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Un job d'appoint

Chapitre 27

Le sport, après le réconfort…

Histoire médaillée
Avec plusieurs femmes
— Eh bien, eh bien. » commente-t-il. « Voilà une séance de yoga fort intéressante.
Si l’idée que son arrivée allait arrêter Julie m’a effleuré l’esprit, je me suis largement trompée. Julie m’enfonce un troisième doigt. Mes gémissements se font plus forts alors Hugo s’agenouille à quelques pas de nous. Son regard s’attarde sur les doigts de Julie qui me pénètrent inlassablement, sur mon jus qui s’écoule entre mes cuisses. Mes yeux se posent involontairement sur son entrejambe et devinent l’excitation qui le prend à me regarder.
— Tu veux jouer avec nous ? » lui demande Julie.— Hmm, pas tout de suite. Laisse-moi me régaler du spectacle. Faites comme si je n’étais pas là.
Julie n’a pas besoin de se le faire dire deux fois. Elle se met sur le côté pour qu’Hugo puisse bien me voir, suspendue à l’espalier. Ses doigts poursuivent leurs profonds va-et-vient tandis qu’elle dessine de longues lignes courbes avec ses ongles dans mon dos, en descendant jusqu’à mes fesses avant de remonter. Elle ressort ses doigts pour les porter à ma bouche. Elle y glisse d’abord son majeur, tout enduit de ma liqueur sucrée puis y ajoute l’index. J’avais oublié que mon jus avait un si bon goût. Je ferme les yeux en suçant ses doigts avec délectation. Dans mon esprit, j’imagine le sexe d’Hugo à la place de ses doigts.
Je sens la main de Julie glisser entre mes fesses et ses doigts rassembler de la cyprine pour en badigeonner mon anus. Son majeur appuie doucement sur ma rondelle pour la détendre et l’ouvrir. Bientôt, je sens sa première phalange pénétrer cet étroit conduit dont j’avais honte avant mais qui me donne énormément de plaisir maintenant. Je lâche un râle de plus en plus rauque à mesure que le doigt s’enfonce en moi, sous le regard fiévreux d’Hugo qui nous observe avec énormément d’attention. Les doigts de Julie reprennent leurs mouvements dans ma bouche.
— Elle suce bien, hein ? » ajoute Hugo.— Oh, oui. Je peux te dire qu’elle lèche tout aussi bien… une vraie petite chienne.
Curieusement, dans sa bouche, « vraie petite chienne » sonne comme un compliment. Mes gémissements, en partie étouffés par ses doigts, n’en sont que plus forts. Mes muscles se contractent autour de ses doigts. Je me sens proche de l’orgasme.
— Oh, non, jeune fille. » me murmure Julie. « Nous n’en avons pas terminé.
Elle retire ses doigts de mes chairs trempées et s’allonge entre mes cuisses écartées, la tête juste sous mon sexe. Ses doigts écartent mes lèvres pour permettre à sa langue de me pénétrer en profondeur. Un gémissement rauque s’échappe de ma gorge alors que sa langue me lèche avec force et que ses doigts étirent douloureusement mes lèvres pour élargir mon orifice.
— Tu y prends goût ? » me demande Hugo, excité par cette scène.— Oh, oui… ouiiii.
J’entends Hugo se déplacer vers moi. En tournant la tête, je le vois en train de se masturber lentement, un grand sourire sur les lèvres.
— J’hésite. » dit-il. « La bouche de Marion ou la chatte de Julie ?— Prends-moi. » répond Julie, le nez dans mes replis.
Sans se faire prier, Hugo s’agenouille entre les cuisses de ma partenaire et la pénètre d’un violent coup de rein. Julie lâche un gémissement étouffé contre mon sexe, dont les vibrations semblent se propager dans tout mon corps. À chaque coup de rein d’Hugo, la langue de Julie me pénètre plus profondément. Bientôt deux doigts remplacent sa langue, lui permettant de mieux reprendre son souffle. Hugo me lance un regard enfiévré.
— Tu ne perds rien pour attendre, toi !
Ses yeux dévorent mon corps nu, cambré et suspendu à l’espalier. Même dans mes fantasmes les plus fous je n’avais imaginé cette scène de folie. Sous moi, Julie gémit de plus en plus fort sous les coups de boutoir d’Hugo. Ayant moi-même eu la chance d’en profiter, je ne peux que partager son plaisir. .

— Putain, Julie… T’es vraiment bonne !— Tais-toi !
Comme pour se venger sur moi du commentaire déplacé d’Hugo, Julie ajoute deux doigts dans mon vagin, m’écartant douloureusement les chairs déjà hypersensibles.
— Aaaahhh…
Hugo se penche alors en avant pour s’emparer de mes lèvres et étouffer mon cri de plaisir. Sa langue s’enfourne dans ma bouche, me coupant le souffle. La pression augmente dangereusement dans mon bas-ventre, mon corps se tend alors que mon plaisir se déverse sur Julie comme une déferlante incontrôlée. Elle dégage ses doigts et plaque sa bouche pour que je me vide dans sa gorge. Hugo se fige, profondément enfoncé en elle, me regardant jouir. Lentement, les spasmes se calment et mon corps se relâche. Julie repousse Hugo et se dégage en s’essuyant la bouche, satisfaite.
— Je crois que je ne me lasserai jamais de te déguster, ma jolie. » dit-elle en se redressant doucement, au grand dam d’Hugo, laissé en carafe.— Et moi alors ? » se plaint-il.— Laisse-moi la libérer. »
Disant cela, Julie me détache les mains me laissant m’écrouler sur le sol. Mais ce que je crois être un répit n’en est pas un du tout. Julie s’agenouille au-dessus de moi et écarte ses lèvres des deux mains.
— Montre à Hugo comme tu lèches bien, en bonne petite chienne que tu es.
J’étire ma langue le plus possible pour la satisfaire et en suis récompensée par des grognements de plaisir. Ma langue glisse sur l’intérieur de ses grandes lèvres, ruisselant du plaisir qu’elle vient de prendre avec Hugo puis se faufile entre ses petites lèvres. J’alterne entre large léchage et pénétrations profondes. À côté de nous, Hugo halète de plus en plus fort : il est probablement en train de se masturber en nous regardant. Brusquement, Julie tombe sur moi et m’écarte les cuisses des coudes. Je laisse échapper un cri de plaisir lorsque sa bouche repart à l’assaut de mon sexe affamé de caresses. Etant un peu plus libre de mes mouvements, j’en profite pour glisser mes doigts dans son intimité. Je sens ses muscles se contracter autour de mes doigts alors qu’ils l’explorent en profondeur. En réponse à ma pénétration surprise, ses doigts s’enfoncent de nouveau en moi. Tout n’est plus que gémissements et halètements. Julie accélère ses va-et-vient tandis que les miens restent lents et profonds. Julie retire brusquement ses doigts, me frustrant du nouvel orgasme qui se profilait. Elle prend sa bouteille d’eau et avale une longue gorgée. Je tends la main vers elle pour lui demander à boire, mais elle refuse.
— S’il te plait, Julie. » dis-je, suppliante et assoiffée.
Elle esquisse un sourire pervers avant de prendre une nouvelle gorgée d’eau, comme pour me narguer. Mais cette fois, elle se penche sur moi, s’empare de mes lèvres et laisse couler l’eau dans ma gorge. J’avale la gorgée en plusieurs fois et lui réclame à nouveau de l’eau. Lorsqu’elle a déversé toute sa gorgée dans ma bouche, elle attrape ma lèvre inférieure avec ses dents pour la mordiller avant de la libérer.
— Bien. » dit-elle, en me tendant la main pour m’aider à me redresser. « Occupons-nous de notre professeur.— Bien, Julie. » réponds-je, obéissante.
À genoux, Julie se rapproche de moi, glisse une cuisse entre les miennes et s’empare sauvagement de mes lèvres. Sa langue entame un ballet agressif avec la mienne. Ses ongles me griffent le dos alors que mes mains s’emparent de ses seins pour les malaxer tendrement. Du coin de l’œil, je vois Hugo s’impatienter. Mais Julie semble prendre un malin plaisir à l’exciter comme ça et à le faire attendre. Alors que notre baiser se fait moins intense, ses lèvres se détachent lentement des miennes, encore reliées par un filet de salive. Julie se tourne vers Hugo et lui fait signe de la main de venir entre nous.
— Le fantasme de n’importe quel homme. » lâche-t-il avec plaisir. « Avoir deux superbes femmes à genoux à ses pieds. Mesdames…
À son invitation implicite, nous rapprochons et nous commençons à le lécher, chacune de son côté. Il pose une main sur ma tête et me caresse doucement les cheveux en poussant des râles rauques. Par moment, nos langues se caressent tandis qu’elles s’enroulent autour du membre du seul mâle de la pièce. Spontanément, la bouche de Julie s’empare son sexe dans sans pouvoir l’enfourner complètement.
Je glisse la tête entre les cuisses d’Hugo et entreprends de lui lécher les bijoux. Comme Marc, il les épile. Sa peau est douce sous ma langue et tendue du désir dont ses bourses regorgent. Alors que ma bouche aspire l’un de ses testicules, je sens les doigts de Julie chercher à me pénétrer à nouveau. J’écarte mes lèvres pour lui faciliter le passage et aussitôt, ses doigts s’enfoncent dans le moelleux trempé de mon intimité.
— Oooh, putain ! » lâche Hugo. « Quelles bouches, les filles !
Julie libère le sexe tendu d’Hugo et me le laisse à disposition. Relâchant son testicule couvert de salive, je m’empare de son membre d’une main et de ses bijoux de l’autre. Ma main glisse lentement sur son sexe lubrifié par la salive de Julie, tandis que l’autre manipule savamment ses boules, en exerçant de légères tractions dessus. Hugo grogne de plaisir lorsque l’anneau que je forme avec mon pouce et mes autres doigts se resserre progressivement jusqu’à sa racine.
Julie se glisse alors derrière moi et s’empare de mes seins pour les malaxer. Elle les presse de plus en plus fort, les tire de plus en plus loin. La douleur subtile qu’elle fait naître me fait couiner de satisfaction. Elle me tire les cheveux pour me faire relever la tête vers Hugo qui se met face à moi. Je me lèche sensuellement les lèvres avant de m’occuper de son manche, appliquant des léchages intenses tout autour de lui avant de l’enfourner entièrement dans ma bouche. Pris par son plaisir, Hugo plaque ses mains derrière ma tête pour s’enfoncer entièrement.
— Quoi ? » crie Julie de surprise. « Tu arrives à la prendre entière ?— Elle est douée pour ça. » répond Hugo à ma place. « Si tu étais un mec… elle te rendrait dingue, cette fille.— Elle me satisfait déjà beaucoup.
Julie fait glisser une main sur mon ventre, puis sur ma cuisse avant de pincer mes lèvres. Je lâche un cri étouffé par le sexe d’Hugo.
— Ne bouge plus ! » m’ordonnent-ils tous les deux en même temps avant d’éclater de rire.
Alors qu’Hugo saisit ma tête sur les côtés pour lui imprimer de profonds mouvements de va-et-vient, Julie fait passer sa main sur mes fesses puis entre mes cuisses pour enfoncer quatre doigts d’un seul coup. Cette fois, mon cri est plus fort car à ce moment-là, Hugo me faisait reculer la tête.
— Putain, moins fort ! » râle-t-il en s’enfonçant de nouveau dans ma bouche.
Je me soumets avec plaisir à leurs envies. J’ai l’impression de me liquéfier entre leurs mains. Julie accélère soudainement le mouvement alors Hugo reste profondément enfoncé dans ma bouche, m’écrasant le visage contre son pubis épilé. Je déglutis plusieurs fois, exerçant une pression importante le long de la hampe tendue d’Hugo. Son membre palpite dans ma bouche.
De son côté, Julie me lèche l’anus et le badigeonne de mon jus pour y faufiler un doigt. Elle y enfonce profondément son doigt, en lui faisant décrire des cercles de plus en plus grands pour ouvrir mes sphincters et y glisser un second doigt. Mes mains s’agrippent alors aux fesses contractées d’Hugo, mes ongles s’enfoncent dans ses muscles lui arrachant un cri de douleur. Pénétrée par tous mes orifices, je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Mon corps semble au bord de l’implosion.
— Hmmm… tu l’as déjà sodomisée ? » demande Julie avec un vif intérêt. « Elle est très réactive et s’ouvre… si facilement.— Double pénétration. » annonce Hugo avec fierté, en se masturbant. « Elle a adoré.— Vraiment ?— Oooh, ouiiiiii… » réponds-je dans un gémissement.— J’aurais voulu voir ça.
Julie enfonce profondément trois doigts dans mon vagin et alterne ses mouvements dans mon anus et mon vagin. Je glapis de plus en plus fort sous ses va-et-vient brusques et synchronisés qui vont bientôt avoir raison de moi. Un cri de jouissance s’échappe enfin de ma gorge, alors que mes muscles se contractent violemment et douloureusement autour des doigts de Julie.
— Aaaahh ! Aaaah !!
Soudain, comme d’un commun accord silencieux, Julie et Hugo se retirent brutalement.
— Gnnnnn ! » lâché-je brutalement en m’écroulant sur Julie, ma salive dégoulinant sur mon menton et mon jus sur le sol.
Je sens les muscles de mon vagin et de mon anus se contracter et se relâcher, comme s’ils réclamaient à être de nouveau remplis. Julie et Hugo se dressent au-dessus de moi, en fiers dominants. Je calme ma respiration saccadée.
— Elle n’en a pas eu assez, apparemment. » commente Julie.— Moi non, plus. » dit Hugo en s’agenouillant entre mes jambes repliées.— Je vais me régaler du spectacle pour le moment.
Disant cela, Julie se laisse glisser contre le mur pour s’asseoir les jambes repliées. Hugo, lui, me soulève les cuisses et me pénètre brusquement d’un coup de rein. Mon corps se cambre alors sous son assaut sauvage.
— Ça fait un bout de temps que tu ne t’es pas occupée de moi, hein ?— Je… suis désolée, Hugo.— Oh oui, tu vas l’être !
Ses mouvements sont de plus en plus brutaux et profonds. Ses doigts s’enfoncent douloureusement dans mes chairs, comme s’il voulait me marquer à vie. Chacun d’eux m’arrache un glapissement qui l’excite encore plus. Tournant la tête sur le côté, je vois Julie qui se doigte profondément, en nous regardant, les yeux brillants. Probablement en manque de sensation, elle se lève et s’accroupit près de moi. Elle saisit ma main qui repose mollement au sol et, collant mes trois premiers doigts entre eux, les enfonce dans son intimité avide d’attention. Bien campée sur ses pieds, elle imprime à son bassin des mouvements d’avant en arrière tandis que ses mains entrainent la mienne dans les profondeurs de ses chairs moelleuses. Tout n’est plus qu’halètements frénétiques et bruits mouillés obscènes. Alors que je suis sur le point de jouir que Hugo se retire brutalement, me laissant frustrée. Un sourire pervers se dessine sur ses lèvres.
— Le bouquet final !
Il se dégage et appuie brusquement sur mes cuisses pour faire basculer mon bassin. Son gland se presse contre mon anus déjà bien travaillé par Julie. Sans aucune douceur, il me pénètre entièrement sous le regard excité de Julie, qui maintient mes doigts profondément en elle. C’est de nouveau un déchainement de plaisir. Mon jus continue de couler sur le sexe d’Hugo, le lubrifiant encore plus, tandis que celui de Julie inonde ma main.
Nous lâchons un cri, tous les trois en même temps. Hugo explose littéralement en moi, remplissant mon rectum de sa semence. Julie s’écroule, le corps tremblant de plaisir, libérant mes doigts trempés alors que de violents spasmes s’emparent de mon bas-ventre et expulsent le fruit de mon orgasme sur Hugo.
Nous finissons, tous les trois sur le sol, dégoulinant de sueur et de liquides corporels. Mon corps, tout courbaturé, ne peut plus bouger. Je suis épuisée. Mon anus et mes lèvres sont en feu. Il est certain qu’après le traitement que je viens de subir, pour mon plus grand plaisir, je vais devoir me calmer quelques temps. Je regarde Julie et Hugo se relever et s’habiller, avant de s’embrasser.
— Occupe-toi bien d’elle. » dit Julie. « Elle le mérite bien.— T’inquiète pas. Je ne suis pas un sauvage, moi.— Salut, Marion. Repose-toi bien.
Je suis incapable de répondre et me contente de lui faire un signe de la main. Une fois la porte fermée, Hugo revient et m’aide à me rhabiller, ce qui est assez rapide.
— D’habitude, je préfère faire l’inverse. » dit-il en m’enfilant ma brassière. « Tu vas arriver à marcher ?— Hmm, je ne veux pas faire ma chochotte. » réponds-je en enfilant ma veste de sport. « Mais je ne crois pas.— Pas de souci.
Il s’accroupit près de moi et me soulève comme une fleur. Surprise, je m’agrippe à ses épaules, tandis qu’il assure sa prise.
— Ça va, princesse ?— Oui, merci.— Bon, officiellement, tu t’es tordu la cheville.
Je hoche la tête en silence. Et nous quittons la salle de yoga. En voyant les traces humides de nos ébats, je plains silencieusement la personne qui va faire le ménage derrière nous. Nous croisons quelques membres du staff à qui Hugo explique que je me suis foulé la cheville en cours et qu’il me ramène à la maison.
Inconsciemment, je ne peux m’empêcher de comparer la façon qu’a Hugo de me porter avec celles d’Alexandre et de Marc. De la même manière qu’ils ont, tous les trois, des comportements sexuels et des caractères distincts, ce que je ressens entre leurs bras est tout aussi différent. Pour Marc, j’ai la sensation d’être une sorte de fardeau ; pour Hugo, je me sens comme la bonne copine bourrée qu’il ramène à la fin d’une soirée ; dans les bras d’Alexandre, je ressens toute sa tendresse et la sécurité.
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