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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Job d'été

Chapitre 1

Trash
J’avais 20 ans et j’étais étudiant. L’été, je travaillais pour mon oncle qui est artisan peintre. Cette semaine, je devais terminer seul un chantier qu’il avait commencé dans une grande maison de la Basse Normandie. La canicule avait débuté et je ne portais donc qu’une salopette en jeans avec pas grand chose dessous. La maîtresse de maison était la seule occupante car son mari était absent pour la semaine et sa fille n’était pas encore rentrée de son internat. Elle ne se souciait pas vraiment de moi et vaquait aux nombreuses occupations inhérentes à l’entretien d’une telle demeure. Je vous avoue que cette indifférence m’ennuyait un peu. J’avais en général pas mal de succès avec les filles. En plus, j’étais au top de ma forme, musclé par une saison de rugby universitaire et bronzé par les premiers chantiers extérieurs. De surcroît, elle me plaisait cette femme. Grande avec des cheveux blonds coupés courts et des yeux bleus. Elle portait bien la quarantaine. Elle s’habillait d’un chic simple et sexy portant souvent un jean serré avec une chemise blanche. A voir les photos de famille, elle ne devait pas beaucoup s’amuser. Pourtant, je savais qu’elle avait un fond de vice car j’avais fouillé un peu dans les tiroirs de leur chambre alors que j’y travaillais. J’avais trouvé des dessous affriolants et des accessoires très explicites. C’est ainsi qu’un matin, je décidais de trouver le moyen de lui montrer mon désir. Pendant qu’elle rangeait du linge dans la salle de bain, n’écoutant que ma testostérone, je suis venu me coller contre elle en saisissant ses seins. ’ - Qu’est ce qui vous prend ? ?a ne va pas ? Lâchez moi toute suite ! ’ Elle se retourna et me gifla. J’étais un peu décontenancé mais quand j’ai vu qu’elle restait là immobile et que ses seins pointaient sous son t-shirt, j’ai décidé de repartir à l’assaut. ’ - Je suis sûr que vous avez envie de moi. ’ Je m’approche d’elle et passe ma main par la fente de sa longue jupe. ’ - Mais qu’est ce que tu crois petit con ? ’ Elle pose ses mains sur mon torse suant pour me repousser, sans conviction. Je l’embrasse dans le cou tout en remontant ma main entre ses cuisses. Elle maintient sa résistance. ’ - Puisque c’est ça je vais employer la manière forte. ’ Je saisis alors ses mains et je les ligote avec un drap. Heureusement qu’elle ne se débattait pas trop car je n’ai jamais appris les n?uds chez les scouts. Je l’agenouille et la penche en avant contre la baignoire. ’ - Maintenant, tu vas rester bien tranquille. ’ Elle ne répond pas et garde la tête baissée. J’ouvre sa jupe et fais glisser sa petite culotte sur ses genoux. J’écarte ses fesses et je passe ma langue sur toute sa raie, de son sexe à son petit trou. Après quelques caresses, ses cuisses s’ouvrent plus généreusement. Je la masturbe tout en passant un doigt sur sa fente. Elle mouille de plus en plus. Petit à petit, mes doigts pénètrent ses orifices de plus en plus dilatés. Elle reste silencieuse. Je fais descendre ma salopette. Je suis nu, bandé comme un taureau. Je frotte mon gland sur sa raie. Mon bout turgescent est maintenant luisant de sa cyprine. J’écarte encore ses jambes. J’introduis mon sexe dans le sien. Elle s’agrippe au rebord de la baignoire. Je l’enfonce de plus en plus loin. Elle commence à gémir. Son con glisse à merveille. Je caresse son clito tout en prenant appui sur ses larges hanches. ’ - Encore, vas plus loin, écarte mes fesses, mets-moi un doigt dans le cul, c’est bon. ’ Je m’exécute et la pilonne de plus en plus fort et de plus en plus profond. Elle se cambre et joui. Son sexe me pompe et je viens en elle. Elle ne se retourne pas. Elle attend que je sorte. Une fois dans la chambre, elle ferme la salle de bains et j’entends une douche qui coule. Je suis dégoulinant de sueur et assez fier de moi. Après que je me sois remis au travail, elle est passée prêt de moi en souriant, les joues roses, sans dire un mot. Je crois qu’il valait mieux en rester là si je voulais garder mon emploi. Le lendemain, sa fille est arrivée. Je crois qu’elle préparait son Bac dans une école de Bonne S?ur en internat. Je ne savais même pas que ça existait encore. Elle m’a tout de suite déshabillé du regard. J’imagine qu’elles doivent être en manque dans ce genre d’institutions. ?a ne faisait pas une heure qu’elle était là qu’elle profitait de l’absence de sa mère pour me faire des avances. ’ - Tu n’aurais pas envie de me repeindre l’intérieur ? — L’intérieur de quoi ? ’ Je faisais semblant de ne pas comprendre. ’ - Tu me plais et ça fait longtemps que je n’ai pas baisé. Tu n’as pas envie de moi ? — Ce n’est pas le problème mais je suis là pour travailler, ce n’est pas correct. ’ Je ne sais pas pourquoi mais j’avais des scrupules. ?a n’était pas la différence d’âge car elle devait avoir 2 ou 3 ans de moins que moi. Peut-être qu’avec ce qui c’était passé avec sa mère, je ne voulais pas abuser de la famille. Pourtant elle était très mignonne. De longs cheveux blonds et fins, une petite camisole rose et de courts shorts en jeans. Elle avait un très beau corps. Non, vraiment elle me plaisait. — Tu n’as qu’à prendre une pose, regarde comme ils sont beaux. ’ Elle sortait ses seins de sa camisole. Deux belles poires juteuses. Elle faisait durcir ses tétons du bout de ses doigts. — Ne fais pas ça ! Je ne veux pas je t’ai dit. — Tu as tort. Regarde ma petite chatte, touche comme elle est douce. ’ Elle ouvre son short, le fait descendre un peu, tire sur l’élastique de sa culotte et me montre son sexe. Il est lisse, complètement rasé. Elle s’approche de moi et prend ma main pour l’amener sur elle. Je la retire et détourne mon regard. Je bande très dur et elle s’en rend compte. — Tu vois que tu as envie. ’ Elle prend mon sexe par dessus ma salopette. C’est terrible de résister mais j’ai décidé que je ne le ferai pas. — Non, ça suffit maintenant, laisse moi tranquille. ’ Je remonte sur mon escabeau et reprend les pinceaux. — Tant pis pour toi, tu ne sais pas ce que tu perds. ’ Elle sort de la pièce. J’ai failli craquer. Le lendemain, elle entre dans le salon ou je peignais le plafond. Elle était accompagnée d’une autre fille, les cheveux châtains, bouclés et longs. Elles portaient toutes les deux de courtes jupes et un t-shirt, perchées sur des sandales à haut talon. — Je te présente mon amie. ’ Je me retourne et la salut. Elle est très jolie. Elle me regarde en suçant la paille de son verre de thé glacé. Elles s’assoient dans le canapé recouvert d’un drap blanc. ’- J’avais pas raison, il est canon notre petit peintre. T’as vu son beau petit cul. — C’est vrai qu’il est pas mal. ’ Je reste silencieux. Elle s’adresse à moi. ’ - Tu sais ce qu’on fait le soir dans les dortoirs quand les S?urs nous laissent enfin tranquille ? — Non, je ne sais pas. — Regarde. ’ Son amie s’agenouille alors entre ses jambes. Elle retire sa jupe et sa culotte. Elle relève exagérément sa croupe. Elle remonte même sa jupe pour que je vois son cul. Elle commence à lui lécher la chatte. ’ - Tu vois qu’on ne s’ennuie pas, même si on n’a pas d’hommes. Quand il y en a deux qui font ça, les voisines de lit les regarde en se masturbant et les autres font pareil excitées juste en entendant les frottements. Tu imagines toutes ses filles les jambes écartées se caressant en même temps. On pense toutes à des grosses queues comme la tienne en train de nous enculer. Pense à toutes ces odeurs de sexe qui embaument le dortoir. ’ Je m’accrochai à mon échelle pour ne pas vaciller. Je bandais évidemment rien qu’à écouter le récit. En plus, elle se caressait les seins en parlant. L’autre était toujours enfouie entre ses cuisses et avait passé la main sur sa chatte. ’ - Une fois, il y en a une qui a amené un vibro. On l’a toutes essayé. C’était cool mais rien ne vaut une bonne bite bien bandée et du sperme bien chaud. Descends maintenant, je suis sure que tu en meurs d’envie. ’ Désolé mais cette fois il fallait que j’y aille. De toute façon je serai quasiment venu juste avec le léger frottement du tissu sur mon pénis. Je descends les rejoindre. Ma salopette tombe toujours aussi facilement. Elles ouvrent leurs yeux gourmands sur mon anatomie et s’agenouillent devant moi. Elles commencent à me pomper toutes les deux avec frénésie, comme des mortes de faim. Elles se battent presque pour lécher mon gland. Je suis obligé de les arrêter car sinon je ne serai pas leur partenaire très longtemps. Mon hôte s’allonge alors sur le divan, les jambes bien ouvertes et le sexe très mouillé. Son amie s’assoie sur une chaise et nous mate en se masturbant. Je m’allonge sur elle. Je la pénètre facilement. Elle masse son clito d’une main et de l’autre prend ma fesse pour me pousser plus loin en elle. Nous venons tous les trois rapidement et pratiquement en même temps. ’ - C’était vraiment bon, j’espère que tu ne vas pas finir ton travail trop vite car mon amie n’a pas eu sa dose. D’ailleurs j’ai plein d’autres amies qui doivent venir me voir.
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