mes tétons, et les tord, m’arrachant un nouveau cri. La douleur est plus forte, mais c’est tellement mieux lorsqu’il tire dessus. Il hoche la tête. Il me relève le bas de ma robe, dénudant mon sexe et mes fesses avant de glisser sa main entre mes cuisses.
— Ça t’a excitée, dis-moi. » me murmure-t-il d’une voix sensuelle.— Oui, Monsieur. » dois-je admettre.— Au fait, Benoit ! » crie-t-il en levant les yeux vers l’escalier. « Si tu veux nous regarder, sors de là !
Je lève la tête et vois le plus jeune frère, en haut des escaliers qui nous espionnait. Même si je lui ai fait goûter au plaisir réel, il aime toujours faire son voyeur.
— Prends-en de la graine, Benoit. Reste jusqu’au bout !
Disant cela, il passe derrière moi et enfonce profondément deux doigts dans mon vagin. Je suis gênée de m’exhiber comme ça devant son frère. Malgré cela, je gémis de plaisir sous ses va-et-vient rapides. Je me tortille devant lui. Il retire ses doigts promptement avant de les lécher en souriant.
— Parfait, maintenant. Allons-y.
Frustrée que l’on s’arrête là, je réajuste ma robe et referme le manteau. Au moment de sortir, j’aperçois la silhouette de Benoit disparaître dans le couloir. Rougissante et excitée, je suis Marc.
Une fois dehors, je vois Alexandre nous attendre devant la voiture. Son regard doux me caresse avec tendresse. Il y a tellement de gentillesse dans ce regard que j’ai du mal à le supporter, moi qui ne suis qu’un jouet entre les mains du maître de maison. J’espère que ce n’est pas lui qui va conduire : Marc est assez pervers pour m’exhiber à lui dans la voiture. Je crois que je serais incapable de supporter son regard.
A mon grand soulagement, c’est Marc qui va conduire. Alexandre nous lâche un « bonne soirée » de convenance, trahi par la pointe de douleur dans son regard. Il sait ce que me fait subir Marc, il sait aussi que j’aime ça. Mais il sait aussi que j’aime les moments passés avec lui. J’espère seulement pouvoir encore en bénéficier. Je m’installe côté passager. À peine ai-je mis ma ceinture de sécurité que je sens que Marc bascule le dossier de mon siège en arrière.
— Ouvre ton manteau et remonte ta robe », me dit-il en faisant une marche arrière.
Je détache la ceinture du manteau et en écarte les pans, tandis que Marc s’engage sur la route. Je remonte le bas de ma robe, lui dévoilant mon sexe comme il me l’a demandé, et écarte les cuisses. Sans me regarder, sa main droite glisse dans mon bustier pour dégager mes seins et les caresser l’un après l’autre, tirant par moments un téton puis l’autre me faisant gémir. Il passe alors une vitesse et sa main descend sur mon sexe.
— Ne bouge pas. Reste comme ça.
Son majeur glisse sur mon clitoris et le frotte avec force. Je me cambre de plaisir sous sa caresse. Des bruits humides viennent se mêler à mes gémissements. Mes muscles se resserrent sur son doigt.
— Ah, tu en veux plus ? Très bien.
Il retire son doigt pour passer une nouvelle vitesse, en ralentissant. Son doigt me manque. Mais très rapidement, il me comble à nouveau en glisse trois doigts. Mes muscles se contractent aussitôt. Je ne peux retenir un cri. Je monte mes pieds sur le tableau de bord, m’offrant plus à ses assauts.
— Monsieur... je... je...— Vas-y, jouis.
Je ne peux plus retenir mon plaisir. J’attrape son poignet de mes deux mains pour le maintenir profondément en moi alors que mon corps est envahi de violents spasmes.
— Eh bien, eh bien... » dit-il en essayant de retirer sa main. « Tu es vraiment surprenante. Mais lâche-moi, on est arrivé.
Je m’exécute à contrecœur tandis que la voiture s’engage dans un parking. J’ignore à quel moment nous sommes arrivés en ville. Il se gare dans un souterrain et coupe le moteur. Avant de descendre, il me tend un mouchoir pour que je m’essuie. Avec lenteur, je m’exécute, insistant bien entre mes lèvres, les écartant bien.
— Allez, on y va.
Son ordre me fait bondir. Je détache ma ceinture de sécurité et sors de la voiture. Une fois dehors, je réajuste encore ma robe et rejoins Marc qui me tend le bras. Je glisse délicatement mon bras autour du sien et nous traversons le parking.
De nouveau, chaque pas que je fais titille ma curiosité et je sens mes lèvres mouiller encore plus. Nous entrons dans un ascenseur et Marc tape rapidement un code sur le panneau. Alors que je m’attends à monter, la paroi du fond de l’ascenseur s’ouvre sur un couloir sombre, éclairé de lumières tamisées. Cela fait film d’espionnage. Inquiète, je resserre mon bras autour de celui de Marc qui me rassure. Nous parcourons quelques mètres quand nous arrivons devant une porte de bois massif. Marc tape trois coups brefs et deux coups longs. Une voix sourde nous demande qui nous sommes. Marc répond avec aplomb.
— Marc et Marion.
L’instant d’après, la porte s’ouvre en grinçant. On se croirait dans une société secrète. Nous nous engageons dans un couloir toujours sombre, mais décoré de lourdes tentures pourpres. Au loin, de la musique se fait entendre, mais je n’arrive pas à la discerner correctement. Toujours accrochée au bras de Marc, j’avance avec prudence. La musique se fait plus forte, la lumière un peu plus vive. Derrière une dernière tenture, notre destination. Marc pose la main sur la tenture et tourne la tête vers moi.
— Ce soir, laisse-toi faire. Je ne t’obligerai pas à revenir si tu refuses.— D’accord.
Finalement, même s’il est exigeant et sévère avec moi, il n’en reste pas moins humain. Cela me rassure alors que nous passons la tenture. J’entre dans un nouveau monde.
L’espace devant moi est beaucoup plus illuminé que les couloirs. Une ambiance très jazz sensuelle règne sur les lieux. Il y a beaucoup de monde. Je ne sais pas trop où regarder. Mon regard se promène partout. Marc salue plusieurs personnes au passage, sans me présenter. Plus on avance, plus je découvre la particularité de ce club.
Je vois plusieurs grandes cages. Dans certaines, des femmes nues se trémoussent dans des positions obscènes. Dans d’autres, des femmes sont enchaînées, suspendues, bâillonnées, exposées. Je serre le bras de Marc en me collant un peu plus à lui. Sur une piste, des couples dansent en se tripotant en toute indécence, sous les regards gourmands des autres danseurs. Lorsque je m’attarde un peu en voyant un homme prendre sa partenaire contre un poteau. La femme me voit les regarder et passe sa langue sur ses lèvres. Hypnotisée par ce spectacle, j’en oublie presque Marc. Celui-ci vient me chercher en me tirant sur le bras.
— Pour nous, c’est là-bas.
Il désigne une lourde porte de la tête. Je quitte à regret le spectacle qui m’était offert. Et nous passons cette nouvelle porte.
Un autre spectacle me saisit, un spectacle plus sombre. Ici, une seule cage, beaucoup plus grande que les autres. Au milieu trônent plusieurs « meubles » : un fauteuil avec de grands accoudoirs et un haut dossier, une croix de Saint André, un pilori, une sellette. Je m’arrête brusquement : un club sadomasochiste ! Bon d’accord, Marc est plutôt brutal avec moi, mais je n’imaginais pas qu’il fréquentait ce genre de club. Il me tire par la main.
Il m’entraîne jusqu’à une petite alcôve équipée d’une petite table ronde, encadrée d’un divan incurvé et de deux chaises. D’un mouvement de la tête, il m’indique de m’asseoir sur le divan. Je retire mon manteau et me glisse sur le divan. Le velours de la housse du fauteuil me caresse délicieusement la peau. Marc s’installe aussitôt à côté de moi. Aussitôt, une serveuse seulement vêtue d’un petit tablier noir s’approche et sourit à Marc.
— Un whisky, Monsieur ?— Oui, Sarah. » Il se tourne vers moi. « Que veux-tu boire ?— Un cocktail sans alcool.
Marc fronce les sourcils, prêt à me faire une remarque. Mais Sarah me sourit gentiment.
— Je peux vous proposer une pina colada. Elle n’est pas très forte.— D’accord, alors.
Elle m’adresse un clin d’œil avant de tourner les talons. Je jette un regard à Marc, mais il ne dit rien. Je ne sais pas trop quoi penser de ce début de soirée et me demande, avec appréhension, ce qui m’attend. Je continue de m’interroger quand les lumières s’éteignent. Je sursaute légèrement. Je sens alors la main chaude de Marc sur ma cuisse qui me caresse. Autour de moi, j’entends des soupirs et des murmures d’approbation. De la scène plongée dans le noir proviennent des bruits de raclement, de choc, d’objets que l’on déplace... puis des bruits de pas, de talons hauts pour être plus précise.
La lumière revient, n’éclairant que le centre de la scène. Je vois avec surprise, une femme, nue, attachée, les mains au-dessus de la tête par une longue chaîne qui se perd dans le plafond. Ses yeux sont bandés. Son corps élancé semble se cambrer à son extrême, sa poitrine n’en ressort que plus. Elle doit se trouver sur une sorte de plateau tournant, car elle pivote sur elle-même, offrant à notre vue sa superbe cambrure, ses fesses rebondies, ses longues jambes fuselées. Autour de nous, tout n’est plus que soupirs de plaisir.
Même moi qui suis une femme, je reste subjuguée par ses courbes parfaites. Je jette un nouveau coup d’œil à Marc : il la dévore du regard. Je pousse un léger soupir : je ne suis pas aussi bien proportionnée que cette femme, il ne me regarde pas de la même manière. Un grand verre contenant un liquide laiteux se pose devant moi.
— Offert par la maison, Mademoiselle », me dit-elle en souriant. « Pour votre première visite.— Oh, merci.
Je me sens gênée par l’offre, mais elle me fait plaisir.
— Bonne soirée.
Elle tourne à nouveau les talons pour se rendre à une autre table, en ondulant sensuellement des hanches. Je prends une gorgée de cocktail à la paille et me délecte de ma boisson. Comme Sarah me l’a dit, il n’est pas très fort. Mon attention se reporte alors sur la scène.
Un homme masqué est apparu près de la femme. Ses mains la caressent lentement, ne laissant aucun centimètre carré de peau sans soin. De là où je suis, j’entends les gémissements de plaisirs de la femme qui se tortille sous les mains habiles.
Est-ce que je lui ressemble quand on me caresse comme ça ?
Un violent claquement me fait sursauter. L’homme a abattu sans hésitation une tapette sur les fesses de la femme. Un cri s’échappe de sa gorge alors qu’elle se cambre encore. L’homme enchaîne alors plusieurs coups sur ses fesses qui rougissent rapidement. Des murmures d’approbation et des gémissements montent autour de nous. Je jette de nouveau un regard à Marc : il regarde la scène, toujours stoïque. Je n’arrive pas à savoir s’il y prend du plaisir ou pas. Pour ma part, ça me fait froid dans le dos.
Si ça commence comme ça, qu’est-ce que va donner la suite ?
J’ai beaucoup de mal à fixer mon attention sur ce qui se passe sur scène, mais je prends sur moi.
L’homme laisse tomber la tapette et recommence à la caresser longuement, lui malaxant fermement les seins. Des gémissements de plaisir remplacent ses cris de douleurs. Il passe derrière elle, lui pétrissant la poitrine. Plusieurs fois, il pince douloureusement ses tétons en les lui tordant. Je ne peux réprimer un soupir de plaisir : j’aime quand Marc me fait la même chose. Je sens le regard de Marc sur moi. Sa main qui me caressait la cuisse jusque-là remonte plus haut vers ma hanche. Machinalement, j’écarte les cuisses. Ses doigts se faufilent dans mon entrejambe, titillant légèrement mes lèvres. Il semble déçu de ne pas me trouver excitée.
Il prend ma main et la pose sur son sexe durci sous son pantalon. Presque malgré moi, ma main se met à le caresser. Je le vois hocher la tête et reporter son attention sur la scène. J’en fais de même.
L’homme se lève et va chercher quelque chose dans un panier. Très rapidement, je me rends compte qu’il s’agit de pinces à linge, qu’il place sur ses tétons et ses lèvres. Elle se tortille sous la morsure des pinces. Il déroule ensuite des cordes reliées aux pinces et commence à tirer dessus. Ses tétons s’allongent douloureusement. J’entends, non loin de moi, le bruit mouillé d’une femme qui se masturbe. Ses gémissements sont presque aussi audibles que ceux de la femme sur scène.
Est-ce qu’elle s’imagine à sa place ?
L’homme tire maintenant sur les cordes du bas. Les lèvres de la femme s’étirent et s’ouvrent. Je laisse échapper un cri de surprise : je ne pensais pas que la peau pouvait s’étirer autant. À ce moment, je sens les doigts de Marc me pincer les lèvres et les frotter l’une contre l’autre. Je sens une sorte de courant électrique me traverser le corps sous cette caresse. Par réflexe, ma main presse son sexe à travers le tissu, au point de l’entendre pousser un gémissement de plaisir. Je commence à haleter.
L’homme prend alors l’une des grandes bougies rouges qui illuminent la scène et commence à en faire couler la cire sur la poitrine de la femme. Ses gémissements sont à la frontière entre le plaisir et la douleur. La cire laisse de grandes traînées rouges sur ses seins, sur son ventre. Passant derrière elle, il lui écarte les fesses pour faire couler la cire dans son sillon. Bien sûr, je connais la sensation de cire chaude sur ma peau lors des épilations. Mais je pense que la cire utilisée sur elle devait être beaucoup plus chaude.
Marc défait alors de sa main libre la fermeture éclair de son pantalon. J’en sors immédiatement son sexe en érection et commence à le caresser. Sans un mot, il passe sa main derrière ma nuque et me force à me pencher sur lui. La bouche ouverte, j’enfourne immédiatement son sexe. Je le suce avec application, prenant soin de lui lécher la hampe en même temps. Ses mains sur ma tête me maintiennent fortement contre lui. Son gland caresse le fond de ma gorge. Mais cela ne me déplait plus. Je déglutis plusieurs fois, comprimant son sexe entre ma langue et mon palais. Je sais qu’il aime ça. Ses doigts se glissent dans mes cheveux, me caressant lentement.
Malgré toute ma concentration sur son sexe, j’entends les cris de douleur de la femme sur la scène, les applaudissements et les gémissements des spectateurs autour de nous. Tout en suçotant son gland, une partie de mon esprit encore clair suppose qu’il veut m’éviter ce spectacle et une autre partie me dit qu’il prend son pied avec ce genre de démonstration et qu’il a envie de plus. Ma main accompagne mes allers-retours. Arrêtant de le sucer, je garde son sexe en main et lui lèche alors les testicules. Il semble surpris, car je le sens se raidir sous moi, mais il ne me repousse pas. Satisfaite, je continue, le masturbant d’une main et aspirant un testicule puis l’autre et recommençant plusieurs fois.
— Oooh, putain », l’entends-je lâcher.
Il me fait arrêter et me lever. Il m’indique ses cuisses. Je relève ma robe et m’assois à califourchon face à lui. Ses mains tirent sur mon bustier, mettant à nu ma poitrine. Alors qu’il me caresse et me pétrit les seins l’un après l’autre, il m’enfonce profondément deux doigts dans le vagin. Je laisse échapper un gémissement de plaisir tandis que ses doigts vont et viennent très profondément en moi et que les doigts de son autre main pincent tour à tour mes tétons.
— Aaah... » laissé-je échapper avant de mettre mes mains devant la bouche.— Tu peux te laisser aller. Tout le monde le fait ici...
Je n’ose à peine regarder autour de moi : de nombreux couples s’adonnent à la même chose que nous, beaucoup utilisant des accessoires, mais Marc n’utilise que ses doigts et ils me suffisent amplement.
— Bien, tu es prête.
Il retire ses doigts et s’empare de mon bassin. D’un geste souple, il m’empale sans douceur sur son sexe. Je me cambre sous cette pénétration brutale, en gémissant plus fort. Posant mes mains sur ses épaules, je commence à faire onduler mon bassin sur lui. Derrière moi, des gens s’arrêtent pour nous observer, mais je m’en moque. Je suis dans ma bulle avec... avec mon maître. Baissant la tête, je le regarde dans les yeux, je lui souris. Il me sourit en retour et enlace ma taille pour me serrer contre lui. Le discret changement d’angle stimule ma paroi différemment. Je gémis au creux de son oreille, en accélérant le mouvement. Je sens mes muscles se contracter autour de son sexe, signe d’un orgasme proche. Il le sent et m’arrête.
— Tourne-toi.
Je me dégage lentement pour savourer encore un peu la présence de son sexe en moi et me retourne. Je prends appui sur la table pour lui présenter bien haut mes fesses : ainsi il choisira par où me prendre. Ses doigts glissent sur ma fente palpitante et s’enduisent de mon jus avant de caresser mon anus. Il introduit deux doigts dans mon vagin, attaquant un va-et-vient rapide et brusque. Je vois, devant l’alcôve, un couple s’arrêter. Je baisse la tête, un peu honteuse de prendre du plaisir, me sachant observée. Je ferme les yeux pour essayer de les oublier, mais j’entends toujours les gémissements de plaisir des spectateurs.
Rapidement, ses doigts sortent de mon vagin pour s’introduire dans mon anus. La pénétration est de plus en plus facile. Je me félicite intérieurement d’avoir continué quotidiennement à porter le chapelet anal. Après quelques allers-retours, Marc retire à nouveau ses doigts. Je sens son gland contre mon anus et il me pénètre lentement, mais d’un seul coup entièrement. Me voilà assise, empalée sur lui, les cuisses écartées avec obscénité, les seins à l’air, malaxés sans douceur sous les yeux d’inconnus. Mes gémissements se font de plus en plus fort. Ses mains glissent sur mes cuisses puis sur mon sexe grand ouvert. Il pince mes lèvres en tirant dessus.
— Aaaah...— Tu aimes ça ? Pourtant...
Mais il ne finit pas sa phrase. Il m’enfonce deux doigts. Son sexe dans mon petit trou, ses doigts dans mon vagin. Je profite de cette double pénétration avec plaisir. Mon bassin ondule frénétiquement. Je lâche un cri lorsque je sens ses dents s’enfoncer dans mon épaule. Il jouit en moi en grognant contre ma peau, me mordant plus fort. Ses doigts sortent de mon vagin, laissant mon jus couler entre ses pieds, devant des murmures approbateurs. Marc me garde serrée contre lui, son sexe planté en moi.
J’ouvre doucement les yeux. Les quelques personnes qui nous avaient regardés se sont éparpillées. Je ne vois plus que la scène devant moi. A genoux, l’homme écarte largement ses lèvres et introduit un énorme gode d’un seul coup. La femme se cambre en criant. Je n’arrive pas à savoir si elle crie de douleur ou de plaisir. Il lui imprime de violents va-et-vient. Se redressant un peu, il happe l’un de ses tétons pour le mordre et tirer dessus avec ses dents. Elle crie de nouveau.
— Voilà ce que j’aime.
L’homme pénètre violemment la femme par-derrière. Cette fois, elle semble y prendre beaucoup de plaisir. Lorsqu’elle se cambre, je vois sur son corps les nombreuses traînées de cire durcie, sur ses seins, sur son ventre, sur son sexe. Je frissonne.
Je sens les mains de Marc sur mon bassin et se dégager lentement de moi. J’esquisse un mouvement pour m’asseoir à côté de lui, mais il m’en empêche.
— Non, reste comme ça. Je veux qu’on te voie.— Bien, Monsieur.
Depuis ma première convocation dans son bureau, j’avais compris qu’il aimait le sexe brutal. Mais je n’imaginais pas que c’était à ce point-là. Je me mis brusquement à trembler. Ses mains se posèrent sur mes seins et, à ma grande surprise, me les caressèrent avec douceur.
— Cela te faire peur ?— Oui, Monsieur », admets-je. « Je... Je ne sais pas si je pourrais supporter.
Je m’attends à ce qu’il me punisse à sa façon, mais au contraire, il réajuste ma robe.
— Je ne te cache pas que je veux essayer avec toi », dit-il en me faisant descendre de ses cuisses. « Si ça ne te convient pas, eh bien, j’aviserai.
Son ton n’augure rien de bon. Cela signifie-t-il qu’il va se passer définitivement de mes services ? Cette perspective ne m’enchante pas : j’ai besoin de ce travail. Et ses petits à côté sont loin de me déplaire.
— Je veux savoir jusqu’où on peut aller avec toi.
J’ai failli avaler ma gorgée de cocktail de travers : je ne m’attendais pas à cette remarque. Je ne peux qu’acquiescer en m’essuyant les coins des lèvres avec une serviette.
— Je préfère le savoir », continue-t-il. « J’ai bien vu que tu aimes le sexe un peu brutal, avec un ou deux partenaires. Et que l’on te regarde n’a pas l’air de te déranger tant que ça.— Ça me gêne au début, mais après... je dois avouer que c’est très excitant.
Il prend une gorgée de whisky avant de me répondre.
— J’aime bien ton honnêteté », dit-il en posant son verre. « Est-ce qu’avoir des relations sexuelles avec des inconnus te dérange ?— Non, Monsieur. Ça m’est déjà arrivé.— Bien, très bien », dit-il en tapotant son verre du bout des doigts. « Et si je te demande d’avoir des relations avec certains hommes, pour mon plaisir, le feras-tu ?
Quelle drôle de question !
Je ne sais pas qui répondre à cela. Il balaie l’air de la main devant lui.
— Nous verrons ça plus tard. Ce soir, on continue ton éducation.
Je me sens rougir comme une tomate. Je saisis mon verre et prends une gorgée de cocktail pour me donner une contenance.
Dans quel guêpier me suis-je fourrée ?
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