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Un job d'appoint

Chapitre 26

Séance de Yoga... pas très relaxante...

Lesbienne
Le séjour de Benoit à l’hôpital, il y a deux jours, nous a tous stressés et m’a épuisée. Marc m’a fait passer un sacré quart d’heure après que je me suis occupée de Benoit. Je n’ai pas oublié le sourire qu’il a affiché quand nous avons quitté l’hôpital ni sa façon de se lécher les lèvres.
Nous n’avons pas échangé un seul mot depuis cette soirée, mais j’ai clairement senti son regard sadique se promener sur moi.
Dieu seul sait ce qui lui passe par la tête en ce moment... ou plutôt le Diable.
Ce matin, je l’ai trouvé assis dans la salle à manger, attendant que je lui serve son petit-déjeuner. Il ne m’a rien dit, se contentant de prendre son café en lisant le journal. Je n’ai même pas osé le regarder. Je ne sais pas ce qu’il me réserve et ne veux même pas y penser. Je me suis prise à espérer qu’il oublie l’incident, mais en mon for intérieur, j’en doutais énormément.

3 heures plus tard, au CRF...Alors que je me penche complètement en avant, pour poser les mains au sol, ces derniers jours redéfilent dans mon esprit. J’avais pensé que cette séance de yoga allait me changer les idées, mais je ne fais que penser à l’attitude froide, voire glaciale de Marc envers moi.
— Ne plie pas les genoux, Marion !
La voix d’Hugo me fait corriger ma posture. Je tends mes genoux, resserre mes pieds et plaque bien les mains au sol. Mes muscles postérieurs s’étirent douloureusement. En soufflant, je rapproche mon buste de mes genoux. Je sens les mains d’Hugo glisser sur mon dos jusqu’à mes épaules.
— Tu n’es pas très concentrée, aujourd’hui. Relâche. Toi aussi, Julie.
Je plie doucement les genoux pour m’asseoir en tailleur. Je m’étire longuement, en resserrant mes omoplates en inspirant, tandis que Julie s’installe à genoux. Je vois le regard d’Hugo se poser sur ma poitrine mise en avant. Je souffle en pouffant de rire. Je dois reconnaître que, même si elle me comprime un peu la poitrine, ma brassière de sport la met bien en valeur.
— Il parait, » reprend Hugo en prenant une gorgée d’eau, « que tu t’es bien éclatée avec Benoit. » Il s’arrête en me voyant piquer un fard du tonnerre. « C’est qu’il y prend goût, le petit chenapan. C’est ballot que Marc vous ait surpris.— Non, sérieusement ? » s’écrie Julie.— Ouais ! » répond Hugo en se marrant. « Dans une chambre d’hôpital, en plus !— Naaaaan ! Sérieusemeeeent ? » répète Julie, en exagérant cette fois.— Mouiii. » murmuré-je tout bas en me recroquevillant, la tête sur les genoux.
— Allez, te fais pas de mouron. » dit Hugo en s’agenouillant et en me frottant la tête. « Il t’a donné une bonne leçon après, non ?— Mouiiii... mais je sens qu’il n’a pas fini de me le faire payer...— Hmmm, j’aimerai bien voir ça. » commente Hugo.
Julie lui donne une tape sur la cuisse alors qu’il éclate de rire. Son téléphone portable sonne alors. Il décroche.
— Hugo... Oui... Oui... ah bon ?... Mince... J’arrive. » il pousse un profond soupir exaspéré en rangeant son téléphone dans sa poche. « Reprenez toutes seules. Je reviens. Un client fait un scandale à l’accueil.— Okay. »
Tandis qu’il nous laisse seules dans le box, je reprends la position de la Cigogne : pieds serrés, jambes bien tendues, mains à plat au sol, je souffle en collant ma poitrine contre mes genoux. À côté de moi, Julie s’est assise en tailleur. Je sens son regard se promener sur mon corps, le long de mes cuisses, gainées dans le bermuda de sport que je me suis offert pour les cours de sport, sur l’arrondi de mes fesses et de mon dos.
— Dans une chambre d’hôpital, hein ? » murmure-t-elle sur un ton admiratif. « Et deux fois, en plus... chapeau.
Sans tenir compte de la remarque de Julie, j’avance un peu plus mes mains au sol pour dérouler mon dos. Je relève la tête et la regarde.
— Un mauvais concours de circonstances. Benoit a fait un malaise dans la journée. Du surmenage et...— Ça va, ça va. » dit-elle en secouant la main. « Je vois le tableau d’ici. Il t’a fait ses grands yeux tristes, disant qu’il avait besoin de se détendre.— Mouiii... » réponds-je comme une gamine prise en faute, en descendant en posture du chat.
A quatre pattes, les genoux légèrement écartés, j’arrondis et creuse mon dos plusieurs fois de suite. Je sens de nouveau le regard de Julie glisser sur mes fesses, le creux de mon dos et ma poitrine. Je l’entends se lever et la vois se rapprocher de moi du coin de l’œil. Elle s’agenouille derrière moi pour poser ses mains sur mes lombaires. Se couchant presque sur moi, elle fait glisser ses mains le long de ma colonne vertébrale, accentuant mon étirement. Je sens son parfum fleuri flotter jusqu’à mes narines.
— Tu es très excitante dans cette position, tu sais ? » me murmure-t-elle sensuellement.
Ses mains glissent alors sur mon ventre, m’arrachant des frissons avant de remonter sur ma poitrine. Je laisse échapper un gémissement.
— Hu... Hugo pourrait revenir. » lui dis-je mi-inquiète, mi-excitée à cette idée.— On l’invitera à se joindre à nous. » dit-elle en se redressant.— Oh, oui, Julie. Comme tu voudras.
Julie, à qui Marc m’a offerte en cadeau au « Club », est devenue mon amie depuis la petite réunion improvisée par Alexandre pour me sortir de ma déprime. Ses lèvres glissent le long de mon dos, sa langue y dessine des arabesques tandis que ses mains vont et viennent sur mes flancs, pour glisser sur mes hanches et le long de mes cuisses. Son toucher est léger et délicat. Elle me caresse l’extérieur des cuisses puis remonte à l’intérieur en évitant mon intimité pour se glisser à nouveau sur mon dos. Elle recommence ce petit jeu plusieurs fois. C’est à la fois agréable et agaçant, car elle réveille mon désir. Se couchant presque sur mon dos, elle me lèche l’épaule jusqu’à mon oreille.
— Je suis ravie que tu te sois remise de cette soirée. » me susurre-t-elle sensuellement. « J’avais tellement envie de toi... la dernière fois... J’ai dû me retenir de te rejoindre dans ta chambre.
Ses mains viennent se poser entre mes omoplates. D’une pression ferme, elle me fait pencher plus en avant. J’allonge mes bras devant moi pour venir poser ma poitrine contre le tapis. Mon dos se cambre, mes fesses ressortent encore plus.
Ses doigts agrippent la ceinture de mon bermuda et le font glisser, mettant mes fesses et mon sexe à nu. L’excitation me gagne. Son souffle chaud me caresse mes fesses, couvrant ma peau de délicieux frissons. Sa langue glisse sur mes fesses, explorant le moindre centimètre carré de ma peau, décrivant de larges cercles qui rétrécissent petit à petit pour venir m’agacer les lèvres. Très vite, je sens mon intimité se lubrifier. Ses doigts écartent mes lèvres pour laisser à sa langue la place d’évoluer avec agilité.
— Oooh, Julie. » gémis-je en crispant mes poings.
Elle me lèche consciencieusement, la langue bien à plat, de bas en haut. Je me mords la lèvre pour m’empêcher de gémir plus fort. Ses coups de langue sont de plus en plus intenses et précis, tandis que ses doigts s’emparent de mon clitoris pour jouer avec. Mon corps est brutalement parcouru d’une décharge électrique alors que ma liqueur se fait plus abondante.
— Oooh, Marion... tu es une vraie fontaine de plaisir.
Julie plaque sa bouche contre mes lèvres et aspire mon jus. Mes poings se serrent, mon ventre se contracte. Mon plaisir monte en flèche.
— Ju... lie... fais-moi ce que tu veux... » lâché-je brutalement, entièrement soumise à elle.— Je ne vais pas m’en priver.
Ses doigts m’écartent plus les lèvres pour permettre à sa langue de s’y engouffrer. Je m’aplatis encore plus contre le sol pour appuyer mon sexe contre son visage et profiter de cette caresse. Ses doigts asticotent de plus en plus mon clitoris qui me semble gonflé au point d’éclater. Les larmes me montent aux yeux tellement c’est bon. Ma respiration saccadée résonne dans la pièce. Ses doigts s’écartent et se resserrent plusieurs fois de suite. Elle vient plaquer son autre main sur mon bas-ventre, augmentant la pression de mon vagin autour de ses doigts. Mon cœur menace d’exploser dans ma poitrine. J’adore ce qu’elle me fait. Contre toute attente, dans un cri étranglé, je jouis, sans que je ne puisse rien contrôler. Un énorme bruit mouillé, du moins, c’est ce qui me semble, se fait entendre, suivi d’un cri de surprise de Julie. Je m’écroule au sol et roule sur le côté. Je me rends compte que son débardeur est trempé.
— Eh ben, je me souvenais que tu étais très productive, mais pas à ce point-là. » me dit Julie en se passant les mains sur la poitrine.— Je... je suis désolée. » murmuré-je.
Elle se met à rire et se lèche les doigts. Le regard lubrique qu’elle jette sur moi m’indique qu’elle n’en a pas terminé avec moi. Maintenant que je suis très excitée, j’ai envie de continuer de jouer. Adoptant une position soumise, je me prosterne devant elle. Elle soupire.
— Eh bien... ça mérite une punition, ça. Déshabille-toi et mets-toi dos à l’espalier, à genoux.
Aussi obéissante qu’excitée, je finis de me débarrasser de mon bermuda et je retire ma brassière. Toujours à genoux, je me déplace vers l’espalier et y colle mon dos. Je me rends compte alors que je me retrouve face à la porte : j’offrirai le spectacle de mon corps nu à la première personne qui entrera.
Julie se poste dans une attitude sévère devant moi. Elle m’examine de la tête au bassin et m’ordonne de lever les bras et d’écarter les cuisses. Tandis que je m’exécute, elle attrape mon bermuda et s’en sert pour m’attacher les mains à un barreau assez élevé, étirant mon corps. Cette position me fait cambrer le dos, mettant en avant ma poitrine.
Julie se déshabille à son tour. Sa brassière retirée libère une paire de seins, gros comme des melons, bien fermes et haut placés. Elle fait glisser son minishort noir, le long de ses cuisses fuselées, libérant ses fesses musclées et toniques. Elle me fait face, les pieds écartés, les mains sur les hanches. Elle pose un pied sur une barre de l’espalier, écartant sa cuisse, pour m’offrir un accès à son sexe aussi bien épilé que le mien. Ses lèvres roses s’exposent à mon regard et surtout à ma bouche.
Je me redresse alors, son intimité juste en face de ma bouche. Un profond gémissement s’échappe de sa gorge quand ma langue s’enfouit dans ses chairs moelleuses. Son jus épais et acidulé s’écoule lentement dans ma gorge tandis que ma langue explore ses lèvres sur toute leur longueur et donne de légers coups à son clitoris au garde à vous. Je m’empare de ses grandes lèvres, l’une après l’autre, les aspirant tour à tour. Son parfum inonde mes narines alors que ma bouche se pose sur ses petites lèvres, ruisselantes de plaisir. Je les aspire, les mordille, me délectant du nectar qui les lubrifie. Une douleur se diffuse dans mes épaules alors que je me penche plus en avant pour laisser la langue pénétrer ses chairs moelleuses. Julie me caresse la tête et tire sur mes cheveux pour me faire lever la tête.
— Ooh, Marion. Pourquoi ne t’ai-je pas rencontrée plus tôt ?— Je... je ne sais pas. » réponds-je avant de glisser à nouveau ma langue entre ses lèvres.
Ses gémissements m’excitent. Je sens mon vagin palpiter, en manque de caresses et d’attention. Mais j’imagine que tant que Julie n’est pas comblée, elle ne me satisfera pas. Je la lèche de bas en haut, faisant tourner la pointe de ma langue autour de son clitoris gonflé.
Il est plus gros que le mien... comment fait-elle ?
Mes lèvres tètent ce petit bout de chair, lui déclenchant une vague de spasmes et des gémissements de plus en plus forts. Son jus acidulé inonde ma bouche alors que son corps se cambre, plaquant encore plus son intimité contre mon visage. Posant son pied sur le sol, elle se laisse glisser contre moi, frottant son sexe trempé contre ma peau. Lorsqu’elle s’agenouille, elle glisse une cuisse entre les miennes. Chacune chevauchant l’autre, nous nous mettons à onduler pour nous astiquer langoureusement.
Ses mains se posent fermement sur mes épaules pour me faire asseoir sur mes talons. Mes bras se tendent un peu brusquement, faisant naitre de nouvelles douleurs dans mes épaules. Le frottement de mes lèvres trempées sur sa cuisse n’en est que plus intense. Elle soulève ses seins et en présente un à mes lèvres, qui s’en emparent immédiatement. Je la tète avec grand plaisir, sentant son téton grossir et durcir sous ma langue. Ma bouche s’ouvre grand pour happer son mamelon et l’aspirer. Ses mains passent derrière ma tête pour la plaquer plus fort contre elle alors que les ondulations de son bassin s’accélèrent. Elle ne cesse de m’encourager à y aller plus fort, à la mordiller. Je dégage ma tête pour m’occuper de l’autre sein, tout aussi doux et excité.
Elle s’éloigne alors de moi et gémit alors que mes dents retiennent son téton qui s’étire et s’allonge avant de le relâcher.
— Oh, toi alors !
Sa bouche s’empare alors de la mienne. Sa langue force le passage de mes lèvres pour envahir ma cavité, l’enfonçant si profondément que j’ai peine à respirer.
Ses mains empaument mes seins pour les malaxer. Je tire désespérément sur mon lien improvisé pour m’en libérer, pour la caresser à ma tour, mais rien n’y fait. Me voyant m’agiter, elle se met à rire en me tordant les tétons du bout des doigts. Mon corps se tord, alors je lâche un cri rauque dans lequel douleur et plaisir se mêlent intimement.
— Non. Tu es punie.
Ses ongles griffent légèrement ma poitrine. Je devine plus que je ne vois les légères traces rouges apparaître sur chacun de mes seins. Je gémis encore lorsqu’elle me pince les tétons entre ses ongles vernis et qu’elle me les tire.
— Je sais que tu aimes ça. » me dit-elle d’une voix rauque.
Disant ces mots, elle me lâche un sein et enfonce ses doigts dans mon intimité, m’arrachant un nouveau cri. Mon bassin se remet à onduler avec frénésie, cherchant à s’empaler encore plus profondément sur ses doigts. Sa main s’active avec force, dans des allers-retours effrénés. De nouveau, je sens mon sexe déborder, ma liqueur se répandre entre mes cuisses et sur le sol. Julie colle son visage contre ma gorge et la mordille délicatement tout en bougeant ses doigts dans mes chairs moelleuses. Mes couinements résonnent dans la petite salle.
— Oui... bonne petite...
Au moment où je laisse échapper un gémissement rauque, la porte s’ouvre en grand sur Hugo. Il reste figé en nous voyant et se ressaisit immédiatement. Il se hâte d’entrer et de fermer la porte. Il se tourne vers nous, les bras croisés sur la poitrine, un sourire amusé sur les lèvres.
— Eh bien, eh bien. » commente-t-il. « Voilà une séance de yoga fort intéressante.
Julie, ses deux doigts toujours enfoncés profondément en moi, me lèche le cou avant de jeter un regard complice à Hugo, l’invitant, implicitement à nous rejoindre...
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